Sauf surprise, Nicolas Sarkozy devrait briguer un second mandat présidentiel cette année. Les Français sont pourtant très critiques sur le bilan de son quinquennat, selon un sondage exclusif Opinion Way pour Terra Nova, en partenariat avec Le nouvel Observateur, dans le cadre de la publication des bilans du gouvernement sur Debats2012.fr. Près de 70 % des personnes interrogées jugent négative l’action du chef de l’Etat depuis cinq ans. Retrouvez ci-dessous l’analyse détaillée de ce sondage par François Bazin, rédacteur en chef du service politique du nouvel Observateur, publiée dans l’hebdomadaire le 5 janvier 2011.
L’équation de la présidentielle, cru 2012, est sans doute plus simple qu’on ne veut bien le dire. Cela tient d’abord au contexte. La crise était encore l’année dernière essentiellement financière et internationale. Elle prend désormais un tour à la fois national et social. Montée du chomage, pression sur le pouvoir d’achat, avec, en toile de fond, la dette qui renforce la menace des agences de notation. Pour la première fois depuis plus de quinze ans – depuis 1995, en l’occurrence –, une compétition présidentielle va se jouer à l’écart des thématiques sécuritaires qui firent le miel de Jacques Chirac, en 2002, et de Nicolas Sarkozy, en 2007. Autre innovation et pas la moindre : jamais depuis 1981, un président sortant n’avait essayé de se faire réélire, hors phase préalable de cohabitation. L’effet quinquennat joue désormais à plein et l’hyperprésident supporte donc seul tout le poids de son bilan. Quand François Hollande entonne à tout-va que "le changement, c’est maintenant", il prend acte de cette nouvelle donne. Et quand Nicolas Sarkozy raconte à ses proches que sa seule chance de s’en sortir est "de rompre avec lui-même" en devenant de plus en plus président au moment où tous ses concurrents enfilent l’habit de candidat, c’est également cet écueil qu’il tente de contourner.
Jugement sévère y compris à droite
Est-ce jouable ? Le sondage OpinionWay réalisé pour "le Nouvel Observateur" et Terra Nova montre l’extraordinaire difficulté de cet exercice de transformisme. Car la personne de Nicolas Sarkozy n’est pas seule à être aujourd’hui rejetée par une large majorité des Français. La très légère embellie de la fin 2011 ne doit pas cacher l’essentiel. Dans l’exercice de comparaison qui va être celui de la vraie campagne présidentielle – celle qui a commencé début janvier – le bilan du président est le boulet du candidat. Le "capitaine courage", que prétend être Nicolas Sarkozy, ne peut convaincre que si la crise n’a pas tout emporté. C’est au fond le curieux paradoxe de la ligne de campagne du maître de l’Elysée. Pour montrer son sang-froid, il a besoin d’une tempête alors que, pour regagner la confiance, il faudrait qu’elle se calme. Là encore la question du bilan intervient comme la preuve des capacités supposées de Nicolas Sarkozy.
Or, pour 70% des Français, ledit bilan reste globalement négatif (voir tableau 1). 33% l’estiment même "très négatif". Ce jugement sévère, après cinq ans d’exercice du pouvoir, est partagé par toutes les familles d’électeurs, hormis ceux de la droite qui malgré tout sont un quart à se démarquer de leur supposé champion. Jamais un président en exercice n’avait abordé une présidentielle dans une situation aussi défavorable. Il y a d’ailleurs une logique entre la perception de son bilan et l’ampleur de sa défaite annoncée par les sondages d’intention de vote pour le second tour de la présidentielle. Si Nicolas Sarkozy rassemble, c’est d’abord contre lui.
Un lien brisé avec les Français
La faute à la crise ? C’est l’antienne de l’Elysée. Elle ne convainc pas les Français. Face aux difficultés de l’heure, ces derniers font au président sortant un procès en insincérité. 73% estiment qu’il n’a pas été fidèle à ses promesses de campagne et, parmi eux, 57% pensent qu’il n’avait d’ailleurs pas l’intention de les tenir (voir tableau 3).
Ce chiffre-là est à coup sûr le plus inquiétant pour lui. Il l’enferme dans un double piège. Dès lors que sa parole est à ce point dévaluée, il ne peut assumer ni ce qu’il a été ni ce qu’il voudrait être. L’argument de la crise, en tout cas, ne suffit pas. Là encore, seule la droite veut bien y croire encore. Ce qui explique – mince consolation ! – qu’au premier tour de la présidentielle, selon tous les sondages d’intention de vote, le président sortant parvienne à surnager face à la menace lepéniste. Pour le reste, le lien s’est brisé entre l’Elysée et les Français. Gardien de l’essentiel, selon la formule du général de Gaulle, le président est aussi le garant du bon fonctionnement de la démocratie.
Sur ce terrain-là aussi, la dévaluation de la parole sarkozyste atteint la fonction : pour 49% des Français, la démocratie n’a cessé de s’affaiblir depuis bientôt cinq ans (voir tableau 2). Un peu comme si l’hyperprésidence était perçue comme une concentration néfaste du pouvoir et non comme la marque d’une responsabilité assumée après les longs règnes – Sarkozy dixit – de ces "rois fainéants" nommés Mitterrand et surtout Chirac.
Le style, c’est l’homme. Pour caractériser l’action présidentielle, depuis 2007, les Français choisissent un mot qui vaut à la fois pour Nicolas Sarkozy et pour la politique qu’il mène. "Dure" pour 42%, celle-ci n’est "juste" que pour 10%. "Libérale" pour 29%, elle n’est "protectrice" que pour 8% (voir tableau 4).
Le sarkozysme présidentiel n’incarne pas une ligne politique mais une manière d’agir. L’insincérité dont il est crédité rejoint en ce sens l’indétermination qu’on lui prête. Qu’est-ce que le sarkozysme, au final, sinon une manière compacte et rude, très peu rassembleuse et trop peu efficace, de conduire les affaires de la France ? Si le président sortant doit être battu, au printemps prochain, c’est sur la base d’un bilan dont on voit bien qu’il le concerne au premier chef, tant il est impossible de faire la distinction entre ce qu’il est et ce qu’il a voulu. Nicolas Sarkozy – on le vérifie dans toutes les questions posées par OpinionWay – conserve le soutien de ce qui reste de la droite. Mais, dès qu’on interroge les Français sur son action, rejaillissent des perceptions qui tiennent aussi à la personnalité du candidat. A l’évidence, en politique comme dans la vie, c’est toujours la première impression qui est la bonne et, en tout cas, la plus durable. A l’heure du jugement, l’entame du quinquennat, symbolisée par la fête du Fouquet’s et sa brochette de puissants, continue de peser lourd, dans l’esprit de l’opinion, même quand elle est confrontée à la perspective d’un nouveau mandat.
La nature du sarkozysme, du même coup, est d’être perçue comme "dure" avant de s’inscrire dans les catégories habituelles de la gauche et de la droite. Sur ce plan-là, il y a chez les Français une forme de trouble qui dit sans doute la manière dont le président sortant peut échapper, dans la campagne, à la seule logique du bilan et donc de la défaite assurée. Quand on demande aux personnes interrogées par OpinionWay de classer Nicolas Sarkozy sur un axe gauche-droite, on s’aperçoit que la perception de son positionnement est moins nette aujourd’hui qu’en 2007 (voir tableau 5).
Dans le souvenir des Français, c’est un homme de la droite – du cœur de la droite classique – qui est entré il y a cinq ans à l’Elysée. Celui qui remet aujourd’hui son mandat en jeu est jugé à la fois plus droitier, plus proche de la droite extrême et à la fois plus complexe, notamment pour les électeurs du MoDem ou du FN qui estiment qu’il s’est même gauchisé. A droite, on note, dans le même registre, un léger recentrage présidentiel. Ces mouvements browniens ne modifient qu’à la marge le positionnement supposé du chef de l’Etat. Mais, sans doute est-ce dans cette perception d’une inclassabilité potentielle que se trouve pour Sarkozy la voie étroite du salut.
Un président paradoxal, dur et trop peu cru
Le palais de l’Elysée, avec les moyens qu’il offre et surtout le statut qu’il confère, reste le dernier bien d’un roi dont les Français voient qu’il est nu mais qui n’en demeure pas moins le souverain en titre. Tel était d’ailleurs le vrai sens de l’allocution présidentielle, au soir du 31 décembre. Le vœu le plus cher de Nicolas Sarkozy est de rester en place et, pour cela, le moyen le plus simple est encore d’abandonner le plus tard possible son fauteuil. Encore un moment... C’est dans la perception, thème par thème, de l’action présidentielle, depuis 2007, qu’on mesure la réalité d’un pôle sinon d’excellence, du moins de compétitivité, dont Nicolas Sarkozy aura le monopole d’ici au 6 mai 2012. Action lors du G20, action face à la crise européenne, place de la France dans le monde : ce sont les trois domaines où il continue à recueillir l’assentiment majoritaire. C’est sur le régalien, marque de fabrique de tout président, que survit le sarkozysme. La "dureté" prêtée par les Français à Nicolas Sarkozy peut trouver sur ce terrain – et sur lui seul – une application jugée positive dès lors qu’elle flatte la fierté nationale. Quel autre choix possible, au demeurant, puisque c’est dans la lutte contre les inégalités et le chômage ainsi que dans la défense du pouvoir d’achat qu’il est jugé le moins performant (voir tableau 6).
La question de la crise n’est pas seulement en surplomb de la présidentielle. Elle irrigue l’ensemble du débat. Cela vaut pour tous les candidats. Notamment pour François Hollande qui appelle d’autant plus fortement au "changement" que celui-ci ne peut être que mince. Mais elle s’impose surtout à Nicolas Sarkozy comme le thème incontournable du combat le plus risqué de sa longue carrière. Président dans la crise ou président de crise ? L’un subit, l’autre agit. L’un poursuit, l’autre rompt. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre qu’à l’Elysée c’est le Sarkozy nouveau dont on taille, vaille que vaille, les habits neufs. Au-delà du contexte qui s’impose à tous, il y a quand même un certain fatalisme, de la part d’un président sortant, à se laisser ainsi déporter sur le terrain certes valorisant mais, ô combien, complexe de l’action internationale ou même européenne. Mais la conjoncture est telle qu’elle impose ce double registre puisque ses solutions sont souvent extérieures et ses effets essentiellement internes. Nicolas Sarkozy est un président paradoxal : dur et trop peu cru à la fois. C’est du même coup un candidat en grand danger : sans marge aucune alors même que l’action est son ultime viatique. S’il gagne, c’est qu’il est fort, très fort !
le think tank du PS qui écrit « S’il gagne, c’est qu’il est fort, très fort ! »
chez Terra Nova, on a affaire à de fameux cons : c’est le même individu qui nous avait promis des usines maréemotrices en Méditerranée... tant que le PS ne le virera pas, il sera plombé par ce genre de propos idiot.
des décrypteurs ou des « enfonceurs de portes ouvertes »
Le CV dit : « Terra Nova est un think tank progressiste indépendant » dont le président est parachuté par le PS dans une de ses circonscriptions. Indépendant ? Vous avez dit indépendant ?
« Sauf surprise, Nicolas Sarkozy devrait briguer un second mandat présidentiel cette année. »
Ce qui me surprendrait, c’est qu’il se représente.
Notez que je préfèrerai qu’il se représente, le rejet de sa personne est un sentiment majoritaire, traversant les partis et les catégories sociales et je préfère ne pas courir le risque qu’un Villepin, arrivant du diable vauvert coiffe tout le monde sur le poteau.
Sa défaite est acquise. Tout le monde le sait et même lui, finira par l’admettre, il n’est pas si borné.. Ah ? Vous croyez que Si, il l’est ?
Je pense qu’il va se défiler, laissant un champ de ruine et de fumier (la droite ultra) sur lequel le coq Copé, tentera de chanter.. victoire pendant que X Bertrand lui lancera des boules puantes explosives.
Les gesticulations de Sarkozy et de sa fine équipe, sur la TVA sociale, la Taxe Tobin, et tout le tintouin, serviront à justifier son renoncement ou sa défaite, s’il aime l’humiliation. Il est peut-être maso, en plus du reste.
Je cite des phrases de son discours d’adieu, s’il en fait un ou du nouvel argumentaire de la droite pour les 5 prochaines années. « J’ai été élu pour faire des réformes indispensables. Je les ai faites ! C’est cette politique courageuse que j’ai personnellement moi-même décidé et mené à bien, pour que la France reste dans le peloton de tête des nations mondiales. Les français ont décidé que j’avais terminé ma tâche et rempli mes promesses et que d’autres devaient en récolter les fruits... Je reviendrai.. »
« Ce qui me surprendrait, c’est qu’il se représente. »
Vous faites erreur , il est trop prétentieux et imbus de sa personne , il pense être le messie , le sauveur et puis il faut qu’il finisse son travail, le capitaine à la barre etc .....
Toutes conneries d’enfumages.
Mais si il ne se représentait qui pourrait faire le forcing à droite en 100 jours , personne ne bouge et ceux qui essayent se font descendre et baisse la culotte DONC c’est sur sur le nain va vouloir en remettre une couche et là faudra pas le raté ce con , pas de deuxième tour , non on ne va pas en finale on sort par la petite porte sous les huées .....
Bien sur qu’il va se représenter, la démesure de son ego le
pousse à cette évidence. Attention le grand spectacle va commencer, attachez vos
ceintures car il va tous promettre sans aucun scrupule, aucune retenue et aucune
pudeur. Il a compris qu’il faut dire ce que le peuple veut entendre et pour ça,
c’est un expert. Diplômé de l’université du mépris, docteur es baratin avec
mention spéciale pour le mensonge et l’auto satisfaction. Résultat des courses,
il fera minimum 20% au premier tout car les trépanés de la télévision
en redemande … Hélas !
Sans compter que, s’il ne se représente pas ou qu’il perd les élections, un car de police l’attendra à la sortie de l’Elysée pour l’emmener dans le cabinet d’un juge d’instruction (ou plusieurs...). Ca doit le booster...
N’en déplaise à Terra Nova, N. Sarkozy a vraiment du courage : effectivement, il a osé démantelé la France Sociale qui date de l’après deuxième guerre mondiale -privatisation en douce de la Société Sociale, casse de l’hopital public sous couvert de recherche d’efficacité, privatisation en douce de l’éducation nationale sous couvert d’autonomie et de bonne gouvernance, casse des retraites pour favoriser ses amis de la retraite par capitalisation, et assumer son attrait pour le bling bling, etc, etc. Mais F. Hollande et la gauche qu’il incarne, ont ils osé revenir sur les mesures de régression sociale mise en place par la droite ? Quand on voit P. Moscovici et M. Valls dans l’équipe de campagne de F. Hollande, on voit tout de suite ses limites. Car, à part quelques broutilles par-ci par-là, qu’est ce qu’il propose réellement F. Hollande ? La gauche à la F. Hollande est vraiment la gauche qui a été désavouée dans beaucoup de pays européens. Et pourtant, F. Hollande persiste et signe avec sa course vers le centre
Son bilan pour la classe ouvrière est catastrophique : huit millions de
pauvres, trois millions de précaires, trois millions de temps partiels,
cinq millions de chômeurs, et des salaires de misère pour la majorité
des salariés. Mais voir aussi ci-dessous comment il nous a endetté : http://2ccr.unblog.fr/2011/12/21/comment-sarkozy-nous-endette/
La raison, parmi les plus importantes, qui explique que Sarkozy n’a pas le choix et qu’il ne peut que se représenter, en mettant tout en oeuvre pour l’emporter, ( et là, on a le droit de craindre le pire !) , c’est tout simplement que sorti de l’immunité présidentielle qui le protège aujourd’hui, ce n’est pas un emploi du temps qu’il aura demain mais un agenda judiciaire quotidien et ô combien risqué, sans comparaison avec celui de l’anosognosique Chirac, sanctionné avec une clémence certaine ... , mais sanctionné quand même !
Tous cela me semble assez depourvu d’interet dans l’ensemble parce que la deception des francais est beaucoup plus generale que cela et ne touche pas et pas principalement que le seul Sarko.
Le point fort de tous cela, c’est que sondage apres sondages, et compte tenu de la crise, de tous ce qui est dit ici sur Sarkozy, a la fin, 60% des electeurs choississent un parti « pas a gauche au premier tour ». Comme le modem mord aussi sur le PS et que le Fn est quand meme plus a droite que l’UMP, comment ne pas voir un immense « desir de droite » dans le pays.
On n’a plus vu cela depuis De gaulle, et celui ci avait quand meme une autre histoire personelle.
Il y a donc un rejet d’un peu tout en general, mais une certitude, une ecrasante majorite de nos concitoyens ne croient pas que la gauche constitue une alternative.
Alors, au tour on on elimine....
Pour que Sarko ne gagne pas, il faudrait que Hollande se taise assez pour ne pas exasperer son aile gauche tout en laissant croire a la droite antisarkosiste ( extreme ou centriste) qu’il est un moindre mal d’un point de vue de droite). C’est ce qu’il fait en ce moment. Convaincre en se taisant, rassembler les suffrages, sans intervenir ou trancher dans les debats pour ne faire de peine a personne. meme si il etait tres tres fort, ce n’est pas gagne...
PS, j’ajoute que le rejet est encore plus dramatique pour la gauche des 40% parce qu’elle n’a pas de bilan....Creer du mecontentement quand on mene une politique de reforme, c’est dans l’ordre des choses, et c’est en cela que c’est courageus. C’est en cela que Sarko se distingue de Chirac ou Jospin. Etre rejete sans avoir rien fait, c’est du rejet ideologique. C’est le discour meme de la gauche dont les gens ne veulent pas entendre parler a 60%. Une victoire de Hollande ne pourrait etre qu’un accident de politique politicienne, fonde sur des malentendus ( comme l’accord avec les verts par exemple) le resultat d’une victoire Hollande ce serait un Orban a la francaise 5 ans apres. Le meilleur scenario pour la gauche serait de se prendre une n ieme volee, peut etre enfin cette fois ci de se reconstruire vraiment en se debarassant de ses archaismes, et alors, la prochaine fois, de proposer une vraie alternance qui ait un interet pour le pays.
Pour la Gauche, pour la France, il faut voter sarko aux prochaines presidentielles....
le bilan catastrophique de sarko c’est -tuerie en cote d’ivoire par ses ordres -tuerie en libye par ses ordres -bientot syrie -tuerie des ingenieurs français a karrachi -avoir mis en place officieusement BHL comme mr decideurs sur tout en france (decideurs de declecheur de guerres, decideurs de faire pluies et beau temps dans les medias, nomme des gens fait virer d’autres interdit certains comme dieudonné des plateaux etc) -vouloir nommer son fils à la tete du plus grand quartier d’affaires de france alors qu’’il a raté toutes ses etudes et à zero de competence -a trahi les francais pour faire plaisir aux israeliensv (quand le personel du consulat de france en israel ont été jeté par terre insulté et que les soldats israeliens ont DEFEQUé sur le drapeau français) il n’a rien fait et n’a pas levé le petit doigt , car lui meme est prosioniste à 200% -a organisé les médias à son gout et les informations sont devenues « DESINFORMATIONS » -etc -etc voilà le bilan de SARKO
je me rappel de ses promesse électorales de 2007 basées sur le pouvoir d’achat et l’emploi...ont connais la suite ! Vue que cet homme est très occupé, il n’a surement pas eu le temps de le faire en 5 ans c’est donc pour ça qu’il va se représenter et il peut même reprendre son programme de 2007.
certains francais ont voulu le changement avec lui, ils l’ont eut ! il para^t qu’on tire des leçons de ses erreurs il faut l’espérer !! Mais bon avec toutes ces bêtises le fn serais bien capable d’être au 2e tour mais pas pour les mêmes raisons qu’en 2002 et ça, c’est inquiétant.
Droite, gauche, centre et extème n’ont rien compris ! ils faut prendre le meilleurs ( si tant est qu’il y en ai) et mettre les choses en communs pour essayer d’avancer plutôt que de systématiquement se tirer dans les pattes. Pour évoluer il va falloir repenser la politique et a mon avis la 5 e république qui est basée sur une autre époque (et un autre siècle même). Aujourd’hui quand je vois les débats à l’assemblée nationale, je vois juste une grande cour de récréations avec des gamins qui se chamailles. Ces hommes qui sont censé l’exemple et qui représente la France montres une bien piètre image !!