Le syndrome Kennedy
Dominique de Villepin vient de faire sa révérence au dominant du jeu politique, en déclarant devant la presse au sortir du tribunal où il venait de témoigner, « qu’il n’y a pas de lien entre l’attentat de Karachi et la campagne de Balladur ». Ségolène Royal, elle, déclare de façon évidente qu’elle « choisira DSK premier ministre si elle est élue » et s’arrangera avec lui pour la réciproque s’il décide de se présenter et emporte la présidence. Aucun des deux donc n’est ce chevalier servant comptant imposer dans son programme, la fin du jeu de quille déloyal instauré par nos actuels dirigeants contre notre démocratie toute entière, jusqu’aux plus basiques pages de la constitution. Il n’y a donc plus que les extrêmes pour menacer de renverser ce désordre établi.
Comme il y a peu de chances de voir ensemble Jean Luc Mélenchon et Marine le Pen gagnant ensemble le deuxième tour, que nous reste-t-il comme option de voir l’homme ou la femme providentiels conquérir l’Élysée. Marine va immanquablement arriver en première place au premier tour, et peut être emporter la présidence en cas de combat avec un troisième larron. Mais en réalité, on peut craindre dans ces conditions, que n’importe lequel des candidats qui osera surpasser le plan prévu par le complot mondialiste, s’il y a, puisse finir assassiné. Car en fait, la seule vraie secousse qui pourrait vraiment faire changer l’ordre des choses et briser notre quotidien, est un assassinat. s’agit-il peut-être de ma part d’un simple accès provisoire de pure paranoïa, seul l’avenir nous le dira.
La surprise vint du fait que cette huitième élection présidentielle sous la Ve République vit seize candidats réunir les 500 parrainages nécessaires, ainsi qu’un taux d’abstention jamais vu pour un premier tour d’élection présidentielle de 28,40 %. Quatre d’entre eux firent un score supérieur à 5 %, deux à 4 %, et deux à 3 %, les 5 derniers totalisant presque 10 %, ce qui frise déjà les 50 %. C’est cette accumulation de petits scores non négligeables qui dégonflèrent les scores des trois principaux, et c’est la fidélité des frontistes qui les firent arriver devant le score du parti socialiste. Ce deuxième tour sans suspense laissa la gauche sur le tapis pour longtemps. Tout porte à croire que la prochaine élection verra autant de candidats à la bataille électorale.
Mais dans dix huit mois, plusieurs d’entre les candidats secondaires pourront même prétendre à la victoire finale sans difficulté. Le premier qui promettra la légalisation du cannabis, par exemple, se verrait immédiatement assuré de trois millions d’électeurs sans peine dans son panier, mais pas sans s’attirer les foudres de partout. Il jouira d’un potentiel nettement supérieur encore s’il développe dans son projet, un véritable réseau facteur d’emplois à la clé. Si un panier par électeur en osier naturel ne suffira pas, la légalisation du chanvre à usage domestique donnera pouvoir de constituer cinq mille autres produits dérivés jusqu’à la carrosserie de voitures automobiles.
Curieusement, d’ailleurs, l’image du dernier président étasunien assassiné est plus proche de celle de notre actuel depuis son élection, et encore plus de celle de l’italien, et qui ne l’est pas pour autant, bien qu’entouré de mafieux. En omettant résolument l’ensemble du gouvernement polonais tué récemment dans la chute de leur avion présidentiel, le dernier en somme à avoir été visé est le Pape. Cela commence à dater et donc légitime ma question, à qui le tour ? Il ne fait plus aucun doute que la menace terroriste sert particulièrement, à imposer un solide cordon de soldats dans chaque escorte de personnage officiel, et justifier un organe de service secret et police privées dont on peut pourtant douter des objectifs réels, mais qui participe surtout à garantir la survie des présidents. Cela me soulage, il n’y a donc pas que moi qui sois paranoïaque.
Certaines de ces affaires comme l’affaire du rer, apparue en l’urgence dans les titres un vendredi soir, et où tout l’Etat major s’est vautré en qualificatifs dépassant le pont Godwin, l’affaire de Tarnac qui dura le temps exact du procès de l’Angolagate et finit en non lieu, semblent révéler toute sortes de grotesques et maladroites diversions et manipulations d’usage. Seulement une diversion, toute efficace qu’elle puisse paraitre dans l’instant, s’effiloche avec le temps et arrive déjà une génération qui ignore les faits et ne s’appuiera pas sur la rumeur au moment de voter. Le non lieu, même annoncé en catimini, va se répandre et contredire l’argument, le rendant périssable. Cette chaine d’évènements mal étayés est désastreuse, d’abord pour la menace de terrorisme qui fond d’autant comme une carte ultra usée, ensuite sur la qualité des outils de communication au service de notre État.
Le futur candidat qui s’appliquera à lutter efficacement contre les médicaments psychotropes qui touchent près de dix millions d’usagers français, et promettra d’en venir à bout, s’assure d’un tampon en millions d’électeurs de plus au tour suivant en cas de réussite politique. Cinq ans pour agir avec le secours des métiers de l’ergothérapie, un budget conséquent, l’assurance que tous se verront auto-rémunérés par un solide réseau de vente dans des officines d’Etat, ainsi que du soutien de tous les autres ministères se chargeant d’assurer de leur coté leur part active pour l’essor de l’emploi, peut suffire à réussir. Mais cela résonne en soi une déclaration de guerre auprès des paranoïaques et particulièrement les grands commandeurs médico-pharmaceutique.
Brandir un tel débat sur le devant de la scène est prendre un risque réel dont déjà ce support virtuel peut en témoigner dans le fil qui va suivre. Mais si le fil voit immédiatement ressortir la paranoïa des commentateurs, il laisse aussi les traces des réponses étayées qui servent parfois à rendre l’article bien solide sur sa base. Le dernier avantage à ce qu’il s’éteigne dès le lendemain ou les jours suivant sa parution, lui assure de ne pas devenir un cafouillage illisible où s’entrecroisent à jamais les démentis de contre vérité formant un noeud impossible à défaire.
Évidemment, un tel programme va à l’encontre de la pharmacie en général et tout le corps médical en chaine, de manière bien définie. En effet, si un vrai vert arrive au pouvoir et restitue l’usage de la nature au service de l’humain, il en va de la restauration de la santé de tous et donc du déficit immanquable pour l’industrie médicale et sa politique largement soutenue par les médias généralistes et par la pub sur tous les autres. Aucun doute que cette institution a largement les moyens d’assassiner quiconque et même plus dirais je sans crainte de me tromper, assassiner toute l’humanité.
Quel que soit le programme soutenu en campagne du prochain gagnant, et particulièrement s’il est un « petit » candidat, ou celui-ci change d’avis dès sa prise de fonction comme l’a apparemment fait NS, et se plie au programme défini par la mondialisation, ou il meurt au combat. Il sera tué, ou par l’acteur du quinquennat précédent, ou par l’organe des services secrets installés et redevables auprès de l’ancien président, ou par l’organe médical et pharmaceutique s’il est paranoïaque. Et si l’on compte avec la soumission reconduite de l’organe médiatique et particulièrement de sa survie souvent assurée par la pub et ses 400,000,000,000 de dollars de chiffre d’affaire...etc, çà en fait des raisons et des moyens d’avoir envie d’assassiner un président rebelle, et une fourchette de responsables possibles. Et encore, j’en omet expressément le « peuple »...
Au fil du temps d’antenne accordé aux « petits » candidats avant le début de campagne officielle, et au gain reconnu dans l’espoir des auditeurs et même des sondages actuels, il apparaît diverses possibilités décelables comme étant nouvelles. Cela confirmera encore une fois la fausseté des sondages, et en cas d’échec contrariant, un assassinat direct et pourquoi pas, en direct. Dominique de Villepin est présidentiable mais la ficelle est trop grosse pour ne pas deviner qui aura conduit la main invisible de l’auteur d’un tel fait. Eva Joly et Jean Luc Mélenchon, que toutes les têtes impliquées ou corrompues ont absolument à redouter tellement leurs résolutions sont contre la mondialisation au rouleau compresseur, tant leurs programmes divers regorgent de menaces envers cette dernière, et tous ceux qui se sont compromis à l’avoir soutenue. s’il y a complot pour le siège suprême, l’assassinat est une carte qu’il ne faut pas négliger.
Vous allez me dire que tout ceci n’est pas d’actualité, et pourtant, écoutez bien les jt, on est déjà entré en campagne présidentielle, à gauche comme à droite.
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