Immigration, islamisme, terrorisme, il nous faut de l’ordre
« Grand remplacement », « créolisation », tous ces termes issus de courants politiques opposés désignent une seule et même réalité : il y a chaque jour plus de personnes d'origine extra-européenne en France.
Les causes en sont identifiées. Il y a d'abord l'immigration continue de populations étrangères en France depuis la fin des années 1970. Il y a ensuite une démographie supérieure à celle des Européens de souche. Ces faits incontestés entraînent la modification de l'identité française, des problèmes de sécurité, de cohabitation. Quelle est la solution ?
Commençons par le début. La France est-elle éternelle ? En tout cas, la France n'existe pas en tant que telle que depuis 1214, lorsque le roi Philippe Auguste bat l'empereur germanique Othon IV à Bouvines. Avant, le territoire était le pays des Francs, après avoir été la Gaule romaine. La France, non plus le royaume de France existe depuis la Révolution, la République et son « Liberté, Egalité, Fraternité » depuis 1875. Rien n'est figé, tout évolue.
Les populations allogènes seront amenées à rester chez nous. D'autres viendront encore, poussés par le réchauffement climatique, le manque d'eau et les troubles politiques dans leurs pays. Donc, inexorablement, la France va changer de visages.
Si nous ne faisons rien, le spectre d'une guerre civile, d'affrontements entre ethnies peut devenir une réalité. Un spectacle de guerre urbaine, semblable à ce qui s'est ébauché au cours des manifestations d'hommage à Adama Traoré, le 13 juin dernier, nous donnent un aperçu de ce qui pourrait arriver.
Aujourd'hui, le pays émerge de décennies de socialisme, de racisme inversé. Rien ne fonctionne, le pays est paralysé par les lois européennes, par les associations "anti", par les médias autorisés, par les magistrats rouges. Il faut changer nos paradigmes.
Statistiques sur l'immigration, on en est plus là...
Ne retenons pas les chiffres des démographes. À cause de l'idéologie des uns et des censures gouvernementales, plus rien n'est fiable. Que l'on apprécie ou non cette immigration, il va falloir faire avec. L'immigration en France, motivée au départ par les besoins des industriels en main-d'oeuvre peu coûteuse, a augmenté à cause du regroupement familial. L'arrivée des épouses a amené en France des religions et des traditions allogènes. Depuis, l'immigration, légale ou illégale, n'a pas faibli. Motivée initialement par la recherche d'un travail, l'immigration est devenue une immigration de gens espérant trouver des conditions de vie plus confortables en France.
Les conditions d'accueil de ces populations allogènes n'ont pas été parfaites, l'attitude de certains nouveaux de ces nouveaux arrivants non plus. Il est un fait que les quartiers où logent les immigrés sont également ceux où l'insécurité est importante. Les populations allogènes occupent majoritairement nos prisons. On peut dire qu'elles posent plus de problèmes de délinquance et de criminalité que les Français de souche.
Ces derniers ont majoritairement accueilli ces étrangers avec défiance. Au fur et à mesure des incidents, la défiance et les préjugés ont fait place à un rejet expérimenté. Le vote Le Pen provient principalement des populations ouvrières ; celles à qui l'on a imposé en premier, et souvent massivement, le voisinage de populations allogènes qui ont plombé l'ambiance. La bourgeoisie a regardé ces problèmes de loin, en se pinçant le nez.
Séparer le bon grain de l'ivraie fera diminuer le préjugé racial ou religieux.
Que leur reproche-t-on à ces étrangers ?
De prendre le pain des Français ? Oui, ils ont été amenés originellement parce qu'ils coûtaient moins cher. Aujourd'hui, le pays est plongé depuis longtemps dans un chômage organisé. Les immigrants s'installent en France pour profiter du système d'assistanat social. Leurs conditions de vie sont clairement plus favorables en France que dans leurs pays d'origine. Le racisme dénoncé est largement compensé par les allocations.
Les étrangers sont également facteurs d'insécurité. C'est un fait. La délinquance est surtout le fait de jeunes africains, le terrorisme djihadiste est majoritairement le fait d'immigrants ou de Français d'origine étrangère. Qu'importe le fait que ce soit le fait d'une minorité, elle pourrit l'ensemble. Il faudrait donc séparer le bon grain de l'ivraie. C'est ce que demandent les braves gens, parmi ces populations allogènes, qui sont les premiers à subir les racailles en bas de leur immeuble, les délinquants dans les classes de leurs enfants, les islamistes radicaux et leurs « impôts »... Les populations immigrées sont les premières à réclamer de l'ordre. C'est l'Etat français qui ne fait pas son travail.
Rétablir l'autorité
Alors, quelle est la solution ? Des lois républicaines mieux appliquées par les magistrats ? On peut toujours rêver. Ces magistrats, comme tout le peuple de gauche, sont convaincus. Ils s'accrocheront aux peines non sanctionnées, ils ne changeront pas. Ils sont persuadés que leur discours politiquement correct les rend supérieur à la plèbe qui exige la peine de mort. La psychologie a étudié cela depuis longtemps, ils sont irrécupérables. Même l'étudiant de Sciences Pô qui s'était fait dépouiller par des racailles colorées dans un bus noctilien à Paris en 2008 n'avait pas entendu « sale blanc ». Il dénonçait une réaction de l'extrême droite et insistait : l'un d'eux avait une couleur de peau « très pâle »...
Laissons les divagations philosophiques. Il faut trouver un vivre-ensemble concret. Nous avons tous besoin de sécurité et de travail.
Pour la sécurité, c'est le travail des forces de l'ordre, seules détentrices de l'autorité et de la violence légitime pour garantir la sécurité de tous. Mais ces forces de l'ordre sont empêchées d'agir par la magistrature du « mur des cons », toujours prête à excuser les pauvres de couleur. La hiérarchie politique n'a plus de courage. Aucun ministre ne « couvre » plus ses hommes, on a entendu M. Castaner prêt à poser un genou au sol. On voit donc des policiers se faire brûler vif sans oser sortir leurs armes, des islamistes à la DGSI... La seule violence que l'on exige des forces de l'ordre est de mutiler des Gilets Jaunes pour sauver le règne de la ploutocratie qui règne sur la France.
Serons-nous donc condamnés à voir des milices escadrons de la mort faire le boulot, ou simplement des « gros bras » locaux remettre de l'ordre dans les quartiers ? Faudra-t-il qu'on en arrive là ? La France, son souvenir tout au moins, mérite mieux.
Finalement, qu'importe la race, la religion, les habitants de ce pays, aujourd'hui appelé France, n'aspirent qu'à travailler et vivre en paix. C'est cela la seule et unique ambition, le reste ne sont que des raisonnements stériles.
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