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Accueil du site > Actualités > Santé > Pourquoi n’y a-t-il pas de génériques du Doliprane (paracétamol) (...)

Pourquoi n’y a-t-il pas de génériques du Doliprane (paracétamol) ?

Le Doliprane est le médicament dont le chiffre d'affaires a le plus progressé en 2012 (+10,1 millions d'euros). Ce médicament de Sanofi fait figure d'exception puisqu'il n'a toujours pas son équivalent en générique alors que sa molécule, le paracétamol, une des plus anciennes de la pharmacopée, est tombée dans le domaine public depuis des lustres. Une exception juridico-magouillo-politique très franco-française pour ce médicament qui fêtera prochainement son demi-siècle d'existence. Qu'est-ce qui justifie ce statut unique au monde ?
 

En 2010, le Doliprane était le 8° médicament le plus remboursé par l'Assurance Maladie avec un peu plus de 200 millions d'euros.

La mise en place des médicaments génériques en France, issue du droit de substitution accordé par M. KOUCHNER, alors ministre de la santé aux pharmaciens, remonte à 1999. Les pouvoirs publics, soucieux de préserver la Santé Publique ont défini alors très strictement le périmètre au sein duquel les pharmaciens peuvent exercer la substitution du médicament de marque par un autre, en théorie moins cher et équivalent, le générique. Ce cadre, c'est le Répertoire des médicaments génériques. Hors de ce Répertoire, point de salut pour les laboratoires de génériques. A l'intérieur, pas de pitié pour le médicament de marque, il est destiné à une substitution certaine par les pharmaciens.

Le générique le plus connu au monde est le générique du Doliprane (paracetamol) et l'on s'attend à ce qu'il soit le générique le plus vendu en France puisqu'il représente le premier produit du marché en nombre de boîtes vendues. En réalité seulement 15% des boîtes sont substituées en génériques par les pharmaciens quand le taux moyen actuel pour les spécialités du Répertoire est de 85%.

Que s'est-il passé ?

Rapidement, dès 2000, les premiers génériques du paracétamol arrivent sur le marché mais l'inscription au Répertoire tarde et ne survient pas car pour être un générique, il faut un princeps (médicament original) et l'AFSSAPS (l'agence du médicament) ne peut pas identifier le médicament princeps, trop ancien parait-il...

Les laboratoires de génériques se mettent alors à vouloir changer la loi. Puisqu'il faut un princeps pour être inscrit dans le Répertoire, permettons l'inscription dans le Répertoire de génériques sans princeps de référence. C'est chose faite fin 2002, lors du vote par les députés du PLFSS 2003 (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2003), puis entériné par un décret en juin 2003... La voie est libre.

L'AFSSAPS sollicitée établit même un projet de liste pour le Répertoire où figure bien le paracétamol, le Doliprane, le Dafalgan et bien d'autres encore et puis... plus rien, ou plutôt si, une suite de baisse de prix du fabricant de princeps de 1,19€ à 1,00 € en septembre 2003 et à 0,86 € en février 2004, prix toujours actuel du Doliprane.

Une bien étrange posture du gouvernement qui s'explique en consultant la question écrite n° 01338 de M. Ambroise Dupont (Calvados - UMP) publiée dans le JO Sénat du 25/07/2002 - page 1731)

Monsieur Ambroise Dupont "rappelle" au Ministre que "le Doliprane, qui a comme seul principe actif le paracétamol, représente 95 % de l'activité de l'usine de Lisieux" (...) "et selon le groupe Aventis Pharma, l'inscription du paracétamol au registre des génériques entraînerait une baisse significative des ventes pouvant aller de 30 % à 50 %. La baisse estimée de 40 % de l'activité du site pourrait aboutir à la fermeture pure et simple de l'usine et donc à une perte de 150 emplois directs sans compter les retombées économiques pour la région." Puis sont brandies des menaces d'approvisionnement depuis l'Inde ou la Chine...

Réponse du ministre : "Par ailleurs, la création d'un groupe générique pour le paracétamol aura pour effet de permettre la prise en charge par l'assurance maladie de frais exposés sur la base d'un tarif forfaitaire de responsabilité. Le ministre a conscience de l'enjeu en termes d'emplois pour les collectivités locales où sont situés les centres de production concernés. Toutes les précautions seront prises, en concertation avec les entreprises concernées, pour concilier les exigences de nécessaire maîtrise des dépenses d'assurance maladie avec ces préoccupations."

Le Ministre de la Santé a donc négocié avec Aventis (aujourd'hui Sanofi) la protection dont toutes les firmes industrielles rêvent pour leurs produits : une légère baisse de prix en échange d'une situation de quasi-monopole (partagée avec le Dafalgan). Le fait qu'il n'y ait pas de génériques du Doliprane en France est donc du à une mesure de lobbying d'un industriel qui a menacé l'Etat de fermer une usine avec la complicité des élus locaux.

Cette prise de position de l'Etat peut paraître louable au premier abord puisqu'en cédant au chantage de l'industriel, des emplois sont préservés. Mais les conséquences sur le long terme contribuent à une atteinte à la concurrence qui est encore plus délétère.

Industrie pharmaceutique et téléphonie, même combat !

Des chantages similaires ont été pratiqués dans la téléphonie également pendant les années 2000, permettant à quelques opérateurs de se partager le marché. Ce marché juteux très fermé à la concurrence a été attaqué par un certain Xavier Niel imposant au fil des années un tarif aux alentours de 30 euros pour une box triple play, réduisant drastiquement le forfait de la téléphonie mobile, et le coût scandaleux des SMS. Tout le marché de la téléphonie a évolué et tout le monde y a gagné.

Les opérateurs historiques ont également fait valoir qu'il y aurait des représailles sur l'emploi. Cet été, Bouygues justifiait honteusement un plan social en mettant en cause Free. (Source : Le Parisien) Dommage que Bouygues, Orange et SFR n'aient pas plutôt cherché à attaquer Free sur un terrain plus sain : celui de l'innovation et de la compétitivité.

Le Doliprane de Sanofi, c'est le Minitel de France Telecom.

Ils ne veulent pas faire dans le médicament chez Free ?


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22 réactions à cet article    


  • pjf971 28 janvier 2013 17:33

    Pas de générique ?
    Et le Paracétamol MYLAN : exactement le même dosage. Ce n’est pas un générique ?


    • Loup Rebel Loup Rebel 28 janvier 2013 17:43

      Les grand esprits se rencontrent !


    • wawa wawa 29 janvier 2013 06:27

      Les paracetamols existe depuis belle lurette, mais doliprane&efferalgan ne sont pas inscrit sur la liste des médicaments substituables & ne sont pas légalement substituable, bien que largement pratiqué (faut pas déconner quand même).

       Amha il ne faut pas y voir le resultat du hasard administratif mais bien celui du lobbing sans vergogne des fabfricant desdit produits, pas forcement du dessous de table classique (encore que) mais au moins un message du style « le doliprane restera fabriqué en france si il reste non substituable, sinon le paracetamol sera fabrique en Pologne ».

      Eh oui chacun défend son « bout de gras »

      Dans le même esprit on pourrait citer les logiciels de médecin, qui en plus de ne pas proposer de substitution automatique comme pour d’autres médoc (ce qui est parfaitement règlementaire bien qu’absurde), font une substitution inverse (c’est a dir que quand le doc tape « paracetamol », l’ordi affiche doliprane ou efferalgan). Là non plus pas de hasard, mais le résultats d’une convention entre éditeurs de logiciel & laboratoire.

      Voilà les précisions que je peux apporter


    • Folacha Folacha 29 janvier 2013 09:45

      Oui, il me semblait bien avoir déjà acheté du paracétamol Mylan . 


    • Mania35 Mania35 29 janvier 2013 14:35

      Et le Paracétamol 500 mg de chez Arrow Conseil à 1€ la boite de 16 comprimés.


    • ONKOS 14 juillet 2015 11:34

      Il en est de même pour l’aspirine... Je travaille d’ailleurs sur un dossier couvrant ce point et j’aurais aimé m’entretenir avec vous WAWA pour savoir ce qui a changé depuis 2013. Si vous êtes intéressé, vous pouvez me laisser vos coordonnées via l’email « contact » de ma société (voir sur www.onkosconsulting.com) et je vous recontacterai. Bonne continuation !


    • Loup Rebel Loup Rebel 28 janvier 2013 17:42

      Pas de générique ?

      Et le paracétamol du laboratoire MYLAN ?

      Certes, la différence de prix est minime, mais dans le coût de ce médoc, la plus grande part revient à la logistique qui le conduit jusqu’à la poche du consommateur.


      • CAFDCO 28 janvier 2013 22:28

        Il existe aussi DAFALGAN , EFFERALGAN et bien d’autres équivalents thérapeutiques


        • Irina leroyer Irina leroyer 28 janvier 2013 22:32

          j’ai remarqué que de nombreux médicaments français sont beaucoup moins chers à Moscou ou à Alger.


          Il est vrai qu’en France ce même médicament est remboursé par la sécu, alors tout le monde s"en fout ! il en est de même pour les lunettes et les prothèses auditives....

          quelle escroquerie !

          Irina

          • foufouille foufouille 29 janvier 2013 11:36

            « il en est de même pour les lunettes et les prothèses auditives.... »

            mdr
            surtout vu le tarif secu des lunettes


          • Micka FRENCH Micka FRENCH 29 janvier 2013 15:37

            De l’Ecossaise...

            Comment ça, pas de générique Paracetamol ?
            En France le générique Paracetamol ou Ibuprofène coûte 1,50 euro. (2 molécules).

            Lorsque je l’achète en France ou en Grance-Bretagne (Londres ou Edinburgh) il coûte 0,30 euro la tablette à Girona en pharmacie et £1 en UK les 3 tabletttes chez PoundLand.

            Micka FRENCH


          • Micka FRENCH Micka FRENCH 29 janvier 2013 15:39

            Lire :« en Espagne »...
            MF


          • eau-du-robinet eau-du-robinet 29 janvier 2013 08:37

            S’il existerait un médicament contre la « boulimie du fric » il se vendra certainement vendu en grande quantité chez les gens travaillent chez les Pharmacos !

            Cette histoire montre une nouvelle fois que ses gens (multinationales) ne méritent pas la liberté mercantile laquelle il sont acquise grace à leur lobbing auprès des gouvernements. 

            Il faut pas oublier que tout ce scenario est financé par les consommateurs.

            L’état doit jouer son rôle d’arbitre, fixer les limites, et nous débarrasser de ses brebis galeuses .

            Mais les consommateurs de Doliprane sont aussi pour quelque chose !
            Faut t-il prendre un médicament au moindre « bobo » ? Il y des gens qui abusent gravement avec les médicaments.

            Paracétamol : les risques et les alternatives naturelles

            Une courte citation du lien précédent :

            Les alternatives naturelles

            Douleurs aiguës et fièvres : il n’existe malheureusement pas d’alternative naturelle d’usage aussi facile et d’efficacité autant garantie que les simples cachets de paracétamol ou d’antalgiques de type AINS pour traiter douleurs aiguës (règles douloureuses, maux de tête…).

            La sophrologie, les massages, l’application de chaud ou de froid, peuvent être d’une grande aide, à condition d’en avoir l’expérience. Pour les maux de dents, un clou de girofle malaxé ou de l’huile essentielle de girofle mélangée avec un peu d’huile peuvent calmer la douleur en attendant de se rendre chez le dentiste. Pour la fièvre, la tisane de reine des prés, si elle est de bonne qualité, peut donner de bons résultats car elle contient un précurseur de l’aspirine (mais il faut bien surveiller la température, car toute fièvre supérieure à 39° peut avoir des conséquences graves).

            Douleurs chroniques : pour soulager les douleurs chroniques (arthrose, rhumatismes, maux de têtes ou migraines répétés...), il existe des solutions diététiques et thérapeutiques (mélanges de plantes spéciales rhumatismes, baumes aux huiles essentielles, massages, kinésithérapie, hydrothérapie, acupuncture, ostéopathie…). Mais si on veut passer aux médecines naturelles, c’est toute la prise en charge médicale qu’il faut revoir, avec un médecin naturopathe ou homéopathe.

            Autre information à lire :
            PARACETAMOL : Plus dangereux que vous ne croyez, demandez aux Irlandais


            • latortue latortue 29 janvier 2013 11:37

              exacte le générique est parfois dangereux pour la santé pour la simple et bonne raison que la molécule est la même oui ,mais l’enrobage est différent donc les recherches au départ effectuées par le laboratoire sur un médicament tiennent compte de l’enrobage qui permet ,et l’assimilation de la molécule ,et l’éradication de certains effets indésirables.
              il y a deux sortes de générique ceux fabriqués par le laboratoire a l’origine de la découverte de la molécule et ceux fabriqué par les labo générique qui eux sont des faux genériques .dans l’un le médicament est a l’original dans l’autre l’enrobage est différent .
              de plus les effets secondaire coute de l’argent a la sécu et on en tient pas compte ,par exemple le médicament augmentin a un générique amoxicilline ayant pris le second je me suis retrouvé au urgence pris de vomissement énorme alors qu’avec l’augmentin habituellement pris avant rien .est ce que ce coup d’intervention du au génériques est pris en compte dans le cacul des économies de la sécu non .
              il est évident qu’un pharmacien a intéret a vendre du générique car les marges des pharmaciens sont inversement proportionnelles au prix industriel du médicament : les moins chers d’entre eux se voient ajouter une marge de 26 %, tandis que les plus chers sont majorés de seulement 6 %. Les pharmaciens gagnent parfois plus d’argent en vendant un générique plutôt qu’un princeps. En fait, il peut même être plus avantageux de vendre un générique : "Les fabricants n’ont quasiment pas le droit de faire de remises aux pharmaciens, Elles sont limitées à 2,5 % pour les princeps. En revanche, pour les génériques, cela peut aller jusqu’à 17 %. C’est donc à l’avantage du pharmacien. Pour le client, ça ne change rien."je refuse les faux génériques et tous le monde devrait faire pareil


            • maturin.j 29 janvier 2013 10:51

              bonjour,

              habile bil
              joli coup de pub pour la marque citée !...hein ?
              sept fois la marque est écrite...ha ha .
              belles photos de la boite !..
              vous devez être un visiteur merdical,
              les génériques existent bel et bien comme on répondu les commentateurs plus haut.
              en plus vous mentionnez un journal, un labo, et deux opérateurs tel :
              vous avez des actions ?...


              • Intelle Intelle 29 janvier 2013 10:56

                J’utilise le paracétamol car l’aspirine m’est déconseillée par mon médecin, alors j’ai le choix entre le Doliprane et deux génériques que j’ai déjà utilisés, Mylan et Teva. Le premier est exactement au même prix que Doliprane (1,95 €, pourquoi l’acheter ?) et le 2ème 1,68 €...

                Quand on ne me propose pas le moins cher, je préfère prendre l’original, au même prix que le générique.

                • BlackMatter 29 janvier 2013 11:42

                  Malheureusement, il est assez commun ici de lire des articles dont la base s’avère totalement fausse et donc toute l’argumentation qui en découle aussi.


                • Ruut Ruut 29 janvier 2013 14:15

                  C’est quoi l’intérret de forcer la vente de médicaments d’importation ?


                  • mortelune mortelune 29 janvier 2013 17:19

                    On se pose moins de questions quand il s’agit de balancer des centaines de bombes sur un pays. Bizarrement les dépenses engagées ne fabriquent pas de déficit. Qu’on arrête deux secondes de croire à cette combine politique qui consiste à nous mettre dans la tête qu’il va falloir diminuer les dépenses de santé car elles coûtent trop cher. Sur ma feuille de paye je cotise pour ma sécu et rien ne figure concernant les dépenses militaires. D’où provient l’argent alors ? 

                    Perso je ne suis pas pour le maintien de la sécu en l’état (sauf pour les intervention chirurgicales) et je suis pour la liberté de cotisation. C’est un choix et j’assume... Je suis contre les génériques qui génèrent des soins à deux vitesses. 
                    Quand j’achète du Doliprane je le fais sans ordonnance et je l’achète au besoin comme j’achète des chewing gum. 
                    Les français ne disent rien quand l’Union Européenne interdit la médecine par les plantes et ils trouvent à redire sur le remboursement des produits vendus par les lobbies pharmaceutiques.
                    Ainsi va le monde en janvier 2013...

                     

                    • mortelune mortelune 29 janvier 2013 17:29

                      Pour ceux qui veulent des informations j’ai trouvé une page entière de liens concernant la santé

                      Il y a tout ou presque et vos questions trouveront certainement des réponses. 
                      exemples : 
                      etc...

                    • Pharmwatch Pharmwatch 5 février 2013 10:46

                      Dans mon article, j’affirme, et je maintiens l’affirmation qu’il n’existe pas de génériques du Doliprane, pas plus d’ailleurs que de l’Efferalgan. (Et non, il ne s’agit pas d’une publicité pour l’un ou l’autre de ces produits !)

                      Le paracétamol Sandoz ou Mylan ou de n’importe quel autre labo se comporte très probablement à peu près de la même façon que le Doliprane ou l’Efferalgan. En tout cas, il n’y a pas de raison objective pour qu’il y ait de réelles différences.

                      Je vous invite à lire cet article du Figaro qui décrit plutôt bien la situation : http://www.lefigaro.fr/temp/2007/06/09/04010-20070609ARTFIG90819-pourquoi_le_doliprane_reste_le_medicament_le_plus_vendu_en_france.php

                      Nous avons donc bien deux médicaments de marque, et plusieurs « paracétamol à 500 mg » qui sont peu ou prou identiques aux deux originaux. Jusque là, nous sommes d’accord.

                      Parlons argent !

                      Ce que je dénonce, c’est que ni le Doliprane, ni l’Efferalgan, n’ont de générique officiel, c’est à dire de médicament inscrit dans le Répertoire des génériques. C’est une exception dans toute la pharmacopée. Pour cette raison, un pharmacien n’est pas tenu de les substituer par un produit moins cher. Je ne dis pas qu’il ne le fera pas. Je dis juste qu’il n’aura pas la même pression des pouvoirs publics qu’avec les autres médicaments.

                      La preuve, c’est que le taux de substitution du Doliprane est de l’ordre de 15% au lieu des 85% habituellement rencontrés. Sanofi, par des opérations de lobbying bien placées et chantage à l’emploi, a réussi le tour de force de conserver la quasi-totalité du chiffre d’affaire de ce produit (qui a été amorti depuis des dizaines d’années) en bloquant des génériqueurs. Un enfumage drôlement efficace !

                      Quant à ceux qui me critiquent en me demandant « d’arrêter de faire du Sanofi Bashing » (et qui ont spécifiquement créé un profil pour venir en aide à cette firme), je vous invite à relire mon texte plus lentement et à cliquer sur les liens qui prouvent mes dires.

                      C’est l’argent du contribuable qui est dilapidé sur cette anomalie qui touche le premier médicament en unités vendues et l’un des tous premiers en chiffre d’affaires !


                      • Spider 6 juin 2013 23:58

                        La réponse est simple, le doliprane n’est pas génériqué, car il n’y a pas de brevet, tout comme l’aspirine, ces médicaments sont trop anciens.

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