Révolution à la Bastille
Les leurres d'appels lancés par les médias au bord du chemin de notre paf quotidien ne sont des os jetés aux chiens, que la caravane royale puisse passer tranquille. Les histoires de cul des dominants, bien qu'alléchantes et sordides, ne sont que l'arbre qui cache une forêt bien plus dense en affaires. Elles seront vite oubliées et ne mèneront à aucune suite, ni aucune condamnation. Elle n'apparaissent dans nos médias que pour nous occuper un moment avec accord tacite des autorités. Le but est d'occuper le terrain, le temps que la révolte née chez les peuples du sud ne fane.
Pendant que nous focalisons sur ces salopards de socialistes pédophiles et violeurs, comme le souhaitent ceux qui tiennent la barre de notre vaisseau national, nous perdons de vue que celui-ci prend de la gite de tous bords face à la tempête. Les manipulations aléatoires de nos gouvernants et les débats honteux qu'ils ont affiché sur nos écrans ( la burka, l'identité nationale, les phrases de Besson, Guéant et Hortefeux. ), dont nous avons débattu tous les jours jusqu'à nous diviser, avaient simplement pour but de nous jeter dans les extrêmes. Nous sommes beaucoup, accrochés aux bastingages pour aller vomir, et déstabilisant d'autant l'embarcation commune. A ce rythme, la tempête est partie pour durer cinq ans de plus... Bien que le extrêmes politiques, JLM et MLP n'ont aucune chance de finir au premier rang, aucun des deux futurs candidats au podium, l'Ump et le Ps dès la blanchissement de dsk, ne changeront de cap politique et nous condamnent à écoper à jamais.
Cet aperçu des années trente en dit long sur ce qui nous attend en matière de pompage : « L'empire britannique lui-même, désormais plus que jamais aux commandes de la politique mondiale, en se concentrant sur l'éradication permanente des États-nations souverains, consistant à pousser les pays dans des conflits autodestructeurs les uns contre les autres. Les services secrets commencèrent immédiatement à semer les graines d'une autre grande guerre, afin d'éliminer les nations et préparer le terrain pour un gouvernement mondial. Les programmes sociaux furent éliminés, les industries, privatisées, et de furieuses campagnes de spéculations s'abattirent, la banque centrale imprima désespérément des montagnes de billets, dans le vain espoir de rembourser l'impayable dette débouchant sur la crise hyper-inflationniste. Aujourd'hui encore, la manipulation des tensions religieuses et ethniques sont organisées, juste pour créer des conflits régionaux. Les mêmes banques et cartels qui avaient manipulé les conflits, se positionnèrent en vue d'actions semblables pour ruiner les positions déjà affaiblies. La banque JP Morgan, située au 23 Wall street, branche américaine d'une banque britannique, fonctionnait comme un cheval de Troie dans la finance américaine depuis bien longtemps. Dans les années 20, la maison des Morgan agissait plus comme un cartel que comme une banque, sans rôle public et avec un conseil d'administration en lien avec des milliers de compagnies, d'industries, et d'établissement publics américains. La main des Morgan était reconnue comme monarchique au pays de la finance américaine, seulement inféodée à l'empire britannique pour lequel elle agissait. C'est ce vaste réseau financier qui allait prendre le contrôle des partis politiques, installer une série de présidents au service de Londres et Wall street, et qui allait conseiller le démantèlement du Système américain. Un chômage massif se développa à cause de l'effondrement de tout le tissu industriel et agricole, tandis que s'installait un désespoir profond et le chaos social, c'était un terrible cauchemar. Ce fut une époque extrêmement dangereuse, les intérêts Morgan tentèrent d'installer un gouvernement fasciste en France, autour de Pierre Laval. La révolution espagnole éclata et le régime fasciste de Franco fut mis en place, Hitler était au pouvoir, Mussolini était au pouvoir, et des banquier de Wall street soutenaient cela, y compris Prescott Bush, le grand père de GW du même nom, qui agissait avec des fonds destinés à financer Hitler. Des millions de dollars furent injectés dans le parti nazi et l'un d'eux mit le feu au Reichstag. Les nazis accusèrent le parti communistes et utilisèrent la peur suscitée par l'événement pour instaurer des lois liberticides fomentées par Hitler qui avait les pleins pouvoirs. Le krach économique aux États unis s'était transformé en une gigantesque famine, banqueroutes, saisies immobilières, et le chômage culminait à 25 %. Mais les gens n'étaient pas en mesure de prêter attention aux grondements menaçants qui provenaient de l'étranger. Pourtant, la participation aux élections qui suivirent fut sans précédent. Les électeurs espéraient trouver un leader qui, contre toute attente, les sortiraient du désespoir et ramènerait la prospérité sur le pays.
Souquez ferme matelots, les pirates sont toujours aux commandes !
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