De la société Formule 1 à la société tout-terrain
Après nous être pris pour les deus ex machina sur notre planète Terre, nous voilà redescendus de notre piédestal à essayer de résoudre des problèmes devenus insurmontables. Nous sommes de plus en plus confrontés à des cygnes noirs, événements imprévisibles et peu probables ayant des conséquences considérables : séismes, inondations, réchauffement climatique, crises financières… dont nous sommes en partie responsables.

Depuis la révolution industrielle, nous avons choisi un modèle différent qui grâce à son efficacité nous a permis de bénéficier d’avancées majeures comme l’accroissement de l’espérance de vie, la diminution de la pauvreté, l’accès aux connaissances… Les limites de ce système sont sa très forte vulnérabilité que nous avons voulu compenser avec plus de contrôle, de réglementation ce qui réduit nos libertés et paradoxalement accentue encore plus notre fragilité. Il faudrait adopter la position exactement inverse en passant d’un système rigide à un système flexible où l’adaptation, la diversité et la coopération se substituent à l’efficacité maximale, au standard et au contrôle.
De la société Formule 1 à la société tout-terrain
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