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Philippine : émotion nationale, récupérations politiques, dysfonctionnements de l’État ?

« Soyez donc les bienvenus vous tous, chrétiens ou non, habitués ou moins habitués des églises, qui venez entourer la famille de Philippine, manifester votre amitié et prier pour elle. Vous pressentez que c’est important d’être là, tels que vous êtes. Merci d’être venus, parfois de loin. » (Père Pierre-Hervé Grosjean, le 27 septembre 2024 à Versailles).

À la découverte à la fois du corps inerte de Philippine Le Noir de Carlan et du profil de son meurtrier présumé deux jours plus tard, l'extrême droite a profité de l'occasion pour faire de la récupération politique. Oui, c'est sans doute vrai, mais l'émotion ne signifie pas toujours la récupération et c'était une grande émotion nationale qu'ont ressenti ce vendredi 27 septembre 2024 les près de 3 000 participants aux obsèques de Philippine à la cathédrale Saint-Louis de Versailles, dont 1 000 restés dehors, sur le parvis, faute de place, sous une pluie battante.

Rappelons d'abord les faits : Philippine Le Noir de Carlan, jeune étudiante de l'Université Paris-Dauphine qui allait fêter son 20e anniversaire le 10 octobre prochain, a été déclarée disparue le vendredi 20 septembre 2024 dans la soirée. Sa dernière apparition remontait à 14 heures le même jour, à l'issue de son déjeuner. Elle devait retrouver ses parents dans les Yvelines pour le week-end. Hélas, très rapidement, on en est venu à chercher du côté du bois de Boulogne (proche de la Porte Dauphine), et le soir du samedi 21 septembre 2024, on a retrouvé son corps, enseveli sauf un bras. Une vague d'émotion a alors envahi le pays. Pourquoi ? Parce que, comme toujours avec ce genre de tragédie, on peut s'identifier à la victime. Une jeune étudiante, symbole de toutes les étudiantes, mais aussi les parents de jeunes filles peuvent s'identifier aussi (même la dernière fille du nouveau garde des sceaux a l'âge de Philippine).

De nombreux étudiants, même ceux qui ne connaissaient pas Philippine, sont venus se recueillir le lundi 23 septembre 2024 dans le hall de l'Université Paris-Dauphine pour lui rendre hommage et honorer sa mémoire. Ce qui est arrivé à Philippine aurait pu arriver à n'importe quelle étudiante de cette université et sans doute n'a-t-elle a eu de chance d'avoir croisé son meurtrier.
 

Beaucoup de détails peuvent contribuer à s'identifier à la victime. Ainsi, les lieux. Il y a une vingtaine d'années, je me rendais de temps en temps à cette université Paris-Dauphine parce que j'avais un groupe de travail avec des étudiants de cette université. Parfois, les réunions pouvaient finir tardivement dans la soirée ou en hiver, vers les 19-20 heures, il faisait nuit, et je me faisais la réflexion, lorsque je revenais seul reprendre mon véhicule stationné dans le bois de Boulogne, peu éclairé, que ce serait peut-être dangereux si j'avais été une jeune fille (j'avoue que je n'ai jamais eu peur personnellement d'être agressé, mais à tort, surtout par imprudence car nul n'est épargné ; la témérité était ma seule réponse à une impuissante fatalité). Je connais aussi bien Versailles, et Montigny-le-Bretonneux où Philippine vient d'être inhumée, ce qui renforce l'identification. J'imagine parfaitement son milieu.

L'émotion suscitée par ce drame infini s'est renforcée par la colère. En effet, l'auteur présumé du meurtre a été arrêté à Genève le mardi 24 septembre 2024 (bravo la police !). Il s'agirait d'un Marocain de 22 ans venu illégalement en France en 2019, qui aurait commis un viol alors qu'il n'était pas encore majeur, aurait été condamné à sept ans de prison mais libéré au bout de cinq ans, en juin 2024. Il était condamné aussi à une obligation de quitter le territoire français (OQTF) d'une durée de dix ans. Il a été placé dans un centre de rétention administrative pendant un peu plus deux mois mais relâché quinze jours avant la tragédie.

On le comprend, le sujet est ultrasensible : meurtre d'une jeune fille, fille croyante et pratiquante, immigration illégale, OQTF non exécutée, récidive. Chaque terme susciterait en lui-même des montagnes de récupérations politiques de l'extrême droite. Insistons sur le fait que si le RN avait été au pouvoir (il n'en était pas très loin au début de l'été), le meurtre aurait hélas été sans doute aussi commis.

Restons encore brièvement dans la récupération politique... mais de l'extrême gauche, pas plus décente à cet égard pour la mémoire de Philippine, et même, pire. Ainsi, on peut lire dans les réseaux sociaux des messages franchement dégueulasses de personnes qui refusent la compassion pour Philippine sous prétexte qu'elle serait catholique pratiquante et que l'extrême droite aurait récupéré son assassinat. Du reste, des militantes d'extrême gauche ont arraché à Science Po les affiches rendant hommage à Philippine. On ne sait plus très bien si les plus dégénérés sont les meurtriers du type de celui de Philippine ou tous ces tordus qui ne voient plus l'humain au travers de leur prisme idéologique et de leurs puanteurs militantes.
 

Le grand nombre de participants à l'enterrement à Versailles montre qu'on n'était pas obligé de connaître Philippine pour être touché dans ses tripes par son meurtre. Des gens qui ne se connaissaient se sont d'ailleurs serrés dans les bras pour exprimer cette émotion et se consoler. Elle ne vient pas de nulle part, elle rassure même, car tout drame mérite respect, émotion et réflexion. Cela s'est passé aussi pour d'autres drames, précédemment, trop nombreux hélas pour les énumérer simplement ici.

Pour autant, la réflexion doit s'amorcer avec cette idée : le meurtre de Philippine pouvait-il être évité ? Et aussi : comment l'éviter dans l'avenir ? Car la première réflexion, logique, c'est de se dire : jamais Philippine n'aurait dû croiser sur son chemin ce jeune criminel marocain qui aurait dû être expulsé depuis plusieurs semaines. Et vient donc la question en d'autres termes : y a-t-il eu des dysfonctionnements dans l'État, c'est-à-dire, des décisions humaines qui, mal inspirées, ont engendré un tel crime ?
 

Pour ma part, sans ôter la moindre responsabilité au moindre responsable, l'entière responsabilité du meurtre provient du meurtrier et de lui seul. Personne ne l'a forcé à tuer Philippine. Il est 100% responsable de son acte odieux.

Il y a d'abord des amalgames à éviter, et à éviter des deux extrêmes. Extrême droite : les immigrés clandestins ne sont pas tous des tueurs. Heureusement. Réduire le meurtre de Philippine à des OQTF mal exécutées est, à mon sens, une erreur de raisonnement. Extrême gauche (chez certains écologistes) : on réfute l'idée que le tueur soit immigré pour qu'il tue, en disant qu'il a tué parce qu'il était un homme ! Là aussi, c'est tout aussi stupide intellectuellement. Dieu merci, les hommes ne sont pas tous des tueurs de jeunes filles (sinon, j'en viendrais à être honteux d'être ce que je suis, un homme).

Premiers éléments de réflexion pour répondre à la question principale (le meurtre aurait-il pu être évité ?). D'après les informations dont je dispose, et donc, sous réserve qu'elles soient exactes et confirmées, j'ai compris que la remise de peine de deux ans est plutôt sévère pour une peine de sept ans. Rappelons aussi que le juge évite le plus possible la prison en temps long en raison des places qui manquent. Donc, le jeune Marocain est relâché et immédiatement placé en centre de rétention administrative pour rendre exécutable son OQTF.

Qu'est-ce qu'on attendait ? Comme le futur expulsé n'a pas de passeport, il lui faut un sauf-conduit (je n'ai pas le terme exact) consulaire délivré par le pays qui l'accueille, à savoir ici le Maroc. Le problème, c'est que les pays de retour sont peu enthousiastes pour délivrer ce genre de papiers officiels. Il y aura bien un rapport de force diplomatique à mener entre les deux pays, mais c'est du long terme et très aléatoire, car concrètement, si le pays de retour ne fait rien, la France est bien ennuyée. Le pire, c'était que des candidats à l'expulsion pouvaient rester des mois voire des années dans des centres de rétention, qui n'est pas autre chose qu'une prison alors qu'on n'est pas condamné (je rappelle : les expulsés n'ont commis que la faute d'être entrés en France illégalement, mais n'ont pas forcément commis des crimes ou autres délits). Une loi a donc établi une durée maximale durant laquelle on pouvait être retenu dans un centre de rétention : 90 jours. Avec une décision de maintien du juge tous les quinze jours. Sur quoi se base le juge ? Sur la probabilité que le pays de retour délivre les documents consulaires avant les 90 jours de durée maximale.

Pour le cas du meurtrier présumé de Philippine, la justice française avait abandonné tout espoir raisonnable que le Maroc fournisse ce document dans les temps, si bien qu'elle a considéré que le retenir plus longtemps n'avait aucune sorte d'utilité (au bout de 90 jours, il serait de toute façon relâché). Donc, à mon sens, blâmer le juge qui a signé sa sortie du centre de rétention est stupide car il n'a fait que son travail selon les critères que la loi lui a imposés. En revanche, l'auteur présumé aurait dû signaler régulièrement sa présence, ce qu'il n'a pas fait. Pourquoi n'a-t-on pas réagi ? (Là encore, regardons l'unité de temps : quinze jours, semble-t-il, entre sa sortie du centre de rétention et le meurtre ; la police n'allait pas réagir plus vite de toute façon).
 

Pour autant, peut-on considérer que c'est satisfaisant ? Certainement pas. Absolument pas. Des vies humaines ont été perdues à cause d'un manque de réflexion. Il ne faut pas idéologiser l'immigration, mais réfléchir de manière pragmatique sur les raisons de non exécution des OQTF. La principale, c'est la mauvaise volonté des pays du retour. Quand la justice française connaît le pays du retour, car ce n'est pas toujours le cas.

Je n'ai pas "la" solution, sinon, elle aurait déjà été trouvée et appliquée depuis longtemps, mais des pistes sur ce cas précis. Deux modestes pistes.

La première est que la condamnation du jeune violeur était de la détention assortie d'une OQTF. On aurait donc pu rechercher les documents consulaires avant sa libération de prison, en vue de son expulsion immédiate dès sa sortie de prison. Après tout, condamné à sept ans de prison, cela laissait deux ans à l'administration française pour obtenir le papier consulaire auprès des autorités marocaines. Mieux que 90 jours. L'obtention de ce papier consulaire devrait même être une condition nécessaire à toute libération anticipée d'un condamné faisant l'objet d'une procédure d'expulsion.

La seconde piste, c'est de différencier les candidats à l'expulsion, car il y en a de deux sortes : il y a la grande majorité d'étrangers clandestins qui doivent retourner chez eux et qui n'ont rien fait d'illégal autre que cette entrée du territoire français ; et puis il y a des gens comme ce violeur condamné qui est un criminel (rappelons que le viol est un crime) et on doit focaliser la surveillance des autorités françaises sur ces personnes sous OQTF tant qu'elles ne sont pas effectivement expulsées car elles sont susceptibles d'être (encore) des dangers pour la société (même si on ne peut pas préjugé d'un crime ou délit futur, "Minority report" n'est qu'une fiction, heureusement). Ou même permettre exceptionnellement le placement en centre de rétention le temps de pouvoir les expulser selon les règles.

Invité de la matinale de France Inter ce vendredi 27 novembre 2024, le nouveau Ministre de la Justice Didier Migaud a manqué manifestement de dose de persuasion pour exprimer pourtant une évidence : « des situations tout à fait objectives, comme sur l'exécution des peines, qui a beaucoup progressé, comme le nombre de personnes qui aujourd'hui sont détenues en prison. Mais je sais que c'est inentendable pour le citoyen ! (…) Je souhaite convaincre les citoyens qu'il faut faire confiance à la justice. Et comme garde des sceaux, ce sera à moi de veiller à ce que la justice puisse avoir les moyens de fonctionner. Je serai toujours le défenseur de l'État de droit, toujours le défenseur de la justice, toujours le défenseur des magistrats, sans être complaisant vis-à-vis de manquements qui peuvent effectivement intervenir. ».
 

Et de répondre aux critiques parce qu'il n'avait pas réagi au meurtre de Philippine : « Vous savez que le garde des sceaux ne peut pas intervenir dans le cadre d'une procédure individuelle. Ça ne m'empêche pas de ressentir aussi fortement que les citoyens l'émotion devant une telle situation. C'est une tragédie. Ma dernière fille, elle a l'âge de la victime ! Donc vous vous rendez compte que je peux imaginer le drame que ça peut représenter pour la famille, et je lui exprime bien évidemment toute ma sympathie. ». Sa mission : « Essayer de travailler pour voir si la réglementation, si la législation est adaptée en toutes circonstances, pour faire en sorte d'éviter ce type de situation et ce type de drame. Et là, je dois travailler avec le Ministre de l'Intérieur : c'est ce que nous efforçons de faire, d'ailleurs, depuis quelques jours pour faire face à cette situation. Mais je comprends que l'émotion est telle qu'elle submerge tous les discours objectifs. ».

La cérémonie religieuse a eu lieu à la cathédrale Saint-Louis de Versailles (où Philippine a fait sa confirmation) parce que l'église de sa paroisse, à Montigny, n'aurait pas été assez grande pour accueillir ces milliers de personnes venues communier à la mémoire de Philippine. La présidente du conseil régional d'Île-de-France Valérie Pécresse était présente, le président de l'Université Paris-Dauphine également. Beaucoup d'élus étaient présents. Une cagnotte mise en ligne pour soutenir financièrement la famille a déjà recueilli les dons de 3 500 généreuses personnes.

Dans son homélie, le curé de la paroisse de Montigny-Voisins-le-Bretonneux, le Père Pierre-Hervé Grosjean, a évoqué trois temps : celui de la tristesse, celui de l'espérance, et celui de l'action.

L'émotion : « Devant le mystère du mal, devant l’injustice insupportable et la violence qui s’est déchaînée, nous sommes sidérés, comme écrasés. Bien sûr, la justice des hommes sera nécessaire. Son temps viendra. Mais aujourd’hui, nous avons besoin de pleurer, de partager et de déposer ensemble notre douleur, notre colère, notre incompréhension. ».
 

L'espérance : « Nous voulons nous accrocher à cette espérance que nous donne Jésus, comme on s’accroche à une ancre pour ne pas couler ou dériver. Oui, en priant pour toi, en te portant devant Dieu, Philippine, nous espérons et nous croyons que le Seigneur t’accueille dans sa paix, dans la joie du Ciel, qu’auprès de Lui tu ne souffres plus, et que tu connais ce bonheur parfait pour lequel nous avons été créés, ce bonheur qu’aucun mal ne pourra plus désormais atteindre ou abîmer, cette joie éternelle dont nous avons tous soif, dont tu avais soif et que les joies de ta vie annonçaient. Nous sommes là, nous accrochant à cette espérance qui nous promet aussi qu’il y aura un jour des retrouvailles. Nous te reverrons Philippine. Cette espérance n’empêche pas nos larmes, mais elle les éclaire. ».

L'action : « Nous avons nous aussi en effet chacun une mission. Nous ne voulons pas que le mal ait le dernier mot. Nous voulons croire que Jésus a vaincu la mort, pour que ceux qui accueillent cet Amour victorieux puissent recevoir la vie éternelle. Mais dès maintenant, nous pouvons répondre à ce mal en le retournant contre lui-même. Comment ? En faisant de ce drame, de cette épreuve terrible, l’occasion d’un sursaut, l’occasion de grandir résolument, généreusement et courageusement dans notre vie, dans la façon de la vivre pleinement, de la donner, dans notre désir de servir et d’aimer. Nous voulons opposer au Mal, à sa violence et à sa laideur, la force de notre amour, de notre espérance, de notre foi, et la beauté de notre unité. Nous voulons répondre à l’horreur du mal par la force plus grande encore du bien, le bien que nous pouvons faire en nous engageant, chacun à notre façon, chacun selon notre vocation, pour servir. ».

Et il a terminé en s'adressant directement à Philippine à propos de sa famille et de ses amis : « Tu es désormais leur grande sœur du Ciel. Encourage-les dans leurs joies, leurs peines et leurs combats. Donne à chacun de pouvoir servir, croire et aimer à son tour avec toute la générosité dont il ou elle est capable. Aide tous ces jeunes à découvrir combien ils sont aimés de Dieu, de façon inconditionnelle, quelle que soit leur histoire ou leurs fragilités. Parce que c’est quand on se sait aimé qu’on devient capable du meilleur ! ».


Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (27 septembre 2024)
http://www.rakotoarison.eu


Pour aller plus loin :
Philippine : émotion nationale, récupérations politiques, dysfonctionnements de l'État ?
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38 réactions à cet article    


  • leypanou 28 septembre 10:52

    Celui qui sera déclaré coupable de la mort de la jeune fille sera jugé puis sanctionné et ce n’est que justice.

    Par contre, ceux qui sont responsables de gens (autrement plus nombreux) morts après piqûre obligatoire pour pouvoir continuer leurs études ou travailler ne seront jamais jugés et encore moins payer.


    • juan 2 octobre 16:56

      Excellente remarque que la franchouille à mémoire de poisson rouge semble oublier. Il y a encore l’atroce décision d’enfermer les vieux dans ces maison de retraite, les laissant crever seuls éloignés de leurs enfants en pleurs. Ça l’ordure qui a laissé faire, a déjà oublié. Sous un régime couillu, il aurait reçu 12 balles dans la peau. Et s’il avait eu un peu de fierté il se serait suicidé !


    • Parrhesia Parrhesia 28 septembre 11:43

      Chercher, pour des raisons de propaganda subversive mondialiste, à minimiser la responsabilité politique de ce genre de crimes odieux de plus en plus fréquents, est ignoble !

      Mais il semble que dans les restes de la France, l’ignominie soit désormais bien implantée.


      • Gérard Luçon Gérard Luçon 28 septembre 13:28

        on n’est jamais déçu avec cette équipe « rakoto » qui, une fois encore, est passée crème simplement en copiant-collant ici et là des émotions et des élucubrations ! Agoravox, c’est devenu le Club Tupperware et Modes et Travaux « reloaded » !

        Donc je vais faire très court :

        -l’OQTF relève du pouvoir exécutif, donc du Préfet, donc sous la responsabilité de l’Etat, la justice (laxiste ou pas) n’a rien à voir !

        -renvoyer quelqu’un dans son pays signifie un certain nombre d’accords notamment celui du pays qui reçoit, sans cet accord l’expulsé reste dans l’avion (Air France) et revient .. et c’est déjà arrivé ! Comme il est déjà arrivé qu’un Commandant de bord refuse d’embarquer un individu récalcitrant ...

        -expulser sous OQTF quand on ne contrôle pas les entrées sur notre territoire signifie que l’expulsé peut revenir demain, tranquillou !

        rakoko, et tout ça, cher nécrophage, en ayant raté le décès de Maggie Smith...


        • Eric F Eric F 28 septembre 19:51

          @Gérard Luçon
          Dans cette affaire, le pays d’origine a bien envoyé le visa pour le retour, avant la fin des 90 jours de rétention (malgré des retards administratifs), mais parvenu le lendemain du relâchement anticipé.


        • Lynwec 29 septembre 20:26

          @Eric F

          Oui, tout ça (ce que nous compte Rakoto) c’est bien joli, mais ça dénote surtout le foutoir complet qu’est devenue la Fronce après mai 68, parce que si on ne parvient pas à y organiser l’expulsion définitive d’un violeur sous OQTF en cinq ans, on se demande quel genre de branquignols organisent la justice dans ce pays...

          Toujours cette attitude ignoble consistant à minimiser la responsabilité du coupable et à lui chercher mille excuses (la victime,elle, tout juste si on ne lui intente pas un procès posthume, parce qu’elle était « provocante » toussatoussa"...en gardant malgré tout toujours à l’esprit la possibilité, dans la république (devenue bananière) qu’on fasse en fait porter à ce type un chapeau supplémentaire pour agiter le peuple avant de s’en servir (les petits malins qui rêvent d’une bonne guerre civile ne sont pas à ça près...)


        • Rinbeau Rinbeau 28 septembre 14:00

          Récupération politique ? Bien sur.. Puisque mon neveu, militaire, en revenant du Mali m’ a relaté le viol et le meurtre d’une Malienne, puis de son fils (meurtre) par les militaires Français sous la plus grande indifférence de la grande muette.. Les politiques et Médias ne se sont pas emparés de l’affaire ! Pourquoi ?


          • jakem jakem 28 septembre 15:41

            @Rinbeau
            Quelle récup. politique ?  Parce qu’on dit qui est qui et comment ?

            Seriez-vous de ces soumis aux féminhystériques qui préfèrent garder le silence parce que le violeur et assassin est un immigré clandestin ?

            Si l’assassin était un mâle blanc, ces hystériques se seraient déchaînées dans les médias.
            Elles n’ont pas non plus réagi lorsque G. Halimi a été défenestrée par un indésirable.

            Dans une autre affaire, si les tireurs avaient été des mâles blancs ( forcément d’X.D. et fachos et cathos ) tuant en raison de balles dites perdues, des filles en train de réviser dans leur chambre, elles auraient aussi manifesté virulemment. 
            Vous ne savez pas quelle fille a été tuée dans sa chambre à cause d’un salopard ?
            Cherchez : SOCAYNA .
            Vous ne savez pas non plus quelle fille a été brûlée vive chez nous en France par des Chances-pour-la-France tout gentils ?
            Cherchez !

            Un silence obstinément gardé par plusieurs, peut-être des dizaines, de bénévoles scandinaves et allemandes qui ont été violées par des Aliens ....

            Quant aux militaires violeurs et assassins, je n’en ai pas entendu parler.
            Soit votre neveu a menti ; je ne le connais pas , donc je n’exclus pas cette possibilité a priori.
            Soit cette affaire sordide devrait être dévoilée et les militaires jugés et condamnés.
            Et peut-être aussi votre neveu qui n’a pas donné l’alerte. Ainsi que les médias qui ont tu ces crimes, s’ils étaient au courant.


          • jakem jakem 28 septembre 17:57

            @jakem
            (suite) Puisque vous avez connaissance d’un crime qui n’a peut-être pas été sanctionné, pourquoi n’alertez-vous des journalistes ? Apathie, Lucet, Cohen, ou d’autres.....
            Les jugez-vous incapables de mener une enquête ? 
            Et si vous contactiez Soros ?  Lui, il a du fric, en masse ; il pourrait payer pour une enquête.

            Je reviens à la récup. politique.
            Naïma M’Faddel ,vous la connaissez ? franco-marocaine, elle est chroniqueuse à la télé, sur une chaîne que vous ne regardez sans doute pas.

            Elle a révélé récemment qu’en 2020 une convention avait été signée entre la France et le Maroc pour récupérer des mineurs qui traînent dans nos rues et deviennent de grands délinquants.
            Une délégation marocaine s’est déplacée pour les emmener.
            Mais ce transfert n’a pas eu lieu ... Parce que des ONG ont entravé la souveraineté de la France et du Maroc, en s’opposant au transfert. 
            Ces salopards ont saisi un juge gauchiste qui a refusé l’application de la Convention sous prétexte que le Maroc ne dispose pas de structures adaptées pour éduquer ces mineurs.

            Ça, c’est de la récupération politicarde !

            En attendant que la Justice que vous ne manquerez pas de saisir fasse son œuvre, je vous suggère d’exprimer vos condoléances ( même tardives ) à la famille de Lola qui a été assassinée par une Algérienne sous OQTF.
            Vous saurez certainement trouver les mots convenables et la bonne formulation pour atténuer leur chagrin et l’absence qu’ils ressentent en leur parlant de l’exploitation politique du meurtre de Lola.

            Revenez me donner des nouvelles !


          • jakem jakem 28 septembre 20:04

            @jakem
            Autre exemple de récupération politicarde gauchiste, uniquement idéologique :

            Faut vraiment déborder de haine, de volonté de nuire pour faire ça ...

            https://www.lefigaro.fr/actualite-france/chant-antifasciste-minute-de-silence-non-respectee-un-hommage-a-philippine-conspue-par-des-militants-20240928


          • jakem jakem 29 septembre 17:52

            @jakem
            Accord signé en 2020 par Dupont-Moretti et son homologue marocain Mohamed Ben Abdelkader.


          • Corcovado 28 septembre 14:16

            Rien que d’avoir l’irrespect, dès votre première phrase, de parler de récupération, montre quelle est votre valeur.

            Pendant que vous avez l’obsession de minimiser des actes abjects, en parlant de récupération et bien nous ce qu’on récupère c’est des cadavres d’innocents.


            • Maître Yoda Maître Yoda 28 septembre 14:31

              « Il y a d’abord des amalgames à éviter, et à éviter des deux extrêmes. Extrême droite : les immigrés clandestins ne sont pas tous des tueurs. »

              Qui dit que les « immigrés clandestins sont tous des tueurs » ? N’est-ce pas un procès d’intention ?


              • berry 28 septembre 17:27

                @Maître Yoda
                C’est le sophisme préféré des défenseurs de l’immigration : « les immigrés ne sont pas tous des délinquants ».
                Ils oublient de nous dire que les immigrés arabes et africains ont cependant un taux de délits et de crimes 10 à 20 fois supérieur aux européens, ce qui justifie déjà largement qu’on refuse de se laisser envahir.
                Pour un esprit lucide et honnête, c’est une évidence, mais les immigrationnistes se placent davantage sur le terrain de l’arnaque politique, de la censure et de la trahison de leurs concitoyens. Ce n’est pas pour rien qu’ils interdisent les statistiques ethniques et répriment la liberté d’expression dans les médias et sur les réseaux sociaux.
                Le système dévoie et détruit la démocratie en agissant ainsi. Il s’en fiche, il n’y a jamais cru. L’immigration lui sert juste à trouver de nouveaux électeurs et à détruire la cohésion des sociétés occidentales. C’est une arnaque intégrale.


              • Enki Enki 28 septembre 15:09

                D’accord.

                Et après, on fait comment pour péter le système qui rend fou ?

                https://x.com/hanane_mnsr/status/1839954782640841075?s=52&t=yEi4Ip1XOrDd9vH_gKq7qA


                • roby roby 28 septembre 18:33

                  Malheureux a dire mais il faudrait que ce soit nos élus,la justice et ses juges laxistes qui soient touchés par ses drames ! Peu de chance que cela n’arrive leurs enfants vont dans des écoles privées, voitures avec chauffeur qui les attendant à la sortie etc,etc !


                  • Corcovado 1er octobre 16:50

                    @roby

                    C’est déjà arrivé une ou deux fois mais c’est silence radio chez les victimes, pour ne pas être conspuées par les medias ou par les autres politiques.
                    Quant aux autres élus ou juges, vu que ce n’est pas à eux que c’est arrivé, ils s’en fichent.


                  • Eric F Eric F 28 septembre 19:59

                    On pourrait parler de ’’récupération abjecte’’ s’il s’était agit d’un fait isolé. Mais la multiplication de drames semblables constitue un fait de société.

                    et dans ce cadre, on relève que les peines prononcée par la justice au nom des français font de manière quasi systématique l’objet de raccourcissement de plusieurs années, par manque de place dans les prisons. Certains actes (viol, meurtre...) du fait de la dangerosité ne devraient pas ouvrir à remise de peine.


                    • jakem jakem 28 septembre 20:11

                      @Eric F
                      Les peines ne sont pas raccourcies à cause du manque de place dans les prisons.
                      Du moins pas systématiquement.

                      Ces allègements ont été imaginé par des droits-de-l’hommistes et mis en place par des politicards à eux dhimmisés.

                      La Taubira a décrété que les peines de peine de prison jusqu’à 2 ans ne seraient pas exécutées.

                      Ça démontre la volonté indéniable des gauchistes de détruire l’État dans ses structures, ses institutions, sa morale, ses valeurs, sa puissance.
                      Et donc la société qui vit dans cet état.


                    • berry 28 septembre 21:34

                      @jakem
                      Si on voulait, on en trouverait des places.
                      Ne serait-ce qu’en réhabilitant les très nombreuses casernes laissées à l’abandon à la suite de la suppression du service militaire. Un mur autour, quelques barbelés et l’affaire est faite, sans dépenser des fortunes.

                      Et un vrai contrôle des frontières réduirait le flot de délinquants qui arrive et le besoin de places de prison supplémentaires.

                      Les solutions sont simples et à la portée du premier imbécile venu, il n’y a pas besoin d’avoir fait l’ENA et HEC pour les mettre en oeuvre. Ce qui parait insurmontable et insoluble n’est que le résultat de politiques malveillantes et délibérées (idéologie gauchiste et plan Kalergi des mondialistes).
                      Un peu comme les déficits. Les politicards ne se pressent pas pour les résorber puisqu’ils font la fortune des banquiers qui les ont placés au pouvoir.


                    • jakem jakem 28 septembre 22:15

                      @berry
                      Je pense aussi qu’on pourrait trouver des places. 
                      Par exemple, comme vous le dites, en réhabilitant certains bâtiments désaffectés.

                      Pour y loger des gens qui ne sont pas dangereux et dont on peut raisonnablement penser qu’ils se réhabiliteront.

                      On pourrait même concevoir une peine hors de prison pour certains qui seraient également virés de la fonction publique ou de la vie politique ou de leur statut professionnel par ex.
                      Ils devraient accomplir des travaux d’intérêt général, loin de chez eux, seraient payés au Smig ( ou moins ) et devraient trouver eux-mêmes des logis ( éventuellement successifs en cas de déplacements déterminés par l’Autorité qui gèrerait cet aspect ), payer leurs déplacements, leur nourriture, etc...

                      Il vaut mieux donner une chance de réhabilitation à des gens qui ont dérapé une fois sans avoir commis de violences ni tenter de détruire l’État.
                      Le fait de devenir cantonnier ou aide-soignant quand on été directeur de banque ou député ou inspecteur de l’Éduc. Nat. serait infâmant pour eux mais pas un problème pour la société.
                      Á l’échéance ils devraient se débrouiller sans la possibilité de retrouver leur qualité ou leur statut antérieur.

                      Quant aux dangereux, il faudrait modifier sérieusement leurs conditions de détention.

                      Et bien sûr, j’approuve tout à fait la nécessité de contrôler nos frontières.
                      Je pense qu’il faudrait dissoudre les ONG qui assurent les transports-taxi, éventuellement couler ou démanteler leurs bateaux, et assurer un blocus devant les côtes de départ.
                      Et envoyer des agents de la DGSI repérer et neutraliser définitivement autant de passeurs, néo-négriers, que possible.


                    • Eric F Eric F 29 septembre 10:24

                      @jakem et @berry

                      Je suis d’accord que l’on pourrait créer des places d’incarcération ou rétention ou éducation surveillée en aménageant des bâtiment publics actuellement désaffectés (casernes, mais pas seulement). Le ’’régime’’ d’incarcération doit être adapté en fonction de la dangerosité, et en évitant de mettre des primodélinquants en contact avec des criminels aguerris ou des prêcheurs de haine.

                      Je précise que j’avais évoqué cette question de libération anticipée quasi-systématique du fait du manque de places parce que l’article évoque ce point. Mais vous avez raison que la ’’justification’’ est basée sur des considérations humanitaristes.


                    • jakem jakem 29 septembre 11:29

                      @Eric F
                      Tout à fait d’accord !
                      Des types comme Cahuzac, par exemple, pourraient être condamnés à travailler utilement dans leur domaine de compétences ( ou pas ), en perdant leur statut et leurs droits civiques, en étant interdits bancaire ( durée à déterminer par le juge ).
                      Leurs biens ( y compris l’argent à la banque ) pourraient être confisqués et répartis entre leurs héritiers à leur mort.


                    • jakem jakem 29 septembre 12:58

                      @jakem
                      Complément : on peut trouver un tas de désagréments, de contraintes, mais aussi des processus de réhabilitation partielle ou totale.

                      J’aimerais, je veux que notre démocratie perdure, mais de façon limitée, et permette aux gens ayant un comportement normal de s’y épanouir.
                      Et qu’elle permette à ceux qui ont fauté de se racheter.
                      Et qu’elle empêche les nuisibles de recommencer.

                      Et qu’il ne soit pas nécessaire de placer un flic tous les 100 mètres, car ça, ce n’est pas la sécurité.

                      Goethe ( in : FAUST ) : « Ein Richter der nicht strafen kann, gesellt sich endlich zum Verbrecher » : un juge qui ne peut pas punir finit par s’acoquiner avec le criminel.


                    • Eric F Eric F 29 septembre 13:29

                      @jakem
                      D’accord également que certaines des peines soient aménagées, notamment saisie d’une partie des biens (au profit de l’état, non pas des héritiers), et/ou travaux d’intérêt général poussant à l’humilité.
                      Ici, en milieu rural, l’entretien des bas-côtés est défectueux, des détourneurs de fonds publics cravatés comme des arracheurs de sac à mains de vieilles dames ou ’’choufs’’ des trafics pourraient utilement y être affectés. La pléthorique administration territoriale devrait désigner en son sein des encadrants, avec la carrure nécessaire et des points de priorité d’avancement à la clé.


                    • jakem jakem 29 septembre 13:41

                      @Eric F
                      Nous sommes toujours d’accord !

                      Les travaux d’intérêt général peuvent être très diversifiés : construction et entretien de chemins de promenade accessibles sans aucune difficulté aux personnes à locomotion difficile ou en fauteuil ( chez moi il-y-a une splendide promenade de 3 km à faire autour du canal menant du port de plaisance à l’écluse , et le chemin n’est pas entretenu ), nettoyage de cours d’eau , faire le ménage dans des hôpitaux et des EHPAD et des toilettes publiques, etc...
                      Et, pourquoi pas : assurer le transport de gens sans véhicule vers une ville pour y faire des courses ou consulter un médecin ou se rendre à la médiathèque...



                    • Eric F Eric F 29 septembre 13:56

                      @jakem
                      On a un problème, c’est que certaines activités ’’d’intérêt général’’ entrent sous le coup de la concurrence déloyale, voire de l’exploitation abusive de main d’oeuvre non rémunérée ; CV falloir mettre une armada de juristes (les ministères en regorgent) sur la question.


                    • jakem jakem 29 septembre 14:52

                      @Eric F
                      Si nos idées étaient reprises (X) elles ne pourraient être appliquées qu’après une modification en profondeur de notre Code pénal. Et donc d’une rupture avec la CEDH et la CJE.

                      Ceci permettrait une refondation judiciaire et juridique dans laquelle la nécessité de ces TIG serait prise en compte.

                      (X) je dis « nos idées » pour simplifier car je suis sûr que d’autres y ont pensé aussi, et même des politiciens.

                      Autre idée : condamner qq à 2 ou 3 semaines de TIG pendant ses congés ou pendant plusieurs samedimanches, sans l’empêcher de travailler et de vivre avec sa famille, mais en le contraignant à une tâche due à la société et à la Justice pour se réhabiliter : par exemple faire la lecture ou la conversation à des gens en EHPAD ou à l’hôpital ; ou les emmener en promenade ou en ville, s’acheter qqchose ou boire une bière/ un café à une terrasse ...

                      Punir, sanctionner une déviance pour montrer que l’État a de la puissance et les moyens de la montrer et de l’appliquer, sans écraser, ravager le condamné ; mais lui faire prendre conscience ( ou lui remettre en tête ) de la nécessité de respecter des règles pour vivre en société.


                    • Lynwec 1er octobre 09:24

                      @Eric F

                      Tutututtt ! Mais ça coûte trop cher, mon bon monsieur, de construire ces centres de rétention (sauf éventuellement pour y mettre des opposants politiques ou des réfractaires, là, ce serait indispensable...)

                      Et puis, pensez donc, une population qui se sentirait en sécurité, avec les assassins et les violeurs à l’ombre pour longtemps, et pas en villégiature, une vraie prison, bien pénible à supporter (la vertu de l’exemple), mais c’est que ces sans-dents pourraient alors avoir du temps de cerveau disponible pour réfléchir à tout ce qu’on leur fait subir depuis 1968, et ça, cépapossib...

                      On ne pourrait pas « gouverner », comme disait il y a peu l’autre politique américain se plaignant du premier amendement (gouverner= faire ce qui nous plait sans que vous ne puissiez rien y faire, tocards d’américains...)
                      https://www.lelibrepenseur.org/john-kerry-desespere-au-wef-la-propagande-climatiste-est-un-fiasco/


                    • Seth 29 septembre 13:52

                      Tiens... un nouveau membre dans la team : affaires de cul, meurtres et faits divers. smiley


                      • Eric F Eric F 29 septembre 14:05

                        @Seth
                        Ces ’’faits divers’’ ne sont hélas pas que des anecdotes isolées mais se multiplient, et les fauteurs sont souvent des récidivistes qui auraient du être à l’ombre ou hors du territoire.
                        Point n’est besoin de lois d’exception, mais de rendre intégralement applicables les verdicts des tribunaux et décisions administratives, et les lois de manière générale.



                        • jakem jakem 29 septembre 22:57

                          Entre autres personnes victimes d’ambassadeurs sans lettres de créance, cet homme qui a été roué de coups et laissé pour mort ...

                          Ce qui est étonnant ( j’exagère !) , c’est qu’aucune de ces affaires d’ultra violence déchaînée, utilisée par des Chances-pour-la France, ne provoque de réaction clairement réprobative de la part des propagandistes de G. qui sont pourtant capables de blablater pendant des heures sur les merveilles du vivre ensemble...

                          https://www.lefigaro.fr/faits-divers/ce-voyou-a-foutu-notre-vie-en-l-air-christian-lantenois-photojournaliste-laisse-pour-mort-a-reims-en-2021-et-sa-femme-se-confient-au-figaro-20240929


                          • jakem jakem 30 septembre 14:11

                            << Un polémiste de droite évoque alors «  la non-exécution des OQTF  » (quelle originalité dans l’analyse !). Je lui objecte que si nous expulsions les violeurs maghrébins, ils risqueraient de commettre des viols au Maghreb. Nous devons au contraire accueillir davantage de violeurs pour œuvrer à une répartition plus égalitaire des viols dans le monde. Notre boussole républicaine nous y engage.>>


                            https://www.lefigaro.fr/vox/societe/samuel-fitoussi-une-journee-dans-la-tete-d-une-sociologue-de-gauche-20240930


                            • jakem jakem 30 septembre 14:13

                              <<  Un polémiste de droite évoque alors «  la non-exécution des OQTF  » (quelle originalité dans l’analyse !). Je lui objecte que si nous expulsions les violeurs maghrébins, ils risqueraient de commettre des viols au Maghreb. Nous devons au contraire accueillir davantage de violeurs pour œuvrer à une répartition plus égalitaire des viols dans le monde. Notre boussole républicaine nous y engage.>>


                              https://www.lefigaro.fr/vox/societe/samuel-fitoussi-une-journee-dans-la-tete-d-une-sociologue-de-gauche-20240930


                              • jakem jakem 30 septembre 14:25

                                @jakem
                                Les gauchistes travaillent pour généraliser les tas de Droits : des viols commis par des étrangers partout, en commençant par la France et l’Europe.

                                Car le viol commis par un ambassadeur indésiré est l’accomplissement d’un droit de l’homme !
                                En effet, cet acte décrié par les grenouilles de bénitier fachos d’extrême Droite lepénistes et zemmouristes correspond à un besoin viril naturel et on ne peut pas donner tort à un de ces honorables ambassadeurs qui voit des foules de femmes lascives, court vêtues, décolletées, provocantes, aguicheuses ...

                                Un tel homme, qui porte la Nature en lui, se sert tout simplement.

                                Et s’il heurte nos coutumes c’est parce qu’il ne possède pas nos codes culturels qui ne sont d’ailleurs pas supérieurs aux siens !
                                Que les fachos d’extrême Droite se mettent ça dans la tête !


                              • Corcovado 1er octobre 16:57

                                @jakem et eric

                                Franchement, ça soulage de temps en temps de lire des commentaires réalistes et concrets plutôt que des élucubrations d’idéalistes plus ou moins dangereux.
                                .
                                Si mes calculs sont bons, comparativement à la population des Etats-Unis nous avons proportionnellement 7 fois moins d’individus incarcérés.
                                Nous pourrions donc aisément et sans abuser doubler ou tripler le nombre de dangers mis au moins provisoirement hors d’état de nuire.
                                Qui contesterait que cela ferait beaucoup moins de victimes dans les décomptes ?


                              • Corcovado 1er octobre 16:59

                                Mais Rakoto ne répond pas.

                                Si Rakoto n’est pas muet, au moins il est sourd.

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