Le déclin de la classe ouvrière française et l’immigration
Le déclin de la classe ouvrière française et l’immigration
Un « génocide » par substitution
De plus en plus de travailleurs étrangers en provenance d’Europe centrale et des pays émergents viennent occuper des emplois en France et cela au détriment des « indigènes ».
Compte tenu des difficulté du Capital à assurer un taux de profit compatible avec son développement , il lui est apparu nécessaire d’accélérer l’importation de la main d’œuvre en provenance principalement des pays francophones du Sud dont un grand capitaliste faisait l’éloge dans les années 80 , à la TV dont la video est disponible en ligne ici http://www.dailymotion.com/video/x6slux_bouygues-et-l-immigration_news#.UPJO3B28-FA.
Le niveau du salaire ouvrier dépend de la loi de l’offre et de la demande. L’intérêt des employeurs est donc de provoquer la concurrence et le chômage. C’est la condition du maintien du taux de profit du capital comme le montre l’économiste bourgeois P.Arthus qui actualise et valide les analyses de Marx ( « Marx is back » Documentation française).
Après les succès politiques et sociaux des grandes manifestations de mai 68, les forces du capital financier sont parties à la reconquête de leurs positions antérieures. En 1973 Giscard d’Estaing met en place le système de l’immigration de peuplement.
La dérégulation
L’offensive réactionnaire - le retour en arrière sur les acquis économiques sociaux et politiques- se poursuivra avec la dérégulation des échanges - hommes et marchandises - dans le cadre juridique de l’UE sanctionnant l’impuissance des politiciens nationaux en les exonérant de leur responsabilité d’élus du peuple faisant les lois en son nom.
Cette dérégulation a provoqué une immigration massive en provenance des pays du Sud et d’Europe centrale et une vague continue de délocalisations des entreprises qui se sont implantées dans les pays à faible expérience des luttes syndicales et à fort taux de chômage où les travailleurs étaient prêts à travailler à bas prix.
En réduisant leur chômage ces pays ont pu désamorcer des menaces de révoltes populaires et contribué du même coup ( c est le bon côté des choses) à la formation de classes ouvrières portant en elles à long terme des espoirs de progrès social et politique.
Mais ces transferts se sont faits sur le dos des travailleurs de France qui sont victimes du chômage ( chômage des travailleurs battus dans la concurrence faite par les nouveaux venus qui, désertent les luttes de classes dans leurs pays, sans traditions syndicales ni de luttes politiques, prêts à accepter n'importe quoi à n importe quel prix.)et jetés en grand nombre à la rue avec leurs familles, vivant de l’assistance et parfois comme des semi clochards .
Le capital financier français et européen est en train d’organiser un véritable Génocide par substitution
L’UE réclame en effet la venue de 50 millions d’immigrés tandis que les politiciens bourgeois exhortent les jeunes français sans emploi sans espoir d’en trouver en France à s’expatrier ( Raffarin, Attali).
On aurait tort de se désintéresser du sort de la classe ouvrière française car à l étude de l’histoire récente il apparaît que le progrès social et les libertés progressent quand elle est forte.
Les grands mouvements sociaux de 1936, son attitude dans la Résistance et à la Libération, sa participation décisive à la contestation du régime gaulliste usé en 1968 en témoignent.
A contrario quand elle est battue sur le terrain de la lutte des classes (que, soit dit en passant 75% des Français voient bien vivante, selon un récent sondage) dans la période 36/39 par exemple, la réaction triomphe, les libertés s’effondrent et le niveau de vie des masses chute lourdement.
C’est pourquoi les forces du libéralisme (actuellement sous la forme du capitalisme financier) voient en elle, l’adversaire à abattre en priorité – les classes moyennes une fois désolidarisées de la classe ouvrière seront à leur tour l’objet des attaques des classes coalisées de la bourgeoisie capitaliste.
Ce mouvement n’est pas irréversible .
Les salariés de France ont massivement rejeté la mise en concurrence infra européenne lors du referendum de 2005 contre la majorité des partis politiques et des media qui ont appelé à voter oui. Et notamment la directive « Bolkenstein » qui a été popularisée sous l’aspect du folklorique « plombier polonais » et qui aggravait les conditions de cette concurrence importée.
Le divorce entre la caste politique et les masses s est révélé au grand jour ainsi que la dictature exercée par cette dernière sur celles-ci à Lisbonne, où ce qui a été jeté par la porte démocratiquement est rentré en force et subrepticement par la fenêtre.
Finalement la soi-disant démocratique UE s’est montrées sous son jour véritable pour ce qu’elle est : une dictature du capital financier et a finalement imposé la constitution Giscard retouchée et la venue en France de centaines de milliers d’Européens à bas coût salarial qui mettent les ouvriers de France au chômage et en difficulté de nombreuses PME françaises.
Un récent sondage révèle que la grande majorité des européens y sont opposés (65% contre selon le dernier sondage), contre la commission européenne organisatrice d’une sorte de génocide par substitution (les jeunes de France sont censés se transformer en nomades sans racines (Rafarin, Attali) et s expatrier à le recherche d’un emploi) qui pour sa part réclame la venue de 50 millions de nouveaux immigrés pour atteindre ses objectifs.
A fortiori les travailleurs de France opposés à la concurrence des salariés de pays européens qui exportent leur chômage, rejettent la concurrence en provenance du Sud qui non seulement prend des emplois peu qualifiés mais rend les conditions de vie sociale et politique plus difficiles : communautarisme incivilités et violences.
Une politique d’immigration de peuplement s est mise en place progressivement qui a fait venir et s installer définitivement des millions d’individus : ouvriers, petits bourgeois, familles, enfants. D’après notre prix Nobel d’économie Maurice Allais, l’immigration du Sud pèse pour 18% sur le chômage. Ces calculs étant dépassés aujourd’hui vu l’ampleur des flux, leur réactualisation montrerait probablement un chiffre très nettement en hausse.
Selon le patronat et le PS pour des raisons peu différentes depuis qu’il a rejoint en82, le libéralisme, l'immigration, est une chance oui certes mais pour le système de l’esclavage salarié.
L’intérêt à long terme des salariés, l’objectif ultime est dans l’abrogation du rapport de dépendance qui le met dans la situation d’un esclave salarié. Pour y parvenir il doivent réaliser d abord l unité de classe ouvrière toutes origines et ethnies confondues, voire exiger la régularisation des travailleurs clandestins. L’unité dans les luttes contrebalance la concurrence pour l’emploi. Historiquement démontré : plus l’unité est large et plus les conditions de salaire et de travail s’améliorent.
La réduction de la concurrence passe par l’opposition des travailleurs nationaux à l'arrivée massive d’étrangers, organisée par le capital pour faire pression sur le salaire ouvrier.
De même que la régularisation des « sans papiers » s’inscrit dans une action destinée à réduire cette même concurrence « déloyale » c est à dire sauvage, participant de la dérégulation qui n est que l’économie livrée aux lois sauvages de la lutte de tous contre tous au mépris des acquis historiques des peuples dans le cadre de leurs nations .
L’intérêt des salariés est de sortir de l’UE, qui veut leur déchéance et de développer les luttes politiques dans le cadre national.
A l’adresse des bonnes âmes promptes à la compassion pleurnicharde sur les « immigrés » notion fourre tout qui confond bourgeois et prolétaires, il est à remarquer que les premières victimes de cette concurrence sont les travailleurs immigrés déjà intégrés dans le système productif et les luttes nationales pour la défense du salaire, des conditions d’embauche et de travail dans l’entreprise. Peu qualifiés ils sont les plus exposés à la concurrence des nouveaux venus.
Ces « idiots utiles » ( Lénine) du capitalisme : la quasi-totalité des partis soi disant progressistes sont de fait du côté des classes capitalistes et tout aussi réactionnaires . Par ailleurs il est remarquable qu’on parle beaucoup de protectionnisme économique dans la sphère dite « progressiste » en éludant la protection des ouvriers, sinon en fustigeant les délocalisations : du vent !
Cette opposition d’intérêts entre capitalistes et travailleurs sur l’immigration est illustrée dans ces prises de position d’un dirigeant communiste célèbre de l’époque ou le PCF défendait des positions de classe. Cf la video suivante : http://www.dailymotion.com/video/x1qmh7_marchais-immigration_fun#.UPzrulI4628
L’isolement politique de la classe ouvrière
A cette situation s ajoute l'isolement politique de la classe ouvrière en raison du déclin annoncé de ses organisations de lutte traditionnelles, notamment CGT et PCF qui se sont ralliés à l’UE. Les « banlieues rouges » administrées avec succès par des communistes ont laissé la place au pouvoir de communautés d’origine étrangère dont une partie est hostile à la présence des Français dits de souche qui les désertent dans un mouvement continu lorsqu’ils en ont les moyens. Les autres mortifiés subissent incivilités, menaces et violences exercées contre eux.
Introduction du communautarisme et balkanisation de la classe ouvrière : diviser les travailleurs en communautés de travailleurs isolés
« Nous avons la population musulmane, en nombres absolus et relatifs, la plus importante de l’UE27 (4,3 millions en 2008), Bulgarie exceptée. Ces musulmans ne sont guère séduits par la sécularisation et y opposent une résistance croissante. Pour l’islam, c’est une question de survie : d’où un resserrement de la transmission, de l’observance en matière de licéité et une stricte endogamie. » M. Tribalat.
Les Français refusent la cohabitation avec des populations analphabètes ( 75% dans un pays sahélien que je ne citerai pas, chiffre du ministère de l’éducation et où on appelle à tuer les homosexuels) sous l'emprise de religieux plus ou moins extrémistes (que penser du vote islamiste des Tunisiens de France ?), de croyances moyenâgeuses, abruties par la misère et porteuses d'un racisme endémique ( cf le sociologue Tarek Yildiz « le racisme anti blanc un déni de réalité ») engendré et entretenu par les politiciens chez eux ( cf l’affaire lucrative et mystificatrice de Gorée) et chez nous ( vote des Tunisiens) dont nos concitoyens subissent la preuve tous les jours dans les cités, les transports et les établissements d'enseignement notamment, avec les violences associées.
La majorité des Français n'ont rien contre les Arabes les musulmans ou les francos africains . Zidane, Sy , et bien d autres plébiscités les Français sont là pour illustrer ce fait. Mais la meilleure des preuves c est qu'ils acceptent, eux en majorité laïcs voire athées, le spectacle grandissant des shows musulmans identitaires provocateurs dans les rues , la multiplication des mosquées , les exigences communautaristes dans les municipalités où ils sont majoritaires, etc .
Cela dit ils supportent de plus en plus difficilement l'invasion migratoire et ses avatars , il n y a pas d autre terme exact, avec ses violences ,son racisme anti français ( sifflets de la Marseillaise par des dizaines de milliers d'Algériens , tabassage des Français -dans un bus aux cris de sale blanc, sale français, video vu par des centaines de milliers d’internautes indignés- , attaque d'un milliers de voyous ( composés de 20% de franco maghrébins et de 80% de francos africains) du 93 en 2005 lors d'une manif de jeunes lycéens contre le CPE, etc etc des centaines de pages d'etc !)l'insécurité dans certaines banlieues colonisées par les caïds orientaux et sub sahéliens , dans les transports, les établissements d' enseignement, etc.
En général le peuple français a toujours intégré sans trop de heurts les vagues migratoires modérées.
La situation a changé depuis que le capital financier a décidé d accroitre la concurrence entre les travailleurs sur leur lieu de travail, dans leur habitat en politique enfin. Il se sert des immigrés du Sud et des autres comme des armes économiques et politiques contre les salariés dits de souche mais aussi contre les derniers arrivés des immigrés soumis à la pression salariale à la baisse des nouveaux venus. C'est pourquoi les travailleurs de France - je n ai pas dit français NB !) sont contre l'immigration de peuplement massive, à 65% environ. Les autres ( UMPS/PG/gauchistes /anarchistes) minoritaires mais pro immigration pro européistes en général , se félicitent de l écrasement de la classe ouvrière ( qu’ il rejettent dans l abstention ou au FN voir Terra Nova think tank PS) toujours soupçonnée de communisme invétéré ou récalcitrante à l’exploitation, traitée de fasciste et constituée par des beaufs . Autrement dit les ouvriers sont des salauds ! terme que l’extrême droite a toujours réservé aux travailleurs en lutte contre le pouvoir bourgeois.
La petite bourgeoisie regarde sans broncher la classe ouvrière souffrir de cette situation, à l abri d emplois protégés de la concurrence, dans les quartiers épargnés par les violences communautaires et le caïdat ; mais les temps changent et à présent elle va voir ses propres enfants affronter à leur tour la venue d'immigrés qualifiés du Sud et d’Europe centrale - médecins, ingénieurs , cadres , enseignants, etc .
Ce fut la stratégie de l’ultra libérale Thatcher au Royaume uni : elle écrasa la classe ouvrière que la petite bourgeoisie laissa à son sort pour subir le même plus tard ! Nous n en sommes qu’aux prémisses mais les commentateurs sont obligés de reconnaître que les classes moyennes sont devenues les victimes de la crise.
Le pouvoir politique qui navigue à vue ne tient qu’en entretenant des illusions, le mensonge la propagande, la peur du changement et la division populaire.
Les politiciens de droite et leurs simagrées destinées à rassurer leurs ouailles, à donner des gages à l extrême droite et à feindre la lutte contre l’immigration à l attention des salariés, sont les fondés de pouvoir du medef .
Le PS quant à lui qui joue les immigrés contre la classe ouvrière française toujours soupçonnée de virer communiste donc d’échapper à son influence, bref tous les européistes promeuvent à leur manière, en fonction des circonstances, l'immigration de peuplement.
Ces Tartuffes feront le cinéma qu’il faut pour convaincre ou calmer leurs électeurs, leurs dupes.
Mais ils ont mangé le morceau quand ils ont hurlé de concert lorsque Guéant a fait semblant de réclamer une réduction de l’immigration en pleine campagne électorale et pour les besoins démagogique de la cause.
A quoi sert cette mise en scène ?
Notamment les expulsions odieuses d'enfants récupérés à la sortie des écoles, la chasse au facies et les interventions policières brutales etc ?
A
-exciter les compassionnels pro immigration et les conforter dans leurs préjugés irrationnels
-complaire aux électeurs de droite et d extrême droite victimes réelles ou supposées de l’immigration de peuplement
Le FN a miné le terrain certes, mais une armée reste-t-elle l'arme au pied sous ce prétexte
Reflets de cette désorganisation de la classe ouvrière , les résultats électoraux montrent un effondrement du vote communiste. C’est le prix payé par le PCF pour son abandon du terrain des luttes de classes. La majorité des ouvriers portent leurs bulletins de vote sur le FN ou se réfugient dans l'abstention. Le reste faisant encore confiance aux imposteurs du PCF ou du PS.
Que faire ?
Les travailleurs n’ont rien à attendre de la gauche libérale y compris FG et P « C » F , PS en tête, dont les ministres développent une politique de rigueur camouflée derrière des concessions sociétales - qui divisent par-dessus le marché - et de répression aggravée contre grévistes et les manifestants. La classe politique autoproclamée élite, imbue de sa-soi disant supériorité intellectuelle (autre imposture) qui est censée légitimer la direction des masses et la dictature politique au service des puissances d’argent, est discréditée au-dedans comme au dehors ( 85% de la population française s’en défie !).
Il faut mettre fin à cette immigration de toute urgence ! rassembler les travailleurs, (tous les travailleurs immigrés et français unis et exiger la régularisation des sans papier qui travaillent) , en attirer la fraction désespérée qui ne voit d 'issue que dans le vote protestataire FN et remobiliser celle qui se réfugie dans l’abstention.
C'est l'objectif prioritaire ! Halte à l'immigration imposée par le capital financier, unité de tous les travailleurs quelle que soit leur origine, halte à la démagogie de l'extrême droite qui aboie mais se garde bien de remettre en cause le système capitaliste de l'esclavage salarié !
Nous somme solidaires de tous les travailleurs avec ou sans papiers mais non point avec les nouvelles bourgeoisies issues de l'immigration (Dati, Yade, Sebagg, etc ) qui roulent pour le capital financier et appellent de leurs voeux toujours plus d'immigrés pour renforcer leur pouvoir communautaire et électoral et satisfaire leur appétit de postes lucratifs dans l’appareil d’état à tous les niveaux de la Commune à l’Elysée !
Avec qui ?
la classe ouvrière fer de lance de la Résistance a besoin d’alliés
La situation créée par l'absence massive de la classe ouvrière sur le terrain des luttes cause un grand préjudice au peuple français. Elle est la seule - en raison de son rôle dans la production et de sa combativité- en mesure de faire barrage à la réaction, au retour en arrière, à l’alignement sur le modèle économique politique et social américain.
Seule la fin de la dérégulation et le retour à une économie maîtrisée la remettra en selle pour le bien de la communauté.
Il faut d'abord mettre fin à son isolement et la rassembler. Lui proposer une protection contre le dumping marchand et les délocalisations. Lui annoncer notre volonté de la protéger de la concurrence extérieure en mettant fin à toutes les sources d’immigrations du Sud comme d’Europe centrale. Cette politique lui redonnera confiance en l’avenir y compris pour le futur de ses enfants.
Aucune lutte internationale coordonnée des travailleurs n a vu le jour dans le cadre européen, l’UE n a pas été conçue pour ça. C’est même le contraire et ce n est pas trahir la solidarité internationale de soutenir que la nation reste l’espace où les travailleurs de France doivent lutter d’abord contre leur bourgeoisie anti nationale.
la classe ouvrière doit faire alliance avec les organisations anti UE bien que, même dans le camp de la contestation à l'ordre établi, la quasi totalité des organisations dites « progressistes » n’ose affronter le FN sur son terrain - y compris l’upr fondé par François Asselineau.
Mais c est la seule organisation constituée en tant que parti qui propose la sortie de l’UE dans un cadre juridique prévu par le traité, et qui s’inspirant du Conseil National de la Résistance, a basé son programme sur un nouveau pacte démocratique destiné à rassembler les citoyens refusant le recul économique social et politique de notre pays. Il est de l’intérêt des travailleurs et de ses diverses organisations de le soutenir, considérant l’application de ce programme comme une avancée démocratique et un pas en avant vers leur libération
En marge de cette prise de parti je voudrais éclairer d’un jour peu habituel la notion de sécurité sociale française et les concepts de communisme et de prise de parti réactionnaire.
A bien considérer cet acquis de la Libération, cette institution à laquelle tous les citoyens sont attachés et qui fait l’envie de nombreux pays qui n’en bénéficient pas , est une institution de protection sociale d’inspiration « communiste ». En effet la devise de la société communiste n’est elle pas : « de chacun selon ses possibilités, à chacun selon ses besoins ! »
Autrement dit je paie une cotisation selon mes revenus mais je suis soigné en fonction des besoins exigés par le traitement médical.
Tout retour sur cet acquis « révolutionnaire » constitue d’évidence une mesure « réactionnaire ». Vers quoi se dirigent les pays de l’UE et sous sa direction. Rien d’étonnant cette opposition des conservateurs américains à l’introduction de cette mesure taxée de communiste , au nom de l anti communisme , du chacun pour soi, de l’individu comme atome indépendant du reste de la société humaine et du refus de la solidarité sociale.
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