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Accueil du site > Actualités > Société > Euthanasie active : un dilemme cornélien...

Euthanasie active : un dilemme cornélien...

Le débat sur l'euthanasie est récemment réapparu sur le devant de la scène. Au-delà du débat médical et juridique sur le bien-fondé des arguments favorables ou opposés à la dépénalisation, il peut être judicieux d'examiner les impacts de cette action sur les plans intimes de l'être humain...

  En ce mois d'avril 2021, alors que toute la population est obnubilée par le troisième confinement et par les errements du plan vaccinal gouvernemental, le débat sur l'euthanasie se ravive à l'occasion du dépôt d'un projet législatif effectué par le député Olivier Falorni. La « Loi Léonetti » promulguée en 2005, relative aux droits des personnes en fin de vie, et interdisant l'acharnement thérapeutique mais aussi l'euthanasie « active », paraît en effet nettement insuffisante à celles et ceux qui souhaitent une avancée plus franche vers l'autorisation de mettre un terme à la vie de manière active dans certaines circonstances codifiées. 

  Tout le monde se souvient de « l'affaire Vincent Lambert » qui, durant presque une décennie, a divisé et meurtri la famille de cet homme plongé dans un état végétatif chronique à la suite d'un accident survenu le 29 septembre 2008. Certains désiraient une cessation des soins qui le maintenaient en vie, tandis que d'autres insistaient pour que ceux-ci soient administrés coûte que coûte. Ce n'est qu'en juillet 2019, après de multiples rebondissements judiciaires et politiques, que l'arrêt des appareils a été effectué.

  Il est évident que cette bataille juridique, mais surtout intrafamiliale, est l'exemple même de ce qui doit être évité à l'avenir. La douleur de voir un membre de sa famille emmuré dans un état inconscient jugé définitif est décuplée par les déchirures internes entre ses proches, ce qui est intolérable. Dans un système législatif tel que le voudraient les personnes favorables à l'euthanasie active, la situation « idéale », si l'on peut dire, aurait pu être celle-ci : Vincent Lambert se serait prononcé en toute conscience « pour » le choix d'une interruption médicale de ses fonctions vitales, dans le cas où une maladie, voire un accident, le placeraient dans un état incurable. Une fois le drame survenu, les médecins, convaincus que l'état « d'éveil non-répondant » du blessé était irréversible, auraient pris leur décision sans que les membres de la famille puissent intervenir.

  Mais cette situation est très théorique, et deux questions majeures se posent : 

  >> La première concerne le choix opéré par le sujet, qu'il s'agisse d'un accord ou d'un refus. C'est actuellement le cas pour les dons d'organe post mortem, par exemple. Mais en ce qui concerne l'euthanasie, le contexte est très différent. Il peut exister un fossé insondable entre les recommandations données alors que nous sommes en parfaite santé, incapables de conscientiser la réaction que nous aurions dans le cas où notre état se dégraderait de manière radicale, et le souhait ou la décision qui seraient les nôtres au moment où nous serions plongés dans le drame lui-même. 

  >> La seconde question est étroitement liée à la première et concerne le diagnostic lui-même. Les avancées permanentes de la chirurgie, de la domotique, des neuroprothèses, rendront de plus en plus difficile, dans l'avenir, d'afficher la certitude que le malade ne sortira jamais de sa tétraplégie, de son coma ou de son état végétatif. Sans oublier le fait que la souffrance physique, souvent invoquée dans certaines argumentations, est de nos jours combattue efficacement dans la majorité des cas.

  Les arguments de ceux qui sont favorables à la légalisation de l'euthanasie active et des opposants sont facilement accessibles sur Internet. Vous trouverez ci-dessous une courte liste de différents articles :

  >> Il faut dépénaliser l'euthanasie : voici pourquoi (CAIR.INFO)

  >> Non à la législation de l'euthanasie (JALMALV)

  >> Pour ou contre l'euthanasie (TECHNOSCIENCE.NET)

  >> Arguments contre l'euthanasie (VIVRE DANS LA DIGNITÉ) 
 
  Sans omettre les prises de position de divers intellectuels et philosophes. Par exemple, celle de Michel Onfray, qui a aidé sa compagne dans son désir de mettre fin à ses jours, ou a contrario celle de Michel Houellebecq qui déclare : « Une civilisation qui légalise l’euthanasie perd tout droit au respect ». 

  La personne qui lit en détail les arguments des deux camps se rend vite compte que la subjectivité est totale, que le ressenti intime de chaque intervenant est le ciment qui permet la construction d'une justification radicalement personnelle. Un exemple évident réside dans l'utilisation du mot « dignité ». 

 Dans le premier article cité, (CAIRN.INFO), favorable à la dépénalisation, nous trouvons cette phrase : « Ce droit à une mort digne, qui est purement subjectif, devrait être reconnu afin que chacun puisse disposer de la liberté de déterminer la qualité de fin de vie qu’il souhaite, en fonction de ses capacités vitales et de l’intensité de ses souffrances. »

  Dans l'article de VIVRE DANS LA DIGNITÉ, opposé à la dépénalisation, nous pouvons lire : « L'euthanasie est en contradiction avec les exigences de dignité et de véritable compassion qui sont au cœur de la médecine. »

  Par ce seul exemple simple, il apparaît évident que les mêmes mots sont utilisés par les deux camps dans des visions radicalement opposées. Ce qui est normal puisque chacun y incorpore sa conception de la manière dont doivent être conduites la vie et la mort. 

  Notre but n'est pas ici de discuter du bien-fondé des arguments thérapeutiques ou des dérives qui seraient susceptibles de se produire en cas de légalisation. Ces approches du problème relèvent des domaines spécialisés du droit et de la médecine. En revanche, il semble intéressant, voire indispensable, de se pencher sur la signification profonde de l'euthanasie active, pour le simple mais capital motif que celle-ci est en relation directe avec la pulsion de vie qui conduit à l'incarnation de chaque membre de la famille humaine.

  En examinant les points qui suivent, nous nous adressons surtout aux personnes qui partagent une certaine conception de la vie et de la mort. Mais toutes celles qui voient l'existence à travers un prisme différent, voire opposé, pourront peut-être retirer quelques réflexions utiles des développements qui sont proposés à la réflexion de chacun.

  La « vague de Vie » qui donne naissance à l'humanité, mais aussi à toutes les formes que nous connaissons, est permanente et indestructible. En revanche, les expressions matérielles de cette vie sont périssables. C'est une loi immuable de la nature, indispensable à l'évolution physique des créatures, mais qui dérange profondément les humains que nous sommes. Dans notre pulsion profonde de contrôle et de survivance forcenés, nous tentons tout ce qui est en notre pouvoir pour permettre à ce véhicule temporaire de durer le plus longtemps possible et cela dans un état de conservation optimal. C'est la raison pour laquelle Google dépense des milliards pour tenter de contrer une issue fatale pourtant salvatrice et inéluctable.

  Mais, à côté de ce désir d'éternité, nous ne supportons pas la dégradation du corps qui nous serait imposée par une fatalité (maladie ou accident) sur laquelle nous n'avons aucun pouvoir. Il y a deux raisons à cela.

  >> La première est que l'impuissance nous est insupportable.

  >> La seconde, plus profonde, est que nous n'avons pas conscience du fait que les épreuves physiques qui se présentent sur notre chemin possèdent une raison d'être précise. Sur ce point, nous touchons à la conception même de l'expression vitale.

    Prenons l'exemple du décès accidentel d'un conjoint jeune. Au-delà de la souffrance naturelle inévitable de ses proches, du sentiment d'injustice qui se présente spontanément à l'esprit, deux perceptions opposées de l'évènement peuvent voir le
 jour dans la psyché de ceux-ci, lorsque la douleur commence à s'estomper :
  
  >> C'est un hasard, un coup du sort, le drame aurait pu tout aussi bien arriver à mon voisin.

  >> Il y a une raison profonde, a priori imperceptible, mais susceptible d'être découverte, qui est la cause de cette tragédie, et qui appartient à cette individualité en propre. 

   La personne qui adhère à la première assertion ne se posera aucune question et ne recherchera pas d'explication. 

   Celui ou celle qui privilégie la seconde hypothèse se mettra en quête de la cause sous-jacente et, si elle la trouve, ce qui est probable étant donné que de nombreuses techniques sont capables d'explorer les mémoires ancestrales, sa mise en lumière lui permettra de comprendre que tout évènement a un sens profond et initiatique, et que le hasard n'y a aucune place.

  Pourquoi avoir abordé le problème de l'euthanasie à travers ce biais ? Parce que nous touchons de cette manière à l'impulsion animique qui est à la source de nos incarnations. De deux choses l'une :

  >> soit chacune de nos vies est une production unique, provisoire, qui sort d'on ne sait où pour se diriger vers un inconnu insondable, sans aucune justification qui soit
connaissable par notre cerveau.

  >> soit chacune de nos vies est la suite d'une précédente incarnation, manifestant les effets de causes anciennes générées en leur temps par nos actions, mais voilées    dans notre existence présente. Dans cette hypothèse, il est concevable de faire intervenir une forme subtile, qu'on peut nommer : âme, conscience, esprit...

  Celle-ci utilise les formes temporaires physiques que nous connaissons afin que soit exprimée la perfection d'une manière de plus en plus subtile et parfaite au fil des âges.

  Dans cette seconde vision de l'incarnation humaine, la mort se présente sous une image particulière, très différente de celle qui est communément acceptée et qui nous effraie depuis la nuit des temps. Elle n'est plus le monstre froid, insensible et redoutable qui nous conduit vers un néant terrifiant, mais un simple changement d'état de conscience entre deux manifestations physiques. Et, dans cette conception, la qualité de ce moment de transition revêt une importance primordiale. Toutes les personnes qui accompagnent les malades en fin de vie sont conscients de cela.

  Dès lors, cette qualité qui enveloppe le dernier souffle est intimement dépendante du contexte dans lequel il survient. Le passage vers l'au-delà et l'état de conscience de la personne décédée seront très différents en fonction des circonstances. L'être qui s'est ouvert durant sa vie à la spiritualité et qui a eu le temps de se préparer à sa transition ne conscientisera pas celle-ci de la même façon que le matérialiste pur et dur victime d'un accident brutal. Une situation extrême retient particulièrement l'attention. Celle des personnes qui se suicident. Cet acte met fin brutalement à une expérience de vie et, de ce fait, supprime les expérimentations choisies et programmées par l'âme en tant que conséquences de telles ou telles actions générées jadis. Or l'âme est immortelle et sa finalité est de se fondre dans des corps physiques de plus en plus conscients de sa présence permanente. Un suicide n'est donc, dans la majorité des cas, qu'un essai raté de perfectionnement et ne fait que retarder les expériences inéluctables dont la personnalité physique a besoin afin de grandir en conscience. 

  Pour les personnes qui admettent comme possible cette conception de la Vie, une question fondamentale se pose alors :

  >> Qu'en est-il pour l'euthanasie active ? 

  En effet, un constat est indéniable. Quelles que soient les justifications fournies par la science ou par le contexte dans lequel se déroule le drame, l'euthanasie active, voulue par le malade, est une forme de suicide. Elle a pour but de refuser une situation présentée par la Vie sur notre chemin. Certes, les motivations peuvent être légitimes, voire revêtir une apparence altruiste, lorsque la personne incurable refuse de faire supporter une longue agonie à ses proches. Mais, pour celle ou celui qui a une vision mystique de la Vie, se pose tout de même la question fondamentale de savoir si cette demande d'interruption de l'existence n'est pas nuisible à son évolution spirituelle.

  Nous n'avons bien sûr pas la prétention d'apporter une réponse à un tel questionnement, qui relève de l'intime de chacun. Si l'on considère comme vraisemblable le fait que tous les évènements se présentant sur notre chemin sont des manuels d'enseignements destinés à nous faire grandir, il en est forcément de même si une situation extrême nous place dans un état incurable ou végétatif. Dans cette éventualité, que la position sur une éventuelle euthanasie ait été donnée antérieurement, ou qu'aucune consigne n'ait été laissée, le problème est toujours présent si le malade est inconscient. Car nul ne peut savoir si la décision exprimée jadis par la personne serait confirmée, une fois celle-ci confrontée à des conditions exceptionnelles. Le choix n'est pas plus facile pour celui qui a conservé ses facultés mentales, écartelé qu'il peut être entre le refus d'un état totalement dégradé et la hantise d'un saut dans l'inconnu, surtout si se superpose à ce dilemme le questionnement spirituel que nous avons évoqué ci-dessus. 

  Si le problème de conscience et l'éventualité de conséquences karmiques se posent inévitablement pour le malade, ils se présentent de manière encore plus aiguë chez le médecin dont la mission est de ne jamais nuire à son patient, mais qui, en l'occurrence, va se voir confier la tâche de mettre fin de manière active à la vie de celui-ci. 

  Il est évident que la prise en compte de cet élément spirituel complique encore un peu plus des prises de décisions déjà particulièrement difficiles lorsqu'on ne considère que les données purement physiques et législatives. Mais il nous a semblé utile d'inclure dans la réflexion cette dimension, presque toujours passée sous silence, à laquelle un certain nombre de personnes seront sensibles.

  Il n'en demeure pas moins que nous ne devons jamais perdre de vue le fait que nulle action humaine ne peut anéantir la Vie. Elle est juste capable de faire disparaître du monde physique une de ses manifestations, temporaire et limitée. Quelles que soient les législations en vigueur, seule la conscience animique de chaque être humain est à même d'apprécier la justification de cette suppression existentielle et d'en assumer éventuellement les conséquences appropriées dans ses futures incarnations. 

  13/04/2021


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28 réactions à cet article    



    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 10:30

      imaginez de dire à un foetus qui aurait déjà conscience de ce qu’il est : tu ne marcheras pas, tu dépendra toute ta vie des autres, tu ne rencontrera jamais l’amour, tu ne sauras ni lire ni écrire, les gens te regarderont avec un sentiment de culpabilité de pitié ou de haine, même de rejet, S’il n’y a plus personne, tu devras te débrouiller tout seul et finir dans une infinie souffrance.... 


      • Furax Furax 15 avril 2021 13:36

        @Mélusine ou la Robe de Saphir.
        Pour alimenter votre réflexion :
        http://laplusquevive.canalblog.com/archives/2013/03/06/24130298.html


      • Clocel Clocel 15 avril 2021 10:30

        Il semblerait qu’à un certain niveau de « responsabilité », l’empathie ne soit pas une valeur cardinale, donc, a priori, l’euthanasie ne devrait pas poser de problèmes, d’autant que le parcours de soin de nos édiles n’est pas le même que celui du reste de la chiourme...

        Mais bon, la dite chiourme renouvelle scrupuleusement les mandats, perpétue un système pourrie jusqu’à l’os, ils ne viendront sans doute pas couiner lorsque les résultats de leurs inconséquences se feront sentir.

        Car, si nous avions conserver le modèle d’hôpital que nous avait légué le CNR, nous n’en serions pas là.


        • Clark Kent Séraphin Lampion 15 avril 2021 10:32

          Il n’est pas nécessaire de recourir à la métempsychose pour accorder le droit à une fin de vie dans la dignité. Même la notion d’« euthanasie » n’a rien à faire dans cette question. Recourir à ce mot épouvantail synonyme dans plus d’un esprit d’« extermination de masse » est un subterfuge intellectuel vicieux introuduit pour manipuler le débat, les arguments religieux habituels étant éculés.


          • Clocel Clocel 15 avril 2021 10:45

            @Séraphin Lampion

            « les arguments religieux habituels étant éculés. »

            Vraiment !?

            Ne sois pas si prompt à balayer le passé, il pourra encore servir lorsque les chimères des scientistes auront accompli leur Grand œuvre.


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 10:52

            @Clocel Oui, je suis opposée à l’eugénisme et aux chipotages génétiques pour corriger un ADN défaillant. Testart regrette son bébé éprouvette...(éprouvette, épreuve)......Mais avec l’échographie, les parents ont le droit de penser (être en empathie avec l’enfant à venir : aimera-t-il cette vie là ?). C’est cela l’empathie. Se mettre à la place de l’autre.


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 11:03

             Et donc mon constat est clair. Les chrétiens font passer leurs préceptes au dessus de l’empathie.....Cela s’appelle du sadisme...D’autant qu’en quarante, il savaient pour les camps de concentration et pour la plupart se sont tus...


          • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 17 avril 2021 16:09

            @Mélusine ou la Robe de Saphir.
            lls savaient quoi ? qu’ils le méritaient ou quoi ?


          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 10:32

            Mais alors. S’il y un dieu. Pourquoi permet-il qu’un enfant handicapé vienne au monde ?? Serait-il sadique ???


            • Clark Kent Séraphin Lampion 15 avril 2021 10:45

              @Mélusine ou la Robe de Saphir.

              la réponse est toute prête depuis des lunes : « il nous met à l’épreuve »...
              des générations de bonnes sœurs ont bossé sur le sujet et elles ont à leur disposition un vocabulaire très diversifié que je vous épargne !


            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 11:19

              @Séraphin Lampion
               il y a épreuves et épreuves. Celles qui nous permettent de nous élever,..les castrations de la vie. Celles qui ne permettent rien du tout...


            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 11:21

              Job à la fin se relève de tout... Parce qu’au départ, il était en état de le faire....


            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 11:23

              @Séraphin Lampion bizarre quand même. Vous confirmez mes propos, avez quatre étoiles et moi une seule. A quoi joue-t-on ???


            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 10:56

              En ce qui me concerne, c’est clair : je ne veux peser sur personne au non de la charité chrétienne...


              • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 10:57

                En ce qui me concerne, c’est clair : je ne veux peser sur personne au nom de la charité chrétienne...


                • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 10:59

                  Dans le homes, les soignants sont en burn-out. Et seule l’immigration d’Africains plus solides pourra les aider...Je ne dis pas que c’est la solution, parce que celle-ci en créera d’autres (de problèmes)....


                  • rhea 1481971 15 avril 2021 11:23

                    La médecine allopathique est de l’euthanasie différée. Tous les médicaments 

                    chimiques employés ont une dose semi létale .


                    • Albert123 15 avril 2021 11:46

                      « Le débat sur l’euthanasie est récemment réapparu sur le devant de la scène. »


                      bah c’est du bon gros mondialisme bien gras, on reconnait la marque de fabrique des détraqués


                      Après avoir enfermé et conditionné le bétail sous le motif de protéger les anciens, on débat aujourd’hui du fait d’accélérer leur mort.


                      quand les veaux apeurés en auront marre de se faire balader et retrouveront leurs couilles, ils commenceront peut être à réclamer le retour à la liberté sans vaccin, masque ou QR code.


                      • armand 15 avril 2021 11:50

                        Bonjour, autour de moi j’ai plusieurs cas de personnes sans espoir de guérison, l’une d’elle a demandé la mort, mais nulle oreille ne l’a entendue, devant nous c’est plus froid que chaud, cela commence à m’angoisser .


                        • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 15 avril 2021 12:12

                          La religion catholique par rapport à l’orthodoxe (proche de la GNOSE) est une régression. Regardez bien la représentation du Christ par les chrétiens catholiques : du sang, des épines, des clous et celle des orthodoxes. Comparez.....https://www.google.com/search?q=Christ+catholique&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjH4eXz___vAhXS_rsIHVa8AzIQ_AUoAXoECAEQAw&biw=1280&bih=663#imgrc=vXW82-wVr0FD-M. L’orthodoxe :https://www.google.com/search?q=repr%C3%A9sentation+du+christ+orthodoxe&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=SrJ7sz4InEySRM%252CCa7z8rAxiADDbM%252C_&vet=1&usg=AI4_-kR_kqQewyPUVyzyt1RG_bRDmRtB9g&sa=X&ved=2ahUKEwi5wuydgIDwAhWzg_0HHSCxDV0Q9QF6BAgWEAE#imgrc=SrJ7sz4InEySRM. Une légende raconte qu’en fait il s’agit d’une mise en scène. Jésus serait allé suivre des cours chez les hindous pour maîtriser la douleur. Certains hindous arrivent à marcher sur du charbon brûlant lentement et à se transpercer d’aiguilles sans souffrir. Une forme d’auto-hypnose... Et Juda serait dans le coup......


                          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 16 avril 2021 09:50

                            @Mélusine ou la Robe de Saphir.
                             Exact, une régression. La semaine dernière, j’écrivais un billet sur Friedrich Nietzche. Il avait très bien compris cela. Actuellement, je suis occupé à lire « Ainsi parlait Zarathoustra » et cela confirme ses idées en avance sur son temps et qui reviennent actuellement dans l’actualité.


                          • JPCiron JPCiron 15 avril 2021 12:23

                            Il peut exister un fossé insondable entre les recommandations données alors que nous sommes en parfaite santé, incapables de conscientiser la réaction que nous aurions dans le cas où notre état se dégraderait de manière radicale, et le souhait ou la décision qui seraient les nôtres au moment où nous serions plongés dans le drame lui-même.>

                            .

                            Oui, c’est le lot de toute décision, dans n’importe quel domaine.


                            Décider, c’est accepter de pourvoir se tromper.

                            Ne pas décider, c’est abandonner une décision (ou non-décision) à autrui.






                            • JPCiron JPCiron 15 avril 2021 12:26

                              Michel Houellebecq qui déclare : « Une civilisation qui légalise l’euthanasie perd tout droit au respect ». >

                              .

                              Le respect civilisationnel de M.H., je ne vous dit pas ce que j’en fais !


                              • Furax Furax 15 avril 2021 12:27

                                J’ai largement exprimé mon opposition à l’euthanasie sur AV (le suicide...il n’y a pas d’affaire plus intime), je ne vais pas radoter.

                                Mais accorder un droit de tuer à ce pouvoir de cinglés approuvé par une bande de playmobiles aux ordres, protégé par 400 000 miliciens au QI d’huîtres, encouragé par une cohorte de Diaphoirus dont le parfum du pouvoir fait frétiller le croupion...un minimum de réflexion SVP !


                                • troletbuse troletbuse 15 avril 2021 15:10

                                  Mais l’euthanasie est déjà présente. C’est le vaxxin pro-Covid. En plus, vous signez une décharge avant, paraît-il. Vous êtes donc consentant.

                                  Et si ca ne fonctionne pas, vous l’aurez ad vitam aeternam jusqu’à ce que mort s’ensuive.

                                  Pourquoi le confinement ?

                                  Pourquoi l’interdiction des traitements ?

                                  Pourquoi 10 000 euros par mois à tous les restaurateurs fermés ? J’en connais un qui vient de se payer 15 jours de vacances à l’étranger bien qu’il ait été fermé 5 mois d’affilée. Pas beau, çà ?

                                  Afin que les moutons quelques peu réticents cèdent et acceptent pour soi-disant être libres.

                                  La loi sur l’euthanasie permettra aux politicards de s’en sortir les fesses propres.


                                  • véronique 16 avril 2021 09:49

                                    @troletbuse
                                    10000 euros sans compter les aides des collectivités locales. .


                                  • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 16 avril 2021 09:43

                                    @L’auteur,

                                    « Mais pour celle ou celui qui a une vision mystique de la Vie, se pose tout de même la question fondamentale de savoir si cette demande d’interruption de l’existence n’est pas nuisible à son évolution spirituelle »

                                    Cette phrase détermine déjà votre état d’esprit fondamentalement religieux.

                                    Pour un athée, nous ne sommes comme tout être vivant, qu’une poussière d’étoile qui atterrit sur Terre, qui vit et qui disparait pour faire de la place au suivant.

                                    Mais cette poussière d’étoile est une entité en elle-même qui doit pouvoir décider avec sa liberté de conscience de son sort personnellement et indépendamment de son entourage.

                                    Celui-ci peut tenir la main de quelqu’un qui désire « passer » mais n’a aucun droit sur lui.

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