Le 2012 slow motion
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- Les réplicants ne sont pas sensibles à la vie animale (à laquelle les humains sont très attachés, d’autant plus que les vrais animaux sont très, très rares) et ne ressentent rien lorsqu’un animal est mis à mort. Ainsi, un massacre dans une animalerie mettra sûrement le Blade Runner sur la piste de réplicants (c’est d’ailleurs la trame initiale du jeu vidéo Blade Runner).
- Les réplicants n’ont a priori aucune forme d’empathie entre eux et envers les autres... Ainsi, ils ne feront rien pour aider l’un des leurs et deviennent souvent résignés quand un Blade Runner les attrape. C’est pourquoi les Blade Runners sont capables de détecter un réplicant en effectuant un test d’empathie Voight-Kampff, en décelant les réactions physiologiques involontaires du sujet face à une mise en situation donnée (attachement maternel, stress affectif ou moral).
- Les réplicants ont une moelle osseuse différente de celle des humains, du fait que leur génome a été créé artificiellement, ce qui permet une vérification post-mortem.
Parmi les modifications proposées par le projet de loi on retrouve des modifications radicales aux définitions dont, entre autre, le remplacement dans le texte de loi du mot « drogue » par « produit thérapeutique, » donnant ainsi de plus grands pouvoirs au gouvernement canadien afin qu’il puisse réglementer la vente de toutes les plantes médicinales, les vitamines, les suppléments et autres produits semblables. Par cette simple modification linguistique, tout ce qui est « thérapeutique » devient automatiquement régi par la Loi sur les aliments et drogues. Ça pourrait même inclure l’eau embouteillée, les bleuets, les feuilles de pissenlit et la quasi-totalité des substances dérivées de plantes.
La loi modifie également la définition du mot « vendre » afin d’inclure à cette définition toute personne qui donne de tels produits thérapeutiques à quelqu’un d’autre. Ainsi, une mère qui donne des plantes médicinales à son enfant pourrait, en vertu des nouvelles définitions proposées, être arrêtée pour avoir fait la « vente » non permise et non autorisée de « substances thérapeutiques. » Vous pouvez en apprendre davantage au sujet de ces modifications proposées visant à restreindre les libertés sur le site anglais « Stopc51.com » : http://www.stopc51.com
De nouveaux pouvoirs d’exécution donnés au gouvernement canadien permettront de saisir votre maison ou votre entreprise
Par la même occasion, ce projet de loi C-51 qui rend illégal les plantes médicinales, les vitamines et les suppléments, accordera de nouveaux pouvoirs « d’exécution » alarmants aux délateurs des forces de l’ordre qui prétendent « protéger » le public contre les effets néfastes et non autorisés des « produits thérapeutiques » tels que, par exemple, les feuilles de pissenlit. Tel qu’il est expliqué sur le site anglais http://www.Educate-Yourself.orgwebsite ((http://educate-yourself.org/cn/canadian ...), le projet de loi C-51 permettra aux délateurs des forces de l’ordre du gouvernement canadien :
• de perquisitionner votre maison ou votre entreprise sans mandat ;
• de saisir vos comptes bancaires ;
• d’imposer des amendes allant jusqu’à 5 millions de dollars et une période d’emprisonnement allant jusqu’à 2 ans et ce, simplement pour avoir vendu des plantes médicinales ;
• de confisquer votre propriété et de vous facturer les frais d’entreposage encourus pour stocker les produits qu’ils vous auront volés.
Le projet de loi C-51 criminaliserait même les simples herbes séchées qui se retrouvent dans votre cuisine et qui seraient susceptibles d’être utilisées dans un produit ayant des propriétés médicinales. Ce sera désormais considérée une « activité contrôlée, » et toute personne qui se livrera à de telles « activités contrôlées » sera arrêtée, condamnée à une amende voire même emprisonnée. Les autres « activités contrôlées » comprennent l’étiquetage des bouteilles, la récolte des plantes sur une ferme, la cueillette des herbes dans votre cour arrière, ou même des essais sur vous-même de produits à valeur médicinale ! (Oui, pratiquement toutes les activités impliquant des plantes médicinales ou des suppléments seront criminalisées ...)
Mais il y a bien plus. Le projet de loi C-51 représente la « solution finales » du gouvernement canadien contre l’industrie des produits de santé naturels. C’est un effort désespéré qui vise à détruire cette industrie qui menace les bénéfices et la viabilité de la médecine conventionnelle.
La médecine naturelle fonctionne si bien parce qu’elle devient tellement utilisée, que les gouvernements canadien et américain ont décidé d’attaquer cette industrie en votant de nouvelles lois qui ont pour effet de criminaliser toute personne qui vend de tels produits. Ils ne peuvent tout simplement pas tolérer qu’il soit permis aux consommateurs d’avoir un accès simple et facile aux produits naturels. S’ils ne faisaient rien, cela représenterait finalement la destruction de l’exploitation criminelle de l’industrie pharmaceutique, son délabrement et la corruption qui l’entoure de même qu’à ceux qui exploitent de manière criminelle le gouvernement, afin qu’il tente de la protéger. Mike Adams, Mondialisation.ca
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