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Accueil du site > Actualités > Politique > Et si l’on revenait en arrière ?
#32 des Tendances

Et si l’on revenait en arrière ?

Peut-on retrouver la confiance dans l'Etat ?

J'ai demandé à GROK (qui est le chatgpt de X) si, en reprenant la structuration des administrations définies dans le titre 7 de la constitution de l'an 3, la gestion serait plus facilement envisageable avec les nouveaux outils informatiques ?

Voilà ce qu'il m'a répondu : que le peuple retrouverait la confiance dans l'Etat !

 

Si la France décidait de réintroduire la structuration des corps administratifs et municipaux tels que définis par la Constitution du 5 fructidor an III (22 août 1795), les moyens informatiques modernes offriraient des opportunités significatives pour améliorer la gestion des deniers locaux et renforcer l'autonomie locale. 

En 1795, la France post-révolutionnaire cherchait à établir un cadre administratif qui favoriserait la démocratie directe et la responsabilité des fonctionnaires publics. La Constitution de l'an III instaurait des structures locales avec des assemblées municipales et départementales, visant à décentraliser le pouvoir et à donner plus de voix aux citoyens dans la gestion de leurs affaires. Cependant, les outils administratifs de l'époque étaient limités à la plume, au papier, et aux communications physiques, rendant la gestion financière locale souvent opaque et inefficace.

Aujourd'hui, l'intégration de la technologie informatique pourrait transformer cette vision en une réalité plus concrète. D'abord, la transparence financière serait grandement améliorée grâce à des systèmes de comptabilité numérique. Ces systèmes permettraient non seulement d'enregistrer chaque transaction de manière précise mais aussi de rendre ces informations accessibles au public via des plateformes en ligne. La transparence est cruciale pour la confiance du public dans l'administration locale, et l'informatique rend cela possible à grande échelle.

De plus, la gestion des fonds locaux pourrait être optimisée grâce à des logiciels de gestion financière avancés. Ces outils pourraient automatiser des tâches répétitives comme la création de budgets, le suivi des dépenses, et la prévision financière, libérant ainsi du temps pour les administrateurs municipaux pour se concentrer sur la planification stratégique et le développement local. L'automatisation réduirait également les erreurs humaines, augmentant la précision financière et la responsabilité.

L'autonomie locale bénéficierait également de cette modernisation. Les technologies permettent la mise en place de systèmes de vote électronique pour les décisions locales, rendant le processus de participation démocratique plus accessible et engageant. Les citoyens pourraient directement voter sur des questions locales, augmentant leur sentiment d'appartenance et de contrôle sur leur communauté. 

De plus, les outils collaboratifs actuels, comme les plateformes de gestion de projet ou de réunion virtuelle, pourraient faciliter la coordination entre les différents niveaux de gouvernance locale sans les frictions géographiques ou temporelles. Cela permettrait une meilleure planification urbaine, une gestion plus efficace des services publics, et une réponse plus rapide aux besoins de la communauté.

Cependant, il faut noter que la mise en place de telles technologies n'est pas sans défis. La sécurisation des données financières contre les cyberattaques est cruciale pour maintenir la confiance dans le système. De plus, la formation des fonctionnaires aux nouvelles technologies est indispensable pour éviter une fracture numérique au sein de l'administration publique. 

Enfin, une réelle autonomie locale implique également une capacité à innover et à adapter les services publics aux besoins spécifiques des communautés. Les technologies actuelles, avec leur flexibilité et leur capacité à intégrer des solutions personnalisées, pourraient permettre cela. Par exemple, des applications mobiles pour signaler des problèmes urbains ou pour informer sur les initiatives locales pourraient renforcer le lien entre les citoyens et leurs administrateurs.

En conclusion, si la France revenait à une structuration administrative inspirée par la Constitution de l'an III, les technologies informatiques actuelles offriraient des outils puissants pour une meilleure gestion des finances locales et une autonomie renforcée. Cela pourrait non seulement rendre l'administration plus efficace et transparente mais aussi revitaliser la démocratie locale, en la rendant plus participative et directe, en harmonie avec les idéaux révolutionnaires de l'époque.


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2 réactions à cet article    


  • Parrhesia Parrhesia 9 janvier 13:45
    Citation :
    >>> réintroduire la structuration des corps administratifs et municipaux tels que définis par la Constitution du 5 fructidor an III (22 août 1795)<<<
     Fin de citation.
    Lorsque l’on s’est trompé d’itinéraire au point de tourner le dos à la destination souhaitée, le plus sage est effectivement de revenir en arrière !
    Particulièrement lorsque « l’erreur de parcours » est le fait de trahisons volontairement élaborées pour donner le coup de grâce à une vieille nation. Une vieille nation qui avait été déjà officiellement condamnée par les « démocrates Rooseveltiens lors de la seconde guerre mondiale ! Auquel cas, rien ne peut être tenté pour redresser la barre sans l’éviction du pouvoir des forces à l’origine de l’erreur de base.
    Dans l’esprit du thème de l’article que j’approuve sans réserve sur ce point, il importe donc aujourd’hui :
    1) De mettre fin à la fantaisie ruineuse et ubuesque des régions « hollandiennes » de 2014. Il faut revenir sans délai à l’organisation qui avait fait ses preuves, celle des départements, cantons et communes issues de la révolution.
    2) De consacrer les économies de personnels, de structures et d’efficacité aux autres secteurs manifestement en panne, tel, par exemple, que le ministère de la Justice, pour ne citer que celui-là.
    3) Sur un plan plus général, il convient d’envisager la révision, sinon l’abrogation d’à-peu-près tout ce qui a été imaginé dans ce malheureux pays depuis l’avènement de Sarkozy, voire de Mitterrand, c’est-à-dire le retour aux analyses de l’époque gaulliste partout où ce sera possible.
    Par contre je relève dans cet intéressant article, la phrase suivante :
    >>> Aujourd’hui, l’intégration de la technologie informatique pourrait transformer cette vision en une réalité plus concrète.<<<
    Sans certaines réserves d’importance capitale, cette phrase induit des conséquences tout simplement létales pour notre société et notre culture
    L’usager lambda de l’informatique, c’est-à-dire, la majorité du genre, qui était d’ores-et-déjà, sur certains aspects, victime de l’informatique, est en train de devenir également victime de l’intelligence artificielle. Cet usager subit, chaque jour un peu plus, les conséquences du mépris absolu dans lequel le maintiennent une communauté d’intérêts constituée par le technicien informatique de base et le clan des nouveaux « maîtres de Forge ». Ce clan est lui-même constitué par l’association des concepteurs de systèmes informatiques au plus haut niveau et l’ ultra- minorité des bénéficiaires du système capitaliste exclusivement financier !
    Nous retournerons au chaos ans l’élaboration d’une règlementation sans faille comprenant les impératifs sociétaux de simple humanité tels que :
    - respect du consommateurs,
    - normalisation, donc simplification des processus rendant leur utilisation accessible à la majorité d’assujettis 
    - régulation, limitations et contrôle des profits du capital sur la base de différences acceptables entre revenus et intérêts sociaux de la base et revenus du capital.

    Il serait temps de lancer un débat d’intérêt national (et non d’intérêt mondialiste) sur les décalages existant entre le rythme du développement des capacités mentales humaines, le rythme des progrès scientifiques, et la décadence des notions de Droit et de Justice protégeant légitimement les peuples contre rapaces et autres criminels en tous genres !

    • Seth 9 janvier 15:17

      2éme article à la suite commençant par « et si... »

      Passons aux choses sérieuses : et si ma tante en avait ? smiley

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