On croit généralement que Pavlov faisait toujours savoir que les aliments allaient arriver en appuyant sur une sonnette. Pourtant, ses écritures témoignent qu’il utilisait une large variété de stimulus, y compris des sifflets, des métronomes, des fourchettes qu’il faisait résonner, en plus des stimuli visuels habituels. Quand, au cours des années 1990, il est devenu plus facile pour les scientifiques occidentaux de visiter le laboratoire de Pavlov, ils n’y ont pas découvert la moindre trace de cloche.
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Paul McCartney
La liberté transformée en statue de sel
Et si on se dirigeait vers une guerre, non pas entre pays, mais entre les citoyens et leur pays ? La plèbe est peut être lasse de se faire saper son eau et ses brioches. Le pain rassis risque de se lever.
La démocratie actuelle, avec son mode de fonctionnement n’est-elle pas qu’une forme déguisée d’esclavage ?
Abstraction faite de la domestication par les règlementations outrancières dans les pays dits « développés », il existe des formes de contrôles qui nous échappent et qui font de nous, imperceptiblement, des esclaves.
Crochets ou x
Le citoyen vote. Jadis on votait d’un x. Il a maintenant la latitude de tracer un x ou de s’offrir le luxe d’un crochet… Il est hameçonné de toute manière. Car les dés sont pipés. Le véritable pouvoir se trouvant entre les mains d’une coterie ( société restreinte de personnes entretenant de très étroites relations fondées sur des intérêts communs) qui a amplifié au fil des décennies son pouvoir, tenant à bout de bras un citoyen asphyxié.
Qui donc a le pouvoir ?
Une élitocratie qui tient à le garder…
Les chaînes des limitations
Ce que nous ne parvenons pas à reconnaître, c’est que le système lui-même est totalitaire. Cela signifie qu’il est conçu pour exercer un contrôle total sur la vie des individus. Nous sommes habitués à utiliser cette étiquette en pensant à des anachronismes de l’histoire, comme le Communisme ou le Fascisme. Nous ne comprenons pas que le Capitalisme mondialiste financier et le gouvernement qui le protège, le permet ou même le contrôle, sont aussi totalitaires. Richard C. Cook
Le Rapport de l’Iron Mountain assimile la guerre à un principe central organisateur de la société.
Ce rapport, selon Richard C. Cook, paru un peu avant la guerre du Vietnam, semble s’être évanoui. Mais il se rapproche, selon lui, à la situation actuelle ( 2009).
Ceci parce que le rapport esquissait comment la population civile d’un pays développé pourrait être contrôlée, même en l’absence de grande guerre perturbant leur vie quotidienne. L’un de ces moyens était défini ainsi : « Un ... substitut possible au contrôle d’ennemis potentiels de la société est la réintroduction, sous une forme compatible avec la technologie moderne et la marche politique, de l’esclavage .... La mise au point d’une forme sophistiquée d’esclavage pourrait être une condition préalable absolue au contrôle social .... » (Cité dans Rule by Secrecy de Jim Marrs, 2000). Nature de la crise financière : le système est conçu pour exercer un contrôle total sur les individus ( Richard C. Crook, Analyste)
La « drogue » du crédit
Selon George Loewenstein, spécialiste de neuro-économie à l’Université Carnegie-Mellon, soutient que la nature des cartes de crédit « fait en sorte que le cerveau est anesthésié contre la douleur du paiement ».
Cyberpresse
Un journaliste économique pour le Times, se voyant coincé à payer 28% d’intérêt sur sa carte de crédit, disait se sentir « comme un consommateur de crack téléphonant à son revendeur ».
Et le simple citoyen ?
Les cartes de crédits et leur taux usurier de 30% a fait bondir le président américain qui a accusé les compagnies américaines d’arnaque.
Il y a quelques années, j’avais 30 000$ de dettes sur ma carte, explique Sue, musicienne indépendante qui gagne sa vie en faisant de la pub. Mon taux d’intérêt a bondi à 25%. J’ai dû laver des voitures, repeindre des maisons et promener des chiens pendant cinq ans pour arriver à m’en sortir. Ils ont fait de l’argent avec moi. »
Les Américains utilisent leurs cartes de crédit pour rénover leur maison, acheter une voiture, payer les frais de scolarité de leurs enfants. Aujourd’hui, la famille américaine moyenne a 9000$ de dettes en cartes de crédit. Et la plupart paient des frais importants. En 2008, les consommateurs ont déboursé 17 milliards en pénalités.
Quelques chiffres :
> Dette totale des cartes de crédit aux États-Unis : 963 milliards.
> Les dettes de cartes de crédit ont grimpé de 25% depuis 10 ans.
> Un détenteur de carte sur cinq paie un taux d’intérêt de plus de 20%.
Sujets et assujettis du nouveau totalitarisme
Comment pourrait-on appeler autrement le système qui soumet la population à la hausse vertigineuse de l’endettement des individus et des ménages, à un écart grandissant entre les riches et les autres, à une guerre justifiée par la lutte contre le « terrorisme, » à l’érosion des libertés individuelles, à l’expansion incessante du pouvoir alloué aux militaires et à police, à l’écoute électronique généralisée, à l’absence totale pour les hommes politiques de l’obligation de rendre compte de leur malhonnêteté et délits, à des médias se consacrant exclusivement à la mise sur pied de la propagande, etc.. ( Richard C. Cook)
La crise et les dépendances des citoyens ne sont pas là depuis peu, selon Richard C. Cook, cela a été prévu.
Les dents de la race canine
Nous vivons dans un système sophistiqué totalitaire. Et notre participation à l’élection des élus se résume sans doute à un pauvre x qui devient un choix entre quelques cliques qui seront le mieux servir les « directions » du capitalisme.
On aurait tendance à penser qu’un pays comme les États-Unis, où les vertus d’un néolibéralisme est encensé que l’on échappe à cet état de servitude dont nous avons la vision de par les systèmes totalitaires connus.
Utopie.
L’odeur du « cadeauté »
Le capitalisme n’est pas synonyme de liberté.
Il s’est volontairement transformé en une société élitiste et ne peut plus avoir être nommé tel sans le joindre au mot « élitocratie » et à gommer une bonne partie du mot liberté…
Qui n’est plus qu’une statue…
L’élite est main d’œuvre qui détient le capital et qui, comme les chiens, est médaillée à coups de « bons coups ». Il y a toujours un dirigeant pour brandir la petite sonnette qui gratifie ce gratin bleu. Et les odeurs qui viennent avec le « cadeauté ».
Ne reste plus qu’à fouiller le laboratoire de nos sociétés pour retrouver la clochette dont parlait Pavlov, pour comprendre les raisons pour lesquelles nous sommes « internés » dans notre propre et riche pays.
Aucune trace, ou presque.
On l’entend comme on entend un grillon chafoin ( personne petite, fluette et à la mine sournoise, comme une fouine) ( ça ne vous rappelle pas quelqu’un ? ) camouflé dans un tas de foin.
La grande illusion est que l’on se croit tous possesseur d’une clochette…
Viva Pavlov !