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Accueil du site > Actualités > Société > Rien ne sert de pleurer, il faut rire à point !

Rien ne sert de pleurer, il faut rire à point !

Où l’on verra comment une actualité exhortant à un rire de résistance nous conduit inexorablement à Molière, en traversant diverses époques et auteurs.
 « J’ai cru que, dans l’emploi où je me trouve, je n’avais rien de mieux à faire que d’attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle ». 
(Molière, Premier placet adressé à Louis XIV en défense du Tartuffe).

Le 24 décembre dernier, le journal Marianne nous a proposé un numéro spécial concocté en partenariat avec RMC : « 100 pages d'insolence pour répondre à ceux qui veulent tuer notre liberté. Rire, se moquer, provoquer : c'est ça, la France ! ». Une sorte « d'hommage aux attentats, ceux du mois de janvier et ceux de novembre, car quelque chose de la culture française, du vivre ensemble, du rire, de la provocation a été attaqué » (sic) a expliqué le journaliste Christian Duplan sur RMC.

Deux semaines plus tôt, le vendredi 11 décembre, le groupe de hackers Anonymous décrétait la journée « trolling » visant à ridiculiser Daech, en se moquant de l’organisation djihadiste sur les réseaux sociaux où elle est présente. Ce fut un grand succès : une kyrielle de dessins et de photomontages potaches a envahi Twitter. Certaines productions sont très drôles, d’autres vulgaires. Je récuse ces dernières car ce n’est pas en utilisant des procédés graveleux, visant en dessous de la ceinture, que l’on pourra lutter contre la violence et la laideur qui tentent de s’imposer dans le monde.

A condition de n’être pas gras, le rire introduit une distance bénéfique entre soi et le malheur. On est beaucoup moins victime quand on se positionne comme un observateur irrévérencieux de ce qui nous blesse.

Dans des situations d’oppression, le rire peut être subversif, porter en lui les germes de la rébellion, être une arme pour combattre les totalitarismes et transcender leurs terribles impacts.

Pendant sa déportation à Ravensbrück, Germaine Tillion a écrit à la fin de l’automne 1944 une opérette en trois actes pleine d’un humour macabre, d’une noirceur infinie, Le Verfügbar aux Enfers. « J’ai écrit une opérette, une chose comique, parce que je pense que le rire, même dans les situations les plus tragiques, est un élément revivifiant. On peut rire jusqu’à la dernière minute ». Cette création fut pour elle une autre manière de résister, par la dérision de l’horreur, par le foutage de gueule. Il s'agit d'un travail élaboré avec les prisonnières du camp afin de les aider à se sentir encore vivantes face à leur déshumanisation programmée par les nazis. L’opérette décrit une réalité effroyable, dantesque, d’une façon totalement déjantée : « Les personnages sont habillés de loques mais se comportent comme des mannequins de mode ; ils sont épuisés mais essaient de danser le french cancan ; ils sont traités comme des animaux mais parlent un langage châtié ; ils sont faméliques et enlaidis mais on les appelle les girls… Ces descriptions décalées, qui permettent de rester « dans l’au-delà de soi », concernent aussi bien les circonstances extérieures que les détenues elles-mêmes, l’hyperbole comique voisine avec l’autodérision, et les deux aboutissent au rire libérateur ». 1

Des films tels « Le Dictateur » de Charlie Chaplin ou « La vie est belle » de Roberto Benigni sont dans la même veine, mais ce sont des fictions quand l’opérette de Tillion est une ethnologie de l’extrême suivant la voie de l’absurde.

Paru cette année chez Payot & Rivages, le livre Comment faire tomber un dictateur quand on est seul, tout petit, et sans armes est un manifeste bourré d’humour. L'auteur, Srdja Popovic, est expert de l’activisme politique, chantre de la non-violence, aujourd’hui directeur de l’ONG Center for Applied Nonviolent Action and Strategies (Canvas). Fan des Monthy Python, soutenu par Peter Gabriel, il a fondé le mouvement Otpor (« Résistance », en serbe cyrillique) qui permit en 2000 la chute de Milosevic. Dans son arsenal pacifique de lutte contre le terrorisme se trouvent l’humour et la raillerie. « Beaucoup de groupes syriens et kurdes ont mobilisé, avec succès, des milliers de personnes, à travers des vidéos satiriques qui semblent heurter les discours extrémistes plus que les « déclarations de guerre » d’États à travers le monde. /…/ L’humour est l’un des outils formidables de la « boîte à outil » de l’activiste contre le pouvoir. De la « laughing barrel » serbe, où l’on voit le visage du président Milosevic arrêté par la police en 2000, à la fantastique « révolte des jouets » contre les fraudes électorales de l’élection de Poutine à Barnaoul en 2012, ou encore quand la police d’État est obligée de bannir officiellement des protestations humoristiques ou le « laughtivism », cela montre un potentiel énorme pour combattre l’autoritarisme de cette manière. » a précisé Srdja Popovic en réponse aux questions de Pascal Boniface. 2

Voilà, c’est dit, le rire est salvateur. Les philosophes, depuis Démocrite, Platon, Aristote, jusqu’à Spinoza, puis Nietzsche, en passant par les écrivains orateurs Cicéron et Quintilien, le savaient déjà. Nietzsche écrit à la fin de Par delà le bien et le mal : « J’irais jusqu’à risquer un classement des philosophes suivant le rang de leur rire. »

La littérature médicale est prolixe aussi sur le sujet, grâce à Hippocrate et notamment depuis Laurent Joubert, médecin de Montpellier dont le Traité du ris est publié pour la première fois à Paris en 1579. La dérision guérit de tout, elle permet de se restaurer après un choc traumatique. Il existe des thérapies sérieuses par le rire, ce n’est pas une blague. Et de nos jours, dans les hôpitaux, les clowns thérapeutiques font des merveilles.

Toutefois, selon les époques, le rire a été soit encouragé et valorisé, soit brimé.

Avant que le rire ne soit considéré comme le propre de l’homme, Homère, dans le premier chant de l’Iliade, parle du rire inextinguible des dieux. En fait, dans l’Antiquité grecque et romaine, le rire avait une fonction rituelle ; c’était aussi un acte superstitieux, pour éloigner la malchance et le mauvais œil. La comédie elle-même relevait d’un rituel religieux. On s’amusait de tout, du sexe comme des mœurs politiques. Les pièces d’Aristophane et de Plaute en sont d’excellents exemples.

Salomon Reinach souligne l’importance du rire dans les rites des mystères, dans les cérémonies d’initiation où « il signifie le retour à la vie et le commencement d’une vie nouvelle ». Il cite un récit, figurant sur un papyrus alchimique conservé à Leyde et datant du IIIe siècle de notre ère, où la création et la naissance même du monde sont attribuées au rire divin. 3

Au Moyen-Âge par contre, l’hilarité était considérée comme un péché et bannie par l’Église. Les hommes d’église ne rigolent pas, ils prétendent même que Jésus-Christ n’a jamais ri. (Hi hi hi). Au XVème siècle, Erasme pense que le rire est provoqué par notre perception de la folie, par un dérangement du cerveau.

Au XVIe siècle, le rire de François Rabelais exprime un regard critique sur les folies humaines et occupe une fonction politique.

Puis, au siècle suivant, naquit Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, dont l’œuvre intemporelle montre à quel point le rire peut devenir un outil de dénonciation des défauts humains (et de la société qui permet à ces défauts de s’épanouir).

L’humour (noir) de Molière atteignit son apogée au moment de sa mort. Poitrinaire depuis une dizaine d’années, il sait qu'il ne fera pas de vieux os. Parvenu à la cinquantaine, il est très affaibli non seulement par sa maladie mais aussi par toutes ces années de lutte - depuis les Précieuses ridicules, et particulièrement depuis Tartuffe et Dom Juan - au cours desquelles il dut affronter les pires jalouseries et cabales, des rafales de haine incessantes, des insultes journalières des courtisans et des dévots, les traîtrises de Racine et de Lully, et les malheurs de sa vie privée.

Alors qu’il est épuisé moralement et physiquement, il écrit le Malade imaginaire, son dernier règlement de compte avec les apprentis sorciers-médecins de son époque. Le sort lui fera vivre sur scène, lors de la 4ème représentation, au 2ème acte, le début de l’hémorragie pulmonaire dont il mourra quelques heures plus tard chez lui, rue de Richelieu. C’était le 17 février 1673, un an jour pour jour après le décès de Madeleine Béjart qui fut tout à la fois une de ses maîtresses, sa mère et sa belle-mère, sa sœur, son amie, sa confidente…

N’est-ce pas le comble de l’ironie : mourir pour de vrai à 51 ans, le feu dans le thorax et vomissant son sang, en jouant l’hypocondriaque Argan, un homme en bonne santé qui se croit atteint au poumon ? « Le poumon, le poumon, vous dis-je », martèle Toinette dans Le Malade imaginaire.

A l’époque de la grande affaire du Tartuffe, il faut être courageux pour ironiser sur Dieu et les puissants. Dans certaines paroisses parisiennes, des exaltés demandèrent que Molière soit brûlé vif pour impiété. La même année, pour quelques couplets antireligieux (une chanson impie qu’il avait composée sur la Vierge), le poète Claude Le Petit, auteur du « Bordel des muses », fut condamné à être brûlé vif en place de Grève. Il monta sur le bûcher le 1er septembre 1662. Il avait 23 ans. On sait que ce jeune athée, libertin et libre-penseur mourut en fait pour la mise en cause des mœurs de la famille royale, ayant osé plaisanter sur la relation qu’entretenaient la reine mère et Mazarin (lequel venait de mourir, en 1661). 4

Molière, également grand libertin et libre-penseur 5, jouait donc réellement avec le feu en mettant en scène son regard à contre-courant sur la société et sur le monde politico-religieux du début du règne de Louis XIV. Seules la force de son génie comique et la puissante affection que lui vouait le roi l’ont protégé 6. Fin stratège et pensant avant tout à sauver sa troupe – et sa peau -, Molière ne s’attaque pas frontalement à Dieu et à la famille royale ; il conteste l’ordre social et religieux de manière oblique en se moquant des travers des sous-fifres.

Le rire sain et talentueux défie les siècles. La preuve : Molière est toujours vivant, ses pièces sont encore jouées, et il continue de se gausser des Tartuffes, des Avares, des maris trompés, des bourgeois et des précieuses ridicules, ainsi que des Misanthropes et des Dom Juan, donc de lui-même…

En 2009, dans le Nouvel Observateur, Philippe Sollers tentait de deviner les pièces que Molière écrirait de nos jours. Voici ses suggestions : le Président gentilhomme, l'École des mannequins, les Précieux ridicules, le Banquier fou, Tartuffe ou le Philosophe imposteur, l'Avare milliardaire, le Philanthrope hypocrite, le Pédophile archevêque, la Féministe dévote, les Musulmanes savantes, le Névrosé imaginaire, le Psychanalyste malgré lui, l'Artiste ignorant, le Trader cocu, les Plaisirs du dalaï-lama, l'Écrivain inculte...

J’ajoute cette liste non exhaustive, à compléter à loisir : Dom Juan puissance X, L’atrabilaire facho, Les diableries de Daech, Les psys Fâcheux, Le Migrant malgré lui, l’Amour sidassassin, Les amants Meetic, Les transhumanistes comiques…

Comme l’a écrit Philippe Sollers à propos de l’œuvre de Molière : « Ce « rire dans l'âme » traverse le temps, change d'habits, ne vieillit jamais. Il est sombre, gai, lucide, contradictoire, philosophique en diable contre toute philosophie du sérieux ».

Il n’empêche que Molière est mort plongé dans une grande souffrance morale, ne s’étant jamais résigné à la censure récurrente dont il fut l’objet. Muselé après Tartuffe et Dom Juan, maintenu au rang de simple divertisseur royal, il n’a pas pu, au final, écrire l’œuvre qu’il aurait souhaité laisser. Certes, il a vécu dans une bonne aisance matérielle et il a joui de la célébrité en son pays, adulé par le peuple comme une rock star d’aujourd’hui, mais il est parti triste, frustré et en colère. Sa gloire posthume ne l’a pas consolé de la censure subie de son vivant, de toutes les intrigues et cabales qui l’ont beaucoup atteint et dont il est mort autant que de sa maladie. Cependant, il s’agit d’une vieille âme qui connaît la Force de la Farce et qui sait que le rire est inextinguible.

Rire permet de mieux comprendre le monde, et comprendre aide à survivre. C’est essentiel parce que ce monde est très violent. Il l’était déjà dans le passé. Avant Daech, il y a eu l’Inquisition, la Compagnie du Saint-Sacrement, le nazisme, les utopies sanguinaires du communisme, etc. D’innombrables Dark Vador.

Alors, à vous de jouer ! Riez ! Brandissez le savoir et l’humour comme boucliers contre l’obscurantisme. Observez avec une grande acuité le jeu des acteurs de cette grande pièce planétaire, lisez leurs discours entre les lignes, apprenez à décrypter les mises en scènes, les trucages et effets spéciaux manipulateurs. Démasquez les Tartuffes de notre temps. Ecrivez avec esprit et fantaisie votre propre pièce pour le Grand Théâtre du monde. Surtout, ne vous laissez museler par aucun pouvoir quel qu’il soit. Le jeu et le rire sont nos premières libertés !

 

P.S. : J’ai découvert il y a quelques temps que j’habite juste au-dessus du cimetière où Jean-Baptiste Poquelin a été inhumé de nuit. Depuis, je vois souvent réapparaître rue Saint-Joseph la foule de Parisiens et Parisiennes, des flambeaux au bout des mains, composant le cortège nocturne venu accompagner pour son ultime « baisser de rideau » l’auteur-metteur en scène-comédien devenu, semble-t-il, le plus célèbre au monde. Je les vois pleurer. Et moi je ris, je ris, je ris… Comprenne qui pourra et rira qui voudra.

 

  1. Tzvetan Todorov, « Germaine Tillion face à l’extrême », Gradhiva, 5 | 2007, 102-113.
  2. Le Club de Mediapart, 18 novembre 2015.
  3. Salomon Reinach, « Le rire rituel », Cultes, mythes et religions, t. IV, Éd. E. Leroux, 1912.
  4. A l’époque, on exécutait aussi les « sodomites » (le mot « homosexuel » est apparu au XIXème siècle) qui ne bénéficiaient pas d’une protection notoire. Mais l’aristocratie était peu inquiétée, pour ne pas dire jamais, et plus encore l’entourage royal. Bien sûr Monsieur le frère du Roi, lui, ne fut pas conduit au bûcher, tout comme les amis de Molière : Lully, Savinien de Cyrano dit de Bergerac, Claude-Emmanuel Luillier dit Chapelle, Charles Coypeau dit d’Assoucy. Heureusement Molière non plus, lui qui fut légèrement « au poil et à la plume » selon l’expression consacrée...
  5. Au XVIIème siècle, libertin signifie libre-penseur, anticlérical. Molière était non seulement un penseur dissident mais aussi un homme aux mœurs très libres.
  6. Toutefois, l’ont protégé aussi successivement le duc d'Epernon, le prince de Conti, Monsieur frère du Roi de France et Madame de Montespan.

 

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Page du manuscrit du Verfügbar aux enfers de Germaine Tillion
illustration de France Audoul © Association Germaine Tillion/Éditions de La Martinière.
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7 réactions à cet article    


  • gogoRat gogoRat 30 décembre 2015 11:16

    L’ennui dans ce monde, c’est que les idiots sont sûr d’eux et les gens sensés pleins de doutes.’ Bertrand Russell


    • MOULRON Etienne MOULRON Etienne 30 décembre 2015 12:10

      Toutes mes félicitations et mes remerciements à l’auteure de cet excellent article de synthèse.


      Pour votre bonne information, la Maison du Rire et de l’Humour de Cluny, dont je suis le fondateur, a créé en 2008 un orix appelé « Le Prix Humour de Résistance » qu’elle remet chaque année depuis.

      Pour plus d’infos à ce sujet :



      En 2008, ce prix a été attribué à Germaine Tillion pour son « Verfügbar aux enfers » :



      N.B : Pour info, la Maison du Rire et de l’Humour organise à Chalon-sur-Saône les 15,16et 17 avril prochains le « 1er Festival du Film d’Humour de Résistance »



      Etienne Moulron

      - Fondateur de La Maison de l’Humour et des Arts humoureux :


      - Gardien du P.H.A.R.E, le Parti de l’Humour Attitude de REsistance :





      • L'enfoiré L’enfoiré 30 décembre 2015 17:27

        Bravo. 

        « Rire, se moquer, provoquer : c’est ça, la France ! »
        Avec l’autodérision en plus : c’est ça la Belgique.
        L’humour belge n’est pas le même qu’en France, bien qu’il y ait des similitudes à certains moments.
        Vous avez chez France Inter, deux des nôtres : Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek.
        Alors, écoutez un autre du même acabit qui a été coauteur avec Vander Mael du « Tout dernier testament » : Tomas Gunzig qui vous disait ce que ne changera pas en 2016. 

        • Jelena 30 décembre 2015 20:53

          Tu peux me censurer sale petite pétasse et par la même occasion t’enfermer dans « ta bulle » >> Rira bien qui rira le dernier.


          • Pascale Mottura Pascale Mottura 30 décembre 2015 21:11

            @Jelena Lire vos adorables commentaires est toujours un plaisir. Je ne vous ai pas censuré(e), je déteste la censure. J’ai simplement signalé vos propos inappropriés ici et qui font l’apologie de la violence mais je laisse à Agoravox le soin d’en juger.

            « Rira bien qui rira le dernier » : apparemment vous chérissez ce proverbe. Pourriez-vous préciser le sens que vous lui donnez ? Merci

          • MOULRON Etienne MOULRON Etienne 31 décembre 2015 11:34

            @Jelena


             Vous avez plus que le droit, Jelena, de ne pas partager tous les points de vue et celui de ne pas rire, ou du moins peut-être de ne pas rire des mêmes choses ; tout comme nous avons le droit de rire de tout, mais pas avec tout le monde !

            Mais vous n’avez pas le droit pour autant le droit d’utiliser l’injure facile qui vous rabaisse !

            Prenez donc plutôt le parti d’en rire, c’est un bon parti pour la vie ensemble et un excellent parti pris face aux aléas et difficultés de vie !

            Faites donc l’Humour, pas la gueule et lisez de bons livres comme celui-ci dont je suis le modeste auteur : « L’Humour Attitude, Petit Traité de Savoir-rire en attendant la mort »


            Gélastement * vôtre

            Etienne

            * Du gec, GELOS, le rire d’où le grand Rabelais a inventé le nom AGELASTE, celui qui ne rit pas :

          • Pascale Mottura Pascale Mottura 2 janvier 2016 10:24

            Oui, entrons en riresistance ! 

            Le rire que je prône est un rire intérieur, c’est le rire de l’Esprit qui sait prendre de la hauteur et faire face à toute adversité.

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