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Accueil du site > Actualités > Politique > FMI - Agences de notation : même combat

FMI - Agences de notation : même combat

Les masques finissent par tomber et ainsi l'on peut constater la fuite en avant d'un Libéralisme livré aux "extrêmes". La "rupture" annoncée de la campagne présidentielle de 2007 du sieur SARKOZY, est bien là, au rendez-vous ! L'on ne peut que saisir l'occasion pour leur dire une bonne fois pour toutes : arrêtez le massacre, et profitez de cette crise historique devenu quasi-ingouvernable, pour abandonner vos valeurs et vos principes qui précipite le Monde entier vers l'appauvrissement généralisé, inéluctable. Vos responsabilités écrasantes de citoyens, d'humains, si vous méritez encore un tant soit peu ces terminologies, vous engage à d'autres perspectives beaucoup plus lié à l'intérêt général que vous avez bafoué jusqu'à présent. Le monde est sans nul doute à un tournant, politique, économique, social et climatique, sachez saisir ce moment historique et changer vos fondamentaux destructeurs, pour vous rapprocher des vrai valeurs républicaines, sociales et solidaires, sous peine de sombrer définitivement dans une spirale économique libérale exacerbée et outrancière sans fin et lourde de conséquences néfastes. Réfléchissez bien à tous les enjeux et à tous les paramètres. Votre avenir est en jeu, ainsi que celui de votre idéologie qui a vous lire, vous entendre vous voir gesticuler nous a définitivement permis de comprendre qu'elle a échoué ! Changez vite la donne, changez vite votre donne...... les Temps approchent !

"L'économie mondiale est dans une situation dangereuse !!!

La directrice du FMI, Christine Lagarde, est inquiète.

La directrice du FMI Christine Lagarde presse les dirigeants européens à accélérer l'application des réformes.

Le fond monétaire international (FMI) met la pression sur les dirigeants européens. Très critique, la directrice de l'institution, Mme Lagarde affirme que le sommet du 9 décembre "n'était pas assez détaillé sur les aspects financiers et trop compliqué sur les principes fondamentaux". Sic ! Selon elle, les discussions entre SARKOZY et MERKEL et leurs homologues n'ont pas encore réussi à stopper la crise : « Il y a eu des progrès considérables en Europe mais ils sont graduels et mal compris ». Re-Sic !

Selon Christine Lagarde, les blocages sont avant tout politiques : « Il serait utile que les Européens parlent d'une seule voix et annoncent un calendrier simple et détaillé. Les investisseurs l'attendent. Les grands principes ne les impressionnent pas » RE-RE-SIC ! Il faut « accélérer la mise en oeuvre des mesures » qui ont été prises, et engager chaque pays à respecter les règles !

Urgence

La situation est en effet critique : « L'économie mondiale est dans une situation dangereuse, à un tournant très dangereux », s'alarme Christine Lagarde. La directrice du FMI n'hésite pas à comparer la situation actuelle à celle de l'entre-deux guerres. « A cette époque, les États se sont repliés sur eux-mêmes et le multilatéralisme a reculé. Aujourd'hui, nous voyons certains États relever leurs barrières tarifaires, inventer des obstacles non tarifaires et parfois faire obstacle aux flux de capitaux », déplore-t-elle. Pauvre Actrice d'un " jeu de massacre" !

Le FMI note également que les Etats-Unis, le principal acteur de l'économie mondiale, sont touchés et que les pays émergents, moteurs des années 2000, sont grippés. La directrice de l'institution évoque la Chine, le Brésil et la Russie où « les prévisions de croissance sont revues à la baisse. Ces pays, qui étaient des locomotives, subissent ces facteurs d'instabilité ». Christine Lagarde craint aussi de fortes répercussions dans les pays pauvres : « Les conséquences peuvent être rudes quand les expatriés baissent leurs transferts d'argent. Cette instabilité est un danger pour l'ensemble des pays du monde. La croissance mondiale s'en ressentira ".


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7 réactions à cet article    


  • Cropcircle 31 décembre 2011 18:29

    c.lagarde est une corrompue de« haute volée »...c’est pas« tapie » qui dira le contraire.


    •  C BARRATIER C BARRATIER 31 décembre 2011 18:47

      Le problème est que le libéralisme s’et mis en place avec un système de cliquets rendant impossible toute marche arrière. Nous vivons une tragédie qui nous écrase, maise en place par des voyous qui eux mêmes n’y peuvent plus rien.

      Comment imaginer une Révolution mondiale et coordonnée ? Ce qu’ils ont fait pas à pas fut mondial, coordonné, ne laissant rien au hasard.
      Voir dans la table des news

      Libéralisme : Friedman, pensée unique

       http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=99


      Et si vous le trouvez, revoyez le film de Jean DRUON : « Quelques choses de notre Histoire »




      • eric 2 janvier 2012 07:27

        Les temps approchent ! les cavaliers de l’apocalypse ! La grande terreur ! Les forces du mal triomphent et sont omniprésentes, omniscientes ! On ne peut rien contre elles ! C’est la grand peur de l’an Mille !

        Or, on parle de quoi ? De la re allocation de 2 a 3 point de PIB par en an entre société civile et état dans la plupart des pays développés. Au sein des dépenses d’État, de l’évolution du partage entre frais de fonctionnement des bureaucraties et vrais transferts sociaux au bénéfices des plus défavorisés également de quelques pour cents. D’une manière générale de la tentative de réaliser cela sans s’endetter plus. Le tout en tentant que cela ne se traduise pas par des situations trop traumatisantes pour les uns et les autres.

        Bref, de remettre les états sous contrôle politique du peuple et a leur service au lieu de les laisser se développer de façon autonome et en roue libre suivant leurs logiques bureaucratiques et dépensières propres et sous la pression de lobbies.

        Face a ces nécessités, et dans un pays ou 56% du PIB est dépensé par l’État, parler « d’hyperliberalisme mortifère » est un discours qui ne peut provenir que de gens qui dépendent financièrement de la dépense publique et ne tiennent pas du tout a ce que le peuple leur demande des comptes de l’usage fait de son argent.

        On peut comprendre. Quand il faut faire des efforts, tous le monde préfère que ce soit « les autres » qui en « profitent » le plus.

        Cependant le débat peut être rationnel ou apocalyptique. Ici, on est clairement dans la seconde veine, celle qui est annonciatrice de tout les fascismes.

        Personnellement, j’ose espérer que c’est surtout une pose. « Touchez pas a mes sinécures ou je fais un malheur » ! Cela n’en est pas moins dangereux. Si ces gens parviennent a coup de menace gréves, manifs et autre « désobéissance civiles civiques citoyennes » a s’opposer victorieusement a la volonté populaire, c’est le reste de la population qui risque de piquer des crises. A la fin, celle ci risque de jeter le bébé avec l’eau du bain.

        Bref, si vous ne voulez pas de Sarko, vous finirez par avoir Thatcher en pire.....

        Vous feriez mieux de redescendre sur terre, ici et maintenant, avec nous, pour regarder ensemble, point par point,ce que l’on peut améliorer dans le fonctionnement de notre état, pour que cela se passe avec vous et non contre vous.

        Maintenant, aucune loi n’interdit aune classe sociale, en l’occurrence celle des bénéficiaires de la dépense publique, d’avoir des comportements suicidaires....


        • Théodore Six Théodore Six 2 janvier 2012 11:41

          Vous n’y êtes pas du tout et vous développer de fait un soutien à la situation d’aujourd’hui. Ce qu’il faut avant tout retenir c’est l’échec pure et simple de l’idéologie Libérale et de sa voie sans issue. Il n’y a aucun fantasme d’apocalypse que de prétendre cet échec et mat du libéralisme et de prévoir des évolutions certaines à venir qui peuvent dans les mois et années qui viennent ne pas correspondre du tout à la situation d’aujourd’hui. L’homme est ’ il condamner pour vous à ne pas évoluer et à souffrir les mêmes maux inexorablement ? Quant au fascisme que vous décrié...nous sommes en plein dedans...ou vous faut il là aussi une analyse économique sur la dictature des marchés et ses répercussions sur la vie économique et sociale des peuples ?


        • eric 2 janvier 2012 16:21

          Quand un état dépense 56% du pib, prélève plus de 50% de la richesse,emploie 25% de la population active, et connait des difficultés parce qu’il est trop endette, parler de crise du libéralisme a nettement quelque chose de comique.....


          • Théodore Six Théodore Six 2 janvier 2012 19:23

            C’est bien vous le comique de service et bien sûr en soutien au système. De quelles idéologies, valeurs, principes, se réclament les gens au pouvoir qui conduise la barque ? Retournez à vos études cher monsieur éric et ne dites pas n’importe quoi !

             Aujourd’hui dans le Monde nous lisons sous la plume de Michel Rocard et Pierre Larroutourou :

            "Etre gouverné par l’argent organisé est aussi dangereux que par le crime organisé", affirmait Roosevelt. Il avait raison. Nous sommes en train de vivre une crise du capitalisme dérégulé qui peut être suicidaire pour notre civilisation. Comme l’écrivent Edgar Morin et Stéphane Hessel dans Le Chemin de l’espérance (Fayard, 2011), nos sociétés doivent choisir  : la métamorphose ou la mort ?

            Les gouvernements vont nous faire plonger bientôt dans une récession très grave.

            Allons-nous attendre qu’il soit trop tard pour ouvrir les yeux ? Allons-nous attendre qu’il soit trop tard pour comprendre la gravité de la crise et choisir ensemble la métamorphose, avant que nos sociétés ne se disloquent  ?

            Alors encore des visions apocalyptiques d’après vous ou plus simplement des vérités qui dérangent ?


          • eric 3 janvier 2012 07:33

            Crise il y a, comme cela arrive régulièrement dans tous système vivant , mais la principale caractéristique qu’elle revêt aujourd’hui est l’obésité des états. On ne peut pas parler d’une crise du capitalisme dérégulé quand la principale caractéristique est une augmentation continue de la part de l’État dans le PIB.
            Si nous étions « gouvernes par l’argent », la part des revenus du capital après impôts et transferts dans la VA devrait s’accroitre considérablement, ce n’est pas le cas. Donc vous dites n’importe quoi. La compagnie de Hessel ou Laroutourrou n’y change rien, bien au contraire.

            Ce discours sur « la disparition attendue d’un capitalisme dérégulé qui conduit l’humanité au chaos » a de l’ordre de 150 ans au bas mot. Cela fait 150 ans qu’il est contredit par l’histoire.
            Cela fait du reste encore plus longtemps que les sociétés libérales sont celles qui connaissent les plus grands progrès en matière d’économie, de politiques sociales, de sante, d’écologie et de liberté politiques et sociétale.
            Cela fait 150 ans enfin, que des gens comme vous refusent de participer a la dialectique démocratique en travaillent sur les rapports de forces et les compromis nécessaires aux progrès commun en nous proposant a la place de nous transformer en papillons.
            Sans aucun résultat. Il serait temps de prendre consience...

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