Comment faire chier un homme politique ?
Ils prétendent gérer nos vies et être à notre service. C'est certainement le cas de la majorité silencieuse et laborieuse d'entre eux.
Cependant, une petite frange (pour ne pas dire fange) d'entre eux, perdure sur le devant de la scène des décennies durant, servant avant tout ses propres intérêts et ceux de la ploutocratie galopante, leur véritable commanditaire. Aujourd'hui, personne ne conteste cette évidence.
Vu qu'ils ne respectent même plus les votes de leurs désormais subordonnés, et que la prétendue justice est maintenant à leur botte, il nous faut trouver d'autres moyens légaux pour combattre ces racailles.
En voici quelques exemples. A vous d'en proposer d'autres…
Les Raies-aux-sots-chiots :
Alors que beaucoup d'entre eux commencent tout juste à percevoir la portée d'internet, ils y ont au moins vu un média pratique pour faire le buzz, en étalant leurs gueules et leur logorrhées sur les réseaux sociaux. Moyen facile d'entretenir la flamme lorsqu'ils ne sont plus temporairement aux manettes, en lâchant régulièrement un petit mot critique à l'encontre de leur pseudo rival du moment. Bien entendu, quand, par le jeu perpétuel des chaises musicales, ils reviennent sur le pont, ils se gardent bien de mettre en place les mesures qu'ils annonçaient à grand renfort de tweets.
Quant à nos journaleux, ils ont toujours la mémoire trop courte pour leur rappeler au moment opportun leurs déboires judiciaires passés, présents (et certainement à venir).
Donc, à nous d'utiliser sans retenue les mêmes moyens de com…
Le doigt de déshonneur :
L'avantage est que cette méthode ne demande aucune technologie particulière (sauf pour les manchots), et qu'elle ne dégage pas de CO2.
Lorsque vous croisez un de ces bâtards dans un lieu public, lieu qu'ils affectionnent particulièrement, prenez un peu de hauteur par rapport à lui (escalier, escalator, pièce montée, etc…) et pointez-le du doigt continuellement sans rien dire et en le regardant fixement dans les yeux.
Qui que ce soit, je peux vous garantir que même le plus blindé d'entre eux sera immanquablement gêné.
Au pire, attendez-vous à un contrôle d'identité. Le summum serait d'être emmené au poste. Pour quelle charge : "Impolitesse", "Irrespect" ? Et pourquoi pas "Dérivé de quenelle", voire "Antisémitisme" ?
Ce qui serait démentiel, c'est que cette pratique soit contagieuse et que partout où ils aillent, et à tout moment, ces gens soient la cible de ce qui deviendrait alors un véritable harcèlement psychologique…
Flinguer votre bulletin de vote :
Depuis que le lotissement où j'habite a été créé, il y a 8 ans, il y avait quelques trous non négligeables dans la chaussée. Plusieurs démarches auprès de la mairie n'avaient rien donné.
Or, surprise, le lundi qui a précédé les dernières élections municipales, la mairie rebouchait tous ces trous... Sympa !
Respectant scrupuleusement mes devoirs civiques, je suis quand même allé voter. Et j'ai même voté pour le maire sortant !
Sauf que dans l'isoloir, j'ai pris un peu de temps pour commenter le bulletin de vote en question :
"Un grand merci à notre maire, Mr XXXX, pour avoir fait reboucher les trous de ma rue."
J'espère que lors du dépouillement, les partisans de ce petit joueur on enragé de se dire que quelqu'un qui avait mordu à l'hameçon de leur stratagème merdique, avait malencontreusement rendu son bulletin nul. C'est vraiment ballot !
Le téléphone déconne :
Profitez d'une émission à grande audience telle que le téléphone sonne pour poser une question bien embarrassante. Attention cependant à bien écouter l'émission afin de définir une vraie question pertinente, qui vous permettra d'être pris à l'antenne. Sauf qu'au moment de la poser, vous en poserez une autre à laquelle personne ne s'attendait…. Cette technique demande un peu de courage et de temps, mais elle est hyper impactante.
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