Vaccination scolaire « contre le cancer du col » en Belgique : toutes les directions d’écoles et les associations de parents auront été informées

Après avoir écrit sur le sujet le 8 août dernier aux Ministres belges concernées, Mesdames Laanan et Simonet, comme la presse en a fait état, Initiative Citoyenne a cette fois écrit à toutes les directions d'écoles secondaires et d'internats ainsi qu'aux Associations de Parents des réseaux officiel (FAPEO) et catholique (UFAPEC).
Ces différentes démarches se justifient dans un contexte où le rapport bénéfices/risques officiellement présenté d’une telle vaccination nous apparaît pour le moins discutable et où l’information trop unilatérale jusqu’à présent, génère en quelque sorte une « soumission consentie », en contradiction flagrante avec la loi belge de 2002 sur les droits du patient.
Il s’avère que des deux vaccins anti-HPV disponibles, c’est le vaccin Cervarix de GSK qui a finalement été sélectionné par le Communauté Française pour la vaccination scolaire.
Or, comme nous l’avons déjà expliqué et démontré dans ces courriers référencés, à partir du moment où le contexte de cette vaccination implique :
- DES CONFLITS D’INTERÊTS (4 des 5 membres du Conseil Supérieur de la Santé qui ont fait les recommandations, selon le Vif du 14 nov. 2008 !)
- UNE EFFICACITE HYPOTHETIQUE qui ne sera de toute façon pas confirmée avant 20 ans (donc fausse appellation actuelle de « vaccin contre le cancer »)
- DES CHIFFRES INEXACTS de mortalité par cancer du col en Belgique (car amalgamés avec ceux liés au cancer du corps de l’utérus, comme avoué par le CSS dans son rapport, en p. 16/38)
- L’USAGE D’UN VACCIN EXPERIMENTAL (technique de fabrication encore jamais utilisée et nouvel adjuvant, l’AS04, comme reconnu par le rapport du CSS)
- DES EFFETS SECONDAIRES AVERES (+ de 2000 écolières vaccinées par Cervarix dont plusieurs cas neurologiques graves, comme relayé par la presse anglaise, mais aussi des décès suspects, des troubles graves de la vue, etc)
- UN CONTRASTE SAISISSANT entre les décisions étrangères et celle de
… les directeurs doivent-ils rester de simples administratifs, de simples exécutants ?
Ou bien ont-ils encore le droit et même le devoir de prendre part à l’indispensable débat citoyen, en respectant de ce fait la loi d’août 2002 sur les droits du patient qui prévoit le droit à un consentement libre et éclairé pour tout acte médical non urgent ?
Qu’arrivera-t-il en cas d’accident post-vaccinal ? Qui devra indemniser ? Les directeurs auront-ils une part de responsabilité pour avoir tacitement cautionné une telle démarche, sans avoir forcément veillé à ce que LEURS élèves soient suffisamment informées ?
Et puis que dire aussi du cortège de contradictions effarantes comme celle existant entre le Conseil Supérieur de
C'est pour toutes ces raisons qu'Initiative Citoyenne appelle
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