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Accueil du site > Actualités > Politique > L’aménagement du capitalisme est une trahison ; le capitalisme, il (...)

L’aménagement du capitalisme est une trahison ; le capitalisme, il faut le détruire !

La victoire de Syriza, en Grèce, a été portée par l’espoir d’en finir avec la crise et l’austérité. Mais, à peine au pouvoir, Syriza faisait déjà de la drague à la Troïka (BCE, UE, FMI) et aux instances de l’UE. Syriza disait qu’il pourrait « négocier » avec le triangle institutionnel Européen et sortir la Grèce de la misère. Quelques semaines seulement après la victoire de Syriza, l’espoir des masses Grecques commence déjà à s’effriter. Ces événements font émerger alors une question :

Le capitalisme est-il aménageable ?

Ce sont les masses qui font l’histoire et la révolution intervient quand les conditions objectives et subjectives ont été réunies. Pour faire la révolution dans le cadre de l’impérialisme, il faut alors arracher les masses à la social-démocratie. En effet, la Sociale-Démocratie, en France, a pour objectif de rallier les couches populaires à la politique des multinationales. En France, il y a une contradiction très forte entre la nouvelle Sociale-Démocratie, représentée par le PCF/Front De Gauche, d’un côté, et la vieille Sociale-Démocratie, représenté par le PS de l’autre. Le PS et L’UMP sont alors les deux grands partis du capital et leurs politique est subordonnées à la politique des multinationales. Ils sont de ce fait les partis des multinationales. Il s’ensuit que la nouvelle Sociale-Démocratie qu’est le PCF/FDG voudrait alors prendre la place du PS.

La social-démocratie (la nouvelle ou l’ancienne) a pour perspective le maintien de l’exploitation de la classe ouvrière par la classe capitaliste, et ce qu’elle veut, c’est la conservation des capitaux et de leurs processus d’accroissement. Si elle est en opposition dans le système d’exploitation du capital, c’est qu’elle espère sa réussite politique dans ce même système.

Dans les années 1960-1970, le PCF s’entendait alors avec la SFIO (futur PS) dans un programme commun, qui était alors présenté comme un moyen d’amener la SFIO sur des bases révolutionnaires, mais c’est en réalité le PCF qui s’est social-démocratisé. Cela avait amorcé le chemin vers le révisionnisme.

Le PCF usurpe le nom de communiste, car il n’est plus communiste depuis son processus de mutation dans lequel il abandonnait les principes Marxiste-Léniniste qu’étaient la dictature du prolétariat, l’abandon de la défense de la classe ouvrière, du matérialisme dialectique. Le PCF abandonnait le Marxisme-Léninisme comme étant leur guide idéologique. Le PCF est actuellement l’aile gauche du PS parti des multinationales et on peut d’ailleurs constater cela lors des élections ou dans les communes cogérées par le PCF et le PS.

Le PCF est un parti de type social-démocrate et il est une force d’appoint du capitalisme. C’est-à-dire que son véritable rôle est de faire le lien entre les masses et les partis du capital. De là ils empêchent la construction d’un véritable parti révolutionnaire.

Le PCF a formé idéologiquement ses membres en leurs insufflant une idéologie social-réformiste, tout en donnant l’illusion à ses membres qu’ils sont des révolutionnaires.

Le processus de liquidation du PCF s’était déroulé sur une trentaine d’années. C’est George Marchais qui avait annoncé à la télévision, en 1976, l’abandon de la dictature du prolétariat. Rappelons que, Lénine, disait : « seul est Marxiste celui qui étend la reconnaissance de la lutte des classes à la reconnaissance de la dictature du prolétariat ».

Le Marxisme-Léninisme a pour base le matérialisme dialectique, la force qu’un communiste révolutionnaire détient dans son analyse du mouvement dialectique. L’abandon de l’analyse matérialiste de l’Etat, a renforcé le retour de l’idéalisme dans le mouvement communiste en France et consolidant ainsi leur social-réformisme. La D.D.P (dictature du prolétariat) est la forme d’expression de classe du prolétariat, et en l’abandonnant, on s’exonère d’une analyse juste de l’état bourgeois comme étant l’outil de domination de sa classe. Le PCF entraînait ses membres vers la ligne politique adoptée lors du 20e congrès du PCUS (parti communiste d’union soviétique). Ce congrès avait été initié par Khrouchtchev, où il prônait une voie parlementaire et pacifique au socialisme et dans le cadre d’une entente avec la Social-Démocratie.

Quelles ont été les conséquences de cet abandon ?

Il défendait alors « le peuple » ou « les gens » et il prônait le parlementarisme comme forme principale de lutte, s’exonérant ainsi des luttes extra-parlementaires et prônait la conciabilité des classes Mais c’était aussi l’abandon de la nécessité d’une révolution non pacifique, l’abandon des ouvriers à l’intérieur des entreprises, renforçant ainsi au passage le pourrissement du syndicalisme. Il s’ensuit que le PCF ne défendait plus l’idée de la destruction du mode de production capitaliste, mais de sa modification par addition de changement : le social-réformisme.

Dans certaines organisations, qui se réfèrent au communisme, à l’intérieur du Front de Gauche, subsistent des survivances d’une conception dangereuse pour le prolétariat : la théorie des étapes. Cette théorie affirme qu’il y aurait une étape intermédiaire entre la dictature du Capital et la dictature du prolétariat, dans laquelle il y aurait une alliance avec la social-démocratie. Un état intermédiaire entre l’état capitaliste et l’état Socialiste.

Cette théorie s’appuie objectivement sur les révolutions démocratiques d’Amérique Latine, comme, par exemple, au Venezuela. En effet, la révolution au Venezuela a été une révolution progressiste, mais il s’agit d’une révolution démocratique anti-impérialiste et les conditions objectives et subjectives étaient alors différentes. Il n’est pas possible de transposer ce qui s’est passé dans ces pays dans le cadre d’un pays impérialiste comme la France. De plus, il n’y a que l’Etat Socialiste qui émergera après la révolution socialiste, Etat qui s’éteindra au fur et à mesure que s’éteindront les contradictions classe antagonistes. Surtout, cette trahison était liée à l’abandon de l’analyse matérialiste de l’Etat, d’ailleurs insuffisamment maîtrisée par le PCF dès sa création.

Des organisations extérieures au FDG sont aussi porteuses de cette théorie opportuniste, qui s’articulerait par une étape « patriotique » ou « antilibérale ». Le Parti Communiste de Grèce avait très justement présenté la théorie des étapes comme une théorie dangereuse et irréalisable dans le cadre de l’impérialisme. En réalité, elle est un prétexte qui justifie la collaboration de classe et la trahison. La classe exploiteuse s’engraisse de fric et elle déclenche des guerres dans la perspective d’un repartage du monde, afin d’exploiter de la main d’œuvre bon marché et d’acquérir des matières premières. Sur le plan intérieur, même le minimum vital pour vivre devient difficile d’accès : le logement, les soins, l’éducation, la nourriture, etc.

Autres conséquences de ces abandons.

Dans le mouvement communiste en France, ces abandons qui ont favorisé le révisionnisme ont été démasqués sur le plan géopolitique. Le manque de connaissance du matérialisme dialectique additionné à l’opportunisme-révisionnisme a engendré des défaillances d’analyses graves :

1-Sur l’impérialisme : les contradictions inter-impérialistes démasquent l’opportunisme contemporain. Notamment sur la question de la Chine et la Russie. Ces deux pays défendaient la Syrie, en s’opposant à l’impérialisme des Etats-Unis et des pays de l’EU comme la France. Mais, la Chine et la Russie ne défendaient pas la Syrie sur des bases anti-impérialistes, mais sur les bases de leurs intérêts capitalistes. C’était au Syriens de décider de leur avenir, et même si s’était alors le prolétariat Syriens qui parvenait à être leurs guide. En se positionnant pour la Chine et la Russie, ils se positionnaient donc pour le capitalisme contre le socialisme. 

2-La question de la sortie de l’Union Européenne : Certaines organisations ont adopté une étape nationale pour sortir de l’UE et détachée de la lutte pour le socialisme. En d’autres termes, il faudrait sortir de l’UE sur des bases nationales, et ensuite seulement, on adopterait comme axe central, la lutte pour la révolution et le socialisme. Le PCF et le PGE, eux, défendent l’UE des monopoles et propagent des illusions telles que « l’Europe Sociale ».

Penser sortir de l’UE dans le cadre existant, c’est créer des illusions sur un « altercapitalisme » ou un capitalisme national, ayant le même contenu de classe. D’ailleurs, cela ressemble, étrangement, à la théorie de Proudhon : cette théorie disait qu’il y avait « le bon capitalisme », c’est-à-dire celui à investissement productif, et le « mauvais capitalisme », celui à investissement spéculatif.

La question de la sortie de l’UE doit être liée à la question de la révolution socialiste, la lutte anti-impérialiste, et la lutte contre l’UE des monopoles.

Quelles sont les classes antagonistes ?

Les classes antagonistes sont la classe bourgeoise et le prolétariat en contradiction inconciliable. La négation de l’affirmation doit nécessairement détruire ce qui l’a engendrée, atteignant la négation de la négation, créant une nouvelle société. La construction d’un parti est essentielle, car il sera l’accoucheur.

Il s’ensuit qu’il ne peut pas y avoir d’Etat intermédiaire entre l’Etat capitaliste et l’Etat socialiste. D’ailleurs, même l’état Socialiste disparaîtra quand les contradictions de classes auront totalement disparues, car ce même état deviendra superflu.

Quelle est la réponse du capital face au désespoir ?

En réponse à cette question c’est une mystification de la politique droite/gauche, une alternance du pouvoir PS /UMP. Quand les discours des opportunistes ne font plus recette devant la réalité que vivent des millions de travailleurs, les partis comme les Verts, entre autres, peuvent alors servir de substitut pour détourner l’attention des masses et de la jeunesse des causes réelles de la crise et de la misère.

La classe ouvrière et le prolétariat n’ont pas d’autres choix, s’ils veulent s’extirper des tentacules destructrices du capitalisme : il faut faire la révolution et construire le socialisme.

Le capital sème la confusion dans les masses de par leurs rouleaux compresseurs de la propagande et ont créée dans les masses un phénomène de dépolitisation. Ils veulent enfermer les masses dans le cadre du social-réformisme qui les empêchent de remettre en cause les véritables racines de tous ce mal : le mode de production capitaliste. Le mode de production capitaliste est la base sur laquelle s’élève une superstructure qui en est le reflet. La lutte contre les reflets n’a aucun effet, si on ne s’attaque pas à sa base, c’est-à-dire le mode de production lui -même. Mais ces contradictions pousseront les masses à percevoir tous les mensonges dont ils sont les victimes. La classe ouvrière et le prolétariat s’émanciperont, guidés par leur avant-garde, et agiront sur les rapports de production capitalistes existants.

 

Le mode de production capitaliste n’est pas aménageable et il n’est pas la seule réalité objective possible, c’est-à-dire qu’il n’est pas une nécessité. Mais, pour que les masses s’émancipent, il faut qu’elles soient dotées d’un véritable parti révolutionnaire ayant pour guide idéologique la Marxisme-Léninisme selon les quatre classiques : Marx-Engels-Lénine-Staline.

 

 Jimmy Dalleedoo.


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30 réactions à cet article    


  • Robert GIL Robert GIL 24 mars 2015 08:15

    Prenons une métaphore : supposons un renard qui vient manger la volaille des fermiers locaux de façon récurrente. Ces derniers vont le trouver et lui dire : voila M. le renard, nous ne souhaitons pas que nos volailles disparaissent à cause de votre voracité, alors nous vous proposons de ne manger qu’un pourcentage limité de façon à ce que nous puissions toujours disposer d’une quantité suffisante. Les négociations prennent du temps et pour finir un accord est trouvé. Tout le monde est content. Sauf que notre renard, fidèle à sa nature, va continuer à manger de façon très conséquente ces volailles fort appétissantes et tant pis pour l’accord avec les fermiers qui n’engagent qu’eux-mêmes. Quant à nos fermiers, n’osant pas contrarier le renard, ils sont forcés de laisser faire, et de plus en plus d’entre eux se retrouvent ruinés, car le renard, qui n’est pas le seul parmi ses congénères, aura dévoré toutes leurs volailles.

    La solution n’est pas de passer un accord avec le ou les renards, mais tout simplement de les chasser de façon à ce qu’ils ne viennent plus jamais dévorer les volailles... Lire la suite



    • Séraphin Lampion P-Troll 24 mars 2015 08:44

      @Robert GIL

      Prenons une autre métaphore :

      Des petites souris se félicitaient d’avoir adopté un système d’économie qui distribuait équitablement les ressources. Elles vivaient heureuses et se repaissaient de fromage et de grain jusqu’à ce qu’un chat apparaisse dans l’environnement.

      Du jour au lendemain, la communauté « souris » se trouva décimée et affamée. Le conseil fédéral des petites souris se réunit donc en urgence et délibéra longuement. Puis le secrétaire général apparut à la tribune et déclara :

      « Camarades petites souris ! Après avoir délibéré et écouté tous les avis, nous avons pris la question suivante : nous allons attacher un grelot à la queue du chat. Ainsi, nous serons prévenues du danger immédiatement et pourrons adopter l’attitude qui convient. »

      Longs applaudissements de l’assemblée qui se félicitait d’avoir des responsables aussi avisés.
      Mais au dernier rang, une petite souris leva la main et demanda :

      « Camarade secrétaire, qui va accrocher le grelot au cou du chat ? »

      Le secrétaire se mit à rire et répondit :

      « Mais enfin ! Ça, c’est une question technique ! »

    • lsga lsga 24 mars 2015 15:59

      Pour ceux qui n’ont pas lu l’article jusqu’au bout, l’auteur est UN STALINIEN, C’EST À DIRE UN NATIONALISTE, C’EST À DIRE UN RÉACTIONNAIRE, C’EST À DIRE UN FASCISTE C’EST À DIRE UN ANTI-MARXISTE.

       
      Marx appelle à renverser ceux qui se saisissent du pouvoir juste après la Révolution.
      Marx appelle le prolétariat à prendre le contrôle de l’appareil de production, Lénine puis Staline donnent le contrôle de la production à une petite bureaucratie étatique, c’est à dire à une bourgeoisie d’État. Ils n’abolissent pas les classes sociales : ils les renforcent. 
       
      Les Staliniens sont massivement partis au Front National.
      Ils ont raison : c’est leur juste place.
       
      D’ailleurs, Gastaud, secrétaire national du PRCF, gourou des derniers staliniens, est racistes, anti-sémite, homophobe : franchement, qu’il aille au FN, il y sera accueilli à bras ouvert. 
       
      Les staliniens sont anti-communiste, c’est incroyable qu’ils ne l’aient toujours pas compris. 

    • Rose du Desert 25 mars 2015 06:13

      @Robert GIL
      Cette courte video vaut le coup d’oeil.

      http://www.dailymotion.com/video/x2jabtg_silence-des-medias-le-peuple-canadien-gagne-un-proces-historique-contre-la-banque-du-canada_news

      Meme si on chasse les renards si personne ne le sait ca ne remonte pas le moral des troupes et les actions contre les renards se font sans conviction. Liberons la presse deja...


    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 24 mars 2015 08:51

      À l’auteur :

      L’aménagement du capitalisme est une trahison ; le capitalisme, il faut le détruire !Vous êtes tellement simpliste !


      INTRODUCTION :

      Depuis la fin des Trente Glorieuses, vers 1975, soit depuis 39 ans, nous avons dû nous accommoder du chômage massif.
      Il serait peut-être enfin temps de remettre en question notre paradigme sur le « Plein-Emploi » qui est devenu une sorte d’Arlésienne...
      Sans doute faut-il adopter un nouveau paradigme en la matière qui éradiquerait définitivement le concept même de chômage.

      ¿ Et si la majorité des Français(es) adoptait un paradigme SOCIO-ÉCONOMIQUE réellement innovant et véritablement progressiste ?

      Cependant, au
      Revenu de Base financé par la Fiscalité, sans Refondation du Capitalisme
      on peut préférer le
      Dividende Universel financé par l’Épargne, avec Refondation du Capitalisme

      ​​
      Refondation du Capitalisme & Instauration d’un Dividende Universel financées ​par l’Épargne.

      Lire le lien, SVP :

      Refondation du Capitalisme & Instauration d’un Dividende Universel ​financées ​par l’Épargne.

      http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3...
      « http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/40/47/56/Refondation_du_Capitalisme_et_Dividende_Universel_Sincerite.pdf »

      Refondation du Capitalisme & Instauration d’un Dividende Universel financées ​par l’Épargne.

      RÉSUMÉ :

      Le Parti Capitaliste Français ( PCF ) propose une synthèse socio-économique permettant d’instaurer une authentique compatibilité entre compétitivité et cohésion sociale ; entre compétitivité et solidarité.

      Ce projet de « Refondation du Capitalisme et de création d’un Dividende Universel » se compose d’un Objectif Principal et de deux Objectifs Spécifiques qui découlent de l’objectif principal.

      Objectif Principal :
      Acquisition Citoyenne & Collective du Pouvoir Économique
      Par un effort préalable d’épargne soutenu, les « démunis » (par opposition aux « nantis ») acquerront collectivement des actions du capital des entreprises du secteur marchand, banques incluses.
      Cette participation au capital pourra être minoritaire (minorité de blocage) ou majoritaire.

      Objectifs Spécifiques :
      I)
      Transformer le « capitalisme ordinaire » en un véritable Capitalisme Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.
      Les représentants des « démunis », démocratiquement élus, géreront ce patrimoine financier de manière à infléchir Recherche, Développement, Production & Commercialisation des entreprises contrôlées : Refondation du Capitalisme.
      II)
      Faire bénéficier chaque citoyen, même mineur, d’un Dividende Universel évolutif qui, de facto, éradiquera définitivement le concept même de chômage ainsi que celui de la « lutte des classes ».
      II.1)
      À terme, les profits des entreprises sous contrôle des « démunis » seront partiellement distribués à l’ensemble des « démunis » sous forme de Dividende Universel.
      II.2)
      a) Ceux qui le souhaiteraient pourraient s’arrêter de travailler et se satisfaire du Dividende Universel.
      b) Ceux qui souhaiteraient gagner plus que le seul Dividende Universel pourraient travailler dans l’économie marchande et, éventuellement, y gagner des rémunérations faramineuses sans plus jamais être accusés d’exploiter qui que ce soit.
      II.3)
      Si plus personne ne souhaitait travailler dans l’économie marchande, celle-ci s’effondrerait totalement et, avec elle, le patrimoine accumulé des « démunis » deviendrait stérile et interdirait le bénéfice du Dividende Universel (Auto-régulation automatique : Activité économique / Dividende Universel).
      ​On n’ose imaginer que l’Humanité serait si stupide pour se lancer dans cette dernière voie suicidaire ! ! !​

      L’addendum ci-dessous apporte la preuve, a contrario, de la pertinence du projet ci-dessus.​Addendum :
      À partir de 1989, la Russie aurait pu mettre en œuvre le projet ci-dessus en s’évitant la phase d’épargne incluse dans cette proposition puisque tout le « capital social » des entreprises était depuis longtemps la possession de l’État et, donc, du peuple russe.

      Lire le lien, SVP :
      Pauvre peuple russe : Spolié en 1917 et en 1991 !http://www.sincerites.org/2014/08/p...
      « http://www.sincerites.org/2014/08/pauvre-peuple-russe-spolie-en-1917-et-en-1991.html »

      ​Post-scriptum :​​​​Fondation Capitaliste Virtuelle : Bilan 2001 - 2014http://www.sincerites.org/2015/02/fondation-capitaliste-virtuelle-bilan-2001-2014.html


      • Séraphin Lampion P-Troll 24 mars 2015 09:09

        @Jean-Pierre Llabrés

        Voilà une vision des choses qui montre la différence entre les comptables et les financiers :
        - les comptables croient que la plus-value est une question d’écriture comptable.
        - les financiers savent qu’il n’y a pas de plus-value sans profit et pas de profit sans production de richesses et appropriation exclusive du résultat.

        Les financiers sont cyniques.
        Vous êtes naïf et uniquement comptable

      • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 24 mars 2015 10:57

        @P-Troll

        C’est un immense réconfort de constater qu’on est intégralement lu et parfaitement compris...


      • Captain Marlo Fifi Brind_acier 24 mars 2015 09:41

        Il faudrait d’abord démontrer que le capital géré par des apparatchiks, c’est mieux que par les capitalistes... Aucun exemple ne vient le confirmer.


        Aménager le capitalisme, quelle horreur ! Mieux vaut sans doute le Bangladesh...
        Et que dire de ces pauvres salariés suisses dont le revenu avoisine les 8000 euros mensuels, alors que ces braves cubains doivent se contenter de 10 dollars mensuels...

        L’auteur ferait bien d’atterrir dans les réalités :
        Avant de promettre les lendemains qui chantent, il faut au moins protéger ce qui existe.
        Oui le modèle social français issu du CNR est un modèle de redistribution de la richesse nationale.
        Oui, c’est bien mieux que le Bangladesh. Oui les Français y sont très attachés.
        Et ils ne voient pas pourquoi ils devraient échanger une dictature de la finance contre une dictature d’apparatchiks ?

        C’est justement ce modèle social que l’ Union européenne veut faire disparaître, ce dont vous vous moquez éperdument.Tous les acquis sociaux ont été obtenus dans le cadre national, depuis la création des syndicats, l’école publique, la sécurité sociale, les congés payés et le droit du travail.
        « Historique des acquis sociaux depuis 1803 » Rien n’est venu de l’extérieur.

        Le seul moyen pour échapper à TAFTA et aux plans de destruction de la Troïka, c’est de sortir de l’ UE, de l’euro et de l’ OTAN par l’article 50.

        L’Internationalisme veut décider à la place des autres peuples, alors qu’ils ne sont même pas capables de protéger leur propre peuple. Ils refusent de s’occuper de la France et des français, mais ils ont plein d’idées sur ce qui est bon pour les autres peuples !

        Sans s’en rendre compte, ils traînent des relents de colonialisme.
        Il n’y a que la liberté des peuples à décider d’eux mêmes qui ne soit pas colonialiste.
        Liberté qu’ils n’ont plus depuis l’ Union européenne, puisque toutes les décisions importantes sont prises par la Troïka.


        • SamAgora95 SamAgora95 24 mars 2015 11:12

          Vous confondez le racket en bandes organisées mis en place par nos dirigeants avec le capitalisme qui n’est rien d’autre que la liberté pour chacun de jouir du fruit de son travail.


          Comme tout système le capitalisme a des effets pervers qu’il faut chercher à limiter, mais en contre partie c’est le seul qui permet à une société de progresser, tout autre mode de gestion mènera à la régression !

          Nous ne vivons pas dans un monde dans lequel la richesse viendrait du ciel et dont le seul souci serait de savoir comment partager ce gâteaux tombé des cieux ! NON ! la richesse se crée et surprise désagréable ! l’acte de création n’est pas l’élément moteur, le moteur du système se trouve dans son financement, c’est donc l’investisseur qui tire la machine et non l’ouvrier ! vous pouvez chercher à le nier, à pleurnicher, à trouver cela injuste, mais c’est la réalité et la nature profonde de l’univers dans lequel nous vivons ! des ouvriers sans patron(investisseur) c’est comme une voiture sans essence !

          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 24 mars 2015 19:41

            @SamAgora95
            Certes, mais la répartition est de plus en plus inégale entre les salaires et les revenus du capital.

            C’était l’objectif principal de la création de la zone euro : en finir avec les Etats providence, et avec les syndicats.

            Les 6 syndicats principaux sont regroupés dans la Confédération européenne des syndicats, financée par Bruxelles, autant dire qu’ils ont été neutralisés.

            Le capitalisme sans régulations, ni contre pouvoirs, c’est la Grèce ou le Bangladesh.


          • SamAgora95 SamAgora95 24 mars 2015 21:38

            @Fifi Brind_acier

            Je suis d’accord le système actuel est malsain, car nos politiques qui étaient chargés de réguler le monstre capitaliste ne l’a pas fait et pour cause ! la bête est devenu incontrôlable au point qu’elle arrive à corrompre tout sur son passage y compris les élus ! 

            Il faut mettre fin à l’union Européen qui est un projet d’un capitalisme devenu fou ! le système est entré dans une réaction en chaîne incontrôlable !

            Mais la notion de capitalisme en soit n’est pas le problème, l’humanité doit la dompté pour avancer, elle n’a pas d’autre choix ! il n’existe pas d’autre système, le communisme est un piège un leurre une illusion qui nous maintiendra dans un état primitif pendant des milliers d’années ! L’homme ne sait pas prendre de risques sans récompense ! c’est une réalité, c’est un fait, c’est naturel et normal ! tout autre attitude est hypocrite.

          • soi même 25 mars 2015 13:42

            @SamAgora95 ; la notion de capitalisme en soit n’est pas le problème, l’humanité doit la dompté pour avancer, elle n’a pas d’autre choix ( ) entièrement d’accord avec votre constat, et sortie de l’Europe sans abordé se problème équivaut à la même chose que resté lié à l’UE .....

            Car ce que fifi ce garde de voir, c’est bien la finance qui dirige la politique et je vois mal même en retrouvant notre souveraineté monétaire échapper à sa main mise, pour une raison simple écomonie et politique sont antinomique et quand elles sont liées comme c’est le cas depuis la fin du XIX siècles et bien c’est la finance qui impose ses lois même si en apparence c’est la politique qui dirige ....

            et au cas où l’on retrouve comme l’UPR préconise notre indépendance, et bien il ne faudra pas une décennie pour réalisé que l’on est dans une impasse , car ce que l’on réalise pas si l’on ne voit pas quel sont les liens tissées entre la politique et la finance, et bien l’on a aucume proposition valable pour changer et amélioré et assainir la situation à part venté le sable pour endormir le peuple..


          • César Castique César Castique 24 mars 2015 11:27

            « Le mode de production capitaliste n’est pas aménageable »


            Et le mode de production collectiviste, est ingérable. 

            Si tu veux convaincre le prolétariat trouve donc autre chose qu’une émancipation à la graisse de chevaux de bois - il a eu le temps de le comprendre, prolo, en près de cent ans de mise en oeuvre « faillimentaire » du marxisme-engelsisme*-léninisme-stalinisme -, qui le ferait passer de la domination du patronat, à celle d’apparatchiks, choisis sur la base de l’orthodoxie de leur croyance et de la dévotion de leur pratique idéologique,

            * A propos d’Engels, il nous informe dans « L’anti-Dûhring » qu’au sein de la société nouvelle, le huitième commandement - Tu ne voleras point - sera aboli de facto, ce qui ne peut que signifier qu’il y aura assez de tout pour tout le monde, y compris, forcément, des truffes, des écrans plats de 120 pouces, des monte-escaliers Stannah et des services de table en porcelaine de la Manufacture citoyenne de Sèvres.

            • antyreac 24 mars 2015 11:49

              @l’auteur

              Par quoi voulez vous remplacez le capitalisme ?

              • Le p’tit Charles 24 mars 2015 11:50

                Notre société est basée sur le capitalisme...Pour preuve la « Monnaie » qui sert à toutes les transactions des plus simples (acheter une baguette de pain) au plus complexes sur des milliards de dollars...La détruire équivaudrait à rompre le fragile équilibre de cette société (bien mal en point)... !


                • Séraphin Lampion P-Troll 24 mars 2015 12:40

                  @Le p’tit Charles

                  Rien ne montre dans vos affirmations le lien que vous établissez entre monnaie et capitalisme !
                  Que le capitalisme puisse ou non être remplacé par un autre système économique (étatisation, planification, adaptation de l’offre à la demande, financements publics et non privés...) est une chose, mais ça ne veut pas dire que la monnaie ne peut pas être utilisée par un autre système économique pour les relations d’échanges et d’investissements !

                  Y a un schmilblik dans votre raisonnement !

                • Le p’tit Charles 24 mars 2015 12:57

                  @P-Troll...Bonjour...Pour vous instruire lisez les livres sur l’économie de marché...il y en a des dizaines...Sans monnaie pas d’économie donc pas de capitalisme...Mais quoi à la place..Ne pas oublier que nous sommes 7,2 milliards d’individus sur terre...avec mondialisation et utra libéralisme... !


                • Séraphin Lampion P-Troll 24 mars 2015 13:16

                  @Le p’tit Charles

                  merci de vos conseils, je vais apprendre à lire

                  mais reprenons votre raisonnement :

                  «  Sans monnaie pas d’économie donc pas de capitalisme... »
                  ne signifie pas que détruire le capitalisme c’est détruire la monnaie...

                  je devrais sans doute lire davantage, mais vous pourriez vous former en logique, ça ne serait pas mal non plus.



                • Le p’tit Charles 24 mars 2015 15:36

                  @P-Troll...Bizarre que vous ne vous rendiez pas compte que vous vivez dans cette société... ?


                • lsga lsga 24 mars 2015 15:54

                  Après avoir lu et relu Lénine, je dois admettre qu’en réalité, il est anti-marxiste. 

                  Le marxisme-léninisme n’est pas un marxisme, mais une forme évoluée de Bonapartisme. 
                   
                  L’élément fondateur de la pensée de Marx, ce qui va le distinguer de la pensée de Hegel, c’est précisément qu’il ne faut SURTOUT PAS une élite intellectuelle, un « esprit », chargé de diriger le corps populaire. L’auto-émancipation est le concept fondateur du Marxisme, et il est totalement incompatible avec la pensée de Lénine, qui est un retour à l’hégélianisme, à l’étatisme, à la bureaucratie. Bref, Lénine est réactionnaire, sa pensée est un recul par rapport à elle de Marx
                   
                  Tout n’est pas à jeter chez Lénine, mais je préfère tailler dans le vif : jetons tout. 
                   
                  Tant qu’à présenter Staline comme un révolutionnaire, c’est franchement risible. 
                   
                  Rappelons donc ici que la Dictature du Prolétariat, même chez le jeune Lénine, c’est l’instauration d’une démocratie directe de production, dite « Conseillisme » (en Russe phonétique : sovietisme ).
                   
                  La plupart des anciens staliniens sont partis au Front National, les militants PRCF devraient faire de même. Ils sont des fascistes, leur place est à l’extrême droite, avec les militants fascistes. 
                   
                  ABOLITION DE LA PROPRIÉTÉ PRIVÉE DES MOYENS DE PRODUCTION : C’est la prise de contrôle de l’appareil de production par toute la société, l’instauration d’une hyper démocratie.
                   
                  ABOLITION DE L’ÉTAT : C’est la conséquence immédiate de l’instauration de cette hyper démocratie.
                   
                  ABOLITION DU SALARIAT : c’est le revendication principale des marxistes, elle est première, elle vient chronologiquement en premier. 
                   
                  RÉVOLUTION PERMANENTE  : c’est le mot d’ordre marxiste par excellence. 

                  • Gasty Gasty 24 mars 2015 17:47

                    @lsga

                    .....suffisait de lire « TINTIN au pays des soviets »


                  • lsga lsga 24 mars 2015 16:00

                    Pour rappel, Lénine puis Staline ont appliqué un capitalisme d’État.




                    • soi même 25 mars 2015 14:57

                      @lsga, c’est pour cela que ton hyper capitalisme et tes discours des sœurs des pauvres j’en es rien à foutre grand guignole ....


                    • coinfinger 24 mars 2015 16:20

                      Encore un qui a trouvé le sirop typhon qui guérit tout . Faut supprimer le capitalisme , un mot devenu fourre tout dont on ne sait méme plus ce qu’il veut dire .
                      Faut supprimer la monnaie aussi , comment voulez vous supprimer la capitalisme sans supprimer la monnaie ? Faudrait controler sous les matelas , pour voir si y a rien de caché , en trop !
                      Les emprunts , aussi , les préts , au delà des banques ...
                      Controler si en y’ en a pas font des stocks de confitures excessifs , ou autres
                      Ou peut étre réfléchir un peu plus .


                      • soi même 24 mars 2015 19:24

                        Bien sur, article taillé pour le cerveaux d’Isga, bon et une fois fait grand révolutionnaire devant l’éternel Trotskyste Marx , l’on imove dans quoi, dans l’Avenir Radieux où dans les Douze chaises ?


                        • folamour folamour 24 mars 2015 19:32

                          une vidéo qui pourrais vous intéresser :

                          P. Jovanovic - E. Chouard : La revue de presse (mars 2015)

                          Cordialement,

                          f.


                          • Dwaabala Dwaabala 24 mars 2015 20:27

                            Ben oui, quoi ! Il n’y a qu’à renverser le capitalisme.


                            • ddacoudre ddacoudre 24 mars 2015 21:22

                              bonjour jimmy

                              j’ai bienaimé ton article, car je suis un libéral et un anti capitaliste. le capitalisme ne se socialise pas, m ais je ne suis pas pour la dictature du prolétariat. tu me pardonneras mais l’on ne peut accepter qu’une classe dictatoriale en remplace une autre pour en fait vouloir être riche à la place du riche. j’ai fondé un certain nombre d’espérance sur le FG, non pour gérer la France et sortir le pays de ses difficultés, ceux-même qui l’aurait élu le truciderait 3 mois plus tard car les citoyens sont pratiquement tous capitalistes. par contre j’espère qu’il puisse réunir tous les restes du mur de Berlin pour régénérer un socialisme du XXI siècle et édifier un projet de société où les hommes sont à égalité de participation dans le processus de création de richesse, et que le travail salariés devienne un apport de capital et non qu’il soit tenu comme une charge. mais ce n’est pas seulement l’idéal qu’il faut changer c’est aussi le sens que l’on doit donner à l’existence et la manière dont l’on comptabilise la richesse, j’explique cela dans deux articles et un essai.
                              http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html
                              http://ddacoudre.over-blog.com/2015/02/pour-creer-des-emplois-il-faut-en-suprimer.html
                              http://ddacoudre.over-blog.com/2015/03/essai-de-1999-remunerer-les-hommes-pour-apprendre-7.html
                              cordialement.


                              • ddacoudre ddacoudre 25 mars 2015 09:08

                                bonjour jimmy

                                le capitalisme n’est pas une invention humaine mais le résultat de comportement sociaux économiques développé dans le cadre de la sédentarisation pour produire des biens et services qui découlent de cette concentration humaine. Naturellement les hommes naissent avec des attributs sélectifs pour déterminer le meilleur géniteur et non le plus fort. il n’est fort que pour s’assurer d’être à même de générer une descendance la plus adaptée à survivre. C’est la structure de base que l’on observe dans le développement de toute association de choses. mais cette structure peut être adapté à l’environnement dans lequel se trouve les individus ou les choses, pour retirer de lui de quoi survivre. nous appelons cela le monde culturel, car à chaque naissance il faut l’apprendre à notre descendance, et l’imperfection de cet apprentissage assure l’évolution, sinon nous serions dans le déterminisme le plus absolue.
                                Donc le capitalisme reproduit un schéma de rapport dominants/dominés passé au filtre de la culture du développement humain de la « barbarie » vers « l’humanisme » . l’économie repose donc sur une domination permanente des uns sur les autres et même le communisme n’a pu changer cela, car ceci repose sur la nécessité d’une éducation qui n’est parfaite ni absolue. car nous ne disposons pas des moyen de disposer d’un réel libre arbitre en dehors de l’illusion de celui que l’on entretien pour pouvoir croire que nous sommes les maitres de notre destin parce que nous disposons comme toute choses de la possibilité de faire des choix et influencer ainsi notre environnement avec lequel nous inter agissons.
                                ainsi la sédentarisation à débouché sur une économie de pillage parmi lesquels les plus fort ont installé des sociétés guerrières donnant des caste de dominants et de dominés, les maitres et les serviteurs. depuis lors nous sommes toujours sous ce rapport là, le patron/ l’ouvrier, l’entreprise/ le salarié, et la comptabilisation de cette activité s’appelle l’exploitation de l’homme par l’homme et se fait toujours au bénéfice du maitre qui réalise alors un capital de bien ou de monnaie. c’est le capitalisme. Peut-on changer cela, certainement, mais ce sont nos relations humaines culturelles qu’il faut changer, car nos enfant naitrons toujours avec les attributs sélectifs.
                                ainsi le libéralisme qui si fut une avancé « bourgeoise » aujourd’hui doit être approprié par les peuples, c’est ce que nous ne savons toujours pas faire, et il sert de justification au maintient du capitalisme et entretient une confusion permanente entre l’image passéiste d’une monarchie absolutiste qui n’existe plus et a laquelle l’on apparente l’état qui est la représentation du peuple moderne qui vote dans sa totalité que depuis 1944 et dont les « maitres » d’oligarchies de ploutocraties et autres dominants systémiques opposent à eux mêmes en leur déniant le droit de disposer au non de leur collectivité, soit au nom de l’état, de choix économiques et de capacité de production que ne peuvent pas accomplir des individus dont le seul intérêt est le leur, et qui n’est pas toujours compatible avec celui général.
                                Nous en sommes encore là, c’est dire si nous évoluons lentement, et le peuple dont tu ventes les mérite était ceux qui acceptaient la servitude sous toute les formes de dominations qui ont pu exister y compris la notre aujourd’hui. au risque de te déplaire, le peuple servile de la Grèce antique trouvaient normale leur soumission, celle de la servitude des populations du moyen âge aux lumières aussi et celle des salariés d’aujourd’hui de même. ils justifient tous leur situation de dominés, même si dans notre société l’assesseur social avait permis qu’avec l’usage du capital un serviteur pouvait devenir un maitre comme au temps arriéré ou un serviteur pouvait être émancipé.
                                alors oui il faut virer le capitalisme qui est un comportement d’hommes préhistoriques, pour aller vers une participation culturelle collaborative de tous, mais l’on n’a pas encore trouvé la formule car même dans les économie communiste l’on comptait la richesse suivant un mode individuel fait pour servir le maitre au travers d’un outil comptable qui s’appelle le plan comptable ce lieu ou l’homme devient une charge.
                                Certes il y a une révolution à faire mais c’est celle du Savoir. et le monde dont tu rêves se bâtira tout seul, mais seulement un temps, car rien n’est fait pour durer car tout dépend de notre environnement, et si nous agissons sur lui nous n’en sommes pas les maitre.
                                http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html.
                                http://ddacoudre.over-blog.com/article-le-capitalisme-est-la-marque-de-l-homme-prehistorique-120716748.html
                                http://ddacoudre.over-blog.com/2015/03/essai-de-1999-remunerer-les-hommes-pour-apprendre-7.html.
                                cordialement.

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jimmy dalleedoo

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