On a trouvé plus dingue que George Bush !
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué et qu’un autre paye ? Mais parce que, par ce chemin, l’on peut passer par les voies les plus biscornues pour aller au but, un peu comme certains taxis dans les agglomérations inconnues pour le passager étranger. L’auto électrique pourrait permettre de se désengager pratiquement complètement de tout réseau de source d’énergies, et de tous ces organes d’assistances à la conduite, et alors que tout est prêt, des arriérés incompétents et rétrogrades, qui en plus, tiennent le volant sans conduire, continuent à s’acharner bêtement sur le tout pétrole.
Ce serait tellement simple de rendre le dos du téléphone portable photovoltaïque et le recharger en le laissant simplement une petite heure devant une fenêtre. Ce serait tellement simple d’en ficher un mètre carré sur le toit des voitures pour activer la climatisation et l’envoyer dans l’espace réduit qui sépare le double vitrage. Un si petit volume à réfrigérer ne nécessite que peu d’énergie pour être efficace pour un coût d’installation nettement inférieur et paye déjà une partie de l’équipement vitrier supplémentaire. Tant de concepts derniers nés seraient si simple à révolutionner le marché du « tout en un seul ». Le moteur électrique automobile actuel pèse jusqu’à cinq fois moins lourd que l’équivalent à explosion, est d’un entretien jusqu’à dix fois moins cher et d’un coût d’utilisation qui se rapproche de zéro euros du km pour zéro émission de CO2 en mode énergie locale.
Tous ces systèmes de sécurité des modèles hauts de gamme actuels sont d’une redoutable efficacité, tout à fait indéniable, mais exigent de multiplier par deux le poids de l’ensemble qui maintenant atteint presque deux tonnes. Evidemment, une bonne partie du confort est simplement dû au poids, ce qui n’est point un gage technologique puisque, même la 2CV était mieux suspendue que les meilleures actuelles. Et, exactement comme le serpent se mord la queue, certains d’entre eux ne sont présents uniquement que pour remédier au poids supplémentaires que le véhicule a dû accumuler avec ces nombreux dispositifs dont je tairai la liste déjà citée dans ce court rappel inclus dans un précédent article : Ces assistances obligatoires au freinage, au grattage, au garage, à l’anti-décollage, et aux différents braquages, celui des roues avant, ou celui de l’ensemble, etc... Plus le véhicule est lourd, plus les pneumatiques doivent être larges et plus il est sensible à l’aquaplaning. Pour diminuer cet effet, il faut approfondir les stries et diminuer la surface de portance ce qui implique d’augmenter encore d’une ou deux tailles au dessus...et ainsi de suite. Le cercle est vicieux et sans fin.
Mais me direz vous, tant qu’on trouve le c..lient qui paye.
Qu’est ce qu’on s’empoisonne avec des tombereaux qui pèsent plus lourd à vide que les anciens pleins à craquer de fumier premier choix et tirés par deux chevaux ? Et malgré la superbe mécanique et la brillante carrosserie, le char d’assaut dernier modèle haut de gamme ne fait plus que quatre vingt centimètres de long quand il a le malheur de se trouver coincé entre deux camions dont le deuxième a freiné un peu trop tard. Je vous épargne les archives photos. Quand les normes des poids lourds vont passer à vingt cinq mètres et soixante tonnes, il faudra encore changer nos normes et alourdir nos voitures particulières d’équipements de sécurité encore plus lourds et toujours plus chers, et entretenir encore plus nos réseaux routiers et autoroutiers, sans compter qu’ils rouleront pour l’occasion au rythme du flux tendu, c’est à dire, peut-être encore plus vite.
La voie dont prend le chemin notre évolution routière est entièrement basée sur les espérances de croissance avec les dents de nos ambitieux gouvernants, mais coûtera très cher à tous ceux qui vont se faire marcher sur les pieds par les géants de verre et d’acier. Cette route si compliquée à côté des rudimentaires véhicules électriques d’une incroyable légèreté et d’une impensable simplicité de fabrication et d’usage à niveau de sécurité équivalent, cette route si compliquée tracée par nos décideurs conseilleurs, mais pas payeurs, va passer désormais par l’Iran. En effet, le programme de cette évolution qui, comme une autoroute tracée entre l’ancien numéro un mondial et le nouveau prochain, entre les US et la Chine, doit immanquablement passer à travers tout le continent quitte à aller encore pilonner de nuit un nouveau pays autonome, et quitte à user encore de stratagèmes nauséabonds et de mensonges grossiers pour contraindre l’opinion publique mondiale à l’accepter.
L’innommable George Bush père nous a gâché les années 90 avec sa putain de guerre du pétrole qui dure encore, et cela, juste après l’excellente nouvelle cette bouffée d’air pur et de détente pour les esprits que fut l’ouverture du mur de Berlin le 4 novembre 1989. Et à peine cet abruti disparaît du plateau, un autre imbécile reprend déjà le même flambeau, après juste deux ans d’espoir transatlantiste et d’air politiquement moins vicié. A mon avis, si on les laisse faire, c’est bientôt le retour à l’inquisition. Mais qui sont ces bêtes à manger du foin qui tiennent le volant de notre vaisseau commun, et savent-ils vraiment conduire ou sommes nous télécommandés de Washington ? On peut vraiment se poser la question. Si Internet n’existait pas il y a vingt ans dans nos chaumières et tant qu’il n’est pas complètement « hadopifié » par nos dirigeants, c’est le moment de leur dire ce qu’on pense à tous ces idiots d’inutilité publique.
Et toutes mes excuses si j’ai été de très mauvaise hummmeur, mais plus con que lui tu meurs.
de quoi mettre de plus mauvaise hummmeur encore
A quoi servent trois cent chevaux si y a qu’un âne au volant
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