bonjour,
article sympathique que le votre, mais si on étend sociologiquement le sujet, on s’aperçoit surtout que les réflexes pavloviens d’autocensure et de censure sont surtout lié à la peur. Des attentats, des bandes de jeunes se fantasment en viril terroristes, qui sont aussi des élèves, et autres lignes de force violentes qui font que la communauté enseignante majoritairement féminine contribue aussi a hystériser négativement la critique principalement parce que pour elles, tout ce qui augmente le ressentie religieux se fait autant contre elles que contre ce qu’elles ont a enseigner.
L’islam religieux prend une posture victimaire pour ne pas entendre ni même étendre la pertinence de la critique occidentale, d’ailleurs nombreux sont les musulmans dont le complexe de persécution engendre l’absence d’audition a la critique, mais simplement 2 réactions, le rejet ( du ils ne peuvent pas nous comprendre à la comparaison de la critique faite au juifs) ou le combat ( du prosélytisme organique au bandes qui imposent un code ou la dignité est faite voile)
A cela on ajoute les parallèles avec la palestine, le constat fréquent d’etre une communauté mise à part de la communauté de destin nationale, et le rejet manifeste de quantité de lecture différentes du coran, que le français confond en une seule entité "islam", lectures souvent moyen ageuse dans les pays peu dévellopées. Pourtant Il y a un islam idéologique, méditerranéen, et proche de l’occident,
Ce qu’il manque fondamentalement pour l’instant c’est un malebranche musulman, un théologien raisonnable du coran, qui s’impose et impose une lecteur en adéquation avec l’usage de la raison qui plait a dieu, du libre arbitre, et où la révélation de la vérité se fait dans l’opposition amicale entre les opinions.
Ce dernier point est là grande différence entre nos 2 cultures, depuis la forme de l’écriture de la bible et celle du coran jusqu’au traductions de livres grecs.
du point de vue historique, sur les étapes de la construction de la pensée moderne occidental, on aperçoit deux virages distinctement prie de façon opposés entre les zones catholiques occidental et les zones musulmanes. LA bible est un ensemble de témoignages qui corroborent la vérité du christ, son message, et l’esprit critique d’un St thomas n’en fait pas moins un saint que les autres. Il y a dans la bible la reconnaissance validée de l’opinion de plusieurs personnes, d’origine, de niveaux sociales, qui ensemblent forme la bible.
Aussi une population majoritairement lettrée par la bible conçoit au moyen âge que les divergences d’opinions et confrontations d’opinions sont saines au sein d’une même entité sociale, que l’affirmation de la vérité passe par plusieurs témoins, et de là découle entre autres, aprés des siècles d’erreur et de rapport de force, le prima de la démocratie comme seule capable de réguler sans verser le sang la confrontation des doutes légitime de chacun. La reproductibilité chère aux avancées scientifique participe de ce même courant de confrontation des opinions.
Avec le coran, il y a une seule opinion, celle du saint qui dicte a mahomet le texte, elle viens d’en haut, elle est censée etre parfaite, immuable, intangible, n’entend pas la critique des hommes, et est issue d’un premier miracle, sont écriture elle même.
Une population majoritairment lettrée par un texte construit sur cette forme, une seule opinion dont l’unicité de la vérité viens d’en haut et ne peu etre critiqué, avec pour corrolaire pour être croyant il faut s’y soumettre un point c’est tout, n’engendre pas une culture où la vérité se révèle par l’esprit critique, par la confrontation des opinions, par l’insmoussion de l’esprit d’un chercheur aux vérités établies qui l’incite a ne pas aller voir plus loin, mais par la références soumise a un seul corpus de texte considérer comme au delà de ce qu’un homme peu penser et critiquer.
il n’y a pas de ST thomas dans le coran. Et pour les livres grecs, notamment les dialogues de platon, un exemple de ce que donne la confrontation des opinions, coté musulmans, ils ont été préservés mais uniqument mis dans les mains des intellectuels autorisés, une minorité. Coté occidentaux, aprés les avoirs récupèrer, les moines copistes de toute l’europe ont user leur doigts sur des plumes en un temps record pour l’époque afin de diffuser ces textes au plus grand nombre. Pas une université, pas une bibliothèque d’honnète homme de l’époque n’était complète sans sont philosophe grec.
Aussi l’influence du miracle héllène, une des bases de l’amour de la raison, a imprégnée des générations de lettrées et de penseurs européens, et finalement trés peu dans la culture musulman où on a maintenue ces textes loin de l’accès aux intelectuels. Aux passage on notera que quantité d’esprit de la révolution Française ont dans leur CV " traduit l’oeuvre grec d’untel ou d’untel"
Ces deux virages là, sont le pourquoi sur le cours qu’a pris la recherche de la vérité scientique, elle a briller de notre coté la méditerranée depuis des siècles, là ou ailleurs, notamment dans les pays musulmans, elle avance au rythme des innovations découverte ailleurs qu’elle assimile plus ou moins vite, mais sans réelle culture de la recherche.
Ce qui finit par engendrée ce décalage sur les champs de bataille qui fait que des armées qui se combattaient a l’arme blanche au moyen age, maintenant c’est plutôt un hélicoptère et des missilles contre une kalach, cette derniere n’étant pas non plus une invention issue de la recherche musulmane.
Aussi, même si bien évidemment avoir un gamin en face de soi qui en marre d’être insulté pour sa religion musulmane c’est pénible autant pour lui que pour qui est devant, ne pas critiquer l’idéologie musulmane, en temps que dogme a prétention intellectuel et universel au delà de l’esprit critique, c’est ne pas l’inciter a le faire lui même, ni a lui faire voir que la modernité dans laquelle il aime vivre, de sa console a son ordi en passant par son scooter, n’est pas dûe a la quête de la vérité orientale mais occidentale.
Ne pas lui rappelé qu’on ne peu pas prendre au pied de la lettre un livre qui est écrit a une époque où l’on était persuadé que la terre était plate, c’est le laisser du mauvais coté de la science et de la modernité, celui ou on apprend des choses inventée par l’occident, obligé pour se donner une valeur de rendre moralement ou esthétiquement supérieur, voir virilement aggressif, une appartenance a une culture qui a abandonné la notion d’évolution interne en figeant la vérité a une époque où la terre était communément connue comme plate.
Aussi, bien sur, laisser "l’ennemi musulman" dans l’ignorance, loin de l’apprentissage de l’usage des armes en arrétant la conscription, en cassant l’école, en lui apprenant via les ghettos américains qu’etre virile c’est être haschiché sans cervelle, et que son honneur c’est d’être soumis a une culture intellectuellement figée, fait de bien des musulmans une mains d’oeuvre pour métier peu qualifiés, militairement soumise, parce que si les banlieues dérapent de trop, aprés la police laxiste et lache, reste l’armée et son droit de tirer en cas de guerre civile mettant en danger l’intégrité de la nation.
Mais pour le gamin innocent qui viens de naitre en France aujourhd’ui, de culture franco musulmane, l’important, si on lui souhaite un avenir de Français et d’européen debout, c’est de l’inciter a lacher lui même la partie moyen ageuse du coran, ne garder comme le font les catholiques, l’incitation a faire sienne un ensemble de vertue,
et de prendre ce qu’il y a de bien dans sa culture occidentale, afin d’avancer en franchissant le double obstacle qui est le sien, être soumis a l’obligation morale de respecter ses racines oriental d’un coté, ( ce qui oblige a constamment regarder en arrière, se sentir coupable, solidaire de la misère et impuissant a pouvoir y changer quoi que ce soi, etc...) et d’être confronté à la crainte des autres de le voir épanouir un talent qui rentre en concurance avec eux dans la compétition de la vie notamment professionnel.
C’est un choix a faire, participer de l’avenir ou rester engluée sur les passées que nul ne peu plus changer.
amicalement, barbouse.