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Accueil du site > Actualités > Santé > Hôpital de Carhaix : On a perdu le soldat PS !

Hôpital de Carhaix : On a perdu le soldat PS !

Madame Podeur directrice de l’hospitalisation au ministère de la santé et supérieure hiérarchique du directeur de l’ARH est pressée, très pressée !

Elle veut imposer une fusion du centre Hospitalier Carhaisien avec le CHU de Brest, fusion dont le représentant du Conseil Régional est infoutu d’expliquer les contours. Pire, lors d’une réunion du comité de soutien, il nous explique benoîtement qu’il faut signer d’abord et négocier le contenu après. Autant acheter chat en poche !!!

Personne n’est dupe de la manœuvre. La fusion avec le CHU de Brest, c’est l’arrêter de l’ARH relooké. La fusion, c’est la mort programmée de la maternité et du service de chirurgie avec en prime la suppression des services administratifs. Il n’y pas d’exemple de fusion réussie en France. Toutes se sont terminées par le démantèlement du plus petit au profit du plus fort, ici le CHU.

Les défenseurs de l’hôpital eux sont cohérents. Tous sont favorables au développement et au renforcement de la coopération avec les partenaires naturels que sont le CHU de Brest, mais également le centre hospitalier de Quimper. Une coopération efficace qui préserve l’intégrité du CH Carhaisien, n’est après tout que l’application du plus élémentaire bon sens !

Le bon sens et la cohérence, ne semble pas la vertu cardinale au Conseil Régional PS de Bretagne. Le président Jean Yves Le Drian dans un discours appelait les Carhaisiens à un nouveau Plogoff, tandis que notre Conseiller général (PS !) en appelait à l’union sacrée. Les voila devenus les ardents défenseurs d’une fusion signée à l’aveugle.Edgar Faure disait : ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent... !

Le PS, qui n’avait pas appelé à la manifestation de samedi à Quimper avait là, une occasion de montrer son attachement aux services publics de santé. Il préfère se faire le VRP de Sarkosy. C’est son choix.

Le combat continue !

Si une poignée PS d’élus préfère aller à la soupe. La population, elle continuera le temps qu’il faudra avec l’énergie qu’il faut à protéger sa santé et celle de ses enfants. Ainsi que l’égalité de tous dans l’accès aux soins !

Les enjeux de la fusion


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20 réactions à cet article    


  • Sébastien Sébastien 26 décembre 2008 14:40

    C’est quoi le PS ?


    • Fergus fergus 26 décembre 2008 16:42

      Que la maternité soit maintenue à Carhaix me semble indispensable. Pour ce qui est du maintien de l’unité chirurgicale, je suis en revanche très circonspect, la plupart des petits établissements étant loin d’apporter aux patients la même qualité d’intervention et la même expertise que les centres hospitaliers plus importants. Et Carhaix se situe grosso modo à équidistance de Morlaix, Brest et Quimper...
       


      • Sav 26 décembre 2008 17:18

        Tout a fait d’accord. Il faut garder ces très mauvais hôpitaux faute d’un nombre suffisant de patients et de soignants, et ces maternités d’un autre âge. Cela sert de référence par l’absurde. Quant aux coûts, cela n’a bien sûr aucune importance... Pour les provisions, il vont déjà tous aux supermarchés plus loin. Mais si on a plus le droit de crever bêtement à côté de chez soi, alors où qu’on va ?


        • Carland 26 décembre 2008 17:27

          Pour infos : l’hôpital de Carhaix est tout neuf. La dernière tranche de travaux date d’a peine 3 ou 4 ans.
          La maternité, elle a accueilli cet été quelques jours après sa réouverture une future maman tranférée d’office à Carhaix par l’hôpital de quimper. Elle et son enfant se portent bien merci pour eux. Que ce serait-il passé si la maternité n’avait pas réouvert à temps ?


        • Carland 27 décembre 2008 15:08

          Si la décision vient du ministère, elle est relayée par les élus du PS. Le PS par la voix de JY le Drian président
          Président de la région Bretagne appelait les contre Bretons à un nouveau Plogoff en mai. Difficile de comprendre et d’accepter ce revirement et cet alignement sur les position du GVT.

          La fusion créera d’abord un désert sanitaire en centre Bretagne et à moyen terme un désert tout court.

          Le directeur du CHU de Brest refuse d’ailleurs de garantir le maintien des services du CH. Hors le TA à motivé sa décision de réouverture des services sur le principe d’exeption géographique qui dit que nul ne doit être être éloigné du 1er CH de plus de 45 minutes. Morlaix, ville la plus proche se trouve à plus de 45 minutes.


        • Pourquoi ??? 27 décembre 2008 07:36

          Les dissensions politiques, y compris en interne, importent peu dans ce cas précis.

          Il faut voir ce que ce gouvernement fait à nos campagnes : plus de bureaux de poste, plus de tribunaux, moins d’écoles, moins d’hôpitaux. Bientôt peut-être plus de distribution de courrier... Quant aux entreprises étatiques de recherche en nouvelles technologies jusque là performantes, comme celle de Lannion, elles sont vidées de leur substance en douce.

          C’est la casse totale du service public programmé par l’OCDE. 

          Alors RESISTEZ, les Carhaisiens !!! Montrez à Sarko qui déteste les Bretons et qui a décidé de casser leur dynamisme qu’il n’a pas encore gagné. Faites-nous un Plogoff bis !


          • vivelecentre 27 décembre 2008 22:04

            à l’auteur pouvez vous nous rappeler ce qu’était le taux de mortalité en chirurgie lourde de cet hôpital

            Juste ce point , svp merci .


            • Carland 27 décembre 2008 22:58

              Je pense que vous faite référence au rapport Dessailly Chanson. Commandé par l’ARH pour justifier son arrêté de fermeture et voulant discréditant au passage nos chirurgiens. Précision : c’était le service de chirurgie viscérale qui était visé par le rapport. Les médecins y ont déja répondu mieux que moi.

              Ce rapport a porté sur 24 patients pour établir un taux de 50 % de décès. Cela demande quelques éclaircissements. Extraire 24 oprérations sur l’ ensemble des actes est une pure malhonêteté intellectuelle qui ne grandi pas son auteur.

              Les patients sélectionnés pour obtenir ce résultat étaient âgés, atteints de pathologies lourdes ou de multi pathologies. En clair le choix était les opérer malgré les risques ou les laisser mourir en souffrant !

              Lorsque l’ARH a décidé de fermer l’hôpital de St Afrique au milieu des anné 90. Le même procédé a été utilisé : 50% de décès sur 12 patients... En chirurgie viscérale. Pour Mémoire le directeur de l’ARH dont dépend l’hôpital de St Afrique était Mr Perrin. Il est maintenant directeur de l’ARH de Bretagne...

              La manipulation est grossière. Mais quand on veut tuer son chien......

              Croyez vous une seconde que dans une petite ville de 8000 habitants une telle hécatombe serait passée inaperçue ???


            • jerome 28 décembre 2008 11:54
              Il est toujours assez comique de lire les défenseurs acharnés d’une organisation hospitalière d’un autre âge ; La France compte 36 000 communes, 800 hôpitaux publics dont 300 hôpitaux locaux ; dans les années soixante, la médecine était essentiellement une discipline clinique et nécessitait peu de moyens ; aujourd’hui nous avons une médecine et une chirurgie de haute technicité imposant aux praticiens des moyens onéreux, et une rigueur, une compétence, une expérience éprouvées. Or de tels centres ne peuvent être disséminés sur tout le territoire.

              On ne fait bien que ce que l’on fait tous le jours et les instances nationales représentatives fixent des seuils du nombre annuel d’interventions à respecter pour une sécurité acceptable. Ces seuils ne sont pas respectés à Carhaix en particulier en chirurgie viscérale, en chirurgie mammaire et en obstétrique. Autrement dit le patient opéré à Carhaix encourt un risque plus élevé de morbidité qu’à l’hôpital de Morlaix.

              Même constat pour les césariennes plus fréquentes à Carhaix que dans la moyenne nationale ; or une césarienne n’est pas un geste anodin et expose la mère à un risque. Enfin Carhaix pose un problème d’effectifs : la permanence des soins inhérente à tout établissement public de santé n’est semble-t-il pas respectée ; qui plus est l’hôpital pour remplir ses listes de garde emploie des intérimaires véritables mercenaires, ce qui va contre un suivi et une cohérence dans la prise en charge des patients.

              Pour conclure, maintenir coûte que coûte une activité chirurgicale et obstétricale dans cet hôpital est un mauvais service à rendre à la population. D’ailleurs le taux de fuite important, supérieur à 50% vers des établissements plus sûrs, en est la preuve. Entre le confort illusoire et dangereux de la proximité et la sécurité d’une prise en charge plus éloignée il faudra bien choisir.

              • jerome 28 décembre 2008 11:59
                Il est toujours assez comique de lire les défenseurs acharnés d’une organisation hospitalière d’un autre âge ; La France compte 36 000 communes, 800 hôpitaux publics dont 300 hôpitaux locaux ; dans les années soixante, la médecine était essentiellement une discipline clinique et nécessitait peu de moyens ;
                aujourd’hui nous avons une médecine et une chirurgie de haute technicité imposant aux praticiens des moyens onéreux, et une rigueur, une compétence, une expérience éprouvées. Or de tels centres ne peuvent être disséminés sur tout le territoire. On ne fait bien que ce que l’on fait tous le jours et les instances nationales représentatives fixent des seuils du nombre annuel d’interventions à respecter pour une sécurité acceptable. Ces seuils ne sont pas respectés à Carhaix en particulier en chirurgie viscérale, en chirurgie mammaire et en obstétrique. Autrement dit le patient opéré à Carhaix encourt un risque plus élevé de morbidité qu’à l’hôpital de Morlaix.

                Même constat pour les césariennes plus fréquentes à Carhaix que dans la moyenne nationale ; or une césarienne n’est pas un geste anodin et expose la mère à un risque. Enfin Carhaix pose un problème d’effectifs : la permanence des soins inhérente à tout établissement public de santé n’est semble-t-il pas respectée ; qui plus est l’hôpital pour remplir ses listes de garde emploie des intérimaires véritables mercenaires, ce qui va contre un suivi et une cohérence dans la prise en charge des patients.

                Pour conclure, maintenir coûte que coûte une activité chirurgicale et obstétricale dans cet hôpital est un mauvais service à rendre à la population. D’ailleurs le taux de fuite important, supérieur à 50% vers des établissements plus sûrs, en est la preuve. Entre le confort illusoire et dangereux de la proximité et la sécurité d’une prise en charge plus éloignée il faudra bien choisir.

                • foufouille foufouille 28 décembre 2008 12:48

                  @ jerome
                  j’espere que tu auras pas un accident loin d’un hosto publique
                  sans les petits hopitaux de proximite avec helico, tu as toutes les chances de crever........


                • jerome 28 décembre 2008 14:33
                  @foufouille
                  Les idées reçues ont la vie dure…La proximité d’un hôpital local faiblement équipé est loin d’être une garantie en cas d’accident : ou les blessures ne sont pas très graves et les pompiers ont tout le temps de transporter les blessés vers un hôpital correct, ou les blessures sont très graves et la prise en charge nécessite un SAMU expérimenté, un service de réanimation chirurgicale voire un service de neurochirurgie. Je doute que l’hôpital de Carhaix puisse assurer cela. Mieux vaut être adressé directement vers un établissement où l’on est capable de vous soigner correctement que de perdre du temps en transitant dans un hôpital qui ne possède ni les équipements ni les personnes capables de vous traiter en toute sécurité.

                • foufouille foufouille 28 décembre 2008 15:07

                  @ jerome
                  dommage pour toi que ca me soit arrive
                  les premiers soins sur place dans ton hopital "non rentable"
                  ensuite transfert par helico a 85km


                • foufouille foufouille 28 décembre 2008 15:09

                  "ou les blessures sont très graves et la prise en charge nécessite un SAMU expérimenté, un service de réanimation chirurgicale voire un service de neurochirurgie"

                  90 km en ambulance et tu creves


                • Carland 29 décembre 2008 12:11

                  Que vous considériez l’égalité de tous devant l’accès au soins comme une chose accessoire, n’engage que vous. Mais le maillage du territoire en équipements hospitaliers a été pensé pour cela !

                  Que le taux de fuite soit élevé, merci à l’ARH qui saborde toute tentative de recrutement de médecins titulaires pour mieux justifier son objectif qui reste de fermer l’hôpital coûte que coûte. Face à cette volonté la santé des Centre Bretons est la dernière des préoccupations de son directeur.

                  Vous nous parler de césariennes : L’hôpital ne pratique pas de césariennes programmées. Les césariennes qui sont pratiquées le sont en cas de complications imprévues lors d’un accouchement.

                  Il est vrai que l’organisation des soins a été mise à l’épreuve par... l’ARH !!!!
                  Que l’arrêté de fermeture brutal a provoqué du stress pour le pesonnel, les malades, les femmes enceintes à qui on a dit du jour au lendemain "cassez vous", c’est un euphémisme.
                  Encore une fois que l’ARH dans sa hargne a fermer les services de maternité et chirurgie est le SEUL RESPONSABLE !

                  Les idées reçues ont la vie dure dite vous...
                  L’hôpital de Carhaix est parfaitement équipé et dispose d’un scanner.... En Cas d’accident grave un hôpital de proximité est indispensable pour préparer les blessés, victimes d’infarctus (je connais une persomnne qui serait morte sans être passée par le CH)et sécuriser leur transport vers Brest par exemple.Transporter quelqu’un de grièvement atteint sans préparation peut lui couter la vie !


                  • foufouille foufouille 29 décembre 2008 13:36

                    c’est ce que j’essaye de faire comprendre
                    et ca m’est arrive pas loin d’un petit hopital qui va fermer. sans l’helico et les urgences "non rentables", je serais au cimitiere
                    on est a 85km du chu
                    a 40 de la maternite......
                    on a pas encore invente la teleportation


                  • jerome 29 décembre 2008 15:05
                    @Carland
                    Ce que je défends c’est une égalité d’accès à des soins de qualité et non pas un simulacre d’égalité ; désolé, mais un patient admis dans un petit hôpital local n’a pas les même chances que s’il est adressé dans un hôpital de taille moyenne ; si on suit votre raisonnement, il faudrait installer une unité neuro-vasculaire, une unité de cardiologie interventionnelle, un service de réanimation médicale et chirurgicale, un service de neurochirurgie, un service de réanimation néo natale tous les 25 km ! vous dites transporter des patients mal conditionnés peut-être mortel ; c’est justement la fonction du samu, voire du médecin des pompiers d’assure un transport dans des conditions optimales ; le samu, c’est l’hôpital qui vient à la rencontre du patient et non l’inverse ; encore une fois je préfèrerais être transporté directement par samu dans un hôpital correctement équipé pourvu de médecins expérimentés plutôt que perdre un temps précieux en transitant dans un hôpital dépeuplé et sous équipé. Vous dites l’hôpital est bien équipé et possède un scanner : y a-t-il seulement un radiologue pour le faire tourner 24h/24 ? en revanche on sait que l’IRM, qui manque au CH de Carhaix, prend de plus en plus d’importance.
                    Enfin vous accusez l’ARH d’empêcher le recrutement de médecins ; compte tenu de la pénurie de médecins dans les hôpitaux y compris dans des CHU, croyez vous sérieusement que le nombre de candidats à un poste médical au CH de Carhaix soit si important ?

                  • foufouille foufouille 29 décembre 2008 16:29

                    en cas d’hemorragie importante, tu as interet a te trouver pret d’un petit hopital
                    le samu est pas aussi rapide qu’un helico


                  • foufouille foufouille 29 décembre 2008 16:34

                    en cas d’hemorragie importante, tu as interet a te trouver pret d’un petit hopital
                    le samu est pas aussi rapide qu’un helico


                  • Carland 29 décembre 2008 14:12

                    Et pour les tenants de la privatisation des services de santé, les hôpitaux de proximité sont "vieux, inadaptés, dangeureux"... Que sais je encore. C’est carrément insultant pour les médecins et l’ensemble des équipes qui y travaillent !!!
                    Ce sont environ 200 hôpitaux et par conséquent les usagers qui sont menacés...
                    Je copie une dépèche de l’AMUF, pour ceux qui pense que les GRAND HOSTO SONT PLUS SÛR.
                    Il y est question des hôpitaux parisiens !

                    -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
                    Le télégrame.com- 08h35.
                    « La sécurité des patients n’est plus assurée dans les hôpitaux » et a fait un mort, selon l’AMUF

                    "La sécurité des patients n’est plus assurée dans les hôpitaux en Ile-de-France, pendant cette période de fêtes", s’est exclamée dimanche l’Association des médecins urgentistes (AMUF), dans un communiqué, après la mort d’un patient, qui n’avait pas trouvé de place en réanimation pendant la nuit.

                    Un patient de 60 ans est décédé tôt hier matin, dans l’ambulance du SAMU qui était venue lui porter secours, plus de six heures après sa prise en charge par le médecin du SMUR, faute d’avoir trouvé une place rapidement dans l’un des hôpitaux de la région, selon l’AMUF.
                     
                    Aucune place disponible en Ile-de-France

                    A 20h hier, l’association faisait le bilan des places disponibles en réanimation dans les 65 structures hospitalières franciliennes : "aucune", tous les services sont "saturés" et "la
                    nuit ne fait que commencer". "La situation en Ile-de-France est catastrophique« , a expliqué l’AMUF.

                    Les urgentistes en grève

                    Les urgentistes, en grève depuis le 1er décembre, dénoncent la situation de leurs services en France et s’alertent de la "surdité" et de "l’irresponsabilité" de la ministre de la Santé.

                    En juin dernier, Roselyne Bachelot avait reçu un rapport sur la création d’un "Conseil national de l’urgence et de la permanence des soins", "pour identifier et faire reconnaître les
                    spécificités et les contraintes des professionnels de santé dans la prise en charge des urgences et dans la permanence des soins", peut-on lire sur le site de son ministère.
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                    </script>

                    —>

                    La mission est emmenée par le Professeur Pierre CORIAT. Aucune précision sur l’agenda concernant ce Conseil n’était disponible.
                    Pas de mesure concrète
                    Depuis un mois, les urgentistes en appellent à la Direction de l’hospitalisation et des soins (DHOS), à la DDASS (Direction départementale des affaires sanitaires et sociales) et à l’Agence régionale d’hospitalisation (ARH). Ils disent n’avoir vu venir aucune mesure concrète et immédiate, "pour assurer la sécurité et la qualité des soins".
                    L’AMUF appelle le déclenchement des plans blancs
                    Le syndicat AMUF, présidé par le Dr Patrick Pelloux, demande le déclenchement des plans blancs en Ile-de-France et le rappel des personnels dès hier soir. Les "plans blancs" permettent de faire face à une situation critique de régulation des urgences hospitalières.

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