Parmi le déferlement d’informations médiatiques concernant l’épidémie grippale en cours, il est bien difficile au citoyen lambda de se faire une opinion sur la nécessité ou non de se faire vacciner contre un virus que l’on présente comme de plus en plus virulent. Ce choix est d’autant plus difficile qu’un climat de peur et de panique se fait jour, rendant tout raisonnement rationnel impossible. Comment en est-on arrivé là et pourquoi la foule se presse-t-elle au sein des centres de vaccination ?
Quasiment tous les professeurs de Médecine que l’on entend sur les ondes ou qui sont invités sur les plateaux télévisés développent une argumentation simple : la maladie grippale est grave, le vaccin est très efficace et sans danger. Ils se font ainsi l’écho des avis officiels gouvernementaux qui centralisent eux-même l’avis d’experts dont l’indépendance par rapport à l’industrie pharmaceutique gagnerait à être précisée (1).
Parallèlement à l’avis dogmatique des médecins hospitaliers, confrontés par essence aux formes les plus graves des maladies infectieuses, il serait intéressant d’entendre le point de vue des médecins de terrain, médecins généralistes et pédiatres libéraux. Il est par exemple très instructif de prendre connaissance des réflexions sérieuses et contrastées des Dr Dominique DUPAGNE (2) et Christian LEHMAN (3) sur leurs sites Internet respectifs. On y voit développés trois aspects importants de cette épidémie, points négligés par les spécialistes hospitaliers et les experts officiels.
1. L’histoire naturelle de la grippe et de la vaccination anti-grippale. Le fait de proposer d’emblée à toute la population une vaccination généralisée pourrait empêcher de facto toute immunité naturelle de se mettre en place chez celle-ci. De ce choix, il découle que l’on s’engage de façon inéluctable, et ceci tous les ans, vers une vaccination généralisée de cette même population. Le "crû vaccinal 2010" inclura donc tout naturellement une souche du virus "mexicain" actuellement actif comme avaient été insérés dans le passé et de façon probabiliste des dérivés de la souche espagnole et du virus de Hong-Kong dans ce qu’il est maintenant convenu d’appeler le vaccin de la "grippe saisonnière". Pourquoi pas ? Mais cet implicite et cet absence de réel débat au sein de la communauté médicale semblent des décisions subjectives et trop précipitées.
2. La décision du Minisitère de la Santé, sous la férule de Roselyne BACHELOT a été prise rapidement en juin dernier. Il faillait élaborer un vaccin "pandémique" selon une procédure d’urgence. Cette même technique, mise au point quelques temps plus tôt pour contrer la prolifération du virus aviaire (H5N1), peu contagieux mais beaucoup plus redoutable puisque pouvant aboutir à un taux important de décès (environ 50%). Dans ce cas de figure, l’adjonction de conservateurs antérieurement abandonnés (thiomersal) ou d’adjuvants de l’immunité pour lesquels des doutes avaient été soulevés (squalène) étaient ici secondaires et acceptables si le besoin d’une vaccination à large échelle s’était fait sentir.
Cela n’est absolument pas le cas pour le virus actuel (H1N1), certes très contagieux mais infiniment moins dangereux si l’on en croit les chiffres de mortalité relevés au sein des pays de l’hémisphère sud où l’épidémie s’est à présent éteinte. On peut accorder l’excuse, qu’à ce moment, en juin dernier, les données clinique n’étaient pas encore très claires pour le nouveau virus mexicain. elle aurait pu se hâter lentement mais l’activisme et l’excitation sont visiblement hautement contagieux dans les sphères actuelles de l’Etat.
3. Ce qui est par conte incompréhensible, c’est l’organisation militaro-administrative de la campagne vaccinale actuelle et des questions qu’elle soulève :
Pourquoi disposer "du meilleur système de santé du monde", avec des praticiens libéraux rompus à vacciner des générations de patients si c’est pour leur opposer une fin de non collaboration ou tout au mieux une réquisition pour les transformer en vulgaires officiers de santé ?
Pourquoi avoir ainsi court-circuité l’accès direct à des praticiens qui connaissent très bien leurs patients et auraient pu ainsi choisir de façon sereine et éclairée qui parmi eux devait ainsi être vacciné et protégé en priorité ?
Pourquoi prendre une prétexte aussi stupide que le risque de rupture de la chaine du froid pour la conservation des vaccins chez les Médecins de ville pour concentrer toutes les séances de vaccination à la chaine dans des gymnases ou des salles communales ?
Pourquoi devant le mécontentement du corps médical, annonce-t-on que finalement le relais sera assuré au Printemps prochain par ces mêmes praticiens libéraux, c’est-à-dire lorsque la bataille sera terminée et que les virus grippaux auront gagné d’autres cieux ?
Pourquoi avoir cédé aux exigences des laboratoires producteurs qui, par mesure de facilité et d’économie, ont imposé de livrer des conditionnements de vaccins en flacons multi-doses ?
Pourquoi ces mêmes industriels ont-ils demandé contractuellement à être libérés de leur responsabilité en cas de problèmes si les adjuvants ou les conservateurs sont vraiment considérés comme sûrs par nos autorités sanitaires ?
Pourquoi recommander une vaccination sans adjuvants chez les enfants, les femmes enceintes et les personnes atteintes de maladies auto-immunes si cet adjuvant à base de squalène ne présente vraiment aucun risque ? Pourquoi les autorités sanitaires américaines ont-elles choisi de n’utiliser que des vaccins sans adjuvants ?
Le pouvoir gouverne par et avec les médias. La politique de santé se fait par conférences de presse. Notre Ministre de la Santé se croit obligée de se faire piquer le bras devant les caméras afin de montrer l’exemple. Au sein de cet engouement médiatique incontournable, en l’an de grâce 2009, l’infectiologie et l’épidémiologie se font désormais à TF1 et France Info.
Les esprits sont bien sûr frappés par les annonces de décès, notamment d’enfants, médiatisés en temps réel. Le fait que ces décès ne soient pas plus nombreux que ceux attendus pour une grippe saisonnière ne parait pas évident pour le grand public qui réagit dans l’émotion plus au choc des photos qu’au poids des mots.
Comment faire pour expliquer que le nombre de décès actuellement attribués à ce virus dit pandémique (111 morts au 4.12.09 pour 3.824.000 cas estimés de grippe A (4) soit 0,3 morts pour 10.000) soit inférieur aux taux observés lors des grippes saisonnières (estimé à 1 cas pour 10.000 lors de l’hiver 2004-2005) (5). Comment rappeler que nous sommes encore heureusement très loin des estimations pessimistes des experts du HCSP (Haut conseil de santé publique) qui nous prédisaient entre 6400 et 96.000 décès attendus pour cette grippe (6), synonyme de filme catastrophe. La décision de la commande des 94 millions de doses vaccinales était alors devenue urgente.
Pour le Médecin , l’existence de formes graves des maladies infectieuses n’est certes pas une découverte et le décès,surtout d’une enfant, est un drame que chacun redoute au plus haut point. On reste cependant stupéfait des méthodes d’incitation vaccinale de notre Ministre de la Santé qui vise plus à terroriser qu’à informer la population. Lorsqu’une journaliste l’interroge sur les réticences des collégiens à se faire vacciner, elle déclare qu’elle aimerait amener les récalcitrants dans les services de réanimation afin qu’ils puissent voir des jeunes de leur âge avec les poumons définitivement détruits, ce qui ne produit jamais (dit-elle) avec le virus de la grippe saisonnière.
La dramatisation monte en puissance au fil des jours. tous les Médecins reçoivent de multiples coups de fils de parents affolés et désemparés qui se trouvent dans une double contrainte. Nombre d’entre eux ne souhaitent pas faire vacciner leur enfant, mais une fois le "bon de vaccination" reçu, ils se sentent coupables de ne pas s’exécuter. Ils comptent donc sur leur Médecin pour les aider à se déterminer.
La majorité des Médecins n’est pas contre le principe de la vaccination. ils en déplorent cependant notablement les modalités actuelles et leur utilisation systématique et irraisonnée. ils déplorent tous le spectacle de la mort et de la souffrance mis en scène au journal de 20 heures.
Ce climat artificiel de pseudo guerre bactériologique n’est pas justifié et risque de nous "distraire" (au sens Pascalien du terme) de l’essentiel. La crise, le chômage, le lien social, la mondialisation, les risques climatiques sont toujours là et bien là. une épidémie de grippe n’est pas synonyme de fin du monde. Il n’est point besoin de se bousculer aux portes d’entrée des centres de vaccinations. Peut-être ne s’agit-il en fait que d’une histoire d’audimat , d’un "kriegspiel" inédit, d’un mauvais jeu vidéo dans sa version virologique où chaque joueur achèterait pour détruire l’autre des stocks de masques de protection, des caisses de vaccins et des Jéroboams de solutés hydro-alcooliques ?
Mieux vaut les avoir planqués à la maison avec un masque sur la gueule plutot qu’ ils nous reprennent la Bastille encore une fois. Ils sont bêtes, bêêêê !
« Le fait de proposer d’emblée à toute la population une vaccination généralisée pourrait empêcher de facto toute immunité naturelle de se mettre en place chez celle-ci. »
Selon vous, quelle serait la « différence » entre une immunité provoquée par la maladie vaincue et une immunité provoquée par le virus administré volontairement. Laquelle de ces « immunités » peut-être qualifiée de « naturelle » ?
D’après ce que j’ai lu, l’immunité procuré par la vaccination serait courte, il faut se faire vacciner tous les ans (pour la grippe) sinon c’est inutile (histoire de souches différentes chaque année) ; alors que l’immunité provoquée par la maladie vaincue serait de 15 ans.
Ajoutons que l’on peut se retrouver exposer au virus sans être contaminé (en côtoyant des gens qui sont en bonne voie de guérison avec un virus affaiblit) et que ca aussi fait travailler nos défenses immunitaires.
@ Dc Le Houezec, Merci pour cet article très bien documénté et informatif. Il est réel que nous nous posons toutes les questions que vous énoncez. Lorsque je vois qu’actuellement, le durcicement de cette campagne vaccinale entraine la désorganisation de certains hôpitaux, la désorganisation de certains services de santé publique (PMI, scolaire centre de santé... ) et des services des infirmières libérales ; des services de santé militaires ; lorsque je vois les menaces et le chantage exercés envers les infirmières et les médecins pour les obliger à vacciner ; (menaces de peine de prison et d’amende prohibitice) ; lorsque j’entends Madame Bachelot décidée à amener les collégiens dans les services de réanimation ou nous expliquant que les personnes non vaccinées vont mourir...... lorsque je vois cette campagne se dérouler dans des conditions assez limite au niveau des conditions d’hygiène, avec des files d’attente de plusieurs heures , avec un regroupement assez important de personnes qui pourrait être à l’origine de contamination de maladies infectieuses Je me dis que si un jour nous devions vraiment faire face à un gros problème de santé publique, un virus plus virulent ou autre, nous ne serions absolument pas capables de faire face. En tout état de cause ce ne serait pas dans ce gouvernement que j’aurai confiance pour arriver à y faire face.
Pensons également que les laboratoires phamaceutiques ont réellement besoin de produire des vaccins pour arriver à survivre car il y a longtemps qu’ils n’ont pas découvert de nouvelles molécules qui leur rapporteraient de l’argent.
Et toute cette campagne masque les problèmes dans les hôpitaux, masque les problèmes provoqués par la capitalisation des centres hospitaliers... Quan dl’hôpital doit être rentable.....
D’accord avec Ph. Renève sur la qualité de l’article.
Ce qui jette le trouble dans cette affaire, c’est le mélange de cachoteries, de stupidité et de mauvaise fois de la part des pouvoirs publics : on a tout entendu et le contraire !
Quant à la mère Bachelot, cramponnée devant son écran d’ordinateur suivant avec impatience le décompte morbide des victimes dont la faible augmentation du nombre semble vraiment la désoler, le bras offert aux caméras pour la séance de piquouse (avec ou sans adjuvant : allez savoir !) elle se montre digne représentante d’un pouvoir qui sous couvert de protèger l’intérêt général, se préoccupe surtout de l’intérêt financier des labos, au détriment du trou de la sécu dont il sera toujours temps de diminuer les remboursements...
Non, la grosse Bache, sur l’ordinateur, elle surveille la courbe des valeurs des actions GSK, Novartis, etc.... qui monte, qui monte comme le petit virus.
« nécessité ou non de se faire vacciner contre un virus que l’on présente comme de plus en plus virulent »
Très virulent, en effet, un peu plus de 100 morts pour 4.000.000 d’infectés, soit 0,002% de décès, certainement le record de la grippe la moins létale de tous les temps.
Cette campagne médiatique stalinienne et la militarisation de la campagne marqueront l’échec des gouvernements à avoir su convaincre par des arguments rationnels.
Des centres de vaccination pris d’assaut, obligés d’ouvrir le dimanche ? Un trompe-l’oeil, pour l’instant ce ne sont que les 10 ou 20% de moutons qui étaient favorables à la vaccination qui se bousculent à se les geler dans les files d’attente.
Cette campagne restera un échec, en dépit des moyens totalitaires mis en place. Dans les écoles, c’est 10% des élèves qui ont reçu l’autorisation de leur parents, on reste dans les mêmes chiffres (dans la classe de ma fille, c’est un seul élève !).
Une seule explication à cette farce grotesque : quelque chose de grave, à venir, et seul connu des gouvernements, va bientôt arriver. Même les crétins qui nous gouvernent ne sengageraient pas dans une telle débilité sans une solide raison, qui nous est pour l’instant cachée.
2000 personnes contractent la grippe, et tout le monde veut mettre un masque !
25 millions de personnes atteintes du SIDA et personne ne veut mettre de préservatif...
PANDÉMIE DE BÉNÉFICES
Quels intérêts économiques se cachent derrière la grippe porcine ???
Dans le monde, chaque année, des millions de personnes meurent de paludisme. Une simple moustiquaire pourrait y remédier. Les journaux... ne le mentionnent pas !
Dans le monde, chaque année, 2 millions d’enfants meurent à cause de diarrhées ; qui pourraient être évitées avec un simple sérum coûtant 25 centimes... Les journaux... ne le mentionnent pas !
La rougeole, la pneumonie et d’autres maladies traitables par des vaccins bon marché, sont la cause de 10 millions de décès chaque année... Les journaux... ne le mentionnent pas !
Mais, il y a 10 ans environ, quand est apparue la célèbre grippe aviaire... Les journaux du monde entier ont été inondés de nouvelles...
Une épidémie. La plus dangereuse de toutes... une Pandémie ! Le monde ne parlait que de la terrifiante maladie d’oiseaux...
Toutefois, la grippe aviaire n’a tué que 250 personnes en 10 ans... 25 décès par an... La grippe commune tue chaque année, un demi million de personnes dans le monde.
Un demi-million contre 25 ???
Un instant... un instant !!!
Alors, pourquoi une si grande agitation autour de la grippe aviaire ??? Parce que, derrière ces petits poulets se cachait un « coq ». Un coq ambitieux et à la crête bien grande... La compagnie pharmaceutique transnationale Roche * avec son célèbre *Tamiflu* a vendu des millions de doses aux pays asiatiques. Bien que le Tamiflu soit d’ efficacité douteuse, le gouvernement britannique en a acheté 14 millions de doses comme prévention pour sa population.
Avec la grippe aviaire, Roche et Relenza, les deux grandes compagnies pharmaceutiques qui commercialisent l’antivirus, ont obtenu des millions de dollars de bénéfices.
Avant les poulets... maintenant les porcs.> Oui, maintenant, a commencé la psychse de la grippe porcine. Et tous les journaux du monde entier ne parlent que de ça...
Oubliée la crise économique (créée par qui ???), ou la torture à Guantanamo...
Il n’y a plus que la grippe porcine, la grippe des cochons...
Question : Si derrière les poulets se cachait un « coq »... derrière les cochons... se cachera un « GROS COCHON »...
La compagnie , des États-Unis, détiens le brevet du Tamiflu.
Le principal actionnaire de cette compagnie n’est rien d’autre que le sinistre personnage, Donald Rumsfeld, secrétaire de la Défense de Georges Bush, architecte de la guerre contre l’Irak... Les actionnaires des pharmaceutiques Roche et le Relenza se frottent les mains. Ils sont heureux de voir les ventes de leur douteux Tamiflu à nouveau millionnaires.
La vraie Pandémie, c’est le bénéfice... Les énormes profits de ces mercenaires de la santé...
Je ne nie pas que les mesures de précaution prises par les différents pays ne soient nécessaires.
Mais, SI la grippe porcine est une pandémie si terrible, comme l’annoncent les médias... Si l’Organisation Mondiale de la Santé (dirigée par Margaret Chan, de la Chine) est tellement préoccupée par cette maladie... pourquoi ne pas la déclarer comme problème de santé publique dans le monde entier et ainsi permettre la fabrication de médicaments génériques ?
Sauter les brevets de Roche et le Relenza et distribuer les médicaments génériques gratuitement à tous les pays, en particulier les plus pauvres, serait la meilleure solution.
Car, les médias ne divulguent que ce qui intéresse leurs sponsors, jamais ce qui importe aux simples jetons que nous sommes tous...
@l’auteur 1. L’histoire naturelle de la grippe et de la vaccination anti-grippale.
On a l’impression qu’on adopte la méthode de l’industrie agro-alimentaire, a savoir trafiquer les produits pour obliger a les racheter tous les ans
Avant un paysan semait du blé, et à la récolte, il en gardait une petite partie qu’il utilisait pour semer l’année suivante Aujourd’hui on a « brevetisé » et stérilisé les semence afin d’obliger les paysans à racheter de nouvelles semences chaque année et là on fait pareil avec les vaccins. on fait tout pour détruire les capacité qu’a l’individu a s’auto-immuniser afin de l’obliger a se faire vacciner chaque année.
a john Lloyds : Je suis bien d’accord avec ta conclusion. De suis boi bêbe gribbé et même pas bort. Je ne veux pas revenir sur tout ce qui ce dit mais cette insistance à vouloir vacciner tout le monde au détriment d’une immunité naturelle que nous donne la maladie, le risque de faire muter le virus avec le vaccin, l’emploi généralisé et gratuit ( oui oui gratuit depuis aujourd’hui) de Tamiflu, nous présage rien de bon. Pourquoi nous donne t’on aujourd’hui ce qu’il était impossible de se procurer il y a encore quelques semaines ? Qu’attend on d’un usage généralisé du Tamiflu pour une grippe qui ne nécessite pas l’usage d’un tel antibio pour la majeure partie des gens. Bien sûr que chacun décide, bien sûr que les personnes fragiles se posent la question du facteur risque de façon différente, et tant mieux si elles ont le vaccin sans adjuvant (mais pas sans mercure), mais ça ne justifie toujours pas cet acharnement. Si pôle emploi pouvait en faire de même............ A + , c’est tjrs un plaisir de te lire Gavroche
combien de personnes que vous connaissez (amis, parents, voisins, collègues) ont eu la grippe ??
on parle de 3 millions de personnes touchées (donc 1 sur 20) , et depuis septembre, je ne connais qu’un seul cas, et pourtant depuis septembre, j’en ai vu des gens !!
dans les medias, il ne manque pas un journaliste, pas un présentateur de jeux débiles, pas une bimbo, personne n’est touché !
@ Goc : suis comme toi , je suis sur Toulouse, et à part moi, je ne connais personne qui l’a eu. Je ne l’ai même pas passé à ma famille. Quelques courbatures 24h, un p’tit 38 et une irritation de la gorge persistante mais sans gravité. C’est TROUBLANT
Je vais certainement déplaire ici. Mais il semble bien que même si le scénario le plus pessimiste n’est pas d’actualité.
La situation est grave, il y a une multiplication personne qui se trouve entre la vie et la mort et la virulence du virus semble s’amplifier.
Je ne sort pas cela d’un chapeau, mais d’un pédiatre hospitalier, je reprend ses mots « nous n’avons jamais vu ça ». Des enfants et des jeunes adultes arrivent massivement dans des états très graves à l’hôpital.
Des femmes sont césarisés après leur décès pour sauver les bébés,
Depuis quelques jours déjà, les personnels hospitaliers les plus réticents mais témoins du drame en train de se dérouler devant leurs yeux, ce font vacciner sans discuter.
Vous pouvez penser ce que vous voulez, mais les faits sont là ....... Lorsque les chiffres non partiel de la mortalité seront publiés dans quelques mois, il y a fort à parier que le terme de grippette aura été le mot de plus débile de l’année.
Vous avez sans doute remarquez aussi que ceux qui avaient évoqué la grippette ne se manifeste plus ... A mon avis ils ont raisons, cela pourrait bien leur revenir en pleine figure sous la forme de plaintes .....
nous avons déjà eut un certain professeur qui a défendu longtemps la thèse du nuage de Tchernobyl passé à coté de la France mal lui en a pris ....
Je ne parle pas de ce charlatan de docteur G ...... dont le cas semble définitivement désespéré et dont nous ne pouvons qu’espérer que ces thèses vaseuses ne feront pas trop de victime ...
@ Viva, rien que de traiter le docteur G de charlatan, entraine une décrédibilisation de tout le post. Pour ma part, je connais une bonne quinzaine de médecins, et de pédiatres, certains travaillent en libéral d’autres en hospitaliers, et dimanche où nous nous sommes revus, aucun ne parlait de situation catastrophique. les pédiatres , dont deux travaillent en réanimation ( un en néonat et l’autre en réa pédiatrique) ne disaient absolument pas cela. Ils ont des cas d’enfants ayant la grippe mais la situation n’est ni désespérée ni catastrophique. La plupart des enfants sont des enfants qui ont déjà une pathologie, et qui sont souvent hospitalisés lorsqu’ils ont des symptômes grippaux.
Certains médecins ne comprennent pas non plus pour quelle raison on donne du Tamiflu . Antiviral sans grande portée , et qui devrait être réservé à des cas bien spécifiques.
La plupart des médecins ne comprennent absolument pas l’intérêt de ce genre de campagne vaccinale, qui discrédite le gouvernement et qui provoque une terreur sans nom dans la population par l’intermédiaire des médias.
Les généralistes expliquaient qu’ils avaient quelques patients trés inquiets dés que leur chérubin avait une rhino ou un peu de fièvre et que par contre leur cabinet ne désemplissait pas à cause de la folie créée par Madame Bachelot.
Ils ne voient pas vraiment de vrais cas de grippe A. Non, certains ont des syndromes grippaux mais ils disent avec unanimité qu’ils ne peuvent faire la différence entre de vrais cas de grippe A et des syndromes grippaux habituels.
Actuellement , on compte les décés 1 par 1 pour affoler la population. Par contre, on laisse les ados pouvoir acheter de l’alcool et des cigarettes. On n’emploie aucun moyen pour dissuader les gens de fumer et de se détruire les poumons. Le cancer du poumon tue davantage. On ne parle pas non plus des enfants qui crèvent de faim, et des familles qui vivent dans le plus complet dénuement. On mettrait autant d’argent et d’énergie à trouver des soutions pour que chacun vive décemment (si si c’est possible avec un peu de bonne volonté) , je peux vous garantir qu’il y aurait moins de problème au sein de notre population. (que ce soit de violence, d’irrespect ou de suicide) . Il faut arrêter de jouer la carte du catastrophisme.
Pour ce qui est des chiffres, le gouvernement est ravi de chaque décés. Oui ravi car ils croient que cela signifie qu’ils ont raison. Ils ne tiennent pas compte du nombre de personne qui sont décédées des effets indésirables du Tamiflu ( et oui il y en a beaucoup et entre autre des arrêts cardiaques) des problèmes de santé déjà existant et des faux cas. Certains décés répertoriés n’ont pas été analysés ; d’autres comptabilisés mais après analyse , il ne s’agissait pas vraiment du virus grippe A... (manchette en première page décés de mr X à Valencienne de la grippe A et quelques jours jours plus tard tout petit entrefilet disant mR X n’avait pas la grippe A... )
EN bref, je ne suis même pas certaine que dans quelques mois on pourra faire confiance au nombre de décés annoncés....
Le taux de létalité du virus est à présent connu, il est de 1 décès pour 2000 personnes, sont principalement touchés les enfants, les adultes jeunes, les femmes enceintes ....
Ce sont les chiffres qui sont donnés par le professeur Marc Lipsitch, de l’université d’Harvard qui à étudié la mortalité dans plusieurs villes américaines.
le chiffre de 0,003% n’est pas représentatif, il s’agit des cas pour lequel il est écrit grippe H1N1 sur le certificat de décès. La mortalité réelle en France n’est pas connu pour l’instant ...
j’imagine que vous tirez vos chiffres de l’article de ouest france qui précise que ce même auteur avait préalablement estimé le nombre de décès à 0,007% sur sa première estimation, ce taux étant équivalent à une autre étude américaine actuelle. Il faut savoir que les critères de calcul viennent d’être modifiés (en octobre !!), gonflant artificiellement le nombre de décès de la grippe A (cf : pharmacritique). Mais même en comptant avec les nouveaux critères « gonflés », ils ont eu aux USA environ 4400 décès pour 300 millions d’habitants ce qui fait environ 0,0015%...(sauf erreur de calcul de ma part).
Les seul déclaration du docteur Lipsitch que je trouve indique que le tôt de mortalité de la grippe H1N1 est inférieur à celui de la grippe saisonnière banale et dont on ne parle que très rarement. Et qu’il n’y a donc pas matière à se faire vacciner d’urgence, par un vaccin mal testé qui plus est (car ce vaccin a été testé en urgence et sans respect des protocoles classiques, c’est un fait non contesté.)
J’attends donc un lien vers le document que vous utilisez comme source. Faute de quoi je serai obligé de considérer votre information comme non fondé et donc irrecevable.
Non, pour l’instant la létalité du virus H1N1 est évalué à minima.
Lorsque vous voyez les attaques que subissent les pouvoirs publiques au sujet des centres de vaccination, il est facile d’imaginer ce serait passé si des mesures n’avaient pas été prises.
Il faut aussi comprendre que d’annoncer des chiffres de mortalité plus important créeraient une panique difficilement gérable. Il y a énormément de plaintes émanant de personne n’ayant pas encore reçu de bons de vaccination.
Une chose est sure, avant que tout le monde soit vacciné il faudra du temps en attendant il va il y avoir des décès et des personnes qui vont se retrouver avec des séquelles graves.
Le nombre de décès lié à cette grippe ne pourra pas être connu avant plusieurs mois, des chiffres compris entre 5000 et 7500 semblent vraisemblables cela peut être moins mais aussi plus. La particularité, c’est que les victimes sont des enfants, des adultes jeunes et en bonne santé
@viva Je remarque que viva n’a pas répondu à ma demande « @Viva : donnes moi le nom de l’hosto où est ton pédiatre. Car même Rosy n’ai pas au courant !!! » suite à son affirmation du 7/12 à 22h46 : « Je ne sort pas cela d’un chapeau, mais d’un pédiatre hospitalier, je reprend ses mots »nous n’avons jamais vu ça« . Des enfants et des jeunes adultes arrivent massivement dans des états très graves à l’hôpital.Des femmes sont césarisés après leur décès pour sauver les bébés »
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