Les pirates ne sont pas ceux que l’on croit...
Ha tiens, une nouvelle affaire de droit d’auteurs encore. Mais stupeur, ce sont les maisons de disque qui les ont violés...
Le mal n’est pas forcement ou on l’attend. Depuis de nombreuses années, elle abusent de leur monopole pour utiliser sans vergogne des oeuvres qui ne leur appartiennent pas ou plus. Cette fois ci, c’est au Canada que l’affaire à éclaté. Une class action à été initié par plusieurs chanteurs ou groupes. A leur tête, la veuve de Chet Baker, musicien de jazz décédé en 1988.
Mais en fait d’accord de l’auteur, les noms ont simplement été couché sur une liste qui s’est allongé au fil des années. C’est plus de 6 milliards de dollars qui sont réclamés soit 20 000$ par titre environ.
Rien d’étonnant à ce chiffre, rappelons que les majors ont obtenus près de 80 000$ par titre lors de la condamnation d’une internaute en juin aux Etats-Unis.
Cette pratique est spécifique au Canada depuis le changement du régime des droits s de l’auteur en 1980 mais ne croyez pas que les majors font preuve de plus d’honnêteté dans les autres pays.
Voici un petit aperçu relevé par un syndicat d’artistes (des vrais ceux la) au cours de la lutte pour leur droits (regardez la rubrique intérêt général et vous verrez revenir souvent des noms comme, SNEP, SCCP, Sony,etc).
Cela montre bien que l’escroquerie intellectuelle que représente Hadopi n’est la que pour punir le partage, le vrai piratage reste impuni lui car c’est ceux qui sont censés veiller sur les artistes qui les dépouillent.
Merci, baissez le rideau il n’y à plus rien à voir les majors ont déjà tout pillé.
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