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Accueil du site > Actualités > Société > Le nombril du monde et la citadelle des moutons masqués - Paris à (...)

Le nombril du monde et la citadelle des moutons masqués - Paris à l’heure du Covid

Paris vit depuis un an à l’heure du Covid. Et tente de survivre faute de s’en accommoder. Les Parisiens endurent, et pour une très large part acquiescent sans manifester aux épreuves qu’ils subissent. 

Mais qu’est-il donc arrivé aux habitants de la capitale et de sa région ? Il semble que l’orgueilleuse Ville Lumière, un an après avoir été frappée par l’épidémie du siècle et alors qu’on célèbre le 150e anniversaire de la Commune de Paris, ait été contaminée par un étrange mal qui lui ôte toute volonté, tout esprit critique, tout désir de se singulariser, de braver l’autorité régalienne et de faire front face à l’arbitraire des pouvoirs pour défendre sa Liberté chérie  ? Comme elle l’avait si souvent fait au cours de son Histoire mouvementée.

Aujourd’hui les Parisiens ne marchent plus sur Versailles pour réclamer du pain, convoquer la reine et le petit mitron au balcon. Ils ne fomentent plus des révoltes ou des révolutions. Ils ne se dressent plus derrière des barricades contre un monarque, un empereur ou l’oppression des bourgeois.

Et si l’on ne cède pas complaisamment au chant des sirènes, force est de constater qu’il a bien longtemps que Paris n’est plus comme elle le prétend le laboratoire de l’avenir, de la culture cosmopolite, le théâtre de brillantes innovations et de stupéfiantes utopies. Paris n’imprime plus sa griffe sur la marche du monde, elle ne bat plus la mesure de l’air du temps, elle n’invente plus les courants et les modes qui font chavirer la terre. Et ne se préoccupe même plus aujourd’hui de donner des leçons de morale et de démocratie à tous les régimes.

Mais où est donc passé ce dynamisme, cette audace, cette impertinence, cette intelligence et cette élégance, cet esprit de contradiction, de résistance et d’innovation, qui avaient fait de Paris une cité unique, aimée de tous, la capitale des arts nouveaux, des beaux esprits et des idées nouvelles, le centre du monde, sa tête pensante, son cœur et son nombril tout à la fois ?

Les attentats de Charlie l’avait mise à terre. Le monde s’était aussitôt précipité à son chevet pour la relever, panser ses blessures, redorer son blason et l’entretenir dans l’illusion d’un mythe qui assurément n’est plus.

« Paris sera toujours Paris… » entonnait la Reine de Paris Anne Hidalgo au soir du carnage au Bataclan. Oui mais Paris existe-t-elle toujours ?

Aujourd’hui on peut sérieusement en douter. Que reste-t-il de Paris un an après l’instauration de l’état d’urgence sanitaire et le premier confinement décrété le 17 mars 2020 ? Une épreuve inédite qui avait laissé ses rues et ses places étonnamment désertes deux mois durant, livrées aux seuls pigeons, aux SDF et aux chats errants pourchassant des rats pullulant au milieu des détritus.

Ces images de la Place de la Concorde et celle de l’Opéra vidées de toute vie en plein midi, semblables à celles de C’était un rendez-vous, un court-métrage de Claude Lelouch réalisé sur une moto traversant à toute vitesse un Paris vidé de toute présence humaine pendant les vacances d’été de 1976, en plein mois d’août et aux premières lueurs du jour, résonne encore d’une inquiétante étrangeté. Ou celles du blockbuster américain I Am Legend (2007), avec un Will Smith incarnant le seul survivant d’une hécatombe épidémique, errant avec son berger allemand dans un Manhattan désert à la recherche de nourriture comme pour tromper la solitude. Comme si cette pandémie aussi banale qu’une grippe avait soudainement pris des allures d’apocalypse nucléaire. Et que les Parisiens d’habitude si intrépides et contestataires s’étaient laissés piéger les premiers dans ce scénario infernal.

Depuis que les portes des prisons domestiques ont été rouvertes et que la sortie du confinement a été officiellement (quoique provisoirement) annoncée, les Parisiens ont pris l’habitude de ne jamais sortir sans leur masque réglementaire. Très peu encore aujourd’hui, même parmi les jeunes générations les plus frondeuses, transgressent cette obligation. Tous endossent sans broncher et même avec un zèle préoccupant l’uniforme blanc-bleu qu’on leur a imposé. Et gare à celui ou celle qui oublie de mettre sa muselière, ou qui la laisse glisser sous le menton. Le rappel à l’ordre des autorités, des agents de sécurité ou pire encore de la meute des moutons suivistes tombe aussitôt comme un couperet sans appel.

Il suffit de croiser dans la rue ces regards mi atterrés mi accusateurs quand un individu refuse de s’assimiler au troupeau et ne porte pas de masque, pour mesurer à quel point les mécanismes mimétiques fonctionnent à bloc. Avec la violence et les réflexes émissaires qui les caractérisent. Des mécanismes savamment entretenus par une propagande officielle qui agit comme un véritable lavage de cerveau. A coup de messages anxiogènes, de consignes absurdes répétées en boucle jusqu’à la nausée. Dans les flashes d’info, les communiqués officiels, à la télé, à la radio, dans la presse, sur internet et les réseaux sociaux, sur les affiches, dans la rue, le métro, les bus, les petits commerces, les supermarchés, les bâtiments officiels... Partout, tout le temps et sans répit. Comme une perceuse à percussion vissée profondément dans nos cerveaux.

Loin de manifester quelque agacement face à un tel pilonnage, loin de se rebeller contre des mesures discrétionnaires qui saccagent nos libertés, et contre un pouvoir dictatorial qui multiplie les décisions absurdes en restreignant comme peau de chagrin l’espace public de nos libertés, les Parisiens adoptent dans leur écrasante majorité une attitude de soumission, d’obéissance aveugle, de soutien inconditionnel aux consignes sanitaires. Et reprennent souvent à leur compte les messages infantilisants qu’on leur sert pour les culpabiliser, en dénonçant publiquement ceux qui rechignent à les appliquer ou tentent de s’en exonérer.

Un authentique esprit de collaboration digne des pires heures de l’Occupation s’est substitué au culte de l’exception parisienne. Il a recouvert en totalité cet esprit parisien naguère insolent et frondeur, maire et équipes municipales en tête. Une attitude conformiste et alignée relayée par tous les nouveaux préfets aux ordres récemment désignés par Macron pour faire appliquer les mesures gouvernementales aux quatre coins de l’Hexagone, et notamment en Ile-de-France réputée davantage sujette aux révoltes.

Idem avec la Police nationale et son Préfet parisien Lallement. Laquelle ne se pose même plus la question du bien-fondé de ces mesures liberticides visant à conforter une dictature. Et qui collabore activement à l’enterrement des libertés constitutionnelles, devenant le gendarme des populations civiles, surveillant avec zèle la conformité de chacun aux nouvelles règles en vigueur. Une Police qui ne se contente plus seulement d’appliquer des consignes absurdes sans sourciller. Voire d’en rajouter à l’occasion. Comme ces milices urbaines chargées de contrôler le port du masque et la distanciation sociale des personnes attablées aux terrasses des cafés, à l’époque déjà lointaine où ceux-ci étaient encore ouverts.

Avec la crise du Covid et l’absence totale de réaction des Parisiens, mises à part quelques répliques vite matées d’un mouvement des Gilets jaunes agonisant, c’est toute une culture parisienne, un art de vivre à la française que les Parisiens ont longtemps prétendu incarner, qu’ils laissent aujourd’hui détruire sans rien dire et en un rien de temps. Apportant au besoin leur caution et leur concours à cette ignominie.

Finis donc les cafés, les terrasses, les attroupements spontanés dès le printemps venu aux abords des places, sur les quais de Seine, dans les jardins, les Bois de Boulogne et de Vincennes, et autres parcs publics !

Exit la « scène parisienne », qui brassait autrefois les spectacles les plus avant-gardistes, les concerts de jazz, de musique classique, urbaine, électronique, les opéras et les grandes premières attirant les foules du monde entier ! Comme tous ces événements exceptionnels inventés à Paris et copiés dans le monde entier : Fête de la Musique, Nuit Blanche ou Paris Plage. Tous ces happenings dignes d’une capitale de premier plan : morts et enterrés.

Quid du monde de la nuit ? Avec ses cabarets, ses revues, ses discothèques, ses fêtes incroyables, qui faisaient de Paris depuis la Belle Epoque et même avant l’une des destinations incontournables pour les plus grands artistes de music-hall, les musiciens, les plus grands DJs et les producteurs en vogue.

Paris n’est plus une fête ! C’est devenu un fantôme, une morgue, un shéol, une antichambre du Néant et de l’Oubli.

Il suffit de se promener en plein jour dans les rues du centre-ville, autour du quartier des Halles, autrefois l’épicentre de la mode et de la branchitude mondiales, des rues le plus souvent désertes, squattées par des hordes de miséreux, de SDF et de nouveaux pauvres jetés à la rue par la crise économique, de punks à chien, de Roms et autres mendiants, de types louches et peu engageants, ajoutés à quelques rares passants hagards qui rasent les murs, pour comprendre à quel point Paris n’est plus Paris. A peine un souvenir. Une ville hantée. Un requiem.

Il y a bien de rares weekends ensoleillés où quelques Parisiens frondeurs bravent l’interdiction de se rassembler pour échouer à quelques centaines sur les pelouses des parcs et jardins. Une façon de se rassurer, une illusion de liberté volée l’instant d’un pique-nique, d’une bronzette ou d’un apéro entre amis, au milieu d’autres audacieux insensés. Mais ces parenthèses décompensatoires sont en général de courte durée. Les contrevenants sont aussitôt rappelés à l’ordre, montrés du doigt et désignés comme les responsables de la prochaine « vague » annoncée.

Paris ne se rebelle plus. Paris ne résiste plus. Paris ne râle plus et ne pense même plus.

Paris souffre. Paris fait le mort. Paris se laisse crever.

Paris est la risée du monde. Non contente d’être devenue une caricature d’elle-même, un spectre, la capitale collabore à son exécution capitale. Les messages de la municipalité en rajoutent une couche chaque semaine dans l’outrance et l’inflation du terrorisme sanitaire. Sans jamais remettre en cause l’efficacité, le bien-fondé ou les limites de cette sinistre mascarade.

Le Parisien moyen, autrefois obsédé par son look, son rang, son ego et la surenchère d’arrogance déployée pour les faire valoir, est devenu un anonyme, une loque, un numéro. Masqué, assigné au silence, résigné, la tête baissée, le regard vide, il erre dans une ville-fantôme croisant à l’occasion d’autres fantômes qui ne font même plus attention à lui et se fondent dans une indifférence générale.

Qu’en est-il dans les autres villes et départements de la région Ile-de-France ?

Force est de constater qu’en matière de respect des consignes sanitaires, les disparités sont énormes dès que l’on franchit le périphérique. Dans beaucoup de villes de banlieue, en Seine-Saint-Denis notamment, les consignes sanitaires sont beaucoup plus irrégulièrement voire carrément jamais respectées. Et ce en toute impunité de la part des autorités ou des forces de Police qui n’osent pas arrêter ou verbaliser les contrevenants et laissent cette hypocrisie perdurer.

A Saint-Denis par exemple, comme dans d’autres villes du 93, il existe des cités ou des quartiers entiers où le port du masque obligatoire n’est tout bonnement jamais respecté. En particulier par les jeunes. Il existe même certains bars ou restaurants, connus des habitants, qui continuent d’ouvrir discrètement en dépit de la fermeture décrétée. Il suffit de connaître le patron ou d’être accompagné par un habitué des lieux, de venir à une certaine heure et d’entrer par une porte discrète, souvent à l’arrière de l’établissement, pour pouvoir consommer à loisir et sans limite de durée des boissons, prendre un repas au beau milieu d’autres tablées, parfois même au-delà de l’heure du couvre-feu ou des heures habituelles de fermeture.

Mieux encore, des trafics destinés à contourner le couvre-feu se sont organisés dans certaines cités. Passé l’heure du couvre-feu, des véhicules circulent dans les quartiers, s’arrêtent à certains endroits, ouvrent le coffre arrière pour vendre denrées alimentaires, cigarettes, soft drinks et boissons alcoolisées, mais aussi substances illicites en tout genre. Tout ça au vu et au su des policiers qui laissent faire, et des bons pères de famille qui viennent faire leurs courses une fois la nuit tombée.

Impossible d’imaginer une telle fronde à Paris. Les contraintes absurdes liées au couvre-feu engendrent des embouteillages monstres bien au-delà de 18 heures sur tous les grands axes de la région Ile-de-France et aux abords de Paris. Elles obligent beaucoup de Franciliens à rester dehors et à rejoindre leur domicile bien après l’heure limite. Mais mis à part ces retards dans l’application du couvre-feu, il est loin l’esprit de résistance du Dernier métro ! Ou même l’esprit des barricades, de la Sorbonne assiégée, des rues dépavées et des slogans libertaires sur les murs du style Il est interdit d’interdire !

Le terrorisme sanitaire et les bobards des officiels semblent fonctionner à plein régime et ôter aux petits bourgeois parisiens toute velléité contestataire. Les classes moyennes trinquent et accusent le coup sans moufeter. Les anciens ados de Mai 68 devenus des bobos rangés, planqués dans leurs immeubles des beaux quartiers, toute comme les générations montantes à l’image de cette Génération Macron et ses petits soldats hyperconformistes aux ordres de La République En Marche, s’illustrent par un conformisme frileux et servile proportionnel aux excès de leurs aînés.

Et si l’on s’aventure en province, observe-t-on une attitude homogène ?

Et bien non ! Dès que l’on descend au Sud de la Loire, il semble que le respect des consignes sanitaires et la crédulité à l’égard de la doxa officielle fondent comme neige au soleil. Mis à part Nice et sa région, vissées par des élus totalement aux ordres et prompts à les devancer, les habitants de la région Aquitaine par exemple ne semblent pas vraiment ressembler à leurs concitoyens parisiens.

Du Limousin au Pays basque le masque n’est pas partout le bienvenu. Rares sont ceux qui le portent systématiquement comme sur les avenues haussmanniennes ou dans les couloirs du métro. Même son de cloche dans le Bordelais, à Libourne ou dans les Charentes. Interrogés dans la rue ou chez les commerçants, les gens disent ne pas vouloir suivre des consignes car ils doutent de leur pertinence et de leur efficacité. Masques, distanciation, tests, vaccins, rien ne semble aller de soi. Et beaucoup se demandent intuitivement quels sombres desseins sert toute cette mascarade. Pas par effronterie ou esprit contestataire. Plutôt par bon sens.

Un bon sens qui a déserté depuis longtemps les plateaux télé parisiens, les discussions chez les commerçants, souvent limitées à « Remontez votre masque Monsieur s’il vous plait ! » et les rares dîners en ville où l’on s’interroge plus sur l’opportunité de choisir tel ou tel vaccin que sur la dérive dictatoriale du régime et cette fausse pandémie servie comme motif au basculement vers un Great Reset que les médias omettent soigneusement d’évoquer.

Car le Parisien veut bien à la rigueur être accusé d’être un fayot, un collabo, un mouton masqué. Mais jamais il n’acceptera d’être accusé de « complotisme » : la plus grande maladie honteuse du 21e siècle ! Parce que pour un Parisien orgueilleux et qui sait forcément tout sur tout, souscrire à des thèses dites complotistes, c’est être un naïf, un crétin, un plouc, doublé d’un beauf excentrique et d’un danger public. Et donc un mauvais citoyen. Alors qu’un vrai Parisien, nécessairement de gauche, est toujours dans le sens du Progrès, sensible à toutes les causes, et donc socialement incorrect mais politiquement 100% correct. Tout sauf un ensauvagé de banlieue, un antisocial crypto-fasciste ou proto-terroriste.

Même s’il dit ne pas soutenir Macron, le Parisien est donc majoritairement et par essence un idiot utile de La Dictature En Marche. Et donc un imbécile inconscient, angoissé à l’idée de ne pas avoir raison avant les autres. Et donc incapable de se risquer à réfléchir par lui-même, par crainte de manquer la dernière cause à la mode ou le dernier challenge du siècle. Il soutient Biden parce qu’il vomit Trump, et reste farouchement européen même depuis que Maastricht a remplacé Paris. Elitiste mais pas souverainiste, Démocrate mais pas populiste. Extrêmement concerné par lui-même et ses propres affects mais jamais extrémiste. Narcissique et suffisant mais jamais vulgaire, croit-il.

Le Parisien est un spécimen aussi dérisoire que dévalué. Plus personne ne l’écoute ni ne prête attention à ses frasques. D’ailleurs il ne se risque même plus à faire le malin et se contente de faire le gros dos, en ravalant sa morgue et ses frustrations.

Paris est un naufrage. Paris est un mirage. Paris n’est plus. Ou si peu. Même les J.O. de Paris 2024 qui n’auront sans doute jamais lieu comme ceux de Tokyo ne font plus bander les foules ni les édiles parisiens.

Paris n’est plus qu’un carrefour malodorant. Un courant d’air. Une impasse existentielle autant qu’une verrue urbaine, en proie à la déshérence de ses habitants qui fuient la capitale par milliers depuis le début de la crise pour aller s’installer ailleurs en province, à la délinquance de sa frange la plus révoltée et à la déliquescence morale nourrie par la médiocrité de ses élus, leurs politiques burlesques et ridicules.

Fluctuat nec mergitur. Mais pour combien de temps encore ?

Paris sombre et s’abîme, et ne parvient plus à faire illusion. Comme le Titanic ou le Radeau de la méduse. Paris prend l’eau de toute part. L’eau des égouts et des dégoûts, et non les eaux lustrales d’une quelconque régénérescence, bien improbable et compromise par l’étendue du désastre.

Plutôt que l’Après-Covid, faut-il déjà songer à l’Après-Paris ? Et où donc faudra-t-il alors situer le barycentre de l’âme française ?

Sans doute nulle part en particulier. Ou quelque part dans cette France vivante, variée, éclectique et mouvante. A Annecy, classée première dans le Palmarès 2020 des villes de France les plus agréables où il fait bon vivre. Suivie par Bayonne.

Aux pieds des sommets alpins ou pyrénéens, léchés par les eaux calmes du Lac d’Annecy ou par les eaux salées de l’Atlantique, sur des terres de passage autrefois conquises et reprises aux anciennes marches du royaume de France, voilà où se situe donc le bonheur selon ce barème qui reflète les attentes et les choix des Français candidats au départ. Pas dans le nombril du monde autoproclamé, mais à la périphérie et au croisement de plusieurs mondes, ou du moins de plusieurs pays frontaliers : la Suisse et l’Italie pour la Savoie, et l’Espagne pour le Pays basque.

L’avenir est donc à l’ouverture au monde et à la connexion des hommes. Pas au centralisme colbertiste, jacobin ou jupitérien. Et si Paris est aujourd’hui clairement déclassée, c’est parce que cette ville et ses habitants arrogants et insupportables incarnent cette volonté de tout centraliser et d’imposer un pouvoir arbitraire, si cuisant avec la crise du Covid, et qu’une part croissante des Français rejettent sans toujours le manifester.

La ruine de Paris symbolise la fin de l’ère du Faste, du Prestige, de l’Autorité centralisée selon un modèle français qui a prévalu depuis les rois de France, Louis XIV en particulier. Un phénomène national aux prétentions impérialistes et universelles, repris par la Révolution et notre orgueilleuse République. Lesquelles entendaient imposer au monde leurs principes humanistes et leur vision du progrès universel. Une République souveraine qui se retrouve aujourd’hui absorbée par une dictature mondialiste déclinée dans chaque pays du monde par des marionnettes comme Macron.

Normal que les provinces de France ne se reconnaissent pas dans ce piège illusoire du Projet marconien, dont Paris centralisateur et son establishment hautain sont le relai volontaire ou tacite.

Cette fracture identitaire plus que politique et idéologique marque un tournant dans notre Histoire. Avec une tension critique entre une volonté de défendre des identités malmenées sinon condamnées par la mondialisation en marche, et un désir de se fondre dans un nouveau monde tantôt perçu comme une occasion riche de promesses, ou aujourd’hui comme un symbole de dissolutions normatives et de dérives totalitaires.

Paris a longtemps cru qu’elle était la France. Or la France elle-même peine aujourd’hui à se définir. Même si les Français sont nombreux à manifester leur attachement à telle ou telle de ses composantes régionales, son terroir, son patrimoine, architectural et culturel, son art de vivre, les savoir-faire de ses artisans, de ses agriculteurs, de ses milliers de corps de métiers, sa créativité artistique foisonnante, sa gastronomie inégalée, ses start-ups et ses brillants ingénieurs : autant de richesses gravement menacées de disparition avec l’épidémie de Covid.

Une épreuve qui révèle que l’être parisien est un modèle et une identité souvent en contraction avec le fait d’être simplement français. Ou d’être basque, breton, corse, gascon, auvergnat, franc-comtois, bourguignon ou picard. Car Paris n’est pas la France et ne la représente pas non plus. Ou du moins très partiellement et abusivement, au travers de stéréotypes discutables et de mythes obsolètes. Comme New York n’est pas les Etats-Unis.

Paris sera peut-être toujours Paris. Comme les Parisiens esclaves de leurs mythes et de leur avidité à occuper les premières places. Mais Paris n’est plus la France comme la France se passe fort bien de Paris. Du moins de ses prétentions et exaspérations.

La France est aujourd'hui devenue un pays multicentrique dont le cœur bat tout autant à Dijon, à Toulouse, à La Rochelle, à Nîmes, à Lyon, Marseille, Lille, Strasbourg, Nantes ou Brest, qu’à Arras, Bobigny, Fontainebleau, Uzès, Pointe-à-Pitre, Cayenne, Mayotte ou Nouméa. Et même à Alger, Madagascar, Brazzaville, Bruxelles, Montréal, Lausanne ou Bâton Rouge, tous ces lieux où bat le cœur multi-ventriculaire de la francophonie.

La France est l’une des harmoniques de ce monde multipolaire d’aujourd’hui et de demain. Et Paris pas plus qu’une autre ville métropolitaine n’a aujourd’hui de légitimité à revendiquer le monopole de l’esprit français ou le droit à parler au nom de tous les Français qui vivent ici et ailleurs.

Paris muselée, Paris confinée, Paris outragée, Paris martyrisée… Et Paris privée de ses libertés, de son lustre et de sa gloire. Paris assignée au silence sous un masque ridicule aussi humiliant qu’inutile. Paris désertée par son peuple, ou du moins une partie de ses habitants. Paris assiégée par d’autres peuples, d’autres cultures, d’autres appétits de conquête et de domination, ou simplement par des surgeons de révolte de la part de ces banlieusards ensauvagés qui préfèrent à l’occasion fondre sur elle faute de pouvoir se fondre en elle.

Paris mise à sac, à bas, à nu ou à l’arrêt. Paris humiliée, oubliée, recalée.

Dire que Paris se relèvera et recouvrera son prestige confisqué serait encore sacrifier aux mythes et aux antiennes des orateurs empressés. Un mensonge. Une lubie. Car Paris doit apprendre à faire le deuil de cet orgueil qui la dessert, composer avec un monde qui change, et à se fondre harmonieusement dans ce monde si complexe et imprévisible. Sans prétendre lui imposer ses vues, ses angoisses ou ses obsessions. Mais en dialoguant au contraire à égalité avec le reste du monde, les autres peuples et cités qui le composent. Avec respect, ouverture et humilité.

Un pari que Paris doit urgemment relever, si elle ne veut pas disparaître sous le grand laminoir identitaire et normalisateur de cette dictature mondialiste qui avance masquée, comme ses victimes que nous sommes, sans dire jamais dire ouvertement ou sans jamais plus pouvoir crier son nom.


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55 réactions à cet article    


  • armand 21 mars 2021 18:32

    quel pessimisme !



    • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 21 mars 2021 18:46

      Quel réquisitoire (trop long pour être un pamphlet) contre PARIS auquel je souscris totalement

      BRAVO l’auteur c’est implacable smiley

      Paris c’est fini, il y a longtemps que ça se sentait mais la mascarade du covid a fini le boulot

      Ah qu’ils ont l’air cons ces gens qui se sont endettés un max pour acheter un 70M2 à 15000 euros le M2, il vaut plus rien leur appart de m…..
      Et oui, les trouillards masqués ce n’est que le début, vous aurez beau bêler pour un vaccin salvateur plus rien ne sera comme avant

      " Et je vais vous dire une troisième chose, nous irons ENSEMBLE vers le nouvel ordre mondial et personne, je répète PERSONNE ne pourra s’y opposer"  Nicolas SARKOZY le 16 janvier 2009 devant le corps diplomatique étranger !


      • Adèle Coupechoux 21 mars 2021 19:17

        Magnifique texte sur un Paris qui n’est plus qu’un très lointain souvenir.

        Il se vit dans un silence assourdissant. A l’image de la « culture », du « commerce », des « bistrots », des « rues ». 

        Une mortelle randonnée.


        • V_Parlier V_Parlier 21 mars 2021 21:46

          @Adèle Coupechoux
          Juste une petite exactitude dans ce constat presque parfait : « Et ne se préoccupe même plus aujourd’hui de donner des leçons de morale et de démocratie à tous les régimes. » => Oh que si ! Que si ! Peut-être que ce sera encore sa préoccupation maladive alors que nous serons sous le même régime dictatorial que les anglais : https://www.ledauphine.com/sante/2021/02/10/les-britanniques-risquent-10-ans-de-prison-s-ils-mentent-sur-leur-lieu-de-vacances


        • Christophe Claudel Christophe Claudel 21 mars 2021 23:38

          @V_Parlier
          C’est vrai sur le fond. Encore que c’est un trait plus français que parisien. D’ailleurs l’article que vous citez en exemple est publié dans Le Dauphiné libéré et non Le Parisien.


        • pipiou2 21 mars 2021 19:43

          Je ne sais pas à quelle époque l’auteur prétend avoir connu ce Paris merveilleux "qui brassait autrefois les spectacles les plus avant-gardistes, [...], les opéras et les grandes premières attirant les foules du monde entier".

           

          Paris-Plage n’est quand même pas un monument de création culturelle.

          Néanmoins nous avons essaimé les Gilets Jaunes dans le Monde entier, alors ne vous inquiétez pas les contestataires sont toujours là, et surtout les pessimistes, comme le montre un tel article.

          En matière de pessimisme et d’anti-dépresseurs on ne lâche pas notre titre de Champions du Monde.


          • Adèle Coupechoux 21 mars 2021 21:23

            @pipiou2

            Cela fait au moins 30 ans que Paris se meurt...Et Paris n’est pas la France, et Paris n’est plus le monde..
            Les perroquets répètent connement que c’est le Paris des bobos, alors qu’il n’y ont jamais vécus, ces sombres crétins...Les mêmes qui critiquent les régimes en Russie ou encore à Cuba. Sans y avoir jamais mis les pieds.
            Pas besoin d’anti-dépresseurs, la mauvaise foi suffit. 


          • Christophe Claudel Christophe Claudel 21 mars 2021 23:56

            @pipiou2
            L’article évoque un Paris mythique dont l’apogée fut incontestablement atteinte à la Belle Époque, une courte période de l’Histoire durant laquelle Paris était réellement le centre du monde.

            Mais jusqu’à une époque très récente pré Covid, Paris a toujours été un pôle de création et d’attraction de premier plan. Pour la mode, la culture, les arts, le design, les spectacles ou la nuit.

            Rien que pour la fête et l’électro, après s’être assoupie une fois la mode de la French Touch des années 1995-2005 passée, marquée par des noms comme Laurent Garnier, Jérôme Pacman, St Germain, Dimitri from Paris, Cassius, Air, Sébastien Tellier, Daft Punk ou Justice, Paris s’était assoupie jusqu’à devenir une ville ennuyeuse, normalisée par les bobos des quartiers branchés réclamant du calme après 23 heures, la limitation du niveau sonore des clubs sinon leur fermeture administrative pour tapage nocturne. Jusqu’à ce que de jeunes programmateurs et patrons de nouveaux clubs dédiés à une clientèle plus jeune et plus mélangée comme la péniche Concrete lui offrent un nouveau souffle vers le milieu des années 2010. Paris est alors redevenue une ville festive, inventive, noctambule et débridée, qui attirait alors les meilleurs artistes de musiques électroniques du monde entier, des foules de clubbers et des touristes de la fête attirés par ce bouillonnement créatif et ce regain de jeunesse.
            La crise du Covid avec la fermeture souvent définitive des clubs et des festivals, mais aussi les avions cloués au sol et le tourisme en berne, ont mis un coup d’arrêt brutal à cette nouvelle frénésie.


          • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 00:02

            @Adèle Coupechoux
            Commentaire méchant, stupide et imbécile !
            Pour info je suis né à Paris, j’ai vécu en région parisienne et y ai travaillé toute ma vie, dont plus d’un quart de siècle dans Paris intra muros.
            Je parle donc d’un Paris que j’ai vécu et pratiqué en connaissance de cause.
            Je doute que vous puissiez en dire autant...
            Quant à cette allusion à Cuba ou à la Russie, qu’elle rapport. Manque de bol, pour ma part j’ai aussi vécu à Santiago et La Havane...


          • pipiou2 22 mars 2021 01:24

            @Christophe Claudel
            Je crois que vous mythifier beaucoup effectivement.
            Comme vous dramatisez beaucoup la crise covid qui n’est que temporaire et en même temps ne touche pas que la culture parisienne.
            Rien n’empêche qu’elle redevienne une ville festive, inventive et tout ce que vous dites qu’elle était il y a 5 ans.


          • pipiou2 22 mars 2021 01:27

            @Adèle Coupechoux
            " Cela fait au moins 30 ans que Paris se meurt. "
            C’était mieux avant ...


          • Adèle Coupechoux 22 mars 2021 07:00

            @Christophe Claudel

            Mon post s’adressait à Alinea qui ne supporte pas les parisiens alors qu’elles ne les connait pas tous et n’a pas vécu à Paris. La critique est aisée alors que les conditions de vie diffèrent.

            Je ne vois pas en quoi je vous ai adressé un « Commentaire méchant, stupide et imbécile ! » ! Vos jugements de valeurs sont quant à eux agressifs.

            Je me suis installée à Paris en 89 intra muros, si je ne n’y suis pas née, j’en ai tout autant profité que vous et je le connais également, d’une façon certainement différente de la vôtre.

            La Bretagne était en zone verte, quand j’y suis allée après le confinement, la plupart des bretons étaient aussi covidés dans leur têtes qu’à Paris.
            Des commerçants zélés pour vous faire respecter les gestes barrières, des masqués sur la plage...
            Si Paris est en train de mourir et ce n’est pas le moment de diviser la population.

            La folie gagne aussi en Bretagne...


          • Adèle Coupechoux 22 mars 2021 07:08

            @pipiou2

            C’était mieux avant..

            J’y venais très souvent enfant. Devenu adulte, j’ai des souvenirs d’un Paris très différent, j’ai vu l’ambiance se déliter petit à petit. Depuis le confinement, je n’ai qu’une envie, c’est de partir. Malheureusement, la province me semble elle aussi atteinte par le délire.


          • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 08:18

            @Adèle Coupechoux
            Navré pour ce quiproquo et « l’agressivité » que vous y avez ressentie, puisque votre commentaire ne m’étais pas adressé et ne concernait pas l’article lui-même.

            J’avais envisagé de déménager ce printemps dans le Finistère Sud, a priori moins contaminé par la psychose covidienne et objectivement moins touché par les mesures sanitaires, notamment les confinements. Mais la Bretagne, dont l’image rassure sans doute les Parisiens covidoflippés, s’avère l’une des destinations réflexe des candidats à l’exil depuis Paris et autres grandes villes devenues des enfers. Donc exit. Ce sera plutôt la Charente, moins touchée par ce vertige et dont les habitants sont plus volontiers réfractaires à l’entourloupe médiatique et politique : ce fameux « bon sens » que j’évoquais dans l’article.


          • Adèle Coupechoux 22 mars 2021 08:46

            @Christophe Claudel

            Merci de votre retour.

            J’ai mis un commentaire 21 mars 19:17

            concernant votre article qui je le réécris est magnifique. Il formule ce que je ressens.

            C’est vrai que quand certains posts mentionnent des bobos et leur détestation des parisien, je me rebiffe. D’ailleurs, vous restez une exception, des parisiens d’origine, j’en connais moins que des provinciaux comme moi qui s’y sont installés pour le travail.
            Il reste surtout à Paris et toujours ces élites des plateaux télévisés qui nous narguent pendant que je vois dans la rue de plus en plus de misère. Les maraudes ne s’en sortent plus. C’est vrai Paris est un enfer. J’ai le cœur qui bat au bord de la nausée à chaque fois que je sors dans cette ville morte.
            Où chacun fait semblant..
            Même la police vous y oppresse moins que la population. 
            Oui, il faut quitter Paris dès que possible.


          • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 09:24

            @pipiou2
            Je crois que vous planez à 50.000. Et ignorez totalement les véritables enjeux par-dessous cette « crise sanitaire » aussi factice que programmée.

            Une crise destinée à servir de prélude et de prétexte à un changement complet de paradigme voulu depuis des décennies et même des siècles par une oligarchie mondialiste, bancaire et financière, qui a déjà conquis à peu à peu

            tous les pouvoirs, selon une stratégie élaborée depuis le 18e siècle. Cf. notamment les travaux de l’historien américain Caroll Quigley, ex conseiller de Bill Clinton et professeur d’Histoire à Boston in « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » traduit et commenté par Pierre Hillard.

            Le but de cette oligarchie qui avance ses sournoisement sans jamais vraiement se manifester sur le devant de la scène au grand jour, et gouverne le monde par marionnettes interposées comme Macron, Trudeau, Merkel ou Joe Biden, est à la fois très simple et diabolique : prendre le contrôle absolu du monde par le biais de la monnaie, des banques et des institutions financières qu’ils ont créées, comme la Réserve fédérale américaine, les grandes banques centrales, la BRI, la Banque Mondiale et le FMI. Prendre le contrôle total des états par le levier de la dette, puis les faire disparaître en leur ôtant toute souveraineté et en les diluant dans des grands ensembles continentaux comme l’UE. Puis en les absorbant dans une gouvernance mondiale actuellement mise en place par paliers. Avec une « stratégie du choc » fondée sur le déclenchement de « petites épidémies », comme le dit Jacques Attali, destinées à provoquer un chaos économique, social et politique propice à l’instauration d’une gouvernance mondiale. 

            Mais aussi en remplaçant totalement le système économique et financier actuel, à bout de souffle depuis la crise de 2008, par un nouveau système beaucoup plus contrôlable et normalisé. En déclenchant par exemple une crise et des faillites en domino dans certains secteurs difficiles à regrouper et qui effectuent trop souvent leurs transactions en liquidités (espèces, chèques), en non par cartes de crédit, paiements sans contact ou monnaie numérique. Comme les secteurs de la restauration, de la culture, les TPE et PME des services ou de l’artisanat notamment, du tourisme, du divertissement et des loisirs notamment. Tous condamnés à disparaître ou à être absorbés par des grandes multinationales, objectifs chiffrés par centaines de millions d’unités à la clé, selon le plan du Forum Economique Mondial commenté par son Président Klaus Schwab dans son dernier livre « Covid-19, The Great Reset » paru en novembre 2020.

            Cette Grande Réinitialisation, fantasme des oligarques, ne concerne pas que l’économie, la finance et la monnaie, c’est à dire toutes les monnaies nationales y compris le dollar, qui n’est déjà plus la monnaie de référence pour les échanges, l’euro, la livre sterling, le yen ou le yuan, condamnées à disparaître au profit d’une monnaie unique mondiale. Un nouveau concept terrifiant aux conséquences vertigineuses, puisque cette nouvelle monnaie 100% numérique et encryptée dans des nanopuces injectées dans le corps de chaque individu grâce à de faux « vaccins » permettra à contrôle total des individus.

            Ce basculement concerne absolument tous les aspects de notre vie : politique, juridique, social, culturel, relationnel, intellectuel, scientifique et même spirituel. 

            Grâce à la monnaie numérique, mais aussi à la suppression de la propriété privée programmée pour les toutes prochaines années, et à l’expropriation de tous nos biens au motif de rembourser la dette des états et de sauver la planète une fois ces états et les banques qui leur prêtent mis en faillite, nous serons d’ici peu réduits à l’état d’esclaves et de marchandises, sans aucun pouvoir ni marge de manœuvre pour nous défendre ou faire valoir nos droits. Nous continuerons à être régulièrement « vaccinés » contre des répliques successives d’un variant imaginaire du Covid ou de tout autre maladie plus ou moins fictive, et donc « pucés » grâce à l’injection de ces nanopuces baptisées « smart dusts » dont Klaus Schwab lui-même s’est fait le thuriféraire enthousiaste dans une vidéo diffusée sur YouTube. Ces nanopuces communiqueront en temps réel via la 5G avec des AI, non seulement notre statut vaccinal qui remplacera le « passeport santé » manuel actuellement mis en place dans tous les pays, mais également sur notre état de santé mesuré et contrôlé en temps réel pour être transmis aux autorités de santé comme aux compagnies d’assurance. Lesquelles nous prélèveront directement des sommes forfaitaires en cas d’apparition de symptômes d’une maladie non encore déclarée et dont nous n’avons même pas conscience. Nous serons donc totalement à la merci des puissances de l’Argent.

            Encore plus décoiffant, toujours selon Klaus Schwab, ces nanopuces communiqueront via la nouvelle puce « neurolink » actuellement développée par la firme Neuralink d’Elon Musk spécialisée dans le numérique et les neurosciences. Comme dans le film Matrix, cette puce sera implantée directement dans le cerveau et servira d’interface numérique entre nos circuits neuronaux et le système, nous reliant directement à internet sans besoin de clavier, souris ou écran. Plus incroyable et pourtant bien réel, une telle connexion 5G ou 6G au système permettra aussi d’ici 10 ans de piloter directement à dissonance nos émotions, nos sensations et nos comportements, et non plus seulement de les prédire grâce à une surveillance psychique interne ou aux systèmes de surveillance externe comme les drones, caméras intelligentes ou système de reconnaissance faciale et d’analyse des émotions.

            Parisiens ou pas, nous serons donc tous entièrement soumis à un système totalitaire, orwellien, à un pouvoir et un empire dictatorial, transhumaniste et même eugéniste qui décidera de réduire ou d’adapter la population mondiale selon ses objectifs et ses besoins. Un système d’une sophistication et d’une efficacité comme il n’en a jamais existé auparavant dans toute l’Histoire de l’humanité. Et comme il n’en existera sans doute jamais plus puisque celle-ci disparaîtra sous peu, exterminée par ces psychopathes et/ou absorbée par les machines qui les serviront en dopant à l’infini leurs capacités jusqu’à les rendre « immortels ».

            On aimerait tant que tout ceci soit du « complotisme », ou de la science-fiction. Hélas c’est déjà en partie une réalité. Et pour le reste, à moins d’un réveil massif et planétaire des consciences qui tarde à venir, ce sera sous peu notre réalité commune et inévitable. Il suffit de lire les rapports divulgués depuis 15 ans et plus par les grandes fondations comme Rockefeller, Bill & Melinda Gates, ceux du Forum Economique Mondial, d’écouter les déclarations et de consulter les publications d’oligarques comme David Rockefeller, Bill Gates, Georges Soros, Jacques Attali ou Laurent Alexandre (fondateur de Doctissimo, conférencier et pape français du transhumaniste) pour le comprendre explicitement ou entre les lignes.

            Donc cette « crise du Covid temporaire » n’a pas été conçue, planifiée, testée (lors de la simulation Event 201 réalisée en 2019 sous l’égide du John Hopkins Center, de la Fondation Rockefeller et de la Fondation Gates) et déclenchée, avec le concours des médias français notamment financés à hauteur de plus d’un milliard d’euros par Macron et Bill Gates. Elle durera encore longtemps et verra les mesures coercitives et liberticides se durcir et s’étendre : multiplication des vaccinations bidons, généralisation du passeport de santé obligatoire pour tous actes de la vie publique, civile et même privée, fermeture de toutes les frontières sauf pour les persones autorisées, des lieux publics, destruction de la culture, des industries du tourisme, du divertissement, du sport et des loisirs, destruction des identités nationales, abolition de toutes les libertés, report puis annulation des élections « démocratiques » comme celle de 2022, destruction de l’économie, des structures institutionnelles et politiques des états-nations, transfert de l’autorité administrative aux régions (cf l’Agenda 2030 du FEM), surveillance de masse accrue grâce aux nouvelles technologies, censure et pénalisation des propos et comportements « complotistes » jugés dangereux pour la collectivité, déchéance des droits civiques, parentaux, économiques pour les citoyens « réfractaires » comme en Chine, etc.

            Bienvenue dans le monde d’après ! Macron nous avons bien prévenu il y a tout juste : « Après cette épidémie, plus rien, je dis bien RIEN, ne pourra être ensuite comme avant ! »


          • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 22 mars 2021 09:28

            @Christophe Claudel
            Bonjour CC ne perdez pas votre temps avec piou piou, il est là pour prendre le contrepied de tous ceux qui doutent du système, c’est un CONformiste absolu doublé d’un pervers sadique


          • Passante Passante 22 mars 2021 09:33

            belle tirade !

            mais de shoa à shoab

            on manque d’imagination...


          • Aristide Aristide 22 mars 2021 09:45

            @Christophe Claudel

            cette « crise sanitaire » aussi factice que programmée.

            Ouaff, ouaff, ....


          • Passante Passante 22 mars 2021 09:54

            le nouveau SS nie la shoab smiley
            il sait même pas qui c’est !
            la nouvelle guest-à-peau ne croit qu’au vaccin
            et au confinement
            www.youtube.com/watch ?v=nuDQ_3g53qc&t=1s



          • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 10:06

            @Passante
            Merci pour ce partage.
            Vidéo partagée sur le groupe Facebook Résistance des peuples et conscience planétaire.
            https://www.facebook.com/groups/965555403796960


          • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 10:08

            @Aristide
            « ouaf ouaf » : après les moutons, les toutous. Ce virus transforme décidément les esprits inférieurs en ménagerie...


          • Plus robert que Redford 22 mars 2021 11:29

            @pipiou2
            Combien de Parisiens dans les rassemblements de Gilets Jaunes ?
            probablement très peu, voire aucun !
            Si les GJ ont manifesté à Paris, c’est uniquement pour des raisons de visibilité car leur surgissement massif dans les ronds-points de toute la province eût été immanquablement censuré par la presse merdstream...


          • Aristide Aristide 23 mars 2021 12:23

            @Christophe Claudel

            Quel virus ? Il n’existe pas comme la pandémie ...


          • Christophe Claudel Christophe Claudel 23 mars 2021 14:54

            @Aristide
            Ne soyez pas stupide et n’écoutez pas les Qanoneries qui prétendent qu’aucun virus ne serait impliqué dans cette maladie.

            Bien sûr que le SARS-Cov-2 existe bel et bien et qu’il est responsable d’une maladie respiratoire de type grippe baptisée Covid-19 (et de bien d’autres symptômes à plus ou moins long terme).
            La question n’est pas s’il existe ou non ou si la maladie est bien réelle ce qui revient à spéculer sur le sexe des anges, mais d’où vient vraiment ce virus, de quoi il est constitué et quelle est sa dangerosité, comment il a été fabriqué, par qui, à quel moment, comment il a été disséminé, de quelle façon, où, par qui, à quelles fins, quelle est sa vraie contagiosité (ainsi que les mutants qu’il a engendrés), sa vraie dangerosité et sa vraie létalité, comment il peut être éventuellement détecté par des prélèvement intranasaux ou par la présence d’anticorps détectés dans des prélèvements sanguins, s ices tests sont fiables et dans quelle proportion...
            Mais aussi et surtout à quelle stratégie ce scénario qui semble planifié longtemps à l’avance répond, quels objectifs précis et quels intérêts privés elle sert. Et quelles conséquences ces actes criminels qui sont déjà en partie prouvés exposent les populations, les sociétés, les états et l’humanités en général.

            Dire que le virus n’existe pas est aussi stupide, de mauvaise foi et inconscient que de croire bêtement à la version officielle. Laquelle prétend que le coronavirus est apparu spontanément à l’automne 2019 (alors qu’il a été fabriqué par étapes selon un processus qui s’étale sur plusieurs années et implique de nombreux acteurs), qu’il proviendrait du pangolin (ou de la chauve-souris), qu’il se serait propagé à partir du marché de Wuhan où était vendue de la viande de pangolin, qu’il constitue un danger inédit d’un degré exceptionnel à l’échelle épidémiologique, supérieur à une simple grippe saisonnière, qu’il aurait déjà causé plus d’un million de morts dans le monde dont plus de 90.000 en France (contre 5 ou 6.000 tout au plus si l’on tient compte avec honnêteté du redressement des stats officielles de« décès Covid » préconisé par le CDC depuis l’été 2020, et de la particularité française des « primes Covid » qui conduisent à falsifier encore davantage ces stats en majorant le chiffre des décès réels dus au Covid), qu’il n’existerait aucun traitement efficace pour soigner la maladie, laquelle serait une « pandémie », et non une banale infection virale respiratoire comme il en existe chaque année, ne touchant que des personnes de plus de 80 ans, très malades ou atteintes de comorbidités.


          • Aristide Aristide 24 mars 2021 09:07

            @Christophe Claudel

            Visiblement imperméable au second degré !


          • binary 21 mars 2021 20:09

            Paris humiliée, oubliée, recalée.

            Vous résumez parfaitement l état des lieux.

            (j aurai juste inversé les deux derniers verbes).


            • jefresi 21 mars 2021 20:24

              Beau tableau Parisien et du Parisien confiné dans ses grandeurs mythiques.

              Ouf ! Ça donne de l’air frais pour les provinciaux si souvent rapetissés à leurs pâquerettes.

              Mais, le vent des révoltes et des émeutes s’est déjà levé, il s’amplifie.

              Ceux-d’en-haut et leurs supplétifs syndicaux notamment le savent, ils sont anxieux.

              Les GJ avaient donné la direction, reste à la suivre...


              • alinea alinea 21 mars 2021 21:09

                Je ne sais pas si vous avez suivi, mais cela fait un petit moment que Paris a été vidé de ses habitants, relégués loin en banlieue, et qu’on a mis à la place des bobos assermentés, qui ont juré faire marcher les boîtes à la mode, comme le bataclan, mais, pour le reste, faut pas rêver ! c’est à peine s’ils sont venus soutenir le grand tribun Mélenchon... ah si, ils étaient tous Charlie, c’est vrai.


                • Passante Passante 21 mars 2021 21:12

                  @alinea
                  j’allais le dire.. l’élite, ses femmes de ménage,
                  et leurs parasites.


                • Adèle Coupechoux 21 mars 2021 21:33

                  @Passante

                  Ben ouais Passante ! A Paris, on nettoie tous les matins à 6 heures, on ferme sa gueule parce qu’on a pas la nationalité française et pourtant vous nous dites qu’on est en démocratie..
                  Alors vous ne faites que passer comme les autres...


                • Adèle Coupechoux 21 mars 2021 21:37

                  @alinea

                  Vous avez de ces clichés dans la caboche.. Putain qu’en savez-vous de la vie des parisiens ? 
                  Vous y vivez ????
                  ils étaient tous Charlie ???? Si vous le dites, vous êtes la nouvelle inquisitrice ?


                • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 00:13

                  @alinea
                  Bien sûr que ça fait longtemps que les classes moyennes notamment ont déserté Paris, laissée en exclusivité aux « gros bobos » bien gras et aux touristes friqués. Plus quelques gueux et réfugiés saupoudrés ça et là pour faire gauche.
                  La faute aux erreurs de gestion et aux partis pris idéologiques de cette équipe municipale irresponsable et obstinée à tout détruire autour d’Hidalgo, qui s’applique à vider paris des vrais Paris en leur rendant la vie impossible, en laissant flamber le prix des loyers et du mètre-carré.

                  Sauf que ce phénomène a connu une accélération brutale depuis le Covid et le premier confinement il y a tout juste un an. Demandez aux agences immobilières de certaines villes où régions de province ciblées par les candidats à l’exil de la capity, comme la Bretagne, le Pays Basque, le Languedoc-Roussillon ou le littoral aquitain : elles ne voient défiler que des Parisiens (et d’autres citadins des grandes villes), hantés par le spectre d’un nouveau confinement dans leurs 50 ou 80 m2 devenus une prison infernale ! 


                • alinea alinea 22 mars 2021 13:28

                  @Adèle Coupechoux
                  Je connais bien Paris ; oui plus d’un million de Charlie, ça le fait !
                  Un inquisiteur est envoyé par un pouvoir...religieux ; réviser son vocabulaire avant d’exploser de susceptibilité !
                  Je ne parle pas de la vie, des réservations de visites de musées par e-net par exemple !! je parle du contenu !!


                • alinea alinea 22 mars 2021 13:48

                  @Christophe Claudel
                  Oui ! je suis bien placée pour le savoir : les prix de l’immobilier flambent !! bobo viendra travailler sur écran au soleil ! ceux qui n’ont pas les moyens seront confinés sous la pluie.
                  On est bien d"accord !
                  On n’a pas grand chose à attendre de l’humain en cité !! la jungle, à côté, est une douce prairie.


                • gnozd gnozd 22 mars 2021 17:40

                  @Christophe Claudel

                  Allez donc voir comment c’est dans le 19eme ou le 20eme, niveau Place des Fêtes, Télégraphe ou Porte des Lilas. Là on est pas à Saint-Germain des Prés...


                • Christophe Claudel Christophe Claudel 22 mars 2021 23:32

                  @gnozd
                  J’habite le 20e. Depuis 26 ans. 😉
                  Autre chose ?...


                • devphil30 devphil30 22 mars 2021 06:02

                  Paris n’est que le début de la déchéance de la France.

                  Paris est devenue une ville d’accueil de la misère , les touristes ne vont plus revenir en masse et la situation va s’aggraver.

                  Cette gangrène va contaminer les autres villes de France et ensuite les plus petites villes et villages déjà désertifiés.


                  • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 22 mars 2021 08:39

                    @devphil30
                    Merci enfin un message OPTIMISTE

                    Affrontons cet avenir radieux d’un cœur léger

                    Je ne me rappelle plus quel personnage célèbre a dit ça, Fergus ou pipiou ?

                     smiley


                  • Passante Passante 22 mars 2021 08:42

                    @Bendidon
                    eh oui, pour échapper au planétaire syndrome de Stockholm, il n’y a plus que ?
                    Stockholm !


                  • devphil30 devphil30 22 mars 2021 08:47

                    @Bendidon

                    Lucide et réaliste mais teinté d’une pointe d’amertume et d’inquiétude pour le futur.


                  • I.A. 22 mars 2021 11:03

                    Un très bel article, triste et vrai, mais fort agréable à lire.

                    Savez-vous le problème de tous ces bobos parisiens, artistes, intellectuels et sportifs en tête ? 

                    • C’est qu’ils peuvent se déplacer comme ils l’entendent (repérages des lieux d’un clip, d’un roman ou d’un film, pratique d’un sport professionnel, carte de médecin, caducée sur le pare-brise...)
                    • C’est qu’ils habitent dans les plus grands appartements parisiens, avec terrasse-balcon, ou les plus beaux hôtels particuliers, voires les très rares maisons avec jardin !

                    Pour le reste, vous le savez autant que moi, la majorité des parisiens sont des provinciaux venus s’assurer un emploi, en espérant profiter un peu de « la fête »...

                    La fête est finie, oui, et nous nous retrouvons comme pris au piège. Peut-être cela fait-il plaisir à certains. N’y a t-il que des bobos à Paris ? Où sont passés alors les têtes de veaux ? Et les provinces ne comptent-elles que des boloss ?

                    Il me semble tout de même bien dérisoire de faire des généralités, ou de régionaliser les défauts seculaires des Français, mais sur la forme, oui, je suis d’accord avec vous.

                    Je ne sais non plus ce qui a pris à Delanoë, de nous léguer cette nunuche d’Hidalgo !

                    Vous avez raison y compris sur le mal du siècle : le mimétisme. Auquel je rajouterais le népotisme.


                    • pierrot pierrot 22 mars 2021 11:30

                      Je trouve infantile cette haine réciproque des Provinciaux contre Paris et celle des Parisiens contre les Provinciaux.

                      Paris, malgré la crise sanitaire actuelle, reste une ville très prisée des artistes de cinémas, théâtres, des écrivains, du monde de la mode, des architectes etc... du monde entier par son rayonnement (comme New York).


                      • raymond 22 mars 2021 11:33

                        @pierrot
                        Oui , tout ce qui a été « enfermé » quoi.


                      • Adèle Coupechoux 22 mars 2021 12:42

                        @pierrot

                        Oui peu importe les origines. 
                        En revanche, pas d’accord sur votre vision de Paris.
                        Une ville prisée ? Vous plaisantez ? Vous n’y vivez pas. Plus aucun intérêt de rester à Paris en ce moment, si ce n’est quand on est encore en activité.
                        Quand à son rayonnement, il est celui d’un hiver glacial.


                      • gnozd gnozd 22 mars 2021 17:52

                        @pierrot
                        Je réitère :allez donc voir comment c’est dans le 19eme ou le 20eme, niveau Place des Fêtes, Télégraphe ou Porte des Lilas. Là on est pas à Saint-Germain des Prés...


                      • pierrot pierrot 23 mars 2021 18:55

                        @Adèle Coupechoux
                        Je suis né à Paris et après avoir parcouru les 5 continents, j’y vit encore dans le centre de Paris et je m’y plait beaucoup.
                        Mais chacun fait ce qu’il veut de sa vie.


                      • gnozd gnozd 22 mars 2021 16:27

                        "Très peu encore aujourd’hui, même parmi les jeunes générations les plus frondeuses, transgressent cette obligation. Tous endossent sans broncher et même avec un zèle préoccupant l’uniforme blanc-bleu qu’on leur a imposé

                        "

                        Ben oui mais ils n’ont peut-être pas les moyens de claquer 135 boules à chaque sortie, non ?


                        • Christophe Claudel Christophe Claudel 23 mars 2021 19:43

                          @gnozd
                          Ces amendes de 135€ et plus sont aussi illégales que les motifs pour lesquels elles sont dressées de façon totalement abusive, renseignez-vous.
                          En cas de contravention pour non-respect des gestes barrière, non-port du masque, déplacement en-dehors des heures, au-delà de la durée ou du périmètre autorisés, absence de test ou de vaccination avant ou au retour d’un voyage à l’étranger avec quarantaine obligatoire, il suffit de contester ces amendes bidons, et Pschitttt !
                          Au besoin adhérez à une association d’avocats qui défendent les familles de victimes du Covid (et de la dictature sanitaire), du type Réaction 19 de Maître Brusa (10€) et vous serez conseillé et défendu en cas de pb.
                          Mais le terrorisme sanitaire et policier qu’on nous fait subir est inacceptable, il ne faut en aucun cas y céder, surtout après un an de cette mascarade.


                        • gnozd gnozd 22 mars 2021 16:51

                          Et si on mettait la capitale, je sais pas moi...ah ben tiens, à Vichy par exemple !?

                          Non ?

                          J’ai dit une connerie ?


                          • troletbuse troletbuse 23 mars 2021 12:32

                            @gnozd
                            J’ai dit une connerie ?


                            Bien sur que non


                          • alinea alinea 22 mars 2021 17:40

                            L’incendie de Notre Dame, la suspicion de corruption et de projets fous, l’énorme pollution au plomb dont on parle peu , les élections municipales... ! et les JO oui... comme si les politiques vendaient la ville aux touristes comme un beau décor mais se foutaient des parisiens. Enfin, comme si...

                            L’ambiance est aux fins de règne, fins d’empires, fin de civilisation... Paris morfle


                            • LeMerou 22 mars 2021 18:08

                              Paris humiliée, oubliée, recalée.


                              Ca me fait penser à des mots célèbres, dommage qu’il n’y ait pas le son avec le message.

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