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Accueil du site > Actualités > Société > Ma liberté commence là où commence celle des autres

Ma liberté commence là où commence celle des autres

Que ce soit avec Besancenot en Nike ou avec Mélenchon utilisant un I-Pad, certains journalistes ne ratent pas une occasion de pointer du doigt les petites contradictions des hommes de gauche. On peut s’en amuser, mais plutôt que de s’en sortir par des pirouettes du genre : « Il faut bien faire avec » ou : « On a tous nos petits paradoxes qu’il nous faut assumer » j’aurais préféré que l’un de ces leaders charismatiques mette les pieds dans le plat et assume ses contradictions en avouant qu’il restait tout à faire pour y remédier. J’aimerais voter pour un homme de gauche qui, quand il est pris en flagrant délit de consommation, réplique quelque chose comme : « Oui, le système est pourri puisqu’il m’oblige à transiger contre mes valeurs fondamentales, et si je suis élu, je ferais de mon mieux pour que cela cesse. »

En effet, est-il normal, alors que nous nous considérons comme un peuple politiquement mature, que nous soyons obligés de sacrifier certaines de nos valeurs pour pouvoir vivre en société ?

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. » – Benjamin Franklin

Que ce soit dans la rue ou sur le net, les politiciens pensent qu’il suffit de nous effrayer pour que nous implorions sa protection et que nous abandonnions nos droits les plus élémentaires comme celui de nous déplacer sans être pistés ou celui de surfer sans être espionnés. Si la misère, l’injustice sociale et le manque d’éducation sont source de criminalité, doit-on voir une stratégie dans les politiques qui diminuent les minimas sociaux, paupérisent les populations les plus défavorisées et refusent de remplacer les enseignants lorsqu’ils partent à la retraite ? En créant plus de violence, ne veulent-ils pas nous rendre plus dépendants ?

On ne gère plus des humains, mais seulement des ressources humaines.

Sur votre lieu de travail, l’hyperspécialisation a aussi servi à nous faire perdre le sens des valeurs. Entre ceux qui sont payés pour agir et ceux qui sont payés pour réfléchir, le fossé s’est creusé au point de devenir infranchissable. Aux premiers (qu’ils soient ouvriers ou caissières), la ‘satisfaction’ de travailler avec méthode et rigueur, aux seconds, les affres de la pensée, de la créativité ou de l’imagination. Et puisqu’il n’est pas possible d’être inspiré et gestionnaire à la fois, les exécutants s’en remettent à des spécialistes chargés d’organiser leur travail afin d’optimiser la productivité. En chemin, on aura tout de même sacrifié le bien-être des employés et leur épanouissement personnel, voire la qualité du service.

Désormais, les litiges avec les clients ne sont pris en compte que lorsqu’ils impactent les bénéfices de l’entreprise à la baisse.

D’ailleurs, après les employés, victimes du taylorisme, ce fut au tour du reste des actifs de sacrifier leur équilibre et leur sincérité sur l’hôtel du profit. Dès qu’ils commencent leur formation, les commerciaux et les publicitaires savent qu’ils passeront l’essentiel de leur temps à mentir à leurs clients ; quant aux entreprises, celles qui choisissent de privilégier les rapports de confiance qu’elles tenteront d’établir avec leurs clients, elles le leur feront payer très cher. Puisqu’il est désormais plus intéressant de décevoir dix individus que d’en satisfaire un seul, la qualité du produit vendu ou du service rendu est devenue secondaire par rapport à d’autres critères comme les bénéfices engrangés ou la visibilité sur le marché.

Ainsi, au XXIe siècle, toutes les valeurs humanistes auxquelles nous aspirions ont été articulées afin de se neutraliser entre elles ; la seule qui reste et qui impose sa loi, c’est celle de l’argent. Désormais, tout est permis, à condition de créer de la richesse, c’est à dire, de faire circuler de la monnaie.

Il est donc plus que temps de reprendre chacune des valeurs auxquelles nous tenons et de réfléchir une société dans laquelle ces valeurs s’imposeront d’elles-mêmes plutôt que de se neutraliser. Je rêve d’un pays dans lequel la liberté commencerait là où commence celle des autres et la sécurité ne serait plus la première des libertés, mais une composante du paysage ; et je crois qu’il est temps de passer à l’action, car bientôt, on nous retirera aussi le droit de rêver.


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26 réactions à cet article    


  • Buddha-dassa 13 avril 2012 09:30

    le plein emploi collectif,, le partage égal,la fin de la compétition, du business,de l’argent etc..

    sans y arriver,ce qui implique un changement radical dans nos esprits de métal ,auxquels on ne comprends rien du tout.....et bien on dépends du maitre que l’on sert tous les jours...

    on ne sait pas que l’on fonctionne mécaniquement sur une faible partie du cerveau , la partie analytique qui est de plus entièrement automatique...

    cet humain toujours arrogant même chez le pauvre est en train de creuser sa tombe, mais çà à l’air de lui plaire...

    et comme dit l’auteur : et je crois qu’il est temps de passer à l’action, car bientôt, on nous retirera aussi le droit de rêver.

    cela dit ce serait une faute majeure du pouvoir,ca forcerait le sans grade au réveil....de toutes façons le capitalisme marchand de profit est fini.......il vit ses derniers moment et le haut de la pyramide a peur de la population car elle devient incontrôlable, et une seule étincelle peut alors être fatale et très rapidement....
    c’est a cela que pense bill gates et amis quand ils parlent de trop de monde, il a les chocottes tout simplement..


    • C EST BIZARRE

      on voit une paille dans l’oeil de son voisin mais ON NE VOIT PAS UNE POUTRE DANS SON PROPRE OEIL

      chercher la petite bete...en voyant des nike portés par celui ci...de gauche QUAND ON VOIT

      UNE DAME A COTE EN LIMOUSINE....AVEC MOTARDS QUI PREND MEME LES SENS INTERDITS......
      (nadine morano)

      rappel un député...sénateur ou ministre revient a 17 millions d’euros /an

      nous en avons 35....merkel.....8
       c’est cela la différence...SUS AU TRAIN DE VIE DE NOS 650000 ELUS


      • jaja jaja 13 avril 2012 13:24

        L’auteur dit qu’il est temps de passer à l’action pour défendre la liberté... c’est ce que font déja certains, réprimés dans le silence assourdissant des médias, y compris de ceux qui se disent progressistes...

        Communiqué du NPA. Violences et censure politqiue à Paris 1 Tolbiac.

        jeudi 12 avril 2012

        Ce jeudi 12 avril, les militants du NPA étudiants à l’université Paris 1-Tolbiac organisaient un meeting, conformément à l’article L811-1 du Code de l’Éducation garantissant la liberté d’expression politique dans les établissements d’Enseignement supérieur.
        L’université a refusé de donner un amphithéâtre pour la réunion publique. Elle a envoyé les vigiles, membres d’une compagnie privée de sécurité, contre les étudiants. Une militante du NPA a été transportée à l’hôpital sérieusement blessée au genou. D’autres ont subi de violents coups et certains ont été menacés personnellement de représailles.
        En dépit de cette agression, le meeting s’est tenu devant plusieurs dizaines de personnes.

        Le NPA condamne cette tentative d’intimidation contre ses militants et contre la liberté d’expression en général. Il exige des excuses publiques de l’université Paris 1 et la garantie, à l’avenir, de la liberté d’expression.

        Le 12 avril 2012.


        • Cedric Citharel Cedric Citharel 13 avril 2012 13:35

          En effet, c’est dans le silence des médias officiels qu’un site comme AgoraVox trouve sa place.

          Pas étonnant, dans ce contexte, que les autorités cherchent à censurer le net.

          • rocla (haddock) rocla (haddock) 13 avril 2012 13:42

            Très en effet !


            • sleeping-zombie 13 avril 2012 14:28

              Beau coup de gueule,

              on se sent moins seul, merci ^^


              • Cedric Citharel Cedric Citharel 13 avril 2012 15:16

                De rien, tout le plaisir fut pour moi smiley


              • Claude Courty Claudec 13 avril 2012 15:36

                La liberté est un bien, une richesse, qui se partage. Plus il y a de prétendants, moins la part de chacun est importante.


                Sur le sujet et ses aspects fondamentaux, voir :
                http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com - De la richesse à l’exclusion par la démographie.

                Et n’omettez pas d’y laisser vos commentaires !

                • Cedric Citharel Cedric Citharel 13 avril 2012 15:58

                  C’est justement à cette conception fataliste de la liberté que je m’oppose.

                  Si les ressources fournies par la planète se partagent (même si le système dans lequel nous vivons tend à concentrer leur possession dans les mains d’une petite minorité), on ne peut pas généraliser cette loi à tout ce qui nous entoure. Certains phénomènes s’entretiennent d’eux-mêmes.
                  À titre d’exemple, les découvertes scientifiques engendrent d’autres découvertes  ; la culture, une fois acquise, incite à se cultiver davantage...
                  Bref, un système civilisé devrait s’atteler à faire en sorte que les phénomènes positifs (valeurs communes, bien-être, éducation, etc.) s’auto-alimentent tout en endiguant les phénomènes négatifs (angoisse, criminalité, solitude, etc.)
                  Étrangement, j’ai l’impression que le gouvernement actuellement au pouvoir cherche exactement dans la direction opposée.

                • epicure 13 avril 2012 17:46

                  La liberté est une richesse qui n’a de raison d’être qu’en étant partagé, si elle n’est pas partagé il s’agit de pouvoir ou de licence, donc la non liberté.
                  Au contraire la liberté s’enrichit en étant partagée.

                  Il ne peut y avoir de liberté que si tout le monde est libre.
                  Ne pas partager la liberté revient à ne pas donner la liberté à certain, donc c’est être contre la liberté.
                  Si tu es contre le partage de la liberté tu es donc contre la liberté.

                  Sinon ton lien est mauvais, parce qu’il fait croire que les rapports entre riches et pauvres sont linéaires, alors qu’ils sont exponentiels dans les sociétés les plus inégalitaires.
                  Et puis être pauvre dans un pays où la richesse est partagée et être pauvre dans un pays où la richesse est concentrée dans les mains de quelques uns ce n’est pas pareil dans l’absolu.
                  La seule chose d’intéressante dans ce lien c’est le graphique de la richesse des plus riches : très élevée au début du 20ème siècle lors du capitalisme triomphant, se réduisant lors de la crise, puis de la guerre, et ensuite lors des 30 glorieuses qui ont reposées justement sur une meilleure répartition des richesses, et augmentant depuis la contre révolution conservatrice de Thatcher et Reagan.
                  Donc ce graphe montre que les riches sont bien plus riches depuis 30 ans,pendant que les conditions de vie de nombreuses autres personnes se sont dégradées.


                • Claude Courty Claudec 13 avril 2012 17:57

                  Les phénomènes négatifs se définissent par les positifs et inversement, selon une dialectique universelle dont j’avoue ne pas saisir le rapport avec le fait que la liberté se partage ou que celle de chacun a pour limites celle d’autrui.

                  Pour ce qui concerne les « phénomènes positifs s’auto-alimentant » : des mots, au conditionnel, auxquels s’oppose une réalité vieille comme l’homme et dont les plus démunis – toujours plus nombreux – font les frais.
                  Avec des « si » ou des « oui mais » tout est facilement imaginable. Je m’intéresse pour ma part davantage aux faits qu’à l’utopie. 

                • Cedric Citharel Cedric Citharel 13 avril 2012 18:06

                  S’intéresser aux faits n’est utile que si l’on cherche à les changer.

                  L’exercice intellectuel qui se conclut par un « c’est comme ça » ne m’intéresse pas.

                • epicure 13 avril 2012 21:14

                  Par Claudec (xxx.xxx.xxx.120) 13 avril 17:57

                  A quoi tu réponds avec tes phrases creuses ?

                  C’est bien de dire s’intéresser aux faits mais encore faudrait il le démontrer dans ce que tu écris.
                  Le fait que tu dises que partager la liberté c’est la faire diminuer, montre que tu ne t’intéresses pas aux faits mais uniquement à une utopie, à un dogme, qui confond la liberté avec la licence.

                  Ton discours sur le « si », si j’ai bien compris sa signification , montre juste que tu n’as pas de contre argument et que donc tu essayes de t’en sortir par une pirouette.
                  A partir du moment où tu remplis la condition du « si » il va la conséquence décrite après. C’est ça les faits logiques.
                  Donc les faits c’est que ceux qui ne veulent pas partager la liberté, ne défendent aps leur liberté mais leur pouvoir, leur privilège.
                  Si une seule personne dispose de la liberté d’expression ( ou toute autre liberté ) et pas les autres, et qu’il ne veut pas la partager, c’est la liberté qui est enrichie par rapport à la situation où la liberté d’expression serait équitablement répartie ? C’est la conclusion de ton affirmation du début.
                  Donc selon ton raisonnement si une personne peut faire tout ce qu’elle veut et pas les autre, c’est la liberté la plus riche parce que la moins partagée ?
                  Alors que c’’est ce qui caractérise justement l’absence de liberté.


                • Romain Desbois 13 avril 2012 15:54

                  « Et dire que si les gens ne l’achetaient plus ça ne se vendrait plus » Coluche

                  Ce génie avait tout compris à l’économie, il avait découvert la cosomm’action .


                  • Cedric Citharel Cedric Citharel 13 avril 2012 16:14

                    D’un autre côté, un certain Jean-Baptiste Say (économiste classique libéral) a déclaré que l’offre créait la demande (en très résumé).

                    Même si son traité d’économie politique remonte à 1803, et pose des concepts dont on sait qu’ils manquent de nuance et de réalisme, il suffit d’y croire au moment où l’on élabore une politique pour qu’ils se révèlent auto-réalisateurs.

                    C’est un peu court pour développer ce point de vue en commentaires, je vais réfléchir à un article sur le sujet.

                  • al.terre.natif 13 avril 2012 16:45

                    « toutes les valeurs humanistes auxquelles nous aspirions ont été articulées afin de se neutraliser entre elles ; la seule qui reste et qui impose sa loi, c’est celle de l’argent. »

                    Analyse très intéressante ! C’est bien l’argent qui cristallise aujourd’hui tous les problèmes, et qui, paradoxalement, est toujours présenté comme une solution ! (cf. ce vendredi 13 et tous les gens qui avec espoir iront donner un peu de ce qui leur manque en espérant combler ce manque par la chance ...)

                    Le jour où nous arriverons à casser le pouvoir de l’argent (impersonnel et cumulable) pour considérer celui du temps (personnel et non cumulable), nous aurons fait un grand pas vers la liberté !!


                    • Romain Desbois 13 avril 2012 16:53

                      non la monnaie (l’argent) est un outil. Ce qui est le problème c’est la cupidité des humains.


                    • epicure 13 avril 2012 17:49

                      @Par Romain Desbois (xxx.xxx.xxx.163) 13 avril 16:53

                      Exact, le problème de l’argent est qu’il est considéré comme une Valeur, une fin en soi, et non simplement un outil, un moyen pour parvenir à quelque chose.


                    • Romain Desbois 13 avril 2012 18:09

                      oui j’ai noté aussi la schizophrénie de beaucoup. tous ces jeunes indignés se ruant chez Mac Do, buvant Coca, tous ces beaux phraseurs sur les banskters au crédit lyonnais ou à la BNP et à la NEF
                      , tous ces anti-racistes méprisant les animaux dans des réflexions spécistes que Mengele n’auraient renié, tous ces révolutionnaires du dimanche.....

                      Alors au moins bientôt il faudra choisir Ni Coca, Ni Colas !


                    • Romain Desbois 13 avril 2012 18:11

                      je voulais écrire et PAS à la NEF


                    • jaja jaja 13 avril 2012 23:28

                      @ Ursulin

                      Un : le petit facteur à l’époque du Référendum s’habillait comme s’habillaient tous les jeunes y compris ceux des quartiers populaires....

                      Deux : Croyez-vous qu’aujourd’hui Poutou arrive à la gare pour faire la campagne et sort du TGV sans que quelques camarades ne l’attendent avec une voiture ni ne l’accompagnent partout dans les médias, les meetings etc.... Croyez-vous qu’hier au meeting de la Halle Carpentier les militants du Service d’ordre ne protégeaient pas la scène où parlait Philippe Poutou ?

                      Le comble de l’ignoble c’est que vous accusiez Besancenot d’arrivisme alors qu’il a cessé de se porter candidat, qu’il ne vit pas de la politique et que tout le travail était fait à la LCR par des militants. Et tout ça pour encenser Mélenchon qui a pourtant bénéficié à cette époque (2004) de voiture avec chauffeur payés par la République... Je ne m’étends pas sur le mini scandale que ça avait fait à l’époque scandale qui ne m’intéresse pas et dont je ne sais s’il était justifié ou non n’ayant pas l’envie de consulter les vieux articles grâce à Google pour le simple plaisir de remuer la merde comme vous le faites ici

                      Avec tout mon mépris.......


                    • jaja jaja 14 avril 2012 16:30

                      Je respecte qui me respecte... 500 euros de fringues que je suis obligé de croire ? Bien sûr vous n’avez jamais écrit en commentaire qu’il valait le coup d’essayer Mélenchon.....Je n’aime pas les délateurs... Je suis très heureux de votre réponse je craignais que vous ne me lisiez pas....

                      Je connais suffisamment le fonctionnement de l’extrême gauche pour savoir que les « voitures avec chauffeur » c’est toujours le système démerde avec des bagnoles pas toujours top top et rien à voir avec la voiture de fonction avec chauffeur d’un sénateur dont le chiffrage du prix du costard par contre vous échappe.........

                      Je commence à être fatigué de la malhonnêteté qui règne chez beaucoup sur ce site


                    • tout a fait exact

                      IL FAUT REDUIRE LE TRAIN DE VIE DE NOS 650000 ELUS

                      -ministres et senateurs ou députés nous reviennent a 17 millions d’euros /an CHACUN ET NE PAYENT NI TRAIN NI AVION...

                       - ILS ACHETENT DES APPARTS A PARIS OU DES VOITURES OU DES ReSIDENCES SECONDAIRES AVEC DES PRETS A 0%

                      QU LS REVENDENT A LEUR PROFIT DES QU ILS NE SONT PLUS ELUS

                       ILS SONT LOBBYSTES DES GRANDS GROUPES PETROLIES LABO MEDICAUX ET MULTINATIONALES

                      MEDIATOR...500 MORTS 87 députés et sénateurs cu CLUB HIPPOCRATE ETAIENT APPONITES PAR SERVIER..

                      COPE..HORTEFEUX TRAFIQUENT AVEC TAKKIEDINE ET D AUTRES GAUBERT....BAZIRE

                      DEHORS LA MAFIA UMP...


                    • RECTIF 87 DEPUTES ET 14 SENATEURS...CLUB HIPPOCRATE OU HIPPOCRITE


                    • Robert Biloute Robert Biloute 13 avril 2012 17:46

                      merci, ça fait du bien.


                      • Pierre Régnier Pierre Régnier 15 avril 2012 14:02

                        MESSAGE URGENT AUX PARISIENS

                        (même à ceux qui le sont seulement pour la journée)

                         

                        Si vous allez au meeting politique de Vincennes

                        n’oubliez pas d’aller aussi, tout de suite après,

                        au SALON REALITES NOUVELLES 2012

                        C’est à deux pas, dans le parc floral et,

                        j’y suis allé hier : C’est cette année

                        un très bon cru

                        (en plus c’est gratuit)

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