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Accueil du site > Actualités > Santé > Homosexualité, Afrique et VIH : du déni à l’espoir ?

Homosexualité, Afrique et VIH : du déni à l’espoir ?

A l’occasion de la 4e convention nationale de la lutte contre le sida qui s’est tenue les vendredi 20 et samedi 21 juin derniers à l’Hôtel de Ville de Paris, constat a été fait de l’urgence de développer des programmes de prévention et de prise en charge à destination des gays en Afrique. Discriminations, stigmatisations, violences, pénalisation de l’homosexualité… les obstacles à la mise en œuvre d’une vraie politique de santé publique en faveur des gays africains ne manquent pas. Pourtant, des initiatives existent, portées par des associations communautaires qui mènent un combat acharné en faveur des droits humains.

Le déni d’une situation dramatique

Ce sont plus de trente personnes, sur les 400 participants à la 4e convention nationale, qui se sont rassemblées pour une session intitulée « Homosexuels africains et VIH : urgence ». L’urgence n’est pas ici un vain mot. Comme l’a rappelé Eric Fleutelot, directeur général adjoint international de Sidaction, les MSM (hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, en anglais) sont particulièrement touchés par l’épidémie dans un continent qui compte 24,7 millions de séropositifs. Au Sénégal, les homosexuels présentent un taux de prévalence au VIH de plus de 21 %, contre moins d’1 % pour la population générale. Le risque pour les homosexuels d’être infecté par le VIH est significativement plus important que pour celui de la population générale. En Egypte, un gay a 108 fois plus de risques d’être infecté qu’un homme ayant des pratiques hétérosexuelles. Alors qu’il constitue un enjeu de santé public majeur, ce problème est largement nié par les autorités nationales. Le Dr Bintou Dembele, directrice de l’Association de recherche de communication et d’accompagnement à domicile de personnes vivant avec le VIH/sida (Arcad-Sida) au Mali, souligne la très grande difficulté pour obtenir ne serait-ce que des chiffres et des études sur la situation des minorités sexuelles face au VIH lorsque déjà, en bambara, l’une des langues nationales du Mali, il n’existe aucun mot pour désigner un homosexuel.

Le développement d’initiatives communautaires

Toutefois, la société civile ne se contente pas de regarder les bras croisés la situation empirer. Des actions sont menées, le plus souvent avec le soutien de bailleurs internationaux, comme Sidaction ou le Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. Le Dr Steave Nemande, de l’association Alternative Cameroun, a présenté les actions menées par la structure à laquelle il appartient. Prévention, groupes d’échanges, soutien médical aux usagers, les initiatives sont nombreuses et efficaces dans un pays, le Cameroun, où l’homosexualité est punie jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. Dans ce contexte répressif, la lutte contre les discriminations et pour l’accès aux droits des usagers est un élément majeur des stratégies d’actions portées par les militants associatifs. La mise en place d’études et de recherches constitue souvent le premier pas en ce sens. Younes Yatine, de l’Association de lutte contre le sida (ALCS) au Maroc, rappelle qu’en 1993, déjà, une recherche-action avait été portée et conduite par l’ALCS sur les caractéristiques de la prostitution masculine à Casablanca et à Marrakech. Ce travail a posé les bases des actions que mène depuis lors l’association auprès des prostitués. Face au silence des autorités et des sociétés locales, ce type de projets constitue des actions essentielles contre le mensonge et le travestissement d’une situation de plus en plus grave.

La lutte contre le sida favorise celle pour les droits humains

Les actions de lutte contre le sida dans ces différents pays sont autant d’initiatives contre les discriminations dont sont victimes les minorités sexuelles. Louis-Georges Tin, fondateur de l’Idaho (Journée mondiale contre l’homophobie, en anglais), souligne l’espoir suscité par ces programmes communautaires dans un contexte marqué par un renforcement de la doxa homophobe. La lutte contre l’épidémie passe par le respect des minorités et la libre parole autour de la sexualité. Le fléau qu’est le sida en Afrique constitue paradoxalement un électrochoc pour les militants associatifs et participe au renforcement de leurs capacités d’actions, poussés par les bailleurs internationaux qui, progressivement, intègrent ces dimensions. Là encore, les priorités de la lutte contre l’épidémie rejoignent celles pour les droits humains, comme c’est le cas depuis déjà plus de vingt-cinq ans.


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17 réactions à cet article    


  • morice morice 25 juin 2008 12:18

     Et l’influence de l’église, terrible... Jean-Paul II responsable d’au moins 60 millions d’infectés ??? 


    • Lapa Lapa 25 juin 2008 12:37

      Jean Paul II préconisant l’homsexualité et la sodomie ? (car la sodomie est bien plus à risque au niveau de la transmission que la pénétration vaginale) Vous me surprenez !.

      L’article parle de la problématique des gay africains pas de vos délires sur le préservatif et la fidélité, entre autre ; un message un peu plus poussé de l’ancien pape que la caricature que vous en faites.

      Si l’Eglise était si influente que ça, le virus du Sida ne se serait pas propagé avec des pratiques sexuelles purement reproductives et fidèles en couple telle qu’elle les préconise !

       

      Il y a effectivement urgence à aider ces populations touchées par ce fléau et par tant d’autres ...


    • Zalka Zalka 25 juin 2008 13:06

      @Lapa : la diabolisation du préservatif et de la contraception a certainement beaucoup joué. Alors oui, le pape a eu une influence néfaste.


    • hihoha 25 juin 2008 14:40

      Et l’influence du Coran Momo ?

       

      s52 v17à24 : « En vérité, les Pieux seront dans des jardins et une félicité, jouissant de ce que le Seigneur leur a accordé. Leur Seigneur les aura préservés des tourments de la Fournaise. Mangez et buvez en paix, en récompense de ce que vous avez fait, accoudés sur des lits alignés ! Nous leur auront donné comme épouses des houris aux grands yeux. Ceux qui auront cru et que leur descendance aura suivis avec foi, Nous leur auront adjoint leur descendance au Paradis. Nous ne leur retireront rien de leur fait. Chaque homme, de ce qu’il se sera acquis, sera cautionné. Nous les aurons pourvus de fruits et de viande qu’ils désirent. Ils se passeront, dans ces jardins, des coupes au fond desquelles ne seront ni jactance, ni incitation au péché. Pour les servir, parmi eux circuleront des éphèbes à leur service qui sembleront perles cachées. »

      La pédophilie, interdite sur terre par le Coran, sera-t-elle admise au Paradis d’Allah ? (les éphèbes.)

      El Koran


    • charlie 25 juin 2008 17:01

       CONSTANT...


    • Avril 26 juin 2008 11:01

      non cela n’a pas beaucoup joué car en afrique : il n’ y a pas de préservatifs et de contraception à chaque coin de rue ! et les africains ne boivent pas les paroles du pape ! Le pape a dit alors les africains font.....

      Et avec ou sans le pape ils ne sont pas adeptes du préservatifs qui je le rappelle quand vous êtes en brousse ou au village n’existe pas !

      D’ailleurs lorsque j’ y était je leur ai fait par de cette fausse idée en france et la plus part n’était même pas au courant de la parole du pape. Sans compter l’afrique noir muslmane ou la paroles du pape leur passe au dessus


    • charlie 25 juin 2008 12:26

      Personne n’oblige 60 millions de personnes à croire ...apparamment ils préférent dieu aux hommes de raison...et en assument les conséquences


      • charlie 25 juin 2008 12:50

        L’homosexualité et la sodomie ne sont pas un probléme...c’est la non protection qui en est un.

        La science trouve des réponses contrairement aux églises qui condamnent plutôt que de comprendre et d’accompagner...

         


        • charlie 25 juin 2008 13:13

          S’il n’y avait que le pape...

          et les imams, ayatollahs et autres mollahs...les états rétrogrades, les budgets chagrins, la recherche, les trusts pharmaceutiques, les lobbies...le manque d’éducation, d’information.... 


          • hihoha 25 juin 2008 13:27

            Le seul problème de l’Afrique c’est le non-contrôle des naissances.

            Celui qui met au monde 6,7,8, 12, enfants et qui ne peut les nourrir est un assassin.

            Là où la volonté est grande, les difficultés diminuent.

             


            • Pie 3,14 25 juin 2008 18:29

              Après la claque intellectuelle ( de grande classe et sans appel) que Constant vient de vous mettre , le mieux serait de vous taire d’autant que vous n’avez rien de pertinent à dire et ignorez tout de la notion de transition démographique.


            • hihoha 26 juin 2008 06:50

              Bismallah Habibi constant dans la corânerie :

              Extraits du Coran, traduit de l’arabe par Régis Blachère, 

              Professeur à la Sorbonne

              G.P. MAISONNEUVE & LAROSE éditeurs 1966.

               

              Maintenant étudions un peu mon frire :

              La séparation de la société en deux groupes bien distincts a aussi pour effet d’induire des comportements homosexuels, ce qui est assez fréquent chez les arabo-musulmans.

              A l’époque de l’empire ottoman, bien après le début de l’islamisation, diverses tribus irano-turco-tartares célébraient encore la fête de Basm, un rite homosexuel au cours duquel les « Batscha » - jeunes garçons élevés et vêtus comme des filles - étaient mis à la disposition des hommes de la tribu. On sait, d’autre part, qu’un grand nombre de califes (successeurs du prophète et commandeurs de croyants) étaient entourés de « mignons » qui leurs servaient d’esclaves sexuels. On verra également, dans la seconde partie de la présente étude, que le coran fait état de « jeunes garçons » qui font office d’esclaves au sein même du « paradis d’Allah ».

              De même, on trouve de nombreux témoignages d’homosexualité chez les femmes musulmanes, et pas uniquement dans les harems. C’est ainsi qu’Al Hassan Ibn Mohammed Al Wezaz Al Hassan raconte (dans son « Leo Africanus » écrit en 1526) qu’il existait, à Fez (Maroc), des groupes de femmes surnommées « sahhaqat » qui formaient une sorte de secte lesbienne. Elles jouaient un rôle de « guérisseur pour femme » et, en guise de salaire, elles se faisaient accorder des faveurs sexuelles. Elles invoquaient le fait que « les esprits » exigeaient ces faveurs. Mais bien souvent, les femmes fréquentaient les sahhaqat dans le seul but d’avoir des relations sexuelles avec elles. Elles feignaient d’être malades et parvenaient parfois à entretenir une sahhaqat sous prétexte qu’elles étaient « possédées du démon » et que seule la présence de la sahhaqat pouvait la protéger du mal.

              Sans aller jusqu’à ce genre d’homosexualité organisée, on rencontre encore, dans la société musulmane, de nombreux cas d’homosexualité, tant masculine que féminine. En Europe occidentale, les travestis et les homosexuels qui se prostituent reçoivent fréquemment la visite de clients qui sont de confession musulmane. En extrapolant les données statistiques disponibles, on peut calculer qu’il y a sans doute deux à trois fois plus d’homosexuels (confirmés ou non) chez les arabo-musulmans qu’au sein des populations non islamisées (Etats-Unis mis à part).


              Transexuel(le ?) d’origine maghrébine posant pour des photos à caractère pornographique
              en compagnie d’un homme également d’origine maghrébine.

              Chez les Chrétiens, les effets pervers de la religion tendent à s’estomper, exception faite pour quelques sectes qui prétendent, comme les Juifs orthodoxes et les musulmans, s’en tenir à la lettre du « message de dieu ».

              De nombreux prêtres catholiques ont été impliqués dans des affaires de pédophilie mais il ne faudrait pas croire que les dignitaires musulmans soient exempts de cette perversion.


              Imam licencié pour absentéisme
              L’imam de la principale mosquée de Nîmes, agressé il y a quelques jours à la suite d’une rumeur d’attouchements, a été licencié par l’association gérant le lieu de culte, officiellement pour absentéisme, a-t-on appris hier auprès de l’association.
              L’imam Mohamed Khattabi, 42 ans, marié et père de trois enfants, avait déjà été privé de prêche après le scandale lié à la rumeur, qui est resté confiné à l’intérieur de la communauté musulmane, aucune plainte n’ayant été déposée à la police.

              Comme en témoigne l’article çi-dessus, si l’on entend peu parler d’imams ou d’ayatollahs pédophiles, c’est surtout que les musulmans ne souhaitent pas que cela se sache et ne portent pas plainte. Ils sont parfaitement conscients qu’il serait catastrophique pour leur religion qu’un dignitaire de l’islam soit amené à s’expliquer devant la justice républicaine et laïque car il ne manquerait pas de se défendre en se référant au « beau modèle » musulman : Mahomet, qui épousa l’une de ses femmes (Aïcha) alors qu’elle n’avait que six ans.
              Cet article est aussi emblématique de l’hypocrisie qui règne dans le milieu journalistique, particulièrement dans les milieux soi-disant de gauche. Le titre de l’article est Imam licencié pour absentéisme alors qu’il aurait du être Imam soupconné d’attouchements licencié pour absentéisme. Si la personne incriminée avait été un prêtre catholique, le titre eut été sans l’ombre d’un doute "Un prêtre soupconné d’attouchements". Mais bien entendu, il faut être "tolérant" avec les "bons musulmans", tandis que l’on peut sans se gêner cracher sur les "mauvais chrétiens". Deux poids, deux mesures : il serait temps que les journalistes appellent un chat "un chat", qu’il soit musulman ou martien.
               

              Quand des prêtres catholiques abusent des enfants, il y a des lois et une justice qui va leur demander des comptes. Les mollahs SONT la loi, la justice et le gouvernement. Ils peuvent se laisser aller à leurs vices en public : qui pourrait les en empêcher ?
              Si l’homosexualité est passible de la peine de mort selon la religion musulmane, la pédérastie par contre est permise.
              Photo www.homa.org


               

              L’islam interdit aux femmes d’épouser des non-musulmans, tandis qu’il autorise les hommes à épouser des non-musulmanes, suivant en cela le « beau modèle » musulman, Mahomet, qui épousa des juives et des chrétiennes. C’est ainsi que l’on peut trouver des petites annonces ouvertement basées sur la ségrégation religieuse, telle celle reproduite çi-contre. Si l’on trouve aussi des petites annonces de femmes cherchant à assouvir le classique fantasme du noir, il ne s’agit pas en l’espèce de ségrégation (ou alors il faudrait parler de ségrégation positive, telle celle qui existe aux USA pour obliger à intégrer certaines couches de la population). La femme ayant rédigé ce texte ne cherche pas le moins du monde à assouvir un quelconque fantasme mais ne fait que suivre les préceptes de sa religion. On retrouve cette volonté de ségrégation chez les juifs orthodoxes, dont Mahomet a copié les pratiques, tandis qu’elle apparaît peu chez les chrétiens et en tous les cas pas de manière codifiée.
              D’aucuns s’acharnent à vouloir présenter l’islam comme une religion « tolérante » mais il n’empêche que ce n’est que dans l’islam que l’on trouve des interdits ségrégationnistes et sexistes officiellement codifiés en ce qui concerne les mariages mixtes.
               

               


            • Pie 3,14 26 juin 2008 09:23

              ¨Personne ne nie qu’il y a des homosexuels et probablement des religieux pédophiles dans le monde musulman. Que ces faits soient difficiles encore à accepter n’est pas surprenant pour les sociétés musulmanes. Je vous rapelle qu’il y a peu , l’homosexualité était un délit en occident et la pédophilie largement tolérée.

              Dans votre hargne à vouloir prouver que l’islam est intinsèquement favorable à la "pédérastie et la pédophilie"( vous mélangez d’ailleurs dangeureusement les deux) , vous oubliez des règles méthodologiques de base.

              Vous parlez de l’islam comme un bloc alors qu’il existe des quantités de manières d’être musulman dans l’histoire et aujourd’hui. Que diriez-vous de quelqu’un qui parlerait des chrétiens en évoquant uniquement le point de vue des évangéliques par exemple ? Il existe un islam progressiste et pas seulement des imams obtus.

              Vous n’avez pas la notion du temps. Vous négligez les évolutions historiques et parlez de Mahomet au présent en multipliant les anachronismes. L’islam nait dans les années 600 et si un musulman voulait jouer au même petit jeu stérile que le vôtre, il trouverait des hordes de mignons pré-pubères dans l’entourage des papes , des évêques de père en fils, et plus généralement un clergé fornicateur en diable.

              Faudrait-il en déduire que le christianisme est une religion peu fréquentable ?

              Enfin , "le Blachère" offre une traduction classique du Coran mais n’est pas un ouvrage d’histoire indiscutable , d’autant qu’il date un peu particulièrement sur ces sujets étudiés depuis peu par les historiens.

               


            • Gül 26 juin 2008 09:33

              Bonjour,

              Et je re-poste :

              Pour une traduction du Coran, c’est celle-ci :

              Le Coran I et II - Traduction de D. Masson - chez Gallimard collection folio classique -

              Traduction littérale et annotée permettant une lecture on ne peut plus objective.

              Rien à ajouter, sauf, bonne lecture !


            • miaou miaou 25 juin 2008 14:12

              Face aux discours truqués qui deviennent des vérités à force d’être répétées, il y a les chiffres :

              http://henrivedas.blogspot.com/2005/06/le-sida-en-afrique-la-faute-aux.html


              • xray 26 juin 2008 12:00

                Voila quelques temps, Agoravox a refusé de publier mon article "Ces virus imaginaires qui nous manipulent." 
                Le motif : "Ce n’est pas un sujet d’actualité" 

                Tiens donc ! Le Sida est un jour d’actualité, un jour pas. 
                Ou bien, il existerait-il une certaine actualité du Sida ? La mienne ne serait-elle pas bonne ?  

                Le virus machin (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.) 
                http://levirusmachin.hautetfort.com/ 

                Les problèmes ignorés du public ne sont pas des problèmes. C’est la raison pour laquelle le premier métier d’un journaliste est de se taire. 



                • xray 27 juin 2008 09:32

                  Les virus imaginaires ne ciblent que des croyants. 

                  À la lecture des commentaires, on constate que le virus imaginaire du Sida (Tous les virus sont imaginaires) est bien une affaire de curés. 

                  Ces virus imaginaires qui nous manipulent. 
                  http://ces-virus-qui-nous-manipulent.i-clic.net 

                  Le virus machin (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.) 
                  http://levirusmachin.hautetfort.com/ 

                  En ce qui concerne l’Afrique, l’avènement du virus imaginaire n’a pas changé grand-chose aux statistiques de mortalité. 
                  Cela, mis à part les endroits « privilégiés » où l’on a vacciné à outrance et distribué l’AZT. (Depuis toujours, l’AZT est considéré comme un poison absolu.) 

                  Les virus imaginaires ne ciblent que des croyants. 

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