Vigilance rouge sur l’Union Européenne
Les peuples de l'Union Européenne voient...

Rouge, comme le sang des vies innocentes tombées sur les terres des pays autrefois paisibles, mais aujourd’hui quasi-frontalières de l’empire euroatlantiste, ce dernier construit par un travail « otanesque » de militarisation, à des fins de profits géostratégiques, avides de ressources.
Rouge, comme le solde débiteur de la République française, qui verse chaque année l’équivalent de vingt et un milliards d’euros à l’Union Européenne, qui n’en restitue que quatorze, ornés d’un drapeau bleu aux étoiles d’or, laissant croire aux contribuables Français des prétendus bienfaits financiers de la construction européenne.
Rouge, comme la colère silencieuse des peuples européens souffrants, et agressés par une propagande audiovisuelle au service de la dictature intelligemment conçue, qui ne révèle pas son nom.
Rouge, comme la honte exprimée sur le visage écarlate des menteurs de « l’autre Europe », infaisable au regard de l’article quarante-huit du traité sur l’Union Européenne.
Rouge, comme la trésorerie des entreprises en récession, car menacées de concurrence directe avec les délocalisations du capital international, opérant en faveur de l’exploitation d’une main-d’œuvre humiliée et soumise dans d’autres pays, fléau que l’État français ne peut combattre, du fait d’être sous l’emprise de l’interdiction du contrôle des mouvements de capitaux, par l’article soixante-trois du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne.
Rouge, comme la couleur du feu de signalisation démocratique, émis par le passage forcé de l’application de l’article quarante-neuf, alinéa trois, rédigé dans la constitution française de la Ve République, imposant à griller par voie gouvernementale, la démocratie parlementaire élue du peuple, afin d’instaurer un idéal bâti sur les faveurs des intérêts supranationaux et multinationaux de la construction européenne, dans le dos des Français, qui ne cessent de poser des requêtes pourtant légitimes.
Rouge, comme la mise hasardeuse du peuple, sur la roulette infernale de « l’Europe à la carte », où, lors d’un vote « fermé », tout est sciemment conçu pour colporter des propositions mensongères, et impossibles à réaliser, au regard de l’article quarante-huit du traité sur l’Union Européenne, qui demande l’unanimité des vingt-huit États membres afin de modifier ne serait-ce qu’une lettre dans les traités européens.
Rouge, comme le fer chaud des frontières inhumaines de l’Union Européenne, sous le soleil de Ceuta, de Melilla, et de la Grèce, ainsi que sous le rougeoiement des kalachnikovs concernant le projet frontalier des européistes en Ukraine.
Rouges, comme les fautes diplomatiques des gouvernements signataires de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, que l’on pourrait entourer sur la copie de géopolitique.
Rouge, comme la piquette du chômeur français esseulé, cherchant désespérément au coin de sa chambre à oublier les déboires d’une situation économique dont il s'évertue à comprendre, alors qu’il ne connaît malheureusement pas l’Union Populaire Républicaine, classée « diverse » par le ministère de l’intérieur, et injustement censurée par les médias.
Rouges, comme les taches sanguinolentes du passé concernant l’avènement de l’idée paneuropéenne de la nouvelle Europe, exposée au public par les nazis en 1941 au Grand Palais à Paris.
Rouge, comme l’alerte donnée sur la France, en ces temps troublés de désespoir national, où l’orchestre assourdissant des politiciens au rancard animé par l’ambition et la haine, ne cessera que par la mobilisation démocratique du peuple envers l’Union Populaire Républicaine, qui ne demande que de respecter le droit international comme cela est possible, afin de quitter juridiquement l’Union Européenne, l’euro, et l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, dans l’optique d’appliquer un programme déjà prêt, où tous les Français sauront se reconnaître.
Rouge, comme le fil conducteur d’une énigme nous poussant de plus en plus inéluctablement à constater la vérité consternante, en découvrant que, selon la résolution "L56" votée par les ambassadeurs des pays membres de l’Organisation des Nations Unies, les États-Unis, le Canada et l’Ukraine ont refusé de condamner l’apologie du nazisme, ces signataires onusiens étant accompagnés de leurs vassaux des pays de l’Union Européenne, avec leur désir de déplorablement s’abstenir, sous le regard médusé du reste du monde, qui a fermement condamné l’innommable ignominie.
Rouge, comme le téléphone secret des chefs d’État usé pour comploter dans le dos des peuples, à l’heure où ces derniers ne disposent plus de l’ombre d’une seule intimité au cœur de leurs télécommunications, au prétexte de prétendues insécurités non-permanentes, mais constamment rappelées par les médias.
Rouge, comme le pain que mangent les criminels de guerre à travers le monde, dont l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, mêle les pays de l’Union Européenne, afin de rendre des services militaires pour des intérêts exclusivement pilotés de Washington.
Rouge, comme la confusion des européistes, incapables de débattre avec ne serait-ce qu’un représentant de l’Union Populaire Républicaine, sans fuir, pervertir ou empoisonner mensongèrement un échange public.
Rouges, comme les boulets d’injures tirés sur les Français, qui n’ont jamais mérité un tel contexte aussi déshumanisant, visant à leur faire perdre bon nombre de leurs repères pourtant chers.
Rouge, comme la vigilance que devrait mener plus que jamais pour l’Histoire, chaque citoyen soucieux de son avenir en France, en consultant les analyses et le programme tant solides de l’Union Populaire Républicaine, créé par un Homme aussi digne qu’est François Asselineau, dont chacun devrait songer dorénavant à le reconnaître comme seul chef d’État français, afin de se libérer du mauvais avenir que l’empire euroatlantiste nous tend.
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