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Accueil du site > Actualités > Technologies > Desertec, le soleil d’Allah au secours de l’Europe

Desertec, le soleil d’Allah au secours de l’Europe

Consciente des limites de ses capacités pour pouvoir répondre à la demande croissante en électricité de ses populations dans un futur proche, l’Europe commence à s’inquièter de sa sécurité énergétique, et semble avoir trouvé le sésame, la solution miracle à ce problème. C’est ce qui ressort de l’analyse du club de Rome, dénommée « Desertec », pour laquelle il a été procédé à la création d’une fondation sous le même nom.

Partant de l’idée que l’humanité aura besoin d’ici 2050 de trois terres pour couvrir ses besoins en ressources, et que les déserts de la planète reçoivent en 6 heures plus d’énergie solaire que n’en consomme l’humanité en toute une année, les initiateurs de Desertec projettent de capturer l’énergie solaire à partir des déserts de la région MENA (Moyen-Orient et Nord Afrique) et de l’acheminer par câbles sous marins au fond de la Méditerranée pour fournir au moins 15 % des besoins de l’Europe en électricité sans CO2 d’ici 2050. Pour un investissement qui avoisinerait les 500 milliards de dollars.

Le projet Desertec est promu par le gouvernement allemand, adopté par l’Union européenne, et soutenu par quelques personnalités et hommes d’affaires des pays du Moyen Orient et du Maghreb. Ceux-ci affirment que la réponse à une éventuelle crise énergétique réside dans la nécessité d’une coopération entre les pays désertiques, les pays ayant des besoins en énergie, et les pays possédant des compétences techniques. Objectif : permettre l’aboutissement de ce projet qui semble à première vue inspiré d’un scénario de film de science-fiction.

Qualifié de chimérique et de rêve d’enfants par ses détracteurs, le projet semble bien prendre du chemin, avec déjà la création d’un consortium d’entreprises allemandes, et la signature d’un protocole d’accord pour la création d’un bureau d’études Desertec chargé de la mise en place des structures en charge du projet, l’élaboration des business plans et la recherche des financements.

L’originalité du projet réside dans sa consistance, et les moyens de sa concrétisation. En effet il s’agit de la réalisation de centaines de groupes électrogènes, équipés de milliers d'énormes miroirs, qui réfléchissent la lumière solaire vers des tours géantes remplies d'un fluide calorifique. Une fois chauffé, celui-ci fait tourner des turbines à vapeur qui produiraient semble-t-il des milliards de watts d’énergie électrique pour être enfin acheminés par câble sous-marin et distribués à l’ensemble des pays de l’Union européenne. Ses initiateurs soutiennent qu’ils envisagent aussi de satisfaire la demande de plus de 90 % de la population mondiale qui habite à moins de 3 000 kilomètres des régions désertiques, car ils estiment que les technologies nécessaires existent déjà et ont été testées.

Desertec permettrait, selon ses promoteurs, l’assurance de la sécurité énergétique dans les pays de l’Europe, du Moyen Orient et du Maghreb. Des perspectives de croissance et de développement pour ces derniers, grâce aux énormes investissements qui seront réalisés, en plus de la garantie du futur approvisionnement en eau potable dans ces pays à climat aride, grâce à l’utilisation du surplus d’énergie dans des usines de dessalement d’eau de mer. Et comme cerise sur le gâteau, une réduction des émissions de carbone et donc, une contribution aux efforts internationaux de lutte contre le réchauffement climatique.

Concret ou utopique, Desertec sème la confusion dans les milieux scientifiques, économiques, et écologistes, car bien que testé à petite échelle, certains scientifiques doutent de la possibilité de sa réussite à grand échelle. Car équiper 40 millions de km2 des surfaces désertiques en centrales thermiques solaires dotées de champs de capteurs paraboliques ou de collecteurs, et transporter ensuite sous la mer des milliards de watts d’électricité sur des milliers de kilomètres, par lignes de transmission de courant continu haute tension, avec tout ce que cela demande comme équipements, relève de la prouesse scientifique.

Les économistes pour leur part doutent de l’efficience économique du projet et estiment que le coût de production dissuaderait plus d’un a y adhérer. Car vu le coût exorbitant de l’investissement, estimé à plus de 500 milliards de dollars (sans compter tous les frais qui s’y greffent en cours de route), le kWh produit couterait, avec des estimations optimistes, plus du double du même kWh produit à partir de l’énergie fossile. De plus, rien n’est sûr quant à l’amortissement des investissements, même dans le long terme, en raison des conditions extrêmes du désert qui, semble-t-il, ne sont pas du tout prises en compte dans les calculs des coûts de production. Ce qui laisse un doute quant à sa viabilité économique.

Certains écologistes plaident en défaveur du projet, même si Greenpeace y a adhéré dés le début, et pensent que, malgré ses avantages certains dans la réduction des émissions de CO2 en Europe, ce dernier recèle bien des désagréments à l’environnement et peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé des populations autochtones. Sans compter ses effets néfastes sur l’esthétique des paysages.

Les sceptiques européens, à leur tour, pensent que lier sa sécurité énergétiques à des pays considérés, à tort ou à raison, instables et versatiles, donnerait l’occasion à ces derniers de les faire chanter au moindre soubresaut politique, et les priveraient d’énergie à chaque saute d’humeur de leurs dirigeants. Le cas de la Russie avec l’Ukraine, en matière d’approvisionnement en gaz, en est l’illustration parfaite.

Produire de l’énergie électrique à partir du soleil est une idée noble en soi, car elle représente, du moins pour le moment, une solution appropriée à une pénurie des énergies fossiles dans les années à venir. Mais il reste à se demander s’il existe une réelle volonté de la réaliser, conformément aux raisons invoquées et selon des normes respectueuses de l’environnement et de la souveraineté des pays du Sud. Ou au contraire, si elle va se réaliser selon des normes qui répondraient à des desseins inavoués, sur fond d’une guerre de leadership technologique entre l’Allemagne et la France, par énergie nucléaire française et énergies renouvelables allemandes interposées.

Pour leur part, certains penseurs des pays du Sud parlent d’un nouveau concept qui a fait son apparition sous l’appellation d’éco-colonialisme. Celui-ci est fortement défendu par ces derniers, voyant dans ce projet une réédition du colonialisme sous une forme verte plus soft. Et ils se demandent s’il est juste d’aller chercher le confort des Européens dans le désert, sur le compte des populations du sud : une sorte de « déshabiller Pierre pour habiller Paul ».

Mais ce qui intrigue le plus dans ce projet, c’est le fait d’avoir été préparé en l’absence des acteurs principaux, à savoir les pays producteurs. Car à part les quelques personnalités qui ont adhéré par convictions ou intérêts personnels, et dont l’acte d’adhésion n’engage en rien leurs pays, aucun Etat du Sud n’a été associé d’une manière officielle aux préparatifs du projet. Comme si on préparait un mariage sans le marié, car la mise en application du projet relève du droit international, qui ne peut se faire sans l’adhésion volontaire des différents protagonistes.

Aussi, l’occultation volontaire d’un problème des plus sérieux, à savoir la position des population autochtones, propriétaires séculaires du désert, rendrait légitime la question de savoir si les initiateurs du projet ont sollicité l’avis de ses dernières qui supporteraient seules les conséquences néfastes du projet, et qui verraient leur milieu naturel entièrement transformé. Elles représentent en fait le nœud gordien du projet et, sans elles, le mirage Desertec va entraîner ses promoteurs loin dans l’immensité du désert.

chaalal moulay


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23 réactions à cet article    


  • foufouille foufouille 2 avril 2011 09:52

    ca va etre bien en cas de seisme


    • Kalki Kalki 2 avril 2011 10:13

      Combien coute UNE SEULE USINE, avec le matériel pour produire sur place des concentrateurs solaire ? DU VERRE

      DU SIMPLE VERRE

      DU VERRE COMME ON EN FAIT DEPUIS DES MILLENAIRE,

      AVEC DU SABLE, IL Y EN A DES CHOSES DANS LE DESERT

      DU VERRE

      DU VERRE, DE L’EAU , UN MOTEUR

      Combien ca coute ?

      Combien ca coute ?

      Combien ca coute comparé a de l’éolien avec un taux d’usure très fort, des infrastructures tres lourdes et chères et qui n’est pas rentable plus ca devient gros ....

      NON : l’économiste est un con, qui ne sait meme pas qui il sert, ( en tout ni l’humanité, ni lui )

      Avec une usine

      en deux jours

      Vous produisez assez d’énergie pour faire tourner l’usine ...

      EN 1 ans vous continuez et vous Quintuplé votre capacité de production

      ET ENCORE VOUS VOYEZ

      SANS AUCUN INVESTISSEMENT

      DU VERRE ... DE L’EAU , un MOTEUR

      DE l’énergie électrique

      UNE CROISSANCE EXPONENTIEL QUI NE DEPEND PAS D’INVESTISSEMENT , DONC PAS DE RETOUR SUR INVESTISSEMENT ( c’est ca qui fait chier le con d’économiste il préfére que l’humanité meurt plutot qu’elle vive ou la connerie a l’état pur, le chiffre ca ne se mange enculé d’économiste )

      EN 2 ANS VOUS PRODUISEZ PLUS D’ENERGIE QUE L’HUMANITE EN CONSOMME, TOUT ENERGIE CONFONDU


      • Kalki Kalki 2 avril 2011 10:17

        Vous savez les cons d’économistes sont derrieres les guerres, les crises

        alors que c’est dans leur tete

        il faut qu’ils consultent

        Ca ne tourne pas rond comment vous expliquez une crise de 29 ou la crise actuel ?

        EN terme économique seul, l’économiste ne peut pas

        Il vous dis bah il y a de production, mais il y a pas d’acheteur comment ca se fait ?

        MOI PAS COMPRENDRE, POURTANT C’EST MON BOULOT

        « il doit pas y avoir que l’économie pour définir l’économie »


      • TSS 2 avril 2011 12:11

        En lisant vos posts ,je m’aperçois que,à vos yeux,tout le monde est con ce qui est,il faut le

        reconnaître , le summum de l’argumentation !!

        je salue en vous le BHL d’Agoravox... !!


      • epapel epapel 3 avril 2011 17:41

        C’est vrai que le style est proche.


      • manusan 2 avril 2011 11:39

        Électriser l’Europe à partir du désert saharien c’est comme remplir une piscine olympique avec un verre d’eau et le robinet à 10 km. Sans parler du prix de la tonne de cuivre à venir et de la dispersion de chaleur dans les câbles, à cette distance on dépasse largement les 80% de perte dans le transport (installer des panneaux solaires pour chauffer le Sahara via des câbles en cuivre, encore une idée de technocrate).

        Sujet abordé depuis 20 ans, techniquement impossible sans supra-conducteur stable à température saharienne et à prix dérisoire.


        • TSS 2 avril 2011 12:05

          deux projets sont pourtant en route ,1 français,1 allemand et forcement differents ,ce qui montre

          la veritable figure de l’Europe !! Tous unis qu’ils disaient... !!


        • manusan 2 avril 2011 12:48

          Il y avait des enveloppes à décrocher + retrocommision à la clé.

          On attend toujours le GPS européen financé par Bruxelle.


        • Albar Albar 2 avril 2011 11:42

          " Aussi, l’occultation volontaire d’un problème des plus sérieux, à savoir la position des population autochtones, propriétaires séculaires du désert, rendrait légitime la question de savoir si les initiateurs du projet ont sollicité l’avis de ses dernières qui supporteraient seules les conséquences néfastes du projet, et qui verraient leur milieu naturel entièrement transformé. "
           Quand est ce l’avis des populations autochtones, de par le monde a prévalu, pour de tels projets ?
          On en arrivera à la création de sociétés de gardiennage, a défaut de pouvoir exproprier le soleil lui même, par ces firmes étrangères prédatrices, avec le concours des profiteurs locaux.


          • Nho 2 avril 2011 12:41

            Les autochtones n’ont qu’à se taire et servir. Mais surtout, qu’ils ne viennent pas ensuite quémander à nos frontières !


          • Alliance Rebelle citoyen du sud 2 avril 2011 14:02

            nous attendons avec impatience et espoir qu’il n’y ais plus de pétrole et de gaz sous nos terres , du maghreb au machrek , afin que l’occident impérialiste n’ait plus de motif a dépenser des milliards de dollars en envoyant ses armées sur nos terres nous bombarder quand un dictateur se rebelles a l’empire d’un coté ( sadam hussein , khadaffi ) , ou soutenir les dictateurs despotes sans foi ni loi a la tête de nos pays , du Maroc au monarchies du golf , d’un autre coté

            ce pétrole & gaz a été depuis le début du 20éme siècle notre plus grande malédiction , il as en plus permis le soutien a l’état expan-SIONISTE Israël , premier gardiens des puits pétrolier et gazier , armé et soutenue a coup de milliards de dollars et 1er bénéficiaire des aides américaine et européenne 
            si maintenant nos désert deviennent une source de convoitise pour l’occident grand consommateur d’énergies , je crois bien qu’il ne nous reste plus de chance de nous débarrasser de nos dictateurs , puisque la encore ce même occident va se re-mettre a soutenir les régimes corrompus et corrupteurs qui nous dirigent 
            quand au peuple palestinien , que dieu ai son âme , il n’aura d’autre avenir que la paix des cimetières 
            mauvaise nouvelle , très mauvaise nouvelles que ce projet s’il se concrétisait
            ça va être « L’empire contre attaque 2 » 

            • joletaxi 2 avril 2011 14:25

              Jusqu’ici,les centrales à concentration solaire ont toutes eu de tellement mauvais résultats,que la plupart ont été abandonnées(la dernière en date aux USA, qui ne sera sans doute pas terminée)

              Pourtant, ce type de centrale a un avantage majeur par rapport au photovoltaïque,c’est qu’il suffit de lui adjoindre une chaudière pour pouvoir produire à tout moment, et donc de pouvoir être appelée sur le réseau comme une autre centrale, quand le besoin est là.
              On profite donc du soleil quand il est présent, sans devoir pourvoir à une centrale séparée pour palier à nuage de passage,et du fait de l’inertie des centrales vapeurs, on peut faire la transition sans heurts.Bien entendu, ces centrales peuvent ainsi débiter la nuit.
              D’autres intervenants ont déjà énumérer divers obstacles.J’en rajouterai deux :
              -une centrale vapeur cela a besoin d’eau, de beaucoup d’eau, pour avoir une source froide pour les condenseurs.Dans le désert...
              -que je sache, les régions présumées éligibles sont dans les mêmes fuseaux horaires que nous.
              Mais on peut rêver


              • TSS 2 avril 2011 18:24

                - une centrale vapeur cela a besoin d’eau, de beaucoup d’eau, pour avoir une source froide pour les condenseurs.Dans le désert...

                Contrairement aux idées reçues ,il y a de l’eau,beaucoup d’eau dans le sous sol saharien !!

                dans le sud de l’Espagne ,region de Valence,il y en a une qui fonctionne très bien... !!


              • lenainbleu lenainbleu 2 avril 2011 14:43

                Qu’est-ce qu’Allah vient faire là-dedans ?


                • epapel epapel 3 avril 2011 17:38

                  C’est pour faire planer l’ombre d’une menace.


                • Greenapple smerit 2 avril 2011 17:15

                  quand je pense que rien n’est jamais trop cher pour la conquête de l’Espace,on ferait bien de s’intéresser à la conquête des énergies nouvelles parce que ÇA PRESSE !.


                  • sisyphe sisyphe 2 avril 2011 17:54

                    @ l’auteur : j’aimerais que vous précisiez ceci : 


                    Certains écologistes plaident en défaveur du projet, même si Greenpeace y a adhéré dés le début, et pensent que, malgré ses avantages certains dans la réduction des émissions de CO2 en Europe, ce dernier recèle bien des désagréments à l’environnement et peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé des populations autochtones

                    Quels « désagréments à l’environnement » et quelles « conséquences dramatiques sur la santé des populations autochtones » ?? 

                    Merci de vos éclaircissements... 

                    Après, sur le projet lui-même, capter l’énergie solaire dans les déserts est certainement la solution de l’avenir, mais dès lors, pourquoi le « transférer » vers l’Europe, dans des conditions et des coûts exorbitants ? 

                    Cette énergie devra, évidemment, être utilisée par les pays qui la produisent, ce qui assurerait leur autonomie énergétique, et mettrait fin aux conflits permanents sur l’approvisionnement dû aux énergies fossiles. 

                    • Leo Le Sage 3 avril 2011 16:11

                      Par sisyphe (xxx.xxx.xxx.90) 2 avril 17:54
                      « pourquoi le »transférer« vers l’Europe, dans des conditions et des coûts exorbitants ? »
                      Ils comptent sur l’Europe pour abandonner le nucléaire...
                      Et bien sûr ils en profiteront eux aussi, chacun son tour je suppose ?

                      L’ennui, c’est que l’Europe ne quittera pas le nucléaire avant un moment...
                      Donc ce projet va être un soucis pour eux...

                      Je crains en plus que le coût de maintenance soit élevé : les vents par exemple...


                    • epapel epapel 3 avril 2011 19:34

                      Les vents de sable et aussi les différences de températures jour/nuit (60°) ça va être coton.

                      Et puis il y a le problème de l’eau pour faire tourner les turbines et donner le confort moderne aux ingénieurs et techniciens (golf, piscine, douche...) dont il va falloir priver les autochtones.


                    • Leo Le Sage 3 avril 2011 16:13

                      Par l homme de kro (xxx.xxx.xxx.21) 2 avril 21:49 « la perspective qu un dictateur africain ne coupe le courant »
                      Il y aussi les grévistes de la SNCF...
                      Les vols de cuivre qui existent à l’echelle planétaire, ce n’est pas un soucis inquiétant ?


                    • Hijack Hijack 2 avril 2011 22:33

                      Pas mal l’idée !


                      • epapel epapel 3 avril 2011 17:55

                        L’originalité du projet réside dans sa consistance, et les moyens de sa concrétisation. En effet il s’agit de la réalisation de centaines de groupes électrogènes, équipés de milliers d’énormes miroirs, qui réfléchissent la lumière solaire vers des tours géantes remplies d’un fluide calorifique. Une fois chauffé, celui-ci fait tourner des turbines à vapeur qui produiraient semble-t-il des milliards de watts d’énergie électrique.

                        Et dans le désert du Sahara, on la trouve où l’eau qui fera tourner les turbines à vapeur ?
                        (15% de la consommation de l’UE c’est à peu la consommation française).

                        D’après vous, pourquoi les centrales électriques avec turbine à vapeur sont près de sources d’eau ?


                        • Ruut Ruut 9 avril 2011 06:27

                          ...
                          Ce projet ressemble plus à une vaste arnaque qu’a un projet qui sera utile.
                          Pour le solaire c’est au niveau local que c’est rentable avec un stockage de l’énergie hydrauliquement (Pour le moment, a défaut de mieux).
                          ...

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