Des Labos immunisés
Çà s’est passé en douce, au cœur de l’été 2009.
C’est William Engdahl qui nous l’apprend :
Les fabricants de vaccins contre la grippe h1n1 ont obtenu l’immunité juridique.
W.Engdahl est un économiste, journaliste d’investigation indépendant, auteur de plusieurs livres : « Pétrole, une guerre d’un siècle », « Seeds of Destruction : the Hidden Agenda of Genetic Manipulation » et d’autres…. lien
Depuis plus de trente ans, il travaille sur les questions politiques, économiques, géopolitiques, énergétiques, agricoles, sur l’OMC, et le FMI.
Il nous apprend le 31 juillet dernier que la secrétaire d’état US à la santé, Kathleen Sebelius a signé, discrètement en juin 2009, un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 en cas de poursuite judiciaires. lien
C’est un fonds public d’urgence sanitaire qui prendra en charge les éventuelles contreparties financières.
Ce décret est conforme aux dispositions de la loi 2006 sur les urgences de santé publique.
Le docteur David Salisbury, directeur du « SAGE » (comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale à l’OMS) est aussi responsable du groupe de vaccination et des maladies infectieuses au Ministère de la Santé du gouvernement britannique.
C’est sur sa recommandation que l’OMS a déclaré que le H1N1 était au stade de la pandémie.
Il avait été sévèrement critiqué dans les années 80 pour avoir mené une campagne massive de vaccination des enfants avec le vaccin ROR (rougeole oreillons rubéole). lien
Il y a de fortes présomptions liant l’autisme, et de sérieux troubles digestifs à l’utilisation de ce vaccin.
Ce vaccin a été retiré du marché japonais après que des effets secondaires aient été constatés chez de nombreux enfants vaccinés.
En Suède, le vaccin ROR (fabriqué par GlaxoSmithKline) fut aussi retiré de la circulation lorsque des scientifiques constatèrent qu’il y avait un lien entre ce vaccin et la maladie de Crohn.
Aujourd’hui, c’est le même docteur Salisbury qui a promu l’usage du vaccin, non testé, H1N1, lequel est également produit par le même laboratoire (GlaxoSmithKline).
Il faut se souvenir qu’en 1976 les USA furent confrontés pour la dernière fois à un nouveau virus de la grippe porcine.
Il y eut une campagne de vaccination à la suite de laquelle des milliers de personnes avaient demandé des dommages et intérêts alléguant qu’elles avaient subi des effets secondaires dus à la vaccination.
Selon les données de l’OMS, la virulence de la grippe A est très légèrement supérieure à celle de la grippe saisonnière.
Un an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, les laboratoires Baxter avaient déposé un brevet pour le H1N1, ainsi que pour d’autres à venir (H2N2, H3N2, etc...)
La demande de brevet stipule que des « adjuvants appropriés peuvent être choisis a partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surfaces, de lysolecithin, de pluronic polyol, de polyanions ou d’émulsions d’eau et d’huile ».
Or l’hydroxyde d’aluminium est un agent hautement toxique. lien et on le trouve déjà dans de nombreux vaccins. lien
Si le virus mutait dans une forme plus dangereuse, les vaccins que des milliers de français se font inoculer actuellement seraient totalement inefficaces, et peut-être dangereux, puisqu’il faut rappeler qu’ils n’ont pas été testés.
Or l’OMS a décidé de supprimer les tests qui de toute façon ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas.
En France, il y a déjà au moins deux morts suite à la mutation du virus. lien
C’est sur ces bases que nos enfants sont en train de se faire vacciner un peu partout en France suite à l’affolement provoqué par Roselyne Bachelot.
Qu’elle veuille placer à tout prix ces 100 millions de doses achetées à prix d’or ne justifie pas tout.
Elle a fait valoir les 92 décès en France (au 3 décembre) dus au H1N1, lien en oubliant de préciser que la grippe classique tue chaque année 7000 personnes en France.
En attendant, on commence ici ou là, à signaler des morts suite à l’injection du vaccin. lien
Bien sûr, en haut lieu, on tente de dédramatiser.
En cas de pépin, les labos sont tranquilles : ils ne risquent plus la moindre poursuite.
Car comme disait un vieil ami africain :
« Quand tu te trompes de chemin, il faut revenir à la bifurcation ».
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