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Accueil du site > Actualités > Société > Vos filles vous manquent ? Achetez-vous un chien !!!

Vos filles vous manquent ? Achetez-vous un chien !!!

Stéphane est en grève de la faim depuis le 18 novembre.

Il n'a pas vu ses petites filles depuis un an. Il n'a aucun signe de vie d'elles. 

Dans son affaire, 160 violations de lois ont été commises par les magistrats et les travailleurs sociaux. 

Encore une fois, l'association Olga Spitzer est intervenu illégalement. 

VOS FILLES VOUS MANQUENT ? ACHETEZ-VOUS UN CHIEN !!!

Clara et Justine, âgées aujourd’hui de 11 et 7 ans, ont été enlevées sous la contrainte et avec violences le 13 juin 2009 par leurs grands parents maternels. Elles ont été arrachées de la voiture de leur père, Stéphane, qui habite dans les environs de Toulouse, sans aucune décision de justice. Il ne les retrouvera que 6 jours après ce guet-apens et cet abandon du domicile conjugal par la mère, à 750 kilomètres de là.

Déscolarisées de force de leur établissement, Clara et Justine ont été séparées de leur père, leurs amis, leur école, leur maison, simplement pour que leur mère puisse rejoindre son amant. Fausses accusations, menaces de mort, course-poursuite, maltraitances physiques et psychologiques, lettres anonymes, pressions, chantages, tel sera le quotidien de Clara et Justine et de leur père depuis 2009. Une fausse expertise psychologique, rendue par un expert que l’ARS de Haute Garonne a reconnu en 2012 comme n’ayant pas le droit d’exercer, le même que dans l’affaire Merah, a été rendue dès le début de la procédure. Toutes les décisions de justice ont par la suite suivi cette expertise truquée.

Celui qui deviendra par la suite l’ex-amant de Madame fournira à la police le détail du plan machiavélique orchestré par les grands-parents maternels et la mère afin de détruire Stéphane, en le harcelant de manière constante jusqu’à tenter de lui faire perdre son emploi et le menacer de mort. Un officier de police ira jusqu’à consigner dans un procès-verbal d’audition comment la mère avait, en 2010, dupé la police en simulant un malaise et en faisant intervenir les pompiers, afin de pouvoir fouiller tranquillement dans le dossier et vraisemblablement d’en extirper les pièces compromettantes contre elle ! Ces éléments, pourtant transmis à la justice ont tout simplement été passés sous silence.

Clara et Justine ont expliqué à la gendarmerie les violences physiques et psychologiques que leur faisant subir leur grand-père et leur mère. La justice prétextera lors d’une audience que leur déposition était trop récente (elles dataient d’une semaine). Les attestations médicales, hématomes et négligences diverses n’ont pas davantage été prises en compte, prétextant cette fois, dans le même jugement, à 10 lignes d’écart, qu’elles étaient trop anciennes (elles dataient de 3 mois).

Le comportement de Clara et Justine, ne laissant planer aucun doute sur ce qu’elles subissaient au domicile maternel, a été constaté par plusieurs médecins ; deux signalements ont été adressés au procureur de la république de Toulouse. Elles ont été hospitalisées au sein de l’Unité Hospitalière de l’Enfance en Danger qui reconnaitra qu’il existe bien un problème profond entre la mère et les filles. Pourtant, ce même service, 48h plus tard, après la visite de la mère et des grands-parents maternels, leur rendront les fillettes, contre l’avis même du procureur, en faisant croire à la petite Clara qu’à la rentrée scolaire 2012/2013, elles retourneraient vivre chez leur père. Aucun écrit n’ayant été rendu, lorsque qu’il fut demandé pourquoi cela n’avait pas été consigné dans un Projet pour l’enfant (document obligatoire), la personne en charge, qui est également expert auprès du tribunal, répondra : « C’est quoi ça ? Ah, nous n’avons pas respecté la loi, ce n’est qu’un détail ! » Cette même personne avait déclaré au père un an auparavant : « Si vos filles vous manquent, achetez-vous un chien ! ».

L’assistante sociale qui suit la mesure a elle aussi été reconnue par l’ARS de Haute Garonne comme n’ayant pas le droit d’exercer. Dès le retour des fillettes instrumentalisées par des « professionnels » au domicile de leur mère, le cauchemar empire avec la désignation d’un juge des enfants, qui, parmi d’autres aberrations, commettra les délits abus de droits suivants : non convocation du père, menaces, interdiction au père de présenter des preuves, non-respect du contradictoire, faux et usage de faux, interdiction de faire appel ou de saisir un juge aux affaires familiales … Stéphane, depuis un an, ne voit plus du tout ses enfants. Pourtant, il n’est pas reconnu maltraitant et ne fait l’objet d’aucune condamnation ni d’aucune mesure. Il sera simplement écarté de ses filles, bien que leur mère soit reconnue comme étant dangereuse, psychorigide, souffrant de carences éducatives et devant consulter un psychiatre.

Le procureur de la juridiction où elle réside fera convoquer Stéphane en octobre 2011 à la gendarmerie, suite à une plainte abusive qu’elle a déposée, et lui conseillera de saisir un JAF en urgence afin que la résidence des filles soit fixée à son domicile.

Un rapport de 55 pages et contenant 226 pièces de preuves sera alors adressé au tribunal, qui démontre le plan machiavélique de la famille pour écarter Clara et Justine de la vie de leur père et les instrumentaliser. Ce rapport de plus de 2 kg a « malheureusement » été perdu par le tribunal. À la suite de quoi la juge des enfants avance son audience de 6 semaines afin de rendre une décision de justice calomniant Stéphane pour l’empêcher de saisir le JAF. Juste avant l’audience, il fait l’objet de tentatives d’intimidation par le magistrat, ce dernier lui déclarant : « Je n’en resterais pas là. » Le juge mettra ses paroles a exécution puisqu’il lui supprimera son droit de visite au motif que la distance fatiguait les filles et qu’il avait l’outrecuidance de leur poser des questions sur l’école ou leurs loisirs. Ces propos furent confirmés par l’éducateur en charge de la mesure à l’époque. Les enregistrements existent.

La première étape suivie par le magistrat fut ainsi de prononcer des visites médiatisées 2 fois par mois pour le père et ses filles. Ces visites ne se mettront jamais en place. Stéphane fait ensuite valoir auprès du juge 12 non représentations d’enfants. Silence radio : aujourd’hui, il en est à 25 non représentations d’enfants.

Une plainte a été déposée, s’appuyant sur l’arrêt de la Cour Européenne des droits de l’homme PLASSE BAUER, qui a condamné la France en 2010 pour les mêmes raisons. Une plainte est également en cours pour escroquerie au jugement et dénonciation calomnieuse, une troisième pour soustraction et rétention d’enfant en bande organisée.

L’organisme en charge des mesure sur la mère, Olga Spitzer, a lui-même instrumentalisé l’ainée et exigé de Stéphane qu’’il abandonne ses filles (les preuves, entre autres des aveux, sont là aussi indéniables et à la disposition de la justice). Olga Spitzer, agissant en toute illégalité, fait l’objet de poursuites au niveau national, l’Assemblée nationale et divers média se saisissant depuis quelques jours du plus gros scandale national jamais mis à jour dans le domaine de la protection de l’enfance.

Depuis quand un magistrat sanctionne t-il, en l’empêchant de voir ses enfants, un justiciable qui subit harcèlement, usurpation d’identité et menaces de mort et en protégeant les présumés coupables ? Depuis quand les organismes chargés de la protection des enfants font-ils tout pour laisser les enfants à un parent maltraitant, jusqu’à instrumentaliser les enfants et produire des faux ? Depuis quand des avocats, qui ont été avertis de la réalité par des personnes extérieures de manière officielle, produisent-ils des faux et mentent-ils sciemment ? Depuis quand les lois de notre république sont-elles volontairement non respectées ?

Stéphane n’a pas vu ses filles depuis le 8 janvier 2012, et n’a plus aucun signe de vie d’elles depuis le 11 juillet 2012 .

Ceci est totalement inacceptable. Dans ce dossier, plus de 160 textes de loi ont été ignorés bafoués, piétinés, tant par les magistrats que par les travailleurs sociaux. Stéphane est en grève de la faim depuis le 18 novembre 2012. Il espère que cette grève de la faim, médicalement suivie, lui permettra d’être entendu et que la justice, rétablissant le droit, lui rendent ses filles de toute urgence. .


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6 réactions à cet article    


  • La mouche du coche La mouche du coche 16 janvier 2013 09:44

    L’ultra-féminisme en majesté.


    • jef88 jef88 16 janvier 2013 12:03

      politiquement correct :
      tant par les magistrats que par les travailleurs sociaux.

      pas politiquement correct :
      tant par les magistrat(e)s que par les travailleu(ses)rs sociaux.
      lol


      • alinea Alinea 16 janvier 2013 12:37

        J’ai écrit dans un article récent que la Justice est publique et gratuite pour celui qui accuse et privée et payante pour celui qui se défend ; dans les cas des « petites gens », l’accusation est naturellement plus forte, si j’ose dire ! Votre article m’a interpelée parce que j’ai vécu la cécité, la surdité, la mauvaise foi ( et même l’ignorance) de la justice et la violence de la police ! Qu’y pouvons-nous ? Quand je pense à toutes ces vies brisées par l’injustice de la justice, par l’ignorance des moindres bases de la psychologie ( la conviction de l’accusateur haineux est beaucoup plus forte que la défense de celui qui se trouve en état de sidération !) et tout à l’avenant ; et dans ces cas-là, quand le mal est fait le mal est fait ! traumatisme à vie pour les gamines et le père...


        • Jeff Parrot Jeff Parrot 16 janvier 2013 15:55

          le droit des enfants à avoir un père, c’est pas trop dans l’air du temps (3 commentaires sur cet article).

          L’air du temps c’est de pouvoir avoir 2 mamans (et qu’elles puissent se marier) !


          • Anakin Anakin 16 janvier 2013 16:38

            Monsieur Parrot

            Mais les droits des enfants concernent tout le monde hétérosexuels et homosexuels.

            Et que je sache ce droits est bafoué par les hétérosexuels en très grosse majorité.

            Le droit de l’enfant de vivre, c’est déjà largement contesté par la majorité des gens.

            200 000 avortements par an en France ! Il est où le droit de l’enfant ? On a considéré que l’enfant porté faisait partie du corps de la femme. ainsi l’argument que la femme doit pouvoir faire ce qu’elle veut de son corps (je suis d’accord) devient le droit de la femme de garder ou non la vie de son enfant.


          • alinea Alinea 16 janvier 2013 16:50

            Anakin : je ne comprends pas le lien entre votre commentaire, le commentaire précédent et l’article !?

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