L’horreur pour tous : nos politiques ont besoin d’une psychanalyse
Dans la crise djihadiste que nous vivons, le gouvernement se contente d'accompagner le deuil et d'encourager l'oubli. On se demande parfois si certains n'auraient pas mieux fait d'être curé tant, l'excuse et le "pas d'amalgame" prédominent !
Que l'archevêque de Rouen et les catholiques pratiquants songent à la prière et au pardon, en un mot faire le deuil est salutaire ! Que les politiques qui ont en charge notre sécurité soient dans la même démarche est tout simplement une trahison !
On connaît le diction "Dieu pardonne, moi pas ! Le « moi pas » ce doit être nos dirigeants car au nom du pacte républicain nous nous sommes désarmés pour leur laisser le soin d’assurer la sécurité de nos enfants, de nos familles !
La religion socialiste qui doit beaucoup au christianisme imprègne notre vie politique à droite comme à gauche, comme aux extrêmes. Pourtant, il faudra bien faire le sale boulot et éradiquer la menace djihadiste quite à sacrifier un peu d'autosatisfaction nombriliste ! Les mesures à prendre ne sont pourtant pas bien compliquées mais elles vont se heurter au mur des vertueux qui ferment les yeux sur les meurtres commis par des individus mais refusent le droit à la société de se défendre.
Il s'agit d'une part d'éliminer les menaces connues. de fait, elles sont nombreuses puisqu'en France le péril vient d'une frange de la population issue des cités, déjà connue pour sa délinquance et qui a souvent tenté le départ en Syrie ou l’Irak. D'autre part, il s’agit d'encourager fermement les familles de ces assassins à jouer leur rôle ! Depuis 30 ans on irrigue les banlieues à problèmes avec l'argent de la nation, sacrifiant le développement, la recherche et l’enseignement, pour un résultat nul. On y reconstruit, à nos frais, ce qui est détruit par ces enfants gâtés de la République, on déplace les musées dans les cités car la gratuité des transports ne suffit pas à les encourager à s'y rendre.
On mène, de plus, à présent une politique de discrimination positive qui doit leur permettre sans en avoir les capacités d’accéder à des postes dans la fonction publique aujourd'hui, demain dans le privé, le tout au détriment des Sans-Dents méritants !
Bref, on poursuit la politique qui a consisté à récompenser a priori en espérant de la gratitude et de l'adhésion au pays en retour. Les milliards déversés n’ont visiblement servi à rien si ce n’est à entretenir toute une myriade d’associations et à encourager la délinquance.
Cette politique nous a mené à la situation actuelle ! A force de jouer les dames patronesses avec l'immigration, on les a infantilisé voire conduit à nous prouver qu’ils pouvaient agir sans notre condescendante attention. Pas toute l'immigration, c'est vrai, le problème ne se pose jamais avec l'immigration d'origine asiatique ou européenne.
Pour motiver les familles et les imams, l'incitation ne marchant pas, il reste la coercition. L'arrêt de toute subvention allocataire doit être mise en oeuvre pour toutes les familles concernées par le djihadisme et n'ayant rien entrepris pour contrer ces individus. Ceux partis en Syrie, ceux ayant commis des crimes terroristes et une bonne partie des fichés S... Lorsque je parle de famille, je parle des parents, des enfants, des frères et des sœurs. Déjà j’entends nos professionnels de la culpabilisation s’offusquer ! Pourtant on ne risque pas de faire naître un péril djihadiste, il est déjà là. L’autre vertu de cette mesure serait la dissuasion et permettra de délier les langues.
En parallèle, il faut empêcher les individus identifiés comme dangereux de nuire et donc tout simplement les mettre à l’ombre, mais réellement à l’ombre pas dans une prison 5 étoiles, avec TV, salle de sport… S’affranchir de ces luxes, qu’avec la crise une partie croissante des français ne connait même pas, n’a rien de choquant ! ( là les bobos hurlent déjà au Guantanamo à la française )
Il faudrait aussi autoriser l’enregistrement de toutes communications vers la Syrie, l’Irak la Lybie, pour analyse par les services de l’état puis renforcer « la Police de papa », l’enquête de terrain et de voisinage. Songez qu’il y a encore quelques mois, la priorité de la gauche était d’interdire le contrôle au faciès et de permettre le signalement de tout policier via internet !! Si pour chaque djihadiste, un policier doit faire semblant de contrôler 10 grands-mères de la maison de retraite du coin, il va rapidement falloir doubler les effectifs.
Il faudrait également traiter les signaux à bas bruit, nouvelle expression médiatique emprunté à l’électronique. Le signal à bas bruit c’est le changement de comportement qui se remarque peu. Les médias citent à l’envie, la fréquentation de la mosquée, l’arrêt de la consommation d’alcool… bref des signes à tellement bas bruit qu’à moins de généraliser la délation il est impossible de s’en rendre compte. Par contre, il en est un qui se développe dans nos rues, nos transports et dont on ne parle jamais : le port du voile. La prolifération de ce signe extérieur d’appartenance à l’islam voire dans certains cas d’approbation de l’islamisme ( cf le comportement de la mère des djihadistes de Boston ) est une forme de défi à la laïcité de notre pays. Il me semble que l’on remonterait plus facilement à des individus dangereux par ce biais. Aujourd'hui, le voile est un symbole du défi posé à la République. Le porter revient à rappeler la matrice du mal ! Pourquoi ne pas l'interdire dans les lieux publics ? Il est une manifestation visible de la radicalisation.
Bien entendu, au préalable, il faut rétablir l’état de droit dans les banlieues ! Sans ce préalable, toute mesure sera amoindrie. En effet, comment obliger des familles à se conformer aux règles de la République, si leur environnement direct est régi par l’Etat Islamique ?
Le plus simple pour perdre une guerre est de ne pas la faire.
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