Les Dieux descendent de l’Olympe avec un vaccin prométhéen promu par Jupiter : cadeau empoisonné !
La vaccination anti Covid-19 "vous protège et protège les autres". Les non-vaccinés sont des égoïstes anti-sociaux qui pourrissent la vie des vaccinés par les mesures contraignantes de santé publique qu'ils imposent à tous ! Les vaccinés seraient victimes de contraintes alors qu'ils respectent les consignes administratives légalisées : les éléments de langage véhiculés et amplifiés par des meutes de faire-valoir (avides de notoriété usurpée) dans les médias et sur les écrans, sont imcomplets, inadaptés, contradictoires et sources d'incompréhensions ! Survolons les arguments du peuple des "ilotes" se vautrant dans ses contradictions et ses incantations.
Les vaccinés, 2 à 3 semaines après la seconde injection, sont protégés contre la covid-19 :
Si c'est vrai, alors ils ne craignent rien des non-vaccinés qu'ils soient sains ou contaminés, et ils peuvent les côtoyer partout ; les mesures type pass-sanitaire sont inutiles pour les vaccinés car ils "sont protégés et protègent les autres, ne pouvant être contaminé, ni les contaminer". Inutile d'imposer des mesures restrictives aux non-vaccinés afin de protéger les vaccinés ! Une forte proportion de vaccinés se sentent totalement protégés !
Mais si c'est FAUX ou inexact, il faut le dire et claironner fortement : c'est la communication constante des grands laboratoires comme Moderna lors de la présentation de son vaccin à l'été 2020 :
"Le vaccin protège contre les formes graves ou sévères de la covid-19, avec plus de 90% d'efficacité" !
"Le vaccin ne tue pas les coronavirus" mais renforce le sysème de détection des virus, après chaque phase de contamination et de réplication (donc de début de contagiosité), permettant au système immunitaire de destruction des virus (les lymphocytes tueurs) d'entrer en action. Donc le vaccin n'agit qu'après un début de contamination/contagion ! Mais plus la réponse est rapide moins la maladie sera sévère.
Ainsi les vaccinés ne sont pas totalement protégés contre des contaminations, mais en réagissant rapidement ils évitent les formes sévères et ne seront porteurs que de formes légères ou asymptomatiques : les vaccinés conservent un potentiel de contagiosité lorsqu'ils sont infectés ! Ils sont alors dangereux pour les autres, vaccinés ou non-vaccinés pas encore contaminés. C'est bien pour cela que les mesures barrières (distanciation et masques) restent recommandées ou imposées pour éviter la propagation des virus entre les individus.
Les "plus fragiles" avec des comorbidités, vaccinés, lors d'une infection ne succomberont pas à une forme sévère de la covid-19, mais éventuellement à l'effet cumulatif des comorbidités et du coronavirus.
La vaccination protège aussi les autres :
Quel argument altruiste dans un monde d'individualisme-roi !
De fait le vacciné s'il est contaminé, donc contagieux sera moins contagieux dans la mesure où la vaccination a bien "boosté" la réponse immunitaire. Si le vacciné est très affaibli par l'âge et les comorbidités il se peut que ses capacités de réaction immunitaire soient encore amoindries : les mesures barrières sont donc essentielles pour la personne vaccinée contaminée et pour son entourage.
Alors quid des non-vaccinés ?
Les non-vaccinés ayant déjà été infectés et malades sont assimilés à des vaccinés car ils ont renforcé leur système immunitaire en anti-corps et en lymphocytes.
Les purs non-vaccinés -pas encore contaminés- sont sectarisés, mis au banc de la société comme "mauvais Français" imposant des restrictions et contraintes aux "bons Français vaccinés". Pourtant un non vacciné, non contaminé, qui reste chez lui et sort, (rarement), avec un maximun de précautions pour lui et pour les autres, n'est en aucun cas un danger pour les autres et surtout pour les vaccinés (surtout pour ceux qui se croient totalement protégés).
S'il vient à être contaminé et malade il sera classé alors parmi ceux qui ont acquis une immunité naturelle par la maladie. Le seul reproche c'est éventuellement d'être hospitalisé simplement ou en réanimation : moins de 10% des cas détectés positifs conduisent à une hospitalisation, heureusement car sinon ce serait une catastrophe sanitaire ! Les autres (plus de 90%) sont traités -isolés- à leur domicile, avec des soins relativement limités.
Voilà le problème sous-jacent de saturation potentielle des moyens hospitaliers ! Ce n'est pas un problème de coût, car la gestion hospitalière se faisant selon les actes, l'occupation journalière d'un lit de réanimation est une source importante de revenus pour l'hôpital. Les capacités en lits de réanimation sont principalement définies selon les besoins des opérations chirurgicales pour les maladies classiques, qui pendant les vagues de covid-19 doivent être reportées avec des incidences regrettables pour les patients en attente et pour tout l'équipe chirurgicale qui doit le prendre en charge avant, pendant et après l'opération : certains grands spécialistes et leurs divers assistants sont privés de leurs principales activités rémunérées ! Mais l'argument de la santé des patients concernés reste prépondérant ! Les responsables hospitaliers craignent un débordement de leurs moyens par des vagues de patients covid et ils tirent, à leur façon, la sonnette d'alarme !
Faut-il imposer la vaccination obligatoire ?
Pour les retraités et assimilés qui se protègent sérieusement par les mesures barrières, qui sont quasiment autoconfinés et qui ont une crainte sur les interactions des multiples composants des vaccins avec leurs diverses comorbidités et avec leur état général amoindri, la vaccination ne s'impose pas. Elle reste recommandée pour éviter les cas graves.
Pour les personnes en contact avec le public, surtout en établissement hospitalier, les mesures de protection s'imposent (les infimières et personnels soignants l'ont fait pendant plus d'un an avant les campagnes de vaccination sans qu'on leur reproche leurs comportements, bien au contaire !). Les risques de contamination ne sont pas négligeables pour les personnels qui refusent d'être vaccinés. Par contre, avec du personnel vacciné et décontracté ou relaché, les risques de contaminations sont avérés pour les personnes en contact !
En ce qui concerne les enfants considérés à la fois comme porteurs sains du virus, donc contaminants, et de plus en plus, avec le delta, comme des cibles potentielles de la covid-19, et compte tenu de la présente analyse, il est encore trop tôt pour privilégier une position sur la vaccination obligatoire. Attendons le prochain variant !
Quelques révélations sur les vaccins.
Avant la technologie de vaccins à ARNm, les vaccins utilisaient des virus amoindris, désactivés, morcellés, principalement du virus de base, parfois avec l'intermédiaire d'un autre virus porteur inactif : les précautions dans le cycle de mise au point et de production étaient nombreuses et contraignantes, d'où des délais s'exprimant en années.
Avec la technologie à ARNmessager, les cycles ont été raccourcis et simplifiés car aucune partie du virus n'est incluse (directement ou indirectement) dans les doses de vaccins ! Le système de protection de l'humain va être éclairé et formaté par un système de simulation activé par des protéines produites par des cellules saines de l'individu activées par des "molécules de synthèse" créées par les microbiologistes des concepteurs des vaccins dits à ARNmessager. L'ARNm utilisé est un pur produit de synthèse créé par les humains, toujours à base des 4 acides aminés (A ; C ; G ; U) (Adémine ; Cytosine ; Guanine ; Uracile (remplacé par son variant compatible Thymine dans l'ADN). Ce produit de synthèse existe sous forme naturelle à l'intérieur du génome du coronavirus car sa fonction est de porter les séquences du génome pilotant la fabrication des "spikes" clés extérieures portées sur le virus pour s'amarrer à la cellule cible et ouvrir ainsi l'entrée au virus pour pénétrer la cible et s'y faire répliquer ! Les concepteurs des vaccins Moderna et BioNTech n'ont pas trituré le coronavirus pour en extraire l'ARNm porteur des séquences de fabrication des spikes. Leur inventivité réside dans la fabrication externe dissociée de l'ARNmessager ! Ce sont des "créateurs de briques de vie" : ils sont sur la voie portée par Prométhée !
Ensuite un énorme travail méthodique a permis d'enrober l'ARNm "gros assemblage de nucléotides (acides aminés)" par des nanoparticules lipidiques indétectables par le système immunitaire, pour convoyer l'ARNm aux portes d'une cellule musculaire et d'y pénéter. Dans la cellule les ribosomes vont se saisir de l'ARNm afin de lire ses instructions et ainsi de fabriquer les protéines constituant les spikes. Ces derniers vont être expulsés hors de la cellule et alors détectés et pris en compte et en chasse par le système immunitaire qui va alors fabriquer des anticorps pour se fixer sur ces spikes, ainsi que des lymphocytes pour avaler et tuer ces intrus. Une propriété considérable et essentielle réside dans la mise en mémoire de ces opérations de détection et de destruction, pendant un temps long dit de protection vaccinale. Lorsque des vrais coronavirus entrent dans le système respiratoire, se collent aux cellules épithéliales, y pénétrent et commencent à s'y multiplier en diffusant des copies dans les capillaires sanguins (et aussi vers l'extérieur pour la contagion des autres humains), alors le système immunitaire "activé et formaté par le vaccin" entre très rapidement en action pour réduire la diffusion et la multiplication des virus.
La grande capacité inventive de Moderna ou BioNTech réside dans le fait que les opérations ci-dessus sont faites en même temps pour des millions de particules vaccinales contenues dans chaque dose de vaccin ! Il a fallu des trésors d'ingéniosité pour y arriver et contourner tous les obstacles de protection que la machinerie hypercomplexe humaine a mis au point pendant des millions d'années ! Ainsi pour y arriver BioNTech, dans tout le cycle d'élaboration, utiliserait 280 ingrédients (selon l'article de Clément Lacombe de L'OBS du 22/07/2021) !
Quelques perspectives d'avenir de la technologie à ARNm
Cette technologie, par tous les moyens et techniques mis en oeuvre, a de grandes perspectives dans le monde médical et pas seulement vaccinal ! Les chercheurs dans ces entreprises ont un avenir assuré !
Seulement son action sur les fondamentaux de la vie, sur la possible création de nouvelles formes de vie, demande beaucoup de réflexions élargies à de nombreux domaines hors du médical, car il en va de la création de nouveaux ADN et ARN, bases de nouveaux organismes. Peut-être des nouveaux virus hypervirulents seraient capables de mettre l'humanité et sa survie en grand danger ! Chez les humains l'orgueil de Prométhée leur colle à la peau.
Sans fantasmer sur ces considérations apocalyptiques, certains arguments intrinsèques et diffus sont à la base du refus de la vaccination : à voir le grand nombre d'adjuvants (qui dépasse la simple utilisation de sels d'aluminium) et les possibles effets à long terme pour des personnes "normales" ou déficientes sur certaines caractéristiques physiologiques, le bon sens, pour certains, consiste à attendre et voir !
Jupiter sur son Olympe élyséenne, grand promoteur de la vaccination, fait un terrible pari, car la progression du virus chez les vaccinés et la génération spontanée de nouveaux variants rend aléatoire l'issue du combat : fin de la pandémie, maintien de formes saisonnières comme pour la grippe ou, au pire, variants indomptables !
79 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON