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Accueil du site > Actualités > Société > Une consommation démesurée

Une consommation démesurée

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Dans cette société de surconsommation, les humains achètent en grande quantité la viande animale. Pour répondre à cette demande de plus en plus croissante, les grandes industries ont créé une méthode de production où la quantité prévaut toute la souffrance et l’atrocité que les animaux subissent dans ces élevages. Plusieurs abattoirs ne respectent point les réglementations et font subir des sorts inimaginables aux pauvres bêtes. Il y a environ 1090 animaux qui sont abattus chaque seconde, un total de 60 milliards pour une année selon l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture.[1] La consommation de viande ne cesse d’augmenter dans les pays industrialisés. Est-ce que les gens sont réellement conscients de l’histoire de l’animal qui se retrouve dans leur assiette ? En achetant la viande de ces grandes industries, nous leur prouvons que leurs méthodes sont acceptables puisque nous les encourageons. La population est désormais face à une problématique mondiale celle de fermer les yeux sur l’horreur des conditions des abattoirs où réagir et crier haut et fort notre désapprobation.

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Les mythes au sujet du végétarisme

Premièrement, plusieurs croient qu’être végétarien est mauvais pour la santé. Cette affirmation est fausse puisque cela dépend comment l’alimentation est surveillée et appliquée. Contrairement à la pensée populaire, le végétarisme a plusieurs bienfaits pour le corps humain. L’anatomie humaine n’est pas conçue pour être carnivore et plusieurs statistiques nous prouvent qu’une alimentation priorisant la viande crée plusieurs effets néfastes pour notre corps comme l’augmentation du risque de cancer.[2] Une personne végétarienne réduit son taux de cholestérol et son taux de triglycérides (risque de maladies cardiaques) en ne consommant aucune viande. Par exemple, pour une portion de 85 grammes de viandes et 190 grammes de lentilles un végétarien diminue son taux de triglycéride (risque de maladies cardiaques) à 86.5 mg/dl comparativement aux omnivores qui ont un taux de 107.5 mg/dl. De plus, pour éviter les carences que le végétarisme peut causer il faut bien s’informer et prendre des suppléments alimentaires nécessaires.[3]

Une consommation responsable : une alternative

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Deuxièmement, il existe des alternatives au végétarisme. Cette pratique alimentaire est un choix que tout le monde n’est pas prêt à appliquer dans sa vie. Par contre, on peut opter pour une consommation avertie où l’origine de la viande est un critère lors de l’achat. Les gens qui achètent de la viande en épicerie ne consommeraient pas autant s’ils devaient tuer la bête eux-mêmes. Les consommateurs sont éloignés de cette réalité ce qui crée une neutralité lors de l’achat. Ce n’est pas un animal qui a pu souffrir atrocement, mais une cote levée simplement dans un emballage parmi tant d’autres. De plus, une diminution de la consommation de la viande veut également dire une diminution du Co2 dans l’atmosphère. Par exemple, une personne végétarienne durant un mois sauve 17 animaux et 60.78 kilos de Co2 qui ne sont pas relâchés dans l’atmosphère.[4] S’y étonnant que cela puisse paraître notre consommation de viande est aussi dangereuse pour l’environnement que notre utilisation des véhicules automobiles. Selon un rapport de la FAO, l’élevage est une des principales causes du réchauffement climatique, de la dégradation des terres, de la pollution de l’atmosphère et des eaux et de la perte de la biodiversité. Notre consommation de viande est responsable de 18% des émissions de gaz à effets de serre en 2006.[5]

 Finalement, en tant que citoyen responsable ne restons pas immobile à regarder un massacre se passer et des multinationales se remplir les poches sans aucun regret. Nous avons le pouvoir de changer les choses en ayant une consommation responsable pour démontrer à ces puissances mondiales que nous n’adhérons pas à leur méthode cruelle et inhumaines. Il ne faut pas se fermer les yeux sur des réalités que nous avons le pouvoir de modifier. 



[1] Consoglobe, Élevage et viande, http://www.planetoscope.com/?catID=45, [en ligne], Page consultée le 5 octobre

[2] Passeportsanté.net, Réduire sa consommation de viande : pourquoi ?http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/ArticleComplementaire.aspx?doc=cancer_viande_rouge_et_transformee_do, [en ligne], Page consultée le 5 octobre

[3] Journal Métro, Végétarisme : démolir les mythes, http://journalmetro.com/plus/bouffe/381432/vegetarisme-demolir-les-mythes/ , [en ligne], Page consultée le 5 octobre

[4] Journal Métro, Végétarisme : démolir les mythes, http://journalmetro.com/plus/bouffe/381432/vegetarisme-demolir-les-mythes/ , [en ligne], Page consultée le 5 octobre

[5] Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture, Les impacts de l’élevage sur l’environnement, http://www.fao.org/ag/fr/magazine/0612sp1.htm, [en ligne], Page consultée le 5 octobre

 


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25 réactions à cet article    


  • Robert GIL ROBERT GIL 7 octobre 2013 10:28

    Il est grand temps de prendre en compte le problème de la surconsommation de viande et d’y apporter le remède adéquat, qui serait toute une éducation et une campagne intensive de communication afin de changer d’habitudes alimentaires. Il est grand temps de faire comprendre aux populations l’inutilité de consommer autant de viande, et de revenir à une nourriture plus saine, issue de l’agriculture biologique. Il est grand temps de redistribuer les terres et d’augmenter considérablement les surfaces cultivées par la multiplication des petites exploitations locales et régionales, et non pas en laissant d’immenses surfaces de champs cultivés dans les mains des multinationales agroalimentaires.........

    voir : MANGER DE LA VIANDE A EN MOURRIR


    • BOBW BOBW 7 octobre 2013 20:51

      Et les milliers ou dizaine de milliers qui possèdent un petit jardin et aiment les produits vraiment bios,devraient essayer d’y installer un petit poulailler (peu contraignant,et quel plaisir de voir ces volatiles non stressés gratter allègrement et chanter allègrement quand elles vous pondent 1 ou 2 oeufs ! smiley


    • foufouille foufouille 7 octobre 2013 12:28

      article végetaryen habituel
      les légumes industriels donnent le cancer aussi
      avant les gens tuaient les animaux eux mêmes
      etc
      etc


      • fcpgismo fcpgismo 7 octobre 2013 13:07

        L’ élevage industriel et ces camps d’ extermination des animaux déshonore l’espèce humaine.

        Manger des animaux est néfaste pour la santé, seul une très grande sobriété est acceptable.

        • viva 7 octobre 2013 13:08

          Propagande des antis viandes. Nul....


          • ZenZoe ZenZoe 7 octobre 2013 13:33

            La nature humaine étant ce qu’elle est, je ne crois pas un seul instant que les consommateurs vont personnellement se priver de viande pour sauver un cochon ou une poule, quant à l’environnement, n’en parlons même pas !
            C’est la même chose pour tout, les 4x4, les cosmétiques, les sacs en plastique, le Roundup - mieux vaut fermer les yeux, penser à autre chose et croiser les doigts pour que quelqu’un, un jour, quelque part, trouve une solution.
            ... solution qui pourrait bien être la viande produite en laboratoire, en multipliant des cellules à l’infini. C’est beau le progrès des fois...


            • BOBW BOBW 8 octobre 2013 09:30

              « en multipliant des cellules à l’infini » Tiens horreur-fiction celà ressemble à des métastases cancéreuses accélérées ! :->


            • ecolittoral ecolittoral 7 octobre 2013 13:39

              « Selon un rapport de la FAO, l’élevage est une des principales causes du réchauffement climatique, de la dégradation des terres, de la pollution de l’atmosphère et des eaux et de la perte de la biodiversité. »

              Et de la mort de ma grand mère.
              Quand on écrit un article et qu’on y colle tout et n’importe quoi, on perd toute crédibilité.

              • sandrine2311 16 octobre 2013 23:45

                C’est selon un rapport officiel de l’ONU paru en 2006...Quand on écrit un commentaire en y inscrivant n’importe quoi, on perd toute crédibilité ;)


              • Bubble Bubble 7 octobre 2013 13:47

                Par exemple, une personne végétarienne durant un mois sauve 17 animaux et 60.78 kilos de Co2 qui ne sont pas relâchés dans l’atmosphère.

                Vous voulez dire que le consommateur non-végétarien mange en moyenne 17 animaux par mois ? Oo
                Quels animaux ? Passés les sardines et les escargots, je ne vois pas bien où on pourrait les caser, les 17 animaux.


                • Shawford42 7 octobre 2013 13:50

                  Et toi Bubble tu penses que t’es un oiseau de bonne ou de mauvaise augure ?


                • Bubble Bubble 7 octobre 2013 13:59

                  En tout cas je ne me laisserai pas attraper par un chat, même s’il me fait des yeux doux à suffoquer tellement c’est mignon !


                • Shawford42 7 octobre 2013 14:05

                  Rdv en papillon de nuit et peut être un jour au grand jour, buddy smiley


                  A voté

                • foufouille foufouille 7 octobre 2013 14:26

                  en fait un "levage industriel n’est rentable que pour tout ceux qui tournent autour de l’éleveur
                  un élevage de cochon normal ( avec paille et simple hangar ) est même plus rentable


                  • geronimo87 geronimo87 7 octobre 2013 17:21

                    Bonjour à tous.

                    J’adore cet article et quelques arguments qui forcent les pauvres à l’écologie de merde.
                    Allez sur ce site : très instructif.
                    Là, on en a rien à foutre. ET JE SUIS POLI.
                    Il existe la même chose pour les bateaux :

                    Bonne journée quand même.

                    • Old Dan 7 octobre 2013 22:22

                      - Entassement hors sol au calculé au cm2 (pondeuses)
                      - Engraissement accéléré avec des sous-produits, de la chimie,... (saumons)
                      - Rentabilisation maximum de la croissance (Soigner ou laisser mourir ?)
                      - Crétinisation organisée pour la paix du troupeau en feed-lots...

                      Les conditions d’élevage moderne ne précédent-elles pas la condition humaine ?


                      • Bernie Bernie 7 octobre 2013 23:53

                        Les végétariens vivent plus longtemps, dur, déjà que c’est pas joyeux de manger que du vert, en plus, ils prolongent leurs calvaire.

                        Par exemple, une personne végétarienne durant un mois sauve 17 animaux et 60.78 kilos de Co2 qui ne sont pas relâchés dans l’atmosphère.

                        Mais si ce sont des vaches, elles relâchent combien de méthane en plus avec leurs pets ?

                        Luttez contre l’effet de serre, mangez tous les bœufs qui dégazent et font monter la température.


                        • bakerstreet bakerstreet 8 octobre 2013 09:07

                          On n’est pas obligé d’être végétalien pour prendre le problème par les cornes ( sciées, d’ailleurs)

                          Un simple retour à un plat de viande, une fois par semaine, suffit à palier tout risque de carence, à ceux qui ne veulent pas se prendre trop la tête. 

                          Les anciens n’en mangeaient d’ailleurs pas davantage : Elle était trop cher.
                           Remarquez qu’elle n’était pas pourrie par les antibiotiques et la cortisone, qu’on retrouve dans l’eau du robinet. 
                          Comme quoi tout coule de source !

                          Remarquons que le terme « écolo », sous son imagerie folklo, et rêveur, cache d’ailleurs cette pratique qui a accompagné l’homme depuis la nuit des temps ( mis à part depuis l’après guerre en gros). En ce sens c’est bien une supercherie d’en faire une invention moderne, et de tranformer les créateurs d’alerte en emmerdeurs et en rêveurs, attendu que c’est précisément le contraire !

                          L’écologie, même qu’on le terme n’existait pas, existait tellement qu’on n’avait pas encore trouvé de nom pour nomme cette normalité. 
                          Si votre enfant marche, on n’a pas encore trouvé de nom pour qualifier cet état. On ne parle pas de locomodité. Ca viendra peut être un jour, au vu des progrés de l’atome. L’écologie était naturelle, et necessaire, le tout à l’égout et les marchés n’existant pas, l’un ressemblant beaucoup à l’autre. Elle avait en tout cas plusieurs vertues, et les présente toujours, à ceux qui pense qu’elle est « moderne »

                          Celle de ne pas empoisonner la terre sur laquelle on vit !

                          De ne pas balancer ces ordures à cent kilomètres de chez soi, mais de les gérer au niveau du local, exigence qui vous force à ne pas faire n’importe quoi.....

                          De ne pas bouffer plus qu’on peut digérer, et que les gaz et l’effet de serre, et la constipation sont des indices qu’on peut étendre de son niveau personnel, à celui universel, pour s’apercevoir que quelque chose ne tourne pas rond !.

                        • bakerstreet bakerstreet 8 octobre 2013 09:22

                          Bernie


                          Pourquoi ça serait pas joyeux de manger vert ?
                          vous préférez une cote de porc pourrie d’antibiotiques !
                          Il faut s’interroger sur ce genre de vérité toute faite, et qui cache une addiction : Celle de la bidoche, comme l’a été le sucre. 
                          On a pris conscience timidement qu’on mettait trop de sucre et de graisse.« Impensable de me priver » disent certains, jusqu’au diabète et l’artériosclérose. 

                          Un jour, peut être avant le gros problème espérons le , ils découvrent qu’on leur avait menti, que tout était culturel, que le sucre masquait en fait le gout, et qu’il les rendait insensible et apathique. 

                          Remarquez qu’on peut étendre ce constat à d’autres produits, comme la pornographie par exemple. 

                          Méfiez vous des gens qui prétendent vous libérer, et oeuvrer à ce que vous soyez moderne, que vous ayez des droits, que vous puissiez prétendre comme les autres au paradis de la consommation ! Facile de se servir du language de compétition pour rendre aveugle les gens, un truc vieux comme le monde)

                          ( ils ne parleront pas d’aliénation ! Les mots sont très importants, et peuvent nous éviter ou nous préparer à d’autres maux, si on n’y prend pas garde....)

                          « Pourquoi vous n’auriez pas le droit de manger de la viande, du sucre, de la merde, hein ? »

                          « Et de vous empoisonnez, et de nous remplir notre portefeuille d’action »

                          Cette dernière phrase ne sera pas dans le discours des entrepreneurs et des poltiques démagogues, mais peut être dans leur tête, ces gens là ne sont pas des cons, et bouffent écolo, couleur verte plutot que rouge à mon avis.....

                        • Capithalarion 8 octobre 2013 00:12

                          Le végétarisme ne me dérange en rien, chacun ses lubies, mais il est amusant de constater que vous vous contredisez grassement dans votre deuxième paragraphe, démontrant à la fois que ne pas manger de viande est bon pour la santé mais qu’il faut paradoxalement prendre des compléments alimentaires pour rester en bonne santé ???


                          • bluecat 8 octobre 2013 05:28

                            Les compléments alimentaires peuvent être conseillés aux végétaliens. Dans le cas du végétarisme, l’apport de fromage, oeufs et protéines végétales complètées de céréales suffisent amplement à remplacer la chair animale.


                          • bakerstreet bakerstreet 8 octobre 2013 08:45

                            Problème de conscience : Comment peut on continuer à supporter cet négation de la souffrance animale. Les anciens étaient bien plus respectueux que nous d’eux, malgré une époque et des moeurs humains plus durs : Les animaux vivaient au milieu d’eux, en tout cas pas parqués dans ces camps de concentration.


                            Problème de rationnalité : Les humains ne peuvent continuer à fonctionner sur ce modèle qui fait pourtant tache d’huile : De la bidoche, de la bidoche encore plus....les terres necessaires à une ration carnivore, par rapport à un régime céréale légumes, sont d’un rapport de 1 à 3 ou 4 : Etant donné que la population continue à augmenté, difficile de voir qu’on ne va pas droit dans le mur. Je ne parle pas des gaz de méthade et de l’empreinte carbone......Mais le capitalisme, ou plutot le libéralisme dit on aujourdh’ui, n’a que faire de ces choses...Il vous emmerde, pardonnez moi l’expression, mais c’est bien la traduction au niveau du lisier, des algues vertes, de l’empoisonnement de l’eau. 

                            On pourrait rire de tout ça, tant la farce est énorme. 
                            Retournez à vos chiffres, vous dit on, on n’a pas les preuves, vous devez vous trompez, ou alors en vouloir au monde paysans, hein ?
                            D’ailleurs vous n’êtes qu’un gauchisme, un écolo, vous avez de la chance de courir si vite....

                            Dangereux presque en effet d’être objectif, en ces temps de grande mafia et de silence imposé, où les journalistes ne parlent plus trop de ces choses, où des réalisateurs parviennent tout de même à faire quelques films pour montrer l’ampleur du problème à ceux qui plus tard vous diront on ne savait pas.


                            • zozoter 8 octobre 2013 09:24

                              sandrine2311 bonjour et merci pour ce premier article.

                              La passion vous anime, c’est bien, mais reconnaissez que vous chargez votre texte de référents scientifiques alors que ce n’est finalement que du subjectif. La souffrance, on s’en fout hein ? bon pas vous et çà vous honore.

                              Pour ma part, je mange de tout sauf... du porc ! Cela n’a rien à voir avec un interdit alimentaire religieux mais franchement l’élevage de porc c’est infect. Ces « bêtes » aurait un QI équivalent à un Sapiens sapiens de 5 ans !! Les conditions d’élevage sont apocalyptique.
                              Les poulets que je mange sont à minima Label Rouge, jamais de conserves sauf légumes en dépannage.

                              J’ai vécu qq temps en Limousin (23), le boeuf, race limousine exclusivement en élevage extensif, les bêtes toujours dehors, impressionnant de voir un bovin dans 1 mètre de neige, si au printemps, pas beaucoup de foin sur la propriété, les bestioles n’ont rien à bouffer et ... elles maigrissent. Au final, une viande extra, vraiment très gouteuse.

                              L’élevage 100% extensif est captateur de CO2 (et non pas producteur) mais çà, pour le faire comprendre aux béotiens, tintin. Seul les animaux avec un système digestif élaboré pour de l’herbe sont capable de fabriquer des protèïnes à partit de celle ci. Pour Bernie, le méthane émis par les boeufs sont des rôts, pas des pets.

                              À vous lire
                              zozoter


                              • cedricx cedricx 8 octobre 2013 10:26

                                Et n’oublions pas le traitement réservé aux poussins mâles dans les usines de poules pondeuses : les poussins mâles, incapables de pondre donc improductifs, sont hachés vivants au rythme de 150 000 par jour dans la broyeuse... 150 000 par jour dans la plus grande usine américaine. Un cauchemar industriel pour le vivant. Ah ! elle est belle la civilisation...


                                • Pepe de Bienvenida (alternatif) 15 novembre 2013 00:48

                                  Manger de la viande n’est pas forcément malsain, ça dépend de l’alimentation de l’animal. Prenez un riche : nourri au caviar, au foie gras bio etc. Quand l’occasion se présentera (rapidement j’espère), je mangerais bien du riche.

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