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La gauche n’ira pas sur Mars

Novembre 2024 marque la fin de deux rêves de gosses : l'exploration spatiale et la gauche social-démocrate

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La fusée progressiste est en panne et les candidats de gauche ne décollent plus. Quel est l'avenir des gauches ? Photo murat esibatir / pexels

Ce mois-ci nous avons appris que l'humain ne survivra pas à un long séjour dans l'espace. Voir par exemple ces deux articles : << L’espace c’est vraiment mauvais pour la santé ! >> ou <<Voyage dans l'espace : quelles sont les conséquences sur la santé ?>>

Il n'y aura pas de villes dans l'espace ou de base sur Mars. C'est un rêve de gosse qui s'éteint, après des générations d'auteurs de science-fiction qui ont entrainé tout l'occident dans leur sillage.

"On ne savait pas !" peuvent-ils dire. Ils ne sont pas là pour vérifier si c'est possible, mais seulement pour faire rêver.

Et avec la défaite de Kamala Harris c'est un revers insurmontable pour une certaine social-démocratie universelle rêvée par les occidentaux éduqués. Il n'y aura pas de monde sans frontière, de vie sans travail, d'individu libéré de toutes attache familiale.

Eux aussi diront "on ne savait" pas, eux aussi ils nous ont fait rêver

Quel est l'avenir de l'industrie spatiale, et surtout de la gauche française ?

 

Catalogue des causes perdues

Une autre manière de se poser la question c'est de se demander comment la gauche a-t-elle pu se maintenir au pouvoir depuis l'échec du socialisme historique.

Sur la question économique il y a eu une latence mais les choses étaient déjà bien compromises dans les années 1980. En France c'était le "tournant de la rigueur" qui montrait ce qui arrive lorsque la vraie gauche arrive au pouvoir. En peu de mots, la gauche finance son programme de redistribution trop généreux en asphyxiant l'économie. Les Français ont peu à peu reconnu cette réalité et le discours sur les inégalités ne prend plus. Pas plus que la "relance par la consommation".

Sur le plan de l'immigration, un homme a bien résumé la situation en disant en substance que l'immigration n'est pas la cause de tous nos problèmes, mais elle les aggrave tous : redistribution sociale, éducation, sécurité. Le terrain de la défense des clandestins est fermé à la gauche pour longtemps.

Sur le plan de la défense des droits et des libertés, la gauche a également perdu du terrain. Elle se heurte ici aux conséquences de choix d'ordre philosophiques, anthropologiques. Pour résumer : est-ce que l'homme peut se définir lui-même ? Peut-on ajouter de nouveaux droits issus de cette définition changeante ? Peu à peu la démocratie répond : non, elle répond qu'il y a un cadre à l'exercice de la liberté, et des limites au champ d'action de la démocratie.

Et l'environnement ? L'environnement n'est pas de gauche. Toutes les formations politiques ont incorporé cet enjeu. Seules les partis de gauche en ont fait un instrument de combat, qui les amène à maltraiter l'économie, à pratiquer un discours inaudible qui ressemble à de l'écologie punitive. Et à perdre des électeurs.

 

 

Renaitre dans l'opposition

Dans cet article de "Watson", les chercheurs se demandent si la meilleure solution n'est pas que l'extrême droite gagne les élections afin que "la gauche se retrouve autour d’un projet pouvant un jour la ramener au pouvoir".

Élection après élection c'est effectivement l'horizon des gauches dans les pays occidentaux. La première leçon qui émerge est que la question de l'immigration doit être repensée afin de conserver le pouvoir (cas de la gauche au Danemark).

Mais après ? La gauche peut-elle remettre en question la redistribution ? La défense de l'écologie ? Que restera-t-il alors ?

Pour la gauche française il n'y a pas de réponse à cette question. Elle est pour l'instant incapable de faire le premier pas sur la question de l'immigration. Comme la coalition allemande, le NFP explosera rapidement et ouvrira un chemin électoral aux formations de droite.

Mais justement, comment cette "droite décomplexée" parvient à atteindre les préoccupations des électeurs ? Quels sont les ressorts du populisme ?

 

Populisme ou conservatisme ?

Le point important de l'analyse, il ne faut pas confondre populisme et conservatisme. En apparence les deux ont les mêmes obsessions : immigration, identité, morale traditionnelle. Ils ont tendance à faire émerger un dirigeant providentiel qui fait l'objet d'un culte de la personnalité.

Cependant le vrai populiste se démarque par son programme économique. C'est un programme de l'ancien monde social-démocrate, fondé sur l'idée que la justice sociale s'obtient par la redistribution. Le populiste a un projet redistributif. Ce genre de projet peut fonctionner lorsque le dirigeant peut compter sur une rente, par exemple le pétrole, ou la production à bas coût dans d'autres pays.

Chez nous le parti populiste le plus proche du pouvoir est peut-être le RN. Le programme économique et social actuel du RN ne se démarque pas tant que ça d'un programme social-démocrate classique. Il y a un ressort profondément Marxiste, dans son aspect de technique politique pour atteindre le pouvoir et s'y maintenir. Dans cette optique il n'est pas primordial de proposer un projet réaliste. C'est ce qui caractérise le populisme avec son aspect opportuniste.

 

Les ressorts du conservatisme

Par contraste on peut distinguer le trait saillant des programmes conservateurs. Tous ne s'accordent pas sur l'immigration, le genre, ou l'environnement. Il y a tout un dégradé à droite entre un pôle identitaire et un pôle souverainiste. Par contre les conservateurs authentiques ont un socle doctrinal commun qui restreint leurs choix en matière d'économie. C'est d'ailleurs ce qui les maintient aux marges du pouvoir depuis les années 1970.

Ce socle doctrinal en matière d'économie est représenté de manière caricaturale par le programme du président Argentin Javier Milei. Il s'agit d'un programme ouvertement libéral qui postule que la justice sociale ne découle pas du combat politique, mais du combat économique.

Ce programme ne s'oppose pas à toute forme de politique sociale, mais réduit l'intervention de l'État dans l'économie à son strict minimum. C'est une forme de social-libéralisme, qui remet entre les mains de chaque famille le sort des individus.

 

Le soutien populaire

Chose étonnante, la tendance vers un programme social-libéral est une demande de la base, de la masse des électeurs, en particulier des jeunes, qui a bu jusqu'à la lie la potion sociale-démocrate et qui n'en veut plus. Il ne s'agit pas de peur ou de colère, mais de sagesse, de bon sens ou de sens commun.

Les progressistes qui rêvaient d'un autre modèle de société n'ont pas pu transmettre leurs rêves à la nouvelle génération. On peut lire cela par le biais démographique, car leur modèle économique facilite l'autonomie de l'individu par rapport à sa famille, et de fait la destruction de la famille et de la transmission. Les progressistes sont en voie de disparition démographique.

 

L'avenir

Avec ces éléments on peut lire l'avenir de la gauche. C'est un chemin qui bifurque entre LFI et le RN. Chez LFI les révolutionnaires purement marxistes appelés à redevenir des marginaux, violents et sans avenir politique. Ils effraieront les électeurs de la gauche traditionnelle.

Chez le RN viendront se réfugier tous les socialistes repentis qui fuient les insoumis et voudront s'accrocher à leur planche de salut : la justice sociale par la redistribution. Un vrai socle populaire les soutiendra un temps. Nationaliste et Socialiste en même temps (j'ai déjà vu ça quelque part non ?).

La défense des droits et libertés est un point clivant de cette future formation. Il est à parier que le ressort démagogique va jouer et que l'on tentera de proposer ces droits mais en les restreignant aux "nationaux", après un tour de vis sur l'immigration.

Et l'écologie ? Les difficultés économiques liées à la redistribution feront de l'environnement une variable d'ajustement avec une défense de façade.

Et face à ce bloc populiste émerge un front conservateur, économiquement libéral, qui va de Bellamy à Zemmour en passant par Ciotti.

Ce nouveau paysage ne signifie pas la fin de la gauche, mais une redéfinition salutaire, à même de redonner du sens à la politique dans le coeur des électeurs.

 

Conclusion

La fusée progressiste est en panne. Elle ne décollera plus aux États-Unis, faute de carburant électoral. Elle est en train de dévier de sa trajectoire en Allemagne, à coup de concessions sur l'immigration et l'environnement. Elle va bientôt exploser en vol en France.

Faute de pouvoir vivre dans l'espace, l'électeur redescend sur Terre et va devoir choisir entre le populisme et le conservatisme.

Les américains ont résolument tourné le dos au populisme et favorisent une justice sociale fondée sur la famille et la responsabilité plutôt que sur la redistribution. Ils laissent à la Providence une place dans leur vie.


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11 réactions à cet article    


  • Octave Lebel Octave Lebel 13 novembre 13:03

    Des vessies et des lanternes.

    Enfiler des perles occupe visiblement. Je ne sais plus quel personnage de BD disait « il vaut mieux entendre cela que d’avoir la scarlatine » qui mal soignée est effectivement à prendre au sérieux. Heureusement, il s’agit d’une maladie d’enfants (rare chez l’adulte) qui sont le plus souvent immunisés grâce aux anticorps maternels (https://fr.wikipedia.org/wiki/Scarlatine).

     

    "Avec ces éléments on peut lire l’avenir de la gauche. C’est un chemin qui bifurque entre LFI et le RN. Chez LFI les révolutionnaires purement marxistes appelés à redevenir des marginaux, violents et sans avenir politique. Ils effraieront les électeurs de la gauche traditionnelle."

    "Chez le RN viendront se réfugier tous les socialistes repentis qui fuient les insoumis et voudrons s’accrocher à leur planche de salut : la justice sociale par la redistribution. Un vrai socle populaire les soutiendra un temps. Nationaliste et Socialiste en même temps (j’ai déjà vu ça quelque part non ?)."


    • Seth 13 novembre 18:26

      @Octave Lebel

      « Ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine », chanson de Ray Ventura.


    • Octave Lebel Octave Lebel 13 novembre 13:04

        Pour ceux qui doutent de l’escroquerie morale et politique du RN envers ses propres électeurs notamment au Parlement Européen.

       

      https://www.france24.com/fr/europe/20240529-jordan-bardella-et-le-rn-au-parlement-europ%C3%A9en-absent%C3%A9isme-contradictions-et-int%C3%A9r%C3%AAts-des-lobbies

      Contrairement aux séances plénières, pour lesquelles l’absentéisme est synonyme de sanction financière, les séances en commission ne sont pas scrutées par le Parlement européen. Le magazine Complément d’enquête, diffusé le 18 janvier 2024 sur France 2, a constaté que de juillet 2019 à décembre 2023, Jordan Bardella a manqué 70 % des séances de sa commission.

      Par ailleurs, c’est à un véritable festival de tromperies vis-à-vis de ce qui est dit aux électeurs de la famille auquel le RN se livre en permanence. Le RN aidé de ses puissants amis qu’il n’est plus besoin de citer nous dit ce que nous aurions envie d’entendre au gré des coups de leurs projecteurs en nous pensant pour la plupart incapables de prendre du recul, de résister à la propagande et de nous informer correctement avant de faire notre devoir de citoyen. En votant contre ou s’abstenant sur des résolutions portant sur l’écart de salaire homme/femme à réduire. En ayant voté toujours contre le renforcement des moyens de l’agence européenne de garde-frontières et garde-côtes Frontex et en demandant sa suppression pour accueillir finalement comme député européen Fabrice Leggeri son ancien patron en troisième position de sa liste. En s’opposant au Pacte Vert au nom du pouvoir d’achat en votant en 2022 contre le Fonds social pour le climat qui soutient les ménages souhaitant rénover leur logement, accéder à un véhicule électrique ou installer une pompe à chaleur. En apparaissant dans 10 votes en convergences d’intérêts" avec certains lobbies industriels. En s’abstenant lors du vote, en octobre 2022, de la résolution demandant à la Commission d’instaurer une "taxe sur les bénéfices exceptionnels à l’encontre des compagnies d’énergie" afin d’aider "les ménages vulnérables et les Petites et moyennes entreprises (PME), y compris grâce à des plafonds tarifaires", en votant contre l’amendement visant à élargir la taxe sur les superprofits à l’ensemble des secteurs d’activités. En déposant un amendement visant à supprimer la mention reconnaissant les enjeux environnementaux de la politique agricole commune et le principe d’une aide aux territoires défavorisés. En votant  en faveur des pesticides, des grandes installations agro-industrielles, de la pêche industrielle ou contre l’interdiction des emballages jetables à usage unique dans la restauration rapide etc...sans oublier les innovations budgétaires maison où l’argent public dédié aux élus du Parlement Européen se retrouvent dans la caisse du parti. Ce qui est compréhensible vu la forte assiduité et activité observées pour des responsabilités au niveau européen confiées par des électeurs censés n’y voir que du feu.


      • Octave Lebel Octave Lebel 13 novembre 13:04

        Je ne veux pas trop bousculer ceux qui sont en train de perdre leurs illusions devant ces impostures ce qui explique que je n’ai levé le voile que sur les performances européennes de la machine RN. S’il y a des saints Thomas nous pouvons jeter aussi un œil rétrospectif sur ses performances à l’Assemblée Nationale. Ou réexpliquer comment la droite et l’extrême-droite ont tourné le dos aux politiques de la ville à visée transpartisane initiées par Chirac et Borloo afin de venir à bout des ghettos de pauvres et d’immigrés avec les désordres, trafics et violences associées pour faire de l’immigration une rente électoraliste avec les conséquences que l’on sait que bien entendu ils travaillent conjointement à exploiter.

         


        • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 13 novembre 14:26

          Ces gens qui projettent leurs fantasme de ce qu’est la gauche pour se donner raison de ne pas en être. La bonne blague, si on croit à la définition de la droite de ce qu’est la gauche, on a toutes les raisons d’être à droite... C’est à peu près tout le sens de cet article.


          • tashrin 13 novembre 17:30

            Une autre manière de se poser la question c’est de se demander comment la gauche a-t-elle pu se maintenir au pouvoir depuis l’échec du socialisme historique.

            Où ca ? En France, la gauche est morte en 1983. Et pour cause, elle s’est heurtée à un truc chiant : la réalité. A part le volet societal, il ne me semble pas qu’ils aient réellement influé sur le désossage de la sphere publique (voire y ont largement contribué), et aucun n’a remis en question le dogme liberal de l’économie de marché. 

            Et c’est bien leur probleme, c’est de considerer l’ideologie (la leur, evidemment) supérieure à la réalité. Ce qui ne marche souvent pas... Et l’illustration supreme est le delire sur le genre... Rien d’etonnant à ce que les gens fuient, hormis interets categoriels bien compris (les banlieues), les principaux concernés (LGBTQ+), et les bobos des metropoles qui ne souffrent pas des conséquences de leurs votes.


            • tashrin 13 novembre 17:33

              La leçon d’économie du Dr. Adrian Rogers

              Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c’est la classe entière qui a connu l’échec.

              Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n’y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.

              Le professeur dit alors : “OK, donc nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.

              Après le premier contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui eux étaient ravis.

              A l’approche du second contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le premier test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20 ! Personne n’était satisfait.

              Quand arriva le troisième contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre.

              A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n’essaie de réussir.

              Les choses sont aussi simples que ça.

              Petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses :

              “Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu’un individu reçoit sans rien faire pour l’obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres. Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela, mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation. On n’accroît pas les biens en les divisant.”


              • xenozoid xenozoid 13 novembre 18:37

                ça me rapelle le truc de ceux qui viennent de mars mais aussi de vénus


                • amiaplacidus amiaplacidus 14 novembre 05:25

                  Cet article est pessimiste.

                  Maintenant que Trump a été élu, que les républicains ont le contrôle à peu près total de la politique fédérale US, tout va changer.

                  Tout va devenir possible :

                  On pourra aller sur Mars, c’est la moindre des choses, mais aussi plus loin, Jupiter, Saturne, etc.

                  On va démontrer que la Terre est plate, comme on peut s’en assurer chaque jour. Encore que les Suisses et les Himalayens aient des doutes.

                  Les maladies ne seront plus qu’un souvenir.

                  Les pauvres vont pouvoir vivre comme des nababs.

                  Le vin va couler dans des fontaines publiques.

                  Etc, etc, etc.

                   smiley smiley smiley smiley


                  • ETTORE ETTORE 14 novembre 12:34

                    @amiaplacidus
                    N’oubliez pas le plus important de ce cycle de jouvence..
                    Les préservatifs seront gratuits, et, même on viendras vous les mettre  !
                    Cela dans le cadre du plein emploi, développé et démontré dans tout l’arc de sa viabilité socialo/transito/climatique.


                  • ETTORE ETTORE 14 novembre 12:31

                    C’est quand même faire un Graaaand cadeau à cette « gauche », que de la propulser, même dans l’incapacité de se mettre en orbite, si ce n’est , également ,de lui accorder le retrait d’une motivation, qui aurait du, nous projeter dans un avenir de Science Sans Fiction.

                    Cette gauche est un pétard mouillé, qui feras une fois de plus pschiiitt, quand la ficelle ( trop grosse) se seras consumée.

                    Pour le moment, elle tient, on ne sait comment par des pieds bancals, achetés à gauche à droite ( et mêmes aux électrons du centre) histoire de faire paratonnerre pour un coq de basse cour, soumis aux grains .

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