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Accueil du site > Actualités > Santé > Faut-il se faire vacciner contre le cancer du col de l’utérus

Faut-il se faire vacciner contre le cancer du col de l’utérus

Dans le cadre de la campagne d’incitation de la vaccination contre les papillomavirus « la vraie difficulté va être de convaincre les parents de la néces­sité de vacciner les jeunes filles […] Les gens ne sont pas sensibles aux arguments scientifiques mais humains. La morale, il faut la met­tre au deuxième plan car c'est la première fois qu'on dispose d'un vaccin qui va permettre d'éradi­quer un cancer » (Dr Jean Lacoste, président de Pau Béarn Cancer, La République des Pyrénées, 1 octobre 2007)… !

Pour convaincre les parents, la peur sera-t-elle utilisée comme ce fut le cas avec le vaccin hépatite B, « Premier vaccin efficace contre une grande partie des cancers du foie » ? (1) S’il faut mettre la morale au 2ème plan, faut-il comprendre que la fin justifie les moyens… pas très moraux ?

Premières visées par la vaccination, les adolescentes sont pourtant en droit de recevoir au préalable une information scientifique « claire loyale et appropriée », leur permettant d’apporter leur consentement ou leur refus éclairé. Comme l’ont rappelé plusieurs arrêts de la Cour de cassation ainsi que la loi du 3 mars 2002 sur les droits des malades, le médecin – et tous ceux qui réalisent la prescription - ont la charge de prouver qu’ils ont communiqué cette information claire, loyale et objective, loin de toute pression commerciale émanant des laboratoires pharmaceutiques.

Trois questions essentielles méritent une réponse appropriée : La vaccination est-elle médicalement justifiée ? Est-elle efficace ? Est-elle sûre ?

 

La vaccination contre les papillomavirus est-elle justifiée ?

Selon le Dr Monsonego, chef du département de colposcopie de l’institut Alfred-Fournier, « le dépistage du cancer du col de l’utérus permet d’éviter ce cancer  », au 13ème rang pour la mortalité par cancer chez la femme. Entre 1980 et 2000, cette politique a permis de faire baisser le nombre de cas de 3 % par an et le nombre de décès de 4,5 % par an en France et même de « 80% dans les pays d’Europe du Nord où le dépistage est organisé » (CSHPF). Faute d’un dépistage organisé, ces chiffres stagnent actuellement en France. Ces examens sont en effet à l’initiative de la patiente… encore trop souvent imprudente : 40 % des femmes ne bénéficient toujours pas d’un suivi régulier. Pour les experts en santé publique,« face à ces lacunes – bienvenues pour les laboratoires -, la mise sur le marché de vaccins préventifs constitue un réel espoir »…

S’il a fini par recommander, après un premier avis défavorable, de recourir à la vaccination pour les jeunes filles de 14 ans et pour certaines des jeunes femmes de 15 à 23 ans, le Conseil supérieur d’hygiène publique (CSHP) a insisté sur l’importance de la promotion, de la réalisation du dépistage du cancer du col de l’utérus – qui doit être réorganisé – et sur l’importance de la poursuite d’une promotion de l’utilisation du préservatif, lequel ne peut, certes, fournir une protection absolue contre les infections à HPV, mais peut en réduire les risques.

Les papillomavirus (HPV), dont il existe une centaine de souches, sont absents chez les jeunes filles vierges, la contamination se faisant chez les jeunes femmes par contact sexuel avec les hommes, le plus souvent dès les premiers rapports sans que l’on ait de réponse sur les raisons de cette soudaine contamination. Avant 30 ans, pas moins de 30 % des femmes ont déjà été infectées, mais 70% d’entre elles vont éliminer naturellement le virus en moins d’un an et 90% en moins de deux ans. (Il en est de même pour les hépatites B où 90% guérissent sans séquelles). Chez une minorité des autres femmes, le cancer invasif se développerait environ 15 à 25 ans après l’acquisition de l’infection (selon le CSHPF) sans que l’on puisse en déterminer le pourcentage d’entre elles. L'infection virale et l'expression de certains gènes viraux apparaîtraient ainsi comme des facteurs sans doute nécessaires mais non suffisants de la transformation tumorale, d’autres facteurs interviennent donc selon toute vraisemblance.

Dans un discret communiqué en date du 31 mars 2003, la FDA affirme cependant que « la plupart des infections (par HPV) sont de courte durée et ne sont pas associées avec le cancer du col  » et que « la plupart des femmes qui contractent l'infection à HPV sont en mesure d'éradiquer elles-mêmes le virus qui ne semble pas entraîner de conséquences à long terme pour leur santé.  » De plus, chez les femmes dépistées positives à plusieurs reprises pour la même souche, « c'est la persistance de l'infection, et non pas le virus, qui détermine le risque de cancer. » (www.fda ;gov/bbs/topics/NEWS/2003)

 

Ces vaccins sont-ils efficaces ?

Bien que le fabricant du vaccin Gardasil affiche péremptoirement une efficacité de 100% pour 70% des cancers de l’utérus, ni ce vaccin, ni son concurrent – administrés seuls – n’ont encore montré qu’ils étaient efficaces pour prévenir le cancer du col lequel, selon la FDA, n’est d’ailleurs pas associé aux infections par HPV. Selon le Centre fédéral belge d’expertise des soins de santé (KCE), ce vaccin n’a d’ailleurs aucune efficacité chez les femmes infectées.

Selon un document émanant de la FDA en date du 18 mai 2006, la vaccination des femmes séropositives pour les génotypes correspondant à ceux du vaccin augmente au contraire de 44.6% le risque de développement de lésions précancéreuses de haut grade ! (Site fda.gov/ohrms/dockets/ac/06)

Si le vaccin doit donc être administré avant les premiers rapports sexuels, aucune étude ne démontre pourtant son efficacité en cas de contamination ultérieure. Les données quant à son efficacité lorsqu’il est associé à d’autres vaccins, ce qui est très courant en pratique, manquent également. Si ces vaccins peuvent prévenir efficacement l’infection aux souches du HPV qui seraient associées au cancer à un âge médian de 51 ans (selon le CSHPF), « on ne sait pas encore si le vaccin permettra de réduire le nombre de cas de cancer  », précise Abby Lippman, biologiste, spécialiste de la santé des femmes et épidémiologiste de l’Université McGill au Canada. Dans la mesure où le cancer peut se manifester plusieurs décennies après la contamination, ce n’est par conséquent qu’après un délai équivalent que l’on pourra prouver ou non l’efficacité de ces vaccins… à l’étude depuis 5 ans, alors que la plupart des infections HPV ne sont pas associées au cancer ! (Dawar M, Deeks S, Dobson S., Human papillomavirus vaccines launch a new era in cervical cancer prevention, Canadian Medical Association Journal (CMAJ), 28 août 2007, Vol. 177, No 5, page 456).

On ne peut également écarter « l’émergence par la vaccination de souches résistantes  », voire celle de nouvelles souches cancérigènes par le biais du constant phénomène de commutation. Depuis plusieurs années, on observe en effet la sélection par la vaccination de virus plus virulents dans les méningites à méningocoques, à Haemophilus, à Pneumocoques ou encore dans la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole.(Dr Mohamed Kehr Taha, directeur adjoint du centre de référence des méningocoques à l’Institut Pasteur.)

 

Ces vaccins sont-ils sûrs ?

Alors que pour le laboratoire Merck, les effets secondaires seraient légers, se limitant à des douleurs au point d’injection, de la fièvre, un œdème local, un érythème… à une fréquence curieusement comparable à celle du placebo (auquel est souvent intégré de l’aluminium !), le VAERS (banque de données des effets adverses des vaccins dépendant des autorités sanitaires américaines) a recensé en 2007, jusqu’au 10 mai, malgré une sous-notification reconnue de l’ordre de 90%, 1 637 réactions défavorables, puis 1 824 entre le 11 mai et le 7 septembre 2007, dont 11 décès, et sur 77 femmes enceintes vaccinées, 33 avortements ou anomalies fœtales. (Entre mars 2001 et mars 2005, le VAERS avait recensé respectivement 1 845 et 2 876 accidents sévères, 53 et 76 décès avec les vaccins Hépatite B de Merck et celui de GlaxoSmithkline.)

Ces vaccins recombinants faisant appel, comme le vaccin hépatite B, à de l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant de l’immunité, peuvent également déclencher à court terme mais plus souvent à long terme (10 ans voire plus) une myofasciite à macrophages (cellules du système immunitaire), affection neuro-musculaire, très invalidante associée une fois sur trois à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques dont la fréquence a beaucoup augmenté avec la vaccination contre l’hépatite B. Par ailleurs, l’aluminium est capable de traverser la barrière hémato-méningée à partir de 60µg/litre. Or 225µg d’aluminium sont utilisés dans ces vaccins contre le cancer du col, d’où le risque de maladie d’Alzheimer à long terme.

De plus, chez les chats, la fréquence des cancers des tissus mous à proximité du point d’injection des vaccins comportant de l’aluminium, retrouvé dans les macrophages à proximité du point d’injection, a été multipliée par 18,3 en dix ans aux Etats-Unis. Pour les vétérinaires, cet aluminium, présent dans la majorité des vaccins, n’est pas éliminé par l’organisme et entraîne une inflammation chronique qui fait le lit des cancers, dont la fréquence évolue de façon exponentielle depuis une trentaine d’années. (Smith C A. in J. Am. Vet. Med. Assoc., 15 août 1995 ; 15 ; 207(4) : 421 – 425)

Alors que leur très hypothétique efficacité ne pourrait être démontrée avant plusieurs dizaines d’années, la toxicité de ces vaccins contre les cancers du col de l’utérus – génétiquement modifiés - se manifestera malheureusement beaucoup plus rapidement pour des milliers d’adolescentes et de femmes, ne serait-ce que par la présence d’hydroxyde d’aluminium - neuro-toxique et cancérigène – utilisé à des doses nettement supérieures au seuil de tolérance. Ce n’est pas par hasard qu’Eric Lecocq, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD, a crû bon reconnaître lors d’une réunion de l’Office mixte parlementaire de la politique de santé en juin 2007 que la psychose autour du vaccin contre l'hépatite B est si puissante que l'une des craintes que suscite la mise en place d'un vaccin contre le papillomavirus est qu'une jeune fille vaccinée ne soit ensuite atteinte d'une sclérose en plaques ?

De plus, on observe des états de ménopause précoce dès 16 ans, les effets secondaires sur les testicules de rats ayant été étudiés par Merck mais pas ceux sur les ovaires de souris !

On retrouve également les mêmes fragments d’ADN du HPV, qui avaient été découverts fortement attachés à l’adjuvant aluminium Gardasil, dans le sang d’adolescentes ayant présenté une maladie auto-immune après la vaccination mais encore dans des échantillons post-mortem d’une jeune-fille de Nouvelle-Zélande décédée six mois après sa troisième injection du Gardasil.

 

Une balance Bénéfice/Risques particulièrement négative

Tandis que le seul dépistage systématique a permis la réduction der ce cancer de 90%, et alors que le réel bénéfice - très hypothétique actuellement - de cette vaccination ne pourra être évalué que dans plusieurs décennies, les risques sont déjà considérables avec des états de ménopause définitive, des cancérisations, des maladies auto-immunes neuro-dégénératives et systémiques.

 

Dr Marc VERCOUTERE                               Christian RASSON    Pharmacien

[email protected] 06 61 55 34 73                             [email protected]   

 


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4 réactions à cet article    


  • VERCOUTERE 15 décembre 2012 21:39

    En vous retranchant derrière l’anonymat, vous émettez des contrevérités et devenez calomnieux.

    Vous répétez, sans preuve scientifique que la variole, la polio, tétanos ou encore rage ont été éradiqués par la vaccination.
    Organisez donc un débat réellement contradictoire. Je suis à votre disposition. 

  • Sandra ptitelutine 15 décembre 2012 22:21

    j’ai 2 filles et sincèrement, je ne prendrais pas le risque de les faire vacciner.


    • Soi même Soi même 16 décembre 2012 01:27

      La médecine est en trains de perdre son latin, et les labos donne le ton !
      Que cache toutes ses misent en garde ? si ce n’est de vouloir nous culpabilises et de ne pas reconnaître que si y a tellement de maladie dégénérative aujourd’hui nous le devons à c’est hypothétique progrès tellement vanter comme étant ce que l’on a fait de mieux !

      Cela occulte tous les facteurs réels qui sont les véritables causent des cancers dans notre monde moderne.

       


      • Soi même Soi même 16 décembre 2012 01:48
        Cancer, la catastrophe - Partie 1 : Etat des lieux

        par zevengeur

        @ 2009-09-10 – 21:00:00

        Connaissez vous le nombre de nouveaux cas de cancers déclarés chaque année en France ?
        Peut être pensez vous à un ordre de grandeur de 10 000 cas, peut être 20 000...
        Vous êtes très loin du compte car rien qu’en 2005, 320 000 Français ont été diagnostiqués atteints par un cancer et plus de 150 000 en sont décédés !

        De plus, la maladie progresse chaque année à un taux proche de 3% et cette progression est également vérifiée chez les jeunes ce qui prouve qu’elle n’est pas due au vieillissement.

        Et enfin depuis 25 ans, le taux de guérison piétine au voisinage de 45% faisant estimer à de nombreux spécialistes [1] que malgré les énormes moyens de recherches mis en œuvre, nous sommes en situation d’échec thérapeutique.
        Sauf dans de rares cas et pour certains cancers très particuliers, la médecine ne fait pratiquement aucun progrès significatif dans le traitement de la maladie.
        Et les fréquentes annonces médiatiques porteuses de faux espoirs faites prématurément n’y changent rien.

        Au sujet de la prévention, mis à part les campagnes anti-tabac par ailleurs justifiées, l’état reste passif car les lourdes mesures nécessaires rentreraient en conflit avec de puissants intérêts commerciaux.

        Bioaccumulation
        Les substances cancérogènes comme les pesticides ou les composants de la fumée de cigarette s’accumulent dans les tissus graisseux, on parle alors de bioaccumulation.
        http://fr.wikipedia.org/wiki/Bioaccumulation
        Parmis les cancers ayant le plus augmentés en occident depuis 50 ans, on retrouve principalement les cancers des tissus qui contiennent ou qui sont entourés de graisses :
        - Seins
        - Prostate
        - Colon
        - Ovaire
        - Système lymphatique
        [3] p.145

        Intoxication chronique et toxicité
        La toxicologie est une discipline dont le concept de base est la notion de dose admissible, un venin de serpent à très faible dose aura peu d’effet sur l’organisme.
        Le mode d’action des substances cancérogènes sur l’organisme est quand à lui basé sur une exposition continue à faibles doses durant une longue période, on parle alors d’intoxication chronique.
        La nourriture que l’on nous vend depuis des dizaines d’années nous a fait en permanence avaler 3 fois par jour et sans qu’on le sache de petites doses de produits toxiques.

        La carcinogenèse ou déclenchement du cancer, induite par la Dose Totale Cumulée (DTC) de ces produits absorbés sur le long terme par l’ensemble de la population explique donc l’explosion de la maladie et la difficulté à établir des liens directs de cause à effet.

        De très nombreuses études scientifiques confirment cependant le lien entre pesticides et cancers.

        Etudes scientifiques
        1962 : Rachel Carson, la pionnière
        Le best seller de Rachel Carson « Silent Spring » (Printemps silencieux) publié en 1962 fut la première alerte sérieuse ayant permit de faire prendre conscience au public de la folie du tout chimique qui a transformé la planète en déchetterie géante et provoqué la disparition de nombreuses espèces.
        Son approche fut basée sur des analyses statistiques et épidémiologiques pour démontrer les effets induits par l’utilisation massive des pesticides, dès 1962 tout était déjà dit :
        - toxicité chronique pour l’être humain et pour les animaux
        - pollution généralisée de la planète
        - persistance des produits toxiques dans l’environnement
        Rachel carson fut bien entendu attaquée par les lobbies et tous les moyens furent employés pour tenter de la discréditer.
        http://ecorev.org/spip.php?article453
        http://fr.wikipedia.org/wiki/Rachel_Carson

        DDT
        Suite aux travaux de Rachel Carson, le DDT l’un des produits chimiques utilisé dans des proportions gigantesques depuis la guerre fut interdit en 1972 y compris en France.
        Cependant en 2009, soit presque 40 ans après on le détecte toujours dans l’environnement du fait de sa biodégradabilité quasi nulle.
        Et ce produit a depuis été remplacé par d’autres au moins aussi dangereux et également utilisés en masse : rien qu’en France on déverse environ 80 000 tonnes de pesticides sur les cultures chaque année pour un chiffre d’affaires de 1.8 Milliard d’€.
        http://www.marianne2.fr/Pollution-agricole-est-il-deja-trop-tard_a182411.html
        [1] p. 83
        [2] p. 130

        2004 : L’étude la plus complète
        L’ étude suivante est considérée comme l’une des plus complète pour la mise en cause des pesticides dans la carcinogenèse :
        “Systemic Review of Pesticide Human Health Effects” - The Ontario College of family Physicians, 23 avril 2004
        [2] p.13

        Une étude qui étudie les études !
        Une autre étude réalisée par la “Lymphoma Foundation of America” a dressé la liste de toutes les études épidémiologiques concernant le lien entre le cancer des lymphocytes et les pesticides. Sur 99 études, 75 indiquent une relation positive entre les pesticides et la maladie.
        [2] p.178

        2006 : Travaux Français
        L’épidémiologiste Isabelle Baldi de Bordeaux a montré que le risque de tumeur au cerveau était multiplié par 2.58 pour les sujets exposés aux pesticides, et même par 3.2 pour le gliome (un type particulier de cancer du cerveau au pronostic très sombre).
        I. Baldi « Pesticides et tumeurs cérébrales chez l’adulte » Etude Cerephy – Colloque « Cancers professionnels » ARC – Paris 22/03/2006

        On pourrait continuer cette liste indéfiniment car les études scientifiques de ce type sont aujourd’hui suffisamment nombreuses pour qu’aucun doute ne subsiste sur le lien entre pesticides et cancer.

        Pourquoi a-t-on laissé faire ?
        Cette question ne peut pas être éludée, car en effet on peut se demander si le bon sens n’aurait pas conduit l’état à se poser les bonnes questions durant ces décennies où l’on déversa des millions de tonnes de produits chimiques sur notre sol.
        Dans le livre de Nicolino/Veillerette « Pesticides, révélations sur un scandale Français »,
        on apprend que le lobby des pesticides a tissé sa toile durant toutes ces années en noyautant les organismes de contrôle comme l’INRA et que les techniques habituelles des lobbyistes ont parfaitement fonctionné.
        Aujourd’hui, on se réveille avec la gueule de bois en prenant conscience que toute notre planète est définitivement polluée, car le mal est mondial, les mêmes méthodes ayant été employées dans les autres pays occidentaux. Ces méthodes industrielles sont par ailleurs en train d’être déployées également dans les pays du sud par les transnationales.

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