Récemment, je mettais un lien sur mon profil facebook à propos de ce qui séduit les hommes chez les femmes. Cet article d’un blog hébergé sur l’Express.fr, témoigne, selon l’enquête qui est citée, que les hommes sont attirés par les femmes jeunes et belles et sont disposés à prendre des risques inconsidérés pour tenter de les séduire en raison d’un afflux de testostérone. Ce qui a son intérêt puisqu’on sait qu’en période d’ovulation les femmes sont plus intéressées par les hommes plein de testostérone que ceux moins bien pourvus. Rien de nouveau sous le soleil. Cela m’a valu un commentaire désabusée d’une lectrice, « tous des coqs », ce qui n’est pas faux, et quelques signaux comme quoi l’article en question, ou peut-être uniquement son titre « les femmes rendent-elles les hommes stupides ? », avait plu. Qu’en-est-il dans le cas contraire ? Regardons les réponses de Borat et de François Damiens.
Le trait est un peu grossi par ces deux comiques interplanétaires et il nous faut aller plus loin dans notre quête. Loin de moi l’idée de polémiquer, j’aime les femmes et j’ai même travaillé, fût un temps, dans un centre d’information et de soutien aux femmes en difficulté, j’ai deux filles et je leur souhaite de trouver dans le futur, plutôt très très lointain, des hommes non dévoyés par une quête sexuelle sans fin même si cela ne sera pas facile et peut les vouer à un célibat éternel, mais quand même, mesdames, mesdemoiselles, il est temps de rétablir la vérité. Les hommes n’ont pas le monopole des réflexes primitifs en ce qui concerne la séduction. Les phéromones agissent sur les deux sexes avec autant d’acuité mais cela ne saurait pas expliquer l’ensemble du processus de séduction parfois bien plus complexe qu’une odeur, d’autant que celle-ci peut être masquée. Je me suis donc repenché sur plusieurs livres de psychologie sociale qui émaillent ma bibliothèque pour en trouver la preuve, n’est pas Mel Gibson qui veut. Messieurs, à la fin de cette note, vous trouverez le secret pour séduire une femme sur la base des études en psychologie sociale qu’il me tarde de porter à votre connaissance.