Injectés, infectés... puis éjectés !
Malgré les silences complices, les mensonges par omission, et les dénis en tout genre, une évidence se fait jour : certaines injections tuent.
Dès les premiers décès, le ministre de la santé a été dans le déni, assurant qu’aucun décès n’était directement dû à la vaccination, à ce stade...puis, il a cherché d’autres postures, admettant « des effets secondaires », qui étaient évidemment mineurs.
Mais considérer que la mort est un effet secondaire mineur ne fait-il pas perdre toute crédibilité au ministre ?
Pour être tout à fait précis, Véran avait déclaré le 15 octobre 2021 : « les rapports de l’ANSM, qui sont publics et transparents, ne déclarent à ce stade pas de cas avéré de décès imputable à la vaccination ».
Sauf que le dernier rapport en date couvre la période du 17 au 30 septembre et constate 1224 décès, dont 907 après une injection de Pfizer, 77 pour Moderna, 216 pour AstraZeneca, et 24 pour Janssen, et on ne peut que s’étonner qu’Astrazeneca a été suspendu après des décès suspects (216), alors que Pfizer crédité de 907 décès suspects continue d’être injecté.
Dans les colonnes du « Dauphiné », on a pu lire sous la plume d’un certain J.C., citant l’ANSM : « le lien avec le vaccin ne peut être exclu (…) évoquant : « un choc anaphylactique fatal, de 2 décès associés à des poussées hypertensives ». lien
Sauf que si l’AstraZeneca a été suspendu pour les moins de 55 ans, suite à une alerte de pharmacovigilance considérant 10 décès suite à « une thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin », on ne peut que s’étonner qu’une mesure identique n’ait pas été prise pour les autres « vaccins », puisque les cas de thromboses, et autres AVC se multiplient chaque jour, même si les labos tentent de minimiser le risque. Lien
Ce qui étonne « Euractiv », qui, après des thromboses signalées, ne comprend pas que l’EMA (Agence Européenne des Médicaments) n’ouvre pas d’enquête. Lien
On se souvient que le ministre de la santé a évoqué à de nombreuses reprises la formule « bénéfice/risque » affirmant qu’il était en faveur des injections...affirmation un peu légère si l’on considère que le nombre de morts pourrait être bien plus important que supposé.
En effet, combien de « morts du covid » sont réellement dues au virus ?
Quand on découvre chez le patient décédé des caillots de sang, des cas de thrombose, des AVC, est-il possible de l’imputer encore au virus ?
Le virus, on le sait, agit prioritairement sur le système pulmonaire, même s’il peut agir aussi sur le système nerveux, et parfois le cœur. lien
Alors qu’il semble bien que les injections soient responsables de problèmes sanguins.
Écoutons le Dr Joel S. Hirschorn.
Il constate la formation de caillots sanguins microscopiques liée à l’utilisation des infection ARNm, et évoque clairement les effets néfastes des vaccins, allant jusqu’au décès des injectés.
Pour être plus précis, il écrit que de nombreux patients peuvent présenter une micro-coagulation du sang, laquelle n’est pas visibles à l’œil nu ou à des scan.
Il évoque des embolies pulmonaires, voire des AVC, ajoutant que des caillots dans d’autres organes (le foie, les reins…) pourrait entraîner la défaillance de ces organes. Lien
Et il n’est pas le seul, Charles Hoffe, un médecin canadien exerçant à Lytton, utilisant le test sanguin des d-dimères, a découvert que 62 % de ses patients injectés avaient des quantités élevées de micro-caillots sanguin et a carrément déclaré que l’utilisation d’injections à ARNm « tuerait la plupart des gens par insuffisance cardiaque »…
Dès le mois d’avril il avait alerté en vain le gouvernement canadien pour tenter d’amener celui-ci à reconnaître le mauvais impact des injections liés aux micro-caillots sanguins.
Il s’était aussi adressé à un spécialiste de la sécurité des vaccins, lequel lui a répondu : « ce sont des coïncidences. Cela n’a rien à voir avec le vaccin (…) parfois de mauvaises choses arrivent aux bonnes personnes. Tout le monde peut avoir des caillots dans le sang... ». lien
Ca demande à être prouvé, d’autant que, sur la base des données d’Eudravigilance de l’année dernière, on à la confirmation d’un risque de myocardites et péricardites dans les 7 jours qui suivent l’injection avec ARNm, constatant 15654 cas au niveau européen. Lien
De quoi mettre en porte-à-faux le « spécialiste de la sécurité des vaccins » cité plus haut.
Des scientifiques de l’université Goethe de Francfort, dirigée par Rolf Marschalek, ont tenté de résoudre le mystère de ces thromboses, mais leurs conclusions augmentent le mystère, car ils ont surtout mis en cause l’AstraZeneca et le Jansen, expliquant « le problème résiderait dans le vecteur d’adénovirus que les deux injections utilisent pour introduire la protéine de Sars-Covid-2 », faisant baisser le taux de plaquettes, et, malgré leur baisse, les plaquettes se rassembleraient, entraînant la formation de caillots dans le sang, provoquant une thrombose veineuse, avec le très grand risque que, si le caillot bouge dans le réseau sanguin, il déclenche une embolie pulmonaire qui , selon le Dr Atlani, peut être mortelle si la thrombose n’est pas diagnostiquée à temps.
Le plus étrange, c’est qu’ils ne mettent pas en cause pour autant le Moderna et surtout le Pfizer, alors que, comme on l’a vu plus haut, ce dernier est largement en tête sur la question de la coagulation du sang. (907 décès sur 1224). lien
Ceci posé, si à la suspension que l’on sait de l’Astrazeneca s’ajoutait celle des autres produits, plus aucune injection ne serait possible.
On se souvient qu’au moment de la suspension de ce produit dans une bonne dizaine de pays européens, (c’était à la mi-mars 2021), les pharmaciens ne semblaient pas s’inquiéter outre mesure, espérant malgré tout un feu vert. lien
Ce mystère s’ajoute aux autres, et l’on se souvient aussi que Philippe de Villiers affirmait en décembre dernier que 63 % des décès concernaient des personnes injectées. lien
TF1-info qui relayait cette information tentait de la minimiser en multipliant les « calculs savants », sans vraiment réussir à convaincre.
Étrange situation puisque, au fil des mois, on s’aperçoit que les injections sont de moins en moins efficaces, et que de plus, les cas de thromboses continuent d’être discrètement signalés…sans de réelles réaction des autorités sanitaires, et des autorités tout court.
Et on s’aperçoit aussi qu’en France, d’autres traitements possibles ont été soigneusement ignorés, voire contestés, alors qu’ils sont efficaces dans d’autre pays...au Japon par exemple. lien
Alors que, chaque jour dans notre pays, 1700 personnes décèdent pour diverses raisons, (dont environ 400 du cancer), 170 morts sont à déplorer le 5 février...mais de quoi sont-il morts ? du virus...ou à l’injection ?
Si ce n’étais pas si dramatique, on pourrait sourire aux allégations de Véran, qui prenait récemment l’exemple d’Israël pour prôner les injections… sauf que, comme on peut le lire dans « info du jour » : « force est de constater que, vaccination ou pas vaccination, il n’y a aucun effet, sinon pire, plus il y a de vaccinés, plus les vagues sont fortes ». lien
Alors, à l’approche des éjections présidentielles, si les injectés s’inquiètent, ils pourraient bien le reprocher au futur candidat Macron, celui-ci attendant le bon moment pour se déclarer, avec comme argument majeur : « je suis celui qui vous a sauvé du pire »...sauf que si les injections ne sont pas si salvatrices que prévu, sa réélection pourrait avoir du plomb dans l’aile...car comme dit mon vieil ami africain : « la fatigue est la ruine du corps, et l’inquiétude, la faucille de l’âme ».
Le dessin illustrant l’article est de miss Lilou
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
Articles anciens
Bèèè, mais ils vont où, les petits moutons ?
Macron face à l’impasse sanitaire
Et voici les lanceurs de panique
Que veulent-ils faire à nos enfants ?
Quand Pasteur perdait ses virus
Un vaccin qui tient ses promesses
282 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON