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Accueil du site > Actualités > Politique > Le Modem et le Parti démocrate italien (Partito Democratico) : deux (...)

Le Modem et le Parti démocrate italien (Partito Democratico) : deux idéologies différentes

Un tout nouveau parti italien
Alors qu’en France le 22 avril 2007, on votait pour le premier tour de l’élection présidentielle, en Italie se formait une nouvelle force politique désigné sous le nom de Parti démocrate. Quelques jours plus tard, François Bayrou décidait lui aussi de créer un parti démocrate, qui allait prendre par la suite le nom de Mouvement démocrate. Bien que les noms soient similaires, les objectifs et le positionnement de ces nouvelles forces politiques sont différents des deux côté des Alpes. En Italie, le Parti démocrate est né en tant que grande coalition de centre gauche. Il réunit les Démocrates de gauche (les héritiers du Parti communiste italien) et la Marguerite (un parti de centre gauche, chrétien libéral). C’est Romano Prodi qui a été désigné à la présidence du nouveau parti en mai dernier dont le congrès fondateur du Parti est prévu le 16 octobre 2007. La création de ce parti a été encouragée par les dernières victoires électorales* de l’Olivier, qui n’était qu’une fédération de partis politiques italiens de centre et de gauche** représentant entre 30 % et 35 % des suffrages. "Nous voulons aujourd’hui aller plus loin", annonce Piero Fassino le secrétaire général des Démocrates de gauche, d’où la création du Parti démocrate.


Le parti dont rêve Ségolène Royal pour la France

En Italie la gauche s’est donc élargie vers le centre, et pour Piero Fassino il n’y a aucun doute, "les schémas du siècle dernier - la gauche, le centre, la droite - ne tiennent plus. Le monde est devenu bipolaire, indépendamment des systèmes électoraux. Il ne reste que le centre gauche et le centre droit, un point c’est tout. Une gauche sans centre et une droite sans centre ne remportent pas les élections. Pas plus qu’un centre non allié d’ailleurs." Dans l’entre-deux-tours des présidentielles françaises, c’est Ségolène Royal qui clairement s’est positionnée dans le même sens que les démocrates italiens en faisaint des appels du pied à François Bayrou et aux électeurs centristes. Aujourd’hui encore la candidate malheureuse du PS à l’Elysée est à la tête de ceux qui veulent que le Parti socialiste se transforme en un grand parti de centre gauche. Le Mouvement démocrate est pour l’instant sur une toute autre ligne : le centre version ni gauche ni droite, ce qui est "vu avec une certaine réticence en Italie", affirme Venanzio Postiglione, le rédacteur en chef du Corriere della Sera. En effet, le modèle italien est de plus en plus bipolaire avec Berlusconi et ses alliés d’un côté, et Prodi et ses alliés de l’autre. Un centre tel que celui qui est défendu en France par le Modem n’existe pas en Italie. Il existe tout juste quelques centristes comme Pierferdinando Casini qui laisse sceptique le rédacteur en chef du quotidien milanais : "veut-il (Casini) renforcer le centre pour rendre le centre droit plus fort ou veut-il un troisième pôle à la Bayrou ?"
Les grandes coalitions ont le vent en poupe en Europe ces derniers temps. Le Parti démocrate italien et le Modem ont en commun la volonté réelle de faire une politique réformiste qui ne s’obtient qu’à travers un consensus large. C’est une nouvelle façon de faire de la politique, et celle-ci est plus que jamais justifiée par les grandes réformes nécessaires dans chacun des pays européens.

* (aux européennes de 2004, aux régionales de 2005 et aux législatives de 2006)
** (les partis avaient abandonné à la fédération leur pouvoir de décision en matière de politique étrangère, d’institutions et d’Europe)


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18 réactions à cet article    


  • tvargentine.com lerma 11 juillet 2007 12:05

    Vous dites que « Le parti dont rêve Ségolène Royal pour la France.... »

    Alors,elle attend quoi pour quitter le PS et aller se marier avec le MODEM de F BAYROU !

    Elle ne veut que la mort du PS et de ses représentants.

    Elle devrait consulté un psy,car on à l’impression qu’elle cherche plutôt à régler des comptes en détruisant tout au sein du PS.


    • Voltaire Voltaire 11 juillet 2007 13:44

      Votre analyse sur la situation italienne est fort juste. En revanche, je suis plus sceptique à propos des intentions de Mme Royal et de votre analyse sur le MoDem.

      Mme Royal a en effet clairement compris qu’elle ne pouvait gagner sans les voix du centre mais elle n’a jamais envisagé de rompre avec l’aile gauche du PS pour former un nouveau mouvement large social-démocrate. C’est bien cette ambigüité qui nuit au PS et a fait fuir DSK...

      Quant au MoDem, la vision qu’en a F. Bayrou est celle du parti démocrate américain, où en effet le clivage droite-gauche est dépassé au profit de valeurs de base « démocrates » plutôt que liées aux notions économiques libérale ou socialistes. En cela, on peut considérer que le MoDem est une réponse idéologique à un UMP qui s’apparente bien plus au parti républicain américain (ou conservateur britanique) qu’à l’ancien parti gaulliste, tandis que le PS demeure actuellement ancré dans une vision sociologique dépassée.


      • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 11 juillet 2007 15:04

        Je vais vous faire une confidence, mais je vous conjure de ne pas la répéter sur tous les toits, cela pourrait déstabiliser la vision que vous avez du MODEM, après le premier tour des législatives : La position très critique de FB à propos du paquet fiscal de NS qu’il qualifie de profondément injuste est de gauche et non de droite, comme l’est sa position sur les institutions (et je suis bien placé pour le savoir, car comme vous le savez, je n’ai cessé de dire moi-même la même chose, au nom de la justice sociale et de la démocratie)...

        De Plus quand il s’agit de choisir entre la gauche et la droite la très grande majorité des électeurs du MODEM du premier tour des législatives a choisi la gauche.

        Quand à la position de SR sur le Modem, vous n’en savez pas plus que moi pour le moment, sauf que SR est celle, dans le PS, qui est allée le plus loin dans le sens du rapprochement ; et ce fait vous ne pouvez le nier, tout au plus le passer sous silence ou le disqualifier au nom de son intérêt personnel, ce qui loin de décrédibiliser sa démarche en renforce le sérieux, sauf à confondre la politique avec la morale. Ce silence de votre part sur ce point n’est pas un gage de votre lucidité

        Le nouveau parti démocrate italien concerne aussi des forces de la gauche chrétienne-sociale. Il ne dit pas qu’il n’est ni à droite, ni à gauche, mais au centre gauche, comme DSK ou même SR... et de fait le MODEM. Il ne reste en effet dans ce parti que les forces de centre-gauche après le départ du centre-droit vers l’UMP.


      • chiktaba 11 juillet 2007 16:49

        Rapprochement... disons que SR a voulu ratisser au centre tout comme NS. Mais clairement sans se detacher de la gauche dur. Et c est la que le bas blesse...


      • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 11 juillet 2007 17:32

        Qui ça, la gauche dure dans le PS ? Mélanchon, il l’insulte, de même Emmanuelli et consorts ; quant à Fabius...

        SR est la plus attaquée par ceux qui se disent à gauche de la gauche dans le PS. Renseignez-vous ! Elle passe à leurs yeux pour être plus à droite que DSK (et c’est pas peu dire pour eux)...


      • Astidiel 11 juillet 2007 17:42

        La position très critique de FB à propos du paquet fiscal de NS qu’il qualifie de profondément injuste est de gauche et non de droite, comme l’est sa position sur les institutions (et je suis bien placé pour le savoir, car comme vous le savez, je n’ai cessé de dire moi-même la même chose, au nom de la justice sociale et de la démocratie)...

        La position de Bayrou sur les institutions n’est ni spécifique à la gauche, ni à la droite. Il s’agit de valeurs démocrates qui sont au dessus des clivages droite-gauche classiques.

        L’organisation des institutions est un domaine ou le clivage droite-gauche n’a pas lieu d’être. Les institutions doivent encadrer et organiser l’exercice du pouvoir, en aucun cas imposer, suggérer ou proposer une orientation politique. (C’est à mes yeux le problème de l’Europe actuellement)

        Je fais donc la distinction entre « organisation des institutions », ou il n’y a pas de droite ou de gauche mais des démocrates, des républicains, des anarchistes, des royalistes, etc, et « orientation politique » où apparaît des oppositions droite-gauche.

        Personnellement je voit le MoDem comme un parti « Démocrate », qui met donc l’accent sur les institutions (renforcement du parlement, proportionnelle, équilibre des pouvoirs) plutôt que sur tel ou tel orientation politique. A ce dernier niveau le MoDem se place pour l’instant en commentateur : « cette mesure est bien », « celle-ci est injuste ». Je ne pense pas qu’il faille y voir un basculement à gauche ou à droite, mais juste une réflexion sur les différents compromis que nous devrions faire pour améliorer la vie de tous les citoyens (sens de l’intérêt général).


      • chiktaba 11 juillet 2007 20:47

        « Qui ça, la gauche dure dans le PS ? Mélanchon, il l’insulte, de même Emmanuelli et consorts ; quant à Fabius... »

        Euhh, franchement vu de l exterieur du PS... peu importe ce qui compte sont les actes. Elle veut un virage ideologique qu elle impose et fasse ses vues et se debarasse de ceux qui ne sont pas convaincus, alors la elle pourra surement regarde du cote du centre.


      • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 12 juillet 2007 09:07

        Le combat pour une plus grande démocratie de nos institutions et pour une plus grande justice fiscale a toujours été historiquement un combat de gauche. C’est parce que le paquet fiscal de NS avantage les plus riches aux dépens des moins riches qu’il est un programme de droite.

        Combattre ce programme est donc donc bien un combat de la gauche contre la droite, sauf à considérer que tout combat de gauche est non pas de gauche mais seulement démocratique. Ce sur quoi je suis d’accord : nous avons seulement à mon sens deux termes au fond synonymes pour dire la même chose. Notre pseudo-désaccord est donc un simple malentendu verbal : Vous refuser le « mot » gauche alors que vous admettez son sens sous le terme de démocratie et cela me suffit tout à fait !


      • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 12 juillet 2007 09:08

        Vous « refusez », avec mes excuses...


      • ChristianB 19 juillet 2007 11:01

        20% à droite 20% à gauche où est la grande majorité ? smiley Le Mouvement Démocrate n’est pas au centre. Cette façon de vouloir à tout prix conserver ce clivage pour situer les uns ou les autres est complètement dépassée. Les citoyens n’en veulent plus, ils attendent autre chose de la politique. Madame Royal va utiliser l’hémorragie du PS pour se faire sa place. Cependant, cette formation qui n’est pas capable d’évoluer va régresser. Ce qui va les contraindre à faire alliance avec les mouvements dits progressistes.


      • vivelecentre 11 juillet 2007 23:17

        les positions de Bayrou sont surtout des tentatives d’existentialisme !!!

        Parler d’idéologie pour ces partis du centre, un coup centre droite le coup d’après centre gauche me semble un tout petit peu exagéré...

        Parlons plutot de position a géométrie variable, de critique opportune le plus souvent en pleine contradiction , d’alliance de circonstance, de tentative de recomposition, bref essentiellement de la politique politicienne !!


        • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 12 juillet 2007 09:14

          N’étant pas électeur (pour le moment) du Modem, je suis bien placé pour vous dire que l’opportunisme est bien plus du côté de ceux de ses ex-amis qui ont rejoint NS que de côté de FB...La preuve en est qu’il n’ y a que 3 OU 4 députés de Modem, à la chambre des députés.


        • vivelecentre 12 juillet 2007 16:53

          admettons que pour le moment, l’opportunisme n’a pas bien marché chez Bayrou et ses compagnons rescapés

          Quand aux députés ex udf , nouveau centre, il faut avouer qu’ils étaient plutot piégé par le jusqueboutisme de Bayrou

          ont ils fait preuve d’opportunisme ou de réflexe de survie ?

          Il n’y a pas que des « Morins » dans ces 30 députés RESTéS au centre droit et dans la majorité

          Maintenant, ni les uns , ni les autres ne peuvent incarner une idéologie, au contraire, le credo et plutot l’absence de radicalisme et ménager la chèvre et le choux...


          • angel 13 juillet 2007 09:33

            à vivelecentre :

            en parlant de bayrou, d’abord vous dites : « Parlons plutot de position a géométrie variable, de critique opportune le plus souvent en pleine contradiction, d’alliance de circonstance... l’opportunisme n’a pas bien marché chez Bayrou et ses compagnons rescapés »

            puis ensuite : « Quand aux députés ex udf , nouveau centre, il faut avouer qu’ils étaient plutot piégé par le jusqueboutisme de Bayrou »

            il faudrait savoir !! pour vous FB est-il un « opportuniste » ou bien un « jusqueboutiste » ?! vous admettrez que vous êtes en train de vous contredire puique vous utilisez 2 antonymes pour parler de lui...http://agoravox.fr/smileys/mouai.png http://agoravox.fr/smileys/mouai.png


            • vivelecentre 13 juillet 2007 18:30

              je vais vous repondre par une pirouette :

              l’opportunisme de Bayrou , c’etait le creneau de la toujours hypothetique troisieme voie et du rejet de l’umps

              son jusqueboutiste, c’est sa danse de deux avec sego dans l’entre deux tours et son refus de toute composition avec l’ump et Sarkozy, ses ennemis jurés depuis qu’ils l’ont laissé au bord du chemin lors de la creation de l’ump

              c’est ce jusqueboutiste , le « je sais pour qui je ne vais pas voter » qui a été la principale raison( voir pretexte) à l’abandon des deputés de l’actuel nouveau centre

              alors je maintiens ,

              opportunisme dans le ni droite ni gauche qui, il faut bien l’avouer, n’a pas été loin d’atteindre son objectif(raté sans doute en raison du manque de densité de sa propre proposition/programme et la non credibilité de sa capacité de rassemblement jamais demontrée (bien au contraire-sic-))

              Son jusqu’auboutiste dans sa haine anti Sarko/ump qui l’a conduit à son splendide isolement ( ce qui ne lui convient pas si mal d’ailleurs, pour forger son image de recours et de heros...)


              • angel 14 juillet 2007 13:08

                sans vouloir me faire le defenseur de FB (je me considère comme un observateur du monde politique...), je trouve votre pirouette fort agile au niveau de la forme mais pas très précise quand au fond...vous avez évidemment le droit d’avoir votre interprétation des choses mais il est des faits que l’on ne peut réfuter (sauf avec de la mauvaise foi...)

                vous dites :« ses ennemis jurés depuis qu’ils l’ont laissé au bord du chemin lors de la creation de l’ump » mais si vous pouvez retrouver des images ou articles de cet épisode en 2002, vous constaterez que c’est FB qui, déjà à l’époque, a refusé de rejoindre l’UMP (qui, à la demande de chirac, devait être un parti regroupant les forces venant de droite jusqu’au centre) avec son « si nous pensons tous la même chose, nous ne pensons plus rien... » et il a, depuis, toujours continuer à dire la même chose, cherché à se libérer de la droite (même si politiquement ils sont parfois d’accord... tout comme avec le PS). Ne serait-ce pas plutôt faire preuve de déterminisme plutôt que de jusqueboutisme ? Ne serait-ce pas plutôt les députés UDF qui, connaissant les convictions de FB depuis 2002, l’ont quand même soutenu pendant le premier tour de la campagne en reprenant ses arguments, puis d’un seul coup ont changé de cap ? (voir les videos de morin avant et après le premier tour, c’est criant de vérité !!!) Ne serait-ce pas cela l’opportunisme ?

                vous avez parfaitement le droit de ne pas être d’accord avec cette « hypothétique troisieme voie », mais même si cette proposition est évidemment liée à un contexte politique actuel (qui dure quand même depuis plusieurs années..), même si son programme est plutôt léger (là-dessus je vous rejoint) et même si le ni droite-ni gauche n’est pas très clair, vous ne pouvez donc pas le traiter d’opportuniste car son cap depuis 2002 (et peut-être même avant) reste sensiblement le même. Il avait dit pas d’alliance (au niveau nationale), il a tenu sa promesse, quitte à se mettre dans une situation très délicate. je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’il dit et je trouve que parfois il manque de clarté, de précision, d’audace mais il est, SI ON RESTE OBJECTIF, l’un des politiques de premier plan qui ne change pas de discours selon les circonstances et c’est cela ne pas être opportuniste...


              • vivelecentre 15 juillet 2007 08:31

                vous avez globalement raison, il y a tellement de chose qui me derange dans la demarche Bayrou que me cela conduit certainement à être excessif et carricatural

                Toutefois s’il est fidele à son idée d’independance envers l’ump depuis 2002 il a clairement fait evoluer son positionnement et son electorat, d’une partie conservatreice de la droite democrate chretien (cds) à un centre gauche volontairement sur le creneau sociale democrate , proche de la tendance DSK voir Royal du Ps

                Il a en effet lors de la création de l’ump publiquement et fortement marqué son independance -peut etre parce que la place qui lui etait reservé -rappelez vous la main tendue à plusieurs reprises par juppé- n’etait pas à une hauteur qui lui semblait suffisante pour lui mais au niveau d’un douste ou d’un mehaignerie...(sic)

                Effectivement , les deputés Udf ont soutenu Bayrou clairement jusqu’au soir du premier tour et certain avec verve toute particuliere , Morin etant l’exemple le plus symptomatique... Mais ces deputés ont fait tout aussi le choix clair et necessaire entre les deux candidats du second tour ne pouvait que s’eloigner de Bayrou qui a fait le choix« Royal »

                Ceçi se rajoutant à la grande confusion de la quasi non investiture, 1 mois avant pour les legislatives ont conduit des deputés pourtant peut enclin a faire des coups politiques a finalement rester dans la majorité centre droit et laisser Bayrou basculer seul dans le centre gauche, De Courson est ainsi un exemple typique.

                Quand à la these du ni ni, ni droite ni gauche, c’est bien gentil, certain pretendent que les Français majoritairement seraient enclain a bouleverser ce clivage, mais il est illusoire de croire que cela aller disparaitre sur la seul volonté d’un candidat !!

                Les institutions sont ce qu’elles sont, le srutin majoritaire n’a jamais temoigné d’autant de soucis de clarté et de bipolarité exprimés par les français

                Quant aux termes même droite et gauche, ils resultent tout simplement de la place des deputés dans l’emicycle ! Pour en sortir, peut etre faudrait il les empiler ?

                et puis, si il n’y a plus de droite ni de gauche, le centre ne peut exister...... Il me semble que Bayrou s’est toujours revandiqué du centre !!

                Alors Bayrou opportuniste ?

                oui quand il surfe sur le rejet de l’umps, du sego sarko, se presentant lui m^me comme le vote « contestataire republicain » ( souhaitant au passage recuperer les voix du rejet de l’etablishment qui sse portent habituellement sur Le Pen)

                Alors Bayrou jusqueboutiste ?

                Oui quand il se bloque dans sa position dans un but personnel n’hesitant pas à sacrifier tout son entourage et son parti l’udf , sur l’hotel de sa grande ambition

                c’est cela que les trente ont fini par comprendre !!

                Les alliances ? elles existent localement , Juppé aux municipale lors de son retour du canada, le Rhone avec les socialistes et dfans nombre de departement et de municipalité. C’est de la réal politique, contraire à son credo ! au niveau national, il est preferable de l’occulter....

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