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Accueil du site > Actualités > Technologies > La comète électrique : un éléphant dans le magasin de porcelaine de la (...)

La comète électrique : un éléphant dans le magasin de porcelaine de la NASA

Quelles que soient les peuplades du monde entier au cours des milliers d'années, l'apparition d'une comète sur la voûte céleste a suscité une profonde angoisse et hystérie collective. Les raisons d'un tel phénomène ne sont totalement élucidées. En travaillant sur les témoignages que nous ont légué les archives historiques, David Talbott et ses collaborateurs ont fini par conclure que de telles craintes tiraient leur source de la réminiscence collective d'un cataclysme originel. Derrière les différentes traditions locales et leurs histoires, il existerait le profond souvenir enfoui d'une grande comète, mère de toutes les autres. Selon Talbott, cette mémoire mondiale est particulièrement vivace dans la dimension mythologique, notamment par rapport à celle faisant appel au serpent cosmique ou au dragon mythologique, menaçant de détruire le monde. Les idées les plus répandues que l'on rencontre communément à leur sujet font référence aux présages associés à la mort, que ce soit celle d'un roi ou d'un royaume, mais aussi de bouleversements cosmiques sans précédents, voire de la fin du monde.

Il est bien curieux de se demander pourquoi, la première apparition de ce feu follet parcourant les cieux, lequel n'est composé que de simples gaz, a pu provoquer toute une anxiété collective. Cette question  est d'autant plus d'actualité que celle-ci est en rapport avec la venue prochaine de la comète Elenin, qui devrait s'approcher à son plus près, selon les projections actuelles, aux environs de 0,233 UA (ndt : environ 35 millions de kilomètres) de la Terre, dans la période d'octobre de cette année. En effet, cette dernière nourrit les spéculations les plus folles, allant de théorie du complot ourdie par la NASA, à propos d'une phase d'extinction massive (ndt : en anglais, Extinction Level Event, un acronyme composant le nom ELEnin), à l'hypothèse mentionnant que ladite comète ne serait rien d'autre que l'insaisissable Nibiru des légendes, remises au goût du jour sous la plume d'Acharia Sitchin (en guise d'éléments de réflexion sur la crédibilité de ces différentes théories, se reporter à l'article du site Subversify.com, "Est-ce que Google censure Nibiru ?"). Il faut relever que dans ce contexte alarmiste Wal Thornhill (ndt : Wallace Thornhill), le chef de file de la théorie de l'univers électrique, s'est abstenu de pronostiquer quelques comportements que ce soit à propos d'Elenin, principalement en raison des nombreuses inconnues que celle-ci pourrait recéler. Ces inconnues (voir par après) mettent en cause l'activité du soleil ainsi que la constitution physique de la comète elle-même. On peut aisément comprendre la frustration que la NASA doit très probablement éprouver, lorsqu'elle assiste à cette foire aux théories cherchant à couvrir le champ des sciences astronomiques. Cependant, la NASA doit aussi assumer sa part de responsabilité dans la méfiance et même le désaveu farouche qui lui sont si souvent opposés. Sur la question des comètes, à proprement dit, elle n'a jamais été en mesure de reconnaître les erreurs de la théorie communément admise, à savoir que nous nous sommes jusqu'à présent bornés à ne voir dans celles-ci que de "vilaines boules de neige", lesquelles se seraient formées, il y a des milliards d'années de cela, dans l'hypothétique nuage d'Oort. Vue sous cet angle, l'idée n'a aucun sens et a été à maintes fois prise en défaut à la loupe des faits. Masquer cette réalité ne fait qu'alimenter la polémique. Le choix du déni sur des thèmes controversés de la part des institutions officielles, que ce choix soit à tort ou à raison, ne peut que créer autour d'elles un climat de suspicion pour rétention d'informations.

 Le comportement imprévisible des comètes contredit régulièrement le modèle actuellement en vigueur, au point que certains experts se demandent présentement si il en existe réellement un. "Pour ma part, c'est réellement un mystère de savoir comment les comètes fonctionnent", déclare Donald Brownlee, responsable de recherches sur la mission Stardust de la NASA. Il suffit de se remémorer l'extraordinaire spectacle que nous a donné la comète Holmes 17P, pour se rendre compte de la profonde crise dans laquelle la cométologie (ndt : la science qui étudie les comètes) est entrée. En octobre 2007, de façon soudaine et inattendue, la luminosité de Holmes a été multipliée un million de fois. En moins de 24 heures, la comète est passée d'un corps céleste de magnitude aussi petite que 17 à une de 2,5, soit une magnitude suffisamment visible à l'œil nu (ndt : une magnitude proche de mars). La chevelure ou coma de la comète a poursuivi son expansion jusqu'à mi-novembre de la même année, devenant ainsi le plus gros objet du système solaire, largement plus gros que le soleil lui-même. Le diamètre de son coma était passé de 28000 kilomètres à 7 millions de kilomètres. Au moment où elle nous offrait cette performance extraordinaire, elle s'éloignait du soleil et par conséquent refroidissait. Face à une pareille énigme, des questions se bousculent dans notre esprit, comment un corps si minuscule peut maintenir, d'un point de vue gravitationnel, un coma sphérique et uniforme de 7 millions de kilomètres de diamètre ? Si son embrasement soudain est le résultat d'un effondrement ou d'une explosion (comme le pensent certains scientifiques), pourquoi la matière éjectée à son pourtour ne serait-elle pas répartie de façon asymétrique (telle que l'on est mesure de s'y attendre dans un pareil cas de figure). Pourquoi cette supposée explosion n'aurait-elle pas produit des morceaux de tailles variables, au lieu de cette très fine poussière qui a été effectivement constatée ? Une explosion de quelle nature aurait pu produire un corps capable de demeurer visible durant des mois, sachant que la signature visible d'une explosion classique ne dure que quelques secondes ? Comment se peut-il que ce nuage sphérique de nature gazeuse et saturé de microparticules a pu persister pendant des mois, au lieu de se disperser ? Malheureusement, les médias et les communautés scientifiques ont passé sous silence ce que la comète Holmes venait de nous révéler. Compte tenu de l'énorme intérêt que la comète a suscité sur la toile, ce silence passe pour être à peine croyable. Tel que le mentionne Scott Wall, collaborateur du projet Thunderbolts, dans son article de 2008 intitulé, "La comète Holmes : un non-événement médiatique" : Vous auriez pu penser que ce comportement tout à fait inusité aurait créer le buzz au sein de la communauté des astronomes, et qu'un magazine d'astronomie particulièrement réputé, en publiant récemment son top 10 des histoires les plus croustillantes de l'année 2007, l'y aurait fait figurer. Mais étonnamment, ce ne fut pas le cas. Exclue de cette liste, cette comète exceptionnelle n'a pas mérité de faire partie de la crème des événements majeurs qui se sont déroulés cette année-là. En fait, le magazine en question l'a tout bonnement ignorée ; pas la moindre ligne à son sujet dans son éditorial. Elle n'a bénéficié pour ainsi dire que de peu d'attention, voire d'aucune, de la part des quotidiens ou de sa couverture télévisée.

Le comportement bizarre et erratique des comètes aurait dû créer l'engouement d'une véritable révolution sur la façon dont nous les décrivons sur le papier. Mais, la science des comètes poursuit sur la même veine qui ne la conduit nulle part ; elle ne se pose pas les éventuelles questions qui pourraient la remettre fondamentalement en cause. Ces questions, depuis plusieurs années déjà, les partisans du modèle de l'univers électrique se les ont posées. Ces derniers abordent les comètes comme des objets électriquement chargés se déplaçant à l'intérieur du champ solaire. Au cours de ces dernières années, seule l'approche de la comète électrique a été en mesure de prédire les fameuses surprises observées en cométologie ; il suffit personnellement de se donner la peine de le vérifier. Fort de cette nouvelle approche, on est parfaitement en droit de se demander, si la thèse que soutient l'univers électrique est en mesure de mieux répondre aux questionnements que soulève le comportement hors norme de la comète Holmes. Développée autour du modèle électrique, cette théorie considère les comètes comme des résidus relativement récents de cataclysmes ayant eu cours au sein du système solaire (voir par après). Ce n'est par hasard que ces corps célestes possèdent une orbite elliptique, et la comète qui présentera des caractéristiques les plus atypiques sera celle dont l'ellipse est la plus prononcée. Durant le laps de temps qu'une comète progressera aux confins du système, elle acquerra une charge négative relativement au soleil. Puis, parvenu à son extrême limite ou périhélie, elle accélèrera dans la direction du soleil sous l'effet de son champ, en commençant par libérer sa charge dans le plasma qui l'entoure, ce qui se traduit par un accroissement de la brillance de son coma et de sa queue, auquel elle nous a maintenant habitués. Les émissions qu'elle émet sur toute sa surface sont la manifestation de décharges électriques comparables à celles que l'on trouve dans l'industrie par le procédé qualifié d'usinage par décharge électrique (ndt : ou électroérosion). Ainsi, le point de vue défendu par la théorie électrique permet d'élucider la plupart, sinon la totalité, des mystères qui taraudent les physiciens œuvrant dans cette discipline. Elle va jusqu'à expliquer entre autres : les températures étonnamment élevées ainsi que le rayonnement dans la gamme des X que l'on trouve dans leur coma (des phénomènes qui n'ont jamais prédit par la théorie standard) ; leur relief particulièrement accidenté en parfaite opposition avec ce que à quoi s'attendaient à voir les astronomes, en vertu du modèle morphologique de la "vilaine boule de neige" ; leur fragmentation ou leur explosion, à des distances considérables du soleil ; leurs émissions faisant penser à des séries de déflagrations, comparables des projections souterraines d'eau et de gaz sous l'effet de leur réchauffement, lesquelles se produisent encore trop loin du soleil pour être mieux étudiées ; les éjections de particules de plus grande taille, voire de graviers, une chose inimaginable si l'on reste empêtré dans les limites de la théorie classique (ce qui suppose une formation par accrétion de leur noyau issue des nuages primordiaux constitués de glace, de gaz et de poussières) ; une pénurie ou une absence totale d'eau et d'autres composés volatiles sur leur noyaux ; et enfin, la capacité étonnante de voir un noyau ridiculement minuscule, en comparaison de son immense coma sphérique mesurant plusieurs millions de kilomètres de diamètre, se maintenir en dépit du souffle des vents solaires.

Quand on lui demande de donner sa position à propos de l'embrasement de la comète Holmes, Wal Thornhille évoque dans un courriel privé : L'explosion des comètes à de grandes distances du soleil semblent être en corrélation avec un changement soudain dans l'environnement plasmatique qui se produit par le biais des vents solaires, sous l'effet d'une tempête. L'essentiel à retenir à propos de ce brusque déchaînement, c'est que nous avons affaire à une série discontinue de décharge plasmatique un basculement passant de la phase sombre du courant électrique à sa phase lumineuse normale. Un tel phénomène de surface est complexe, et est impossible à prévoir. Tout ce que nous pouvons en dire, c'est que les bourrasques provenant des vents solaires augmentent les chances de voir un embrasement cométaire. 

En fait, le soleil était déjà électriquement actif les jours précédant la soi-disante explosion de Holmes. Le chercheur Michael Mozina avait relevé un important pic d'activité de vents solaires, le 22 octobre à 19h45, soit deux jours avant son embrasement (voir le film ou le graphique s'y rapportant). Cette activité pourrait avoir changé l'état électrique de la comète, par ce que Thornhill décrit comme la phase lumineuse normale, permettant ainsi de rendre visible son coma plasmatique. Bien entendu, l'aspect théorique de la comète électrique nécessitera encore de quelques ajustements mineurs pour se faire valoir au rang des sciences astronomiques. Et qui plus est, elle sera en toute bonne foi capable d'ouvrir de nouvelles perspectives, donnant lieu à de profondes remises en question en matière de cosmologie. Parler de comète électrique, revient à parler de soleil électrique, à savoir que le soleil lui-même est alimenté par des courants électriques. Autrement dit, les grandes énigmes touchant au soleil notamment, en ce qui a trait à la mystérieuse accélération des vents solaires trouverait ici une réponse jusqu'à présent demeurée hors de portée des schémas classiques de la physique du soleil. De plus, un tel réexamen ne se cantonnerait pas au soleil, sachant que celui-ci n'est qu'une étoile parmi des milliards d'autres. Une reconsidération de la cométologie conduirait à mener une révolution majeure dans le domaine des sciences astronomiques, modifiant à tout jamais notre perception de l'espace interstellaire. Malheureusement, la NASA n'a pas misé sur l'occasion en or qui lui était offerte de mettre à l'épreuve la théorie de la comète électrique en 2005, afin d'en valider la véracité. Elle aurait pu le mettre en œuvre, dans le cadre de la mission Deep Impact, au moment où ses ingénieurs ont lancé un projectile de cuivre de 800 livres (ndt : il s'agit de l'impacteur, soit la partie de la sonde pesant environ 370 kg destinée à percuter la comète en son noyau) sur Tempel 1. L'étude portant sur la nature électrique des comètes n'a manifestement pas été une option envisagée par la NASA. Si cela avait été le cas, un test très simple aurait pu mettre en évidence que nous vivions dans un système solaire de nature électrique. Une sonde de Langmuir, ou un simple appareil servant à mesurer le courant électrique, connectée à un point de décharge coronale aurait démontré des discontinuités dans l'activité électrique plasmatique (phase sombre, lumineuse et arc électrique) entre le point de contact de la sonde et le plasma environnant, compte tenu que la sonde était proche du noyau. Grâce à ce nous a appris cette mission, nous avons de sérieuses raisons de croire qu'un tel test aurait été concluant en faveur du modèle de la comète électrique. D'ailleurs, Wal Thornhill avait prédit à l'avance la plus surprenante des découvertes réalisées par cette mission. En 2001, un peu après l'annonce du projet Deep Impact, Thornhill a écrit :

Si le projet se réalise, en tablant sur le fait que le modèle classique en cométologie est erroné, l'exercice consistant à imaginer ce que l'avenir réserve comme surprises aux astronomes, n'est pas dénué d'intérêt. Le modèle électrique suggère l'existence d'une probable décharge entre le noyau de la comète et l'impacteur de la sonde, surtout si la comète est dans sa phase d'embrasement. Et ce, même si la vélocité du projectile est trop rapide pour que se produise une décharge électrique lente. Ainsi, les effets cinétiques de cette collision devrait aller au-delà du simple impact mécanique, conformément à ce qui a pu être observé avec la comète Shoemaker-Levy 9 au moment de son écrasement sur Jupiter.

En collaboration avec l'équipe de Thunderbolts.info, 24h avant l'impact, Thornhill avait prédit qu'un flash électrique se produira avant la collision et l'explosion, une explosion qui devait libérer beaucoup plus d'énergie que la NASA ne l'avait prévue. Et c'est précisément ce qui s'est passé le 4 juillet 2005, au plus grand étonnement des astronomes de la NASA et du monde entier. Parmi les autres prédictions de Thornhill qui se sont réalisées avec succès, on compte :

Une absence de l'augmentation de la production d'eau dans le coma de la comète (signifiant par-là que l'eau en profondeur envisagée par les astronomes n'existe pas) ;

Une absence surprenante de glace ou d'eau sur le noyau cométaire dans les éclats proches du point d'impact (ndt : impacteur de la sonde Deep Impact) ;

Une surface aux contours nettement définis caractérisant des vallées, des mesas et des crêtes (en radicale opposition avec ce que l'on s'attendrait à voir d'une "vilaine boule de neige") ;

Un réarrangement des jets de propulsion de la comète par rapport à la répartition de sa charge.

Certains détracteurs de la théorie de l'univers électrique dans les forums de discussion sur Internet ont affirmé, à propos du succès de ses prédictions sur la mission de Deep Impact (ainsi que ceux obtenus sur d'autres missions ou phénomènes astronomiques), que son modèle pouvait être rejeté car elle ne répondait pas à un certain standard mathématique de mesures chiffrables. Autrement dit, le degré de prédiction d'une théorie ne confère aucune valeur à sa validité, tant que celle-ci n'est pas en mesure d'en fournir un fondement mathématique. Une telle affirmation n'a aucun sens pour tout homme de science qui se respecte. Le principal objectif de toute science doit être tout d'abord d'obtenir la mise en place d'un modèle d'idées capable de répondre de façon cohérente à l'observation. D'un côté, si ses concepts sont justes, les mathématiques constituent un outil efficace pour obtenir un niveau supérieur de précision dans la formulation souhaitée d'une projection. D'un autre côté, la précision que nous apporte les mathématiques ne servent à rien en l'absence d'une explication simple, percutante et salutaire pour l'esprit. On peut d'ailleurs relever que la cosmologie du plasma d'Alfvén est une excellente théorie, si on la considère au poids du succès de ses prédictions. En dépit de cela, "… il existe une opinion largement répandue s'opposant aux travaux de Alfvén et consistant à prétendre que ses prédictions ne reposent sur aucune théorie physique valide (c'est-à-dire conforme au paradigme dominant). Si une théorie ne cadre pas avec ce paradigme, l'exactitude de ses prédictions ne gagne rien en crédibilité. Ce qui implique que la justesse d'une prédiction en science, comme moyen d'évaluer la validité d'une théorie, ne serait plus l'élément prédominant" - Stephen G. Brush, Programme d'Alfvén en physique du système solaire , IEEE Transactions on Plasma sciences , vol. 20, n ° 6, Décembre 1992, p. 577. Dans l'univers électrique, l'essentiel du travail se passe en laboratoire en tant que préalable incontournable à tout cadre de référence, une démarche qui est en toute logique antérieure à son exploitation mathématique. La grande variété des phénomènes électriques et de leurs comportements, dont certains ne peuvent être mis au point autrement qu'en laboratoire, est d'autant plus importante que des occurrences de cette variété peuvent être observées sur des corps célestes évoluant dans l'espace. Sur les bases d'une telle stratégie, de nombreux exemples abondent. La formation des comètes et des astéroïdes en est un brillant exemple : la forme particulière et à la fois similaire de ces corps se présente souvent comme le double lobe d'une cacahuète. Les tenants de l'univers électrique ont depuis longtemps émis l'hypothèse que les comètes et les astéroïdes ont été tirés de la surface des planètes et des lunes, à une phase antérieure de leur évolution où régnaient alors une certaine instabilité et activité de décharges électriques. Des indices probants suggèrent que la création de ces corps résultent d'un état de fusion opéré par des arcs électriques à leurs surfaces. Le meilleur exemple que nous disposons est la planète Mars, puisque l'on sait maintenant qu'une certaine quantité de matière fut prélevée sur sa croûte (en-dessous de sa surface) à son hémisphère nord. Par ailleurs, les scientifiques pensent à l'heure actuelle qu'un astéroïde comme Phobos, une des lunes de Mars, a été formé à partir de matériaux violemment arrachés de sa surface sous l'effet d'événements cosmiques encore assez mal connus. Dans le documentaire Les cicatrices de la planète Mars laissées par la foudre (The Lightning Scarred Planet Mars), David Talbott présente un élément de preuve solide que Phobos résulte d'une fusion réalisée par des décharges électriques émanant de la surface de la planète Mars. Cette thèse sur la formation des comètes et des astéroïdes est soutenue par les travaux expérimentaux sur les plasmas menés par le physicien CJ Ransom aux laboratoires Vemasat. Ransom a soumis une tranche d'hématite à un arc électrique, qui généra un certain nombre de sphères fondues aux côtés des autres formations qui présentaient occasionnellement des configurations à double lobe. Ces dernières étaient étonnamment similaires aux formes très particulières que présentaient de nombreuses comètes et astéroïdes. En guise d'études comparatives, remarquez ci-dessous la forme artificiellement produite sur la gauche et sa ressemblance avec la comète de Hartley, à droite.

Ransom_HartleyBW_450x198.jpg

 

À gauche, un échantillon produit en laboratoire par CJ Ransom. À droite, la comète de Hartley.

Face à cette extraordinaire similitude, les exigences inflexibles des détracteurs de la théorie de l'univers électrique, privilégiant le formalisme mathématique au détriment de la pensée analogique, deviennent de plus en plus absurdes. Avec des énormes moyens mis à son service, à coup de milliards de dollars de financement, pervertie par tout un système d'éducation la liant à des programmes de cours obsolètes, et bénéficiant du support inconditionnel des medias d'obédience scientifique, l'astronomie académique a échoué à percer le mystère des comètes. À côté de cela, une poignée d'expérimentateurs aguerris à la physique des plasmas, travaillant avec des moyens dérisoires, ont réalisé des découvertes qui peuvent et devraient révolutionner la cométologie.

En raison des nombreuses controverses scientifiques allant du réchauffement climatique aux organismes génétiquement modifiés, en passant par la sécurité des centrales nucléaires  la confiance du public face aux instances bureaucratiques n'a cessé de s'amenuiser. Une impossibilité de la part de la NASA à mieux établir, honnêtement et minutieusement, une meilleure théorie des comètes pourrait avoir des conséquences imprévisibles à long terme, en ce qui a trait à sa crédibilité et son degré de confiance auprès du public. La rénovation de cette théorie passera immanquablement par la physique des plasmas et de l'ingénierie électrique, peu importe si les colonnes du temple de la théorie standard doivent s'écrouler.

À propos, j'en ai une bien bonne, à l'adresse des astronomes de haut rang, qui devraient méditer les paroles pleines de sagesse que prononça un jour sous forme de boutade le professeur Randy Pausch :"Si il y a un éléphant dans la salle, présentez-le moi !" .

Michael Goodspeed

Le 29 juin 2011

Texte original : http://www.thunderbolts.info/thunderblogs/goodspeed.htm

Traduction : Ezelson Fab


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16 réactions à cet article    


  • Pyrathome Pyrathome 18 août 2011 12:20

    Bonjour l’auteur, et merci de ce brillant exposé !!
    Arguments tout à fait pertinents en faveur de la fameuse théorie de l’univers électrique et du comportement des comètes dans le système solaire, mais faire bouger le dogme scientifique , c’est comme avoir essayé de faire bouger le dogme religieux inquisitorial avant la confirmation de l’héliocentrisme ......Effectivement, le comportement de la comète Holmes en 2007 aurait dû sauter aux yeux du dogme, mais que nenni.....on ne remet pas en cause l’intégrité des dogmatiques comme ça !!
    D’autre part, et là intervient quelque chose de passionnant si cette théorie électrique venait à se confirmer, celle-ci offrirait des champs d’applications en ce qui concerne le captage d’énergies !
    Car cela voudrait dire que nous « baignons » partout sur un potentiel incommensurable......à l’image des travaux du plus grand savant de tous les temps, Nicolas Tesla !! et on sait tous comment il a fini sa vie, dans la misère et dans l’oubli de part la volonté de certains qui n’ont jamais voulu entendre le fait d’obtenir pour tout un chacun de l’énergie propre, gratuite et à profusion.....et conserver ainsi les bénéfices cupides et mortifères de l’exploitation du pétrole ainsi maintenant que de l’atome !!...


    • bingofuel 18 août 2011 16:17

      Pour appuyer votre réponse Pyrathome, je vous suggère d’ajouter à vos lectures d’été l’oeuvre de Harold Aspden (Physics Unified - à libre disposition sur Internet) qui a démontré l’origine électrique de l’univers, de la masse et de la gravitation.

      Son modèle génial a valeur d’une révélation pour tout chercheur honnête, sauf qu’il va à l’encontre du terrorisme idéologique qui fait autorité sur la physique fondamentale.

      Aspden démontre comment et pourquoi la production d’énergie d’espace est possible, une alternative propre et gratuite aux hérésies industrialo-financières du nucléaire. Il a déposé plusieurs brevets de moteurs magnétiques (voir aussi le moteur de Howard Johnson d’une simplicité enfantine à comprendre) à rapprocher des multiples solutions de « solid-state » generators, dont notamment celui de Hans Coler (1925).

      Bref des solutions alternatives de production d’énergie inépuisable et non-polluantes et à porter de bras, sauf qu’elle n’interesse aucun industriel car on ne sait simplement pas comment protéger les inventions (brevets depuis longtemps dans le domaine public) ni comment facturer le consommateur.


    • Pyrathome Pyrathome 18 août 2011 17:16

      car on ne sait simplement pas comment protéger les inventions (brevets depuis longtemps dans le domaine public) ni comment facturer le consommateur.....

      On est dans un cercle vicieux......on comprend aisément pourquoi on tourne encore au pétrole et au nucléaire !!
      Merci pour le lien, c’est une théorie très séduisante mais il faut bien-sûr la confirmer afin de mettre en application tous les tenants et aboutissants !


    • CrabAtome CrabAtome 19 août 2011 09:49

      Et hop le grand retour du conspirationnisme !


      Le mouvement perpétuel, l’énergie à volonté. Certains mythes ont vraiment la vie dure. 

      Si ce moteur est si simple, fabriquez en un dans votre garage et annulez votre abonnement électrique. 

      J’aurai bien posé la question : mais d’om vient l’énergie, mais je sens qu’on va dire que je ne suis qu’un vieux con à vouloir respecter les théorèmes fondamentaux de la physique.

      Y’en a qui ne manque pas d’air. Des vrais témoins de Jéhovat du bricolage obscurantiste !

    • Ruut Ruut 24 août 2011 08:02

      Qu’est-ce qui alimente les soleils et les coeurs des planètes ?


    • FritzTheCat FritzTheCat 18 août 2011 13:24

      Dans le même genre de rejet de nouvelles thèses scientifiques par les caciques, voir le documentaire « Le secret des nuages » :
      Partie 1 :
      http://www.dailymotion.com/video/xcteyl_1-5-le-secret-des-nuages_news
      Partie 2 :
      http://www.dailymotion.com/video/xctetz_2-5-le-secret-des-nuages_news
      Partie 3 :
      http://www.dailymotion.com/video/xctepg_3-5-le-secret-des-nuages_news
      Partie 4 :
      http://www.dailymotion.com/video/xctele_4-5-le-secret-des-nuages_news
      Partie 5 :
      http://www.dailymotion.com/video/xctehq_5-5-le-secret-des-nuages_news

      où, comment Henrik Svensmark montrent les interactions entre rayonnement cosmique, nuage, soleil et climat… éclairant !!


      • dom y loulou dom y loulou 18 août 2011 15:15

        le double astre que l’on voit aux premières lueurs du jour n’est en tut cas pas une comète et avance à une vitesse prodigieuse


        il est passé de l’horizon au zénith pour la même heure d’observation, 5h du mat

        aucun astre ne va aussi vite dans le ciel

        du jamais vu

        et l’étoile polaire n’indique plus le nord

        impossible... on est en plein pole shift on dirait

        et malgré cela l’obolix restaure le climat et purifie les eaux dans l’atmosphère

        essayez bon sang



        • Pyrathome Pyrathome 18 août 2011 17:12
          il est passé de l’horizon au zénith pour la même heure d’observation, 5h du mat

          aucun astre ne va aussi vite dans le ciel

          du jamais vu

          et l’étoile polaire n’indique plus le nord

          Mais de quoi parlez-vous ?? des liens, des preuves ??...


        • le moine du côté obscur 18 août 2011 18:15

          En effet merci à l’auteur pour cet excellent article. Personnellement je ne comprends pas ces scientifiques qui reposent sur des dogmes ou qui refusent obstinément de se remettre en question. Je pense que la science est évolutive et si on est dans une impasse avec une théorie il faut envisager autre chose, c’est le bon sens même. La théorie de l’univers électrique est une théorie que mon frère passionné d’astronomie a découvert il y a quelques années et il m’en a parlé. Bien que je sois plus intéressé par l’astronautique, j’aime aussi lire des théories sur le comportement des comètes, du soleil, des planètes etc... Et plus j’en apprends sur cette théorie plus je la trouve intéressante et à même de nous permettre de répondre à un certain nombre de questions notamment sur ces mystérieuses comètes que de gré ou de force on veut faire passer pour des boules de neige sales. 
          Je me rappelle par exemple qu’à l’époque où sL9 a percuté Jupiter la violence des explosions avaient surpris les scientifiques et des gens sensés auraient du se poser les bonnes questions. Nous les passionnés de science aimons les gens qui réfléchissent et si c’est pour tomber dans une position dogmatique comme celle des religions à quoi ça sert ?
          Concernant la comète Elenin il est vrai que le fait que cette comète selon les projections officielles va frôler la terre est très excitant. Certains sont effrayés mais moi je suis plutôt excité. Après si l’on doit mourir, on peut mourir à tout moment donc.... J’attends donc avec une certaine impatience le passage de cette comète et les phénomènes que l’on va observer.


          • easy easy 18 août 2011 22:11

            «  »«  »Quelles que soient les peuplades du monde entier au cours des milliers d’années, l’apparition d’une comète sur la voûte céleste a suscité une profonde angoisse et hystérie collective«  »"

            Preuves ?


            • Mmarvinbear Mmarvinbear 19 août 2011 01:34

              Je croyais avoir touché le fond de la science avec le réopenisme, mais on dirait que quelqu’un s’est amusé à creuser...


              Bon j’ai pas le temps, je suis trop fatigué mais je reviendrai dans le coin démolir tout ça.

              La science est une discipline trop sérieuse pour la laisser aux formés en informatique...

              • Mmarvinbear Mmarvinbear 19 août 2011 13:37

                « Il est bien curieux de se demander pourquoi, la première apparition de ce feu follet parcourant les cieux, lequel n’est composé que de simples gaz, a pu provoquer toute une anxiété collective. » : Tout simplement à cause de la peur de l’inconnu. Pour les civilisations antiques, l’univers est censé être statique et le ciel immuable. Voir apparaître un tel astre (ou une supernova) est forcément un événement majeur qui peut induire la peur d’une fin du monde.


                «  Le comportement imprévisible des comètes contredit régulièrement le modèle actuellement en vigueur, au point que certains experts se demandent présentement si il en existe réellement un. » : Bon, pour les néophytes, sachez qu’une comète est un bloc de gaz, de roches et de poussières agglomérés. Aucun astrophysicien sérieux ne remet en cause cette composition, validée par des décennies d’observations spectroscopiques et par la récolte des premiers grains par la sonde Stardust.

                Quand au comportement imprévisible... Il existe en fait une part d’imprévisibilité quand à la trajectoire suivie par les comètes. Cela à cause de la composition. Le définition de « boule de neige sale » est réductrice, mais vrai dans l’ensemble. La comète dégaze ses éléments à chaque révolution autour du soleil. Elle se sublime, et les gaz forment la queue si visible et parfois si spectaculaire. La comète est soumise aux lois de Kepler sur les orbites mais de part sa nature « fragmentaire », elle peu perdre de grandes quantités de masses rocheuses lors de son voyage. Sa masse étant ainsi modifiée, son orbite l’est aussi...

                «  En moins de 24 heures, la comète est passée d’un corps céleste de magnitude aussi petite que 17 à une de 2,5, soit une magnitude suffisamment visible à l’œil nu (ndt : une magnitude proche de mars). La chevelure ou coma de la comète a poursuivi son expansion jusqu’à mi-novembre de la même année » : ici, il y a un amalgame... La comète Holmes a effectivement connu un soubresaut lumineux, qui a duré 42 heures en réalité, et non des mois... Les scientifiques penchent pour deux hypothèses : un impact avec un astéroïde (non répertorié) ou un gros dégazage qui a éjecté une grande partie de la masse rocheuse.

                Quand à l’ extension de la chevelure par la suite, elle est normale ! C’est la simple expansion des gaz qui suivent une explosion qui est à mettre en cause ! D’ailleurs la luminosité de l’astre a chuté en même temps que l’expansion des gaz.

                «  Le diamètre de son coma était passé de 28000 kilomètres à 7 millions de kilomètres. »  : Faux : la taille maximale mesurée est de 1 million « seulement ».

                « Pourquoi cette supposée explosion n’aurait-elle pas produit des morceaux de tailles variables, au lieu de cette très fine poussière qui a été effectivement constatée ? » : De la Terre, nous ne voyons que les parties les plus lumineuses des roches et des poussières, il est donc impossible de mesurer l’étendue de tous les fragments.

                «  Ces derniers abordent les comètes comme des objets électriquement chargés se déplaçant à l’intérieur du champ solaire. »  : ils ont dû trop regarder « capitaine Flam »...

                « leur relief particulièrement accidenté  en parfaite opposition avec ce que à quoi s’attendaient à voir les astronomes, en vertu du modèle morphologique de la »vilaine boule de neige«  : Tes sources sont loin d’être à jour ! On sait depuis 1986 et l’exploration de la comète de Halley par des sondes automatiques que els comètes sont aussi composées de roches en grande partie !

                 »comparables à celles que l’on trouve dans l’industrie par le procédé qualifié d’usinage par décharge électrique«  : cliquez sur le lien... c’est insupportable... Traduction automatique...Urgh...

                 »la capacité étonnante de voir un noyau ridiculement minuscule, en comparaison de son immense coma sphérique mesurant plusieurs millions de kilomètres de diamètre, se maintenir en dépit du souffle des vents solaires.«  : C’est dire si l’auteur n’y connait rien... Le noyau ne reste pas immuable ! Il se désagrège passage après passage, jusqu’au moment ou il se fragmente, détruisant la comète ! Le processus a une vitesse variable, en fonction de la taille du noyau et de sa périodicité ( une comète à période courte se dispersera plus rapidement qu’une autre à période plus longue, à taille de noyau comparable ).

                 »Parler de comète électrique, revient à parler de soleil électrique, à savoir que le soleil lui-même est alimenté par des courants électriques.«  : Aucun astronome sérieux n’y croit. Une étoile est, pour schématiser, une centrale nucléaire à fusion d’hydrogène.

                 »Et c’est précisément ce qui s’est passé le 4 juillet 2005, au plus grand étonnement des astronomes de la NASA et du monde entier.«  : Comment différencier une lueur d’arc électrique de celle résultant de la désintégration de la matière ?


                 »la forme particulière et à la fois similaire de ces corps se présente souvent comme le double lobe d’une cacahuète.« Faux. Il existe des formes multiples.

                 »Les tenants de l’univers électrique ont depuis longtemps émis l’hypothèse que les comètes et les astéroïdes ont été tirés de la surface des planètes et des lunes, à une phase antérieure de leur évolution où régnaient alors une certaine instabilité et activité de décharges électriques.«  : Un peu comme des »graines« éjectées de la »plante« ...

                C’est n’importe quoi. De par leur composition native (exemptes de modifications métamorphiques, c’est à dire de roches issues de fusions ultérieures), on SAIT que astéroïdes et comètes sont les résidus du Nuage Primordial, qui s’est depuis longtemps aggloméré en planètes et en lunes.

                 »Le meilleur exemple que nous disposons est la planète Mars, puisque l’on sait maintenant qu’une certaine quantité de matière fut prélevée sur sa croûte (en-dessous de sa surface) à son hémisphère nord.«  : Ou, comment ? Pas un mot, comme d’habitude...

                Un peu comme dans ces émissions censées »prouver« l’existence des fantômes... »oh, il y avait un truc, là ! la caméra l’a manqué d’une milliseconde !« ...

                 »Par ailleurs, les scientifiques pensent à l’heure actuelle qu’un astéroïde comme Phobos, une des lunes de Mars, a été formé à partir de matériaux violemment arrachés de sa surface sous l’effet d’événements cosmiques encore assez mal connus."  : Faux. Leurs compositions chimiques sont trop différentes. Phobos est un astéroïde, tout comme Deimos d’ailleurs, capturé par Mars.



                • le moine du côté obscur 21 août 2011 10:57

                  Je vous trouve bien affirmatif comme beaucoup de scientifiques ! Soyez un peu modeste et on vous prendra plus au sérieux car les scientifiques dans le fond ne sont que des théoriciens gagnés souvent par une espèce d’arrogance qui crée des catastrophes. Je ne dis pas par exemple que les partisans de la THEORIE de l’univers électrique ont raison sur tout (d’ailleurs ils font sans doute plein de bourdes comme tout théoricien), mais nous pensons qu’ils proposent une théorie intéressante et à mon humble avis avec parfois moins d’arrogance que les tenants du DOGME officiel. Que le soleil soit une centrale à fusion nucléaire pour moi c’est une théorie sans doute appuyée par d’autres théories et des faits interprétés à la lumière de théories et d’hypothèses donc... Continuons à nous poser des questions et ayons l’esprit ouvert, car nous sommes des cons d’humains imparfaits et la vérité est sans doute ailleurs.


                • Mmarvinbear Mmarvinbear 22 août 2011 22:49

                  Pfff... Encore un gogo adepte des théories « parallèles » pour qui la rumeur et l’information déformée et/ou incomplète fait foi, et pour qui toute personne travaillant dans un sérail quelconque est forcément vendue aux autorités en place...


                  Inutile de le nier. Une personne qui écrit « DOGME » en gros comme cela n’est PAS une personne ouverte d’esprit, car elle a déjà SA théorie préférée, SON mode de pensée et SES conclusions pré-remplies qu’elle oppose à tous ceux qui OSENT douter de sa petite BIBLE perso.

                  Les théoriciens de l’univers électrique me font penser aux truffistes du 11/9, avec leurs capacités innées à SELECTIONNER les rares données qui leur sont favorables, y compris avec l’aide de méthodes telles que le TRUQUAGE et le TRONQUAGE.

                  Soi-dit en passant, cela ne m’étonnerait pas que les deux aient des membres en commun...

                  La nature du Soleil, par exemple, n’est PAS une théorie, mais un FAIT démontré depuis des décennies. Il faut être AVEUGLE ou BORNÉ pour ne pas accepter les milliers de démonstrations qui PROUVENT la nature de centrale à fusion nucléaire de l’astre.

                  Bon moi je vais arroser les fleurs, c’est plus utile que d’essayer de déboucher la cervelle obtuse d’illuminés du ciboulot.

                • le moine du côté obscur 28 août 2011 14:43

                  Vous êtes ridicule cher ami et sûrement imbu de votre personne comme pas mal de scientifiques je connais, pas tous heureusement. C’est toujours du genre, j’ai raison tu ne connais rien à ce domaine donc fermes-là. Contrairement à ce que raconte votre blabla je suis très ouvert d’esprit et j’aime que l’humain reste humble et modeste et qu’il arrête d’affirmer. Qu’il suppose tout en restant prudent dans ses assertions. Je me fiche que vous soyez vendus aux pouvoirs en place c’est votre problème, je ne vous jugerai que sur ce que vous dites point final. Je me fiche de ce que vous faites pour vous distraire, ça ne me regarde pas. Je ne suis ni omniscient, ni omnipotent et je m’intéresse à toutes les théories que je trouve intéressantes et ce d’où qu’elles viennent. Si ça gêne certains et bien qu’ils aillent bien au chaud dans les « jupons de leur maman, la certitude ». Si certains fous pensent qu’ils savent tout et veulent s’ériger en juges c’est leur problème et je me marre quand ils chialent en comprenant qu’ils se sont trompés. Oui j’ai mis dogme parce que certains aveugles se croient savants, après on est surpris que nous ayons des catastrophes comme Tchernobyl pffff.... Théoriciens vous êtes et théoriciens vous resterez jusqu’à ce que la vérité majestueuse s’impose à vous.


                • Ludwig 25 août 2014 16:22

                  J’arrive après la bataille mais je réponds quand même pour d’éventuels lecteurs ultérieurs, en particulier des jeunes.
                  Le ton de ce message est particulièrement pervers et peut induire des interprétations très néfastes chez les gens de bonne foi : « Je suis très ouvert d’esprit », « J’aime que l’humain reste humble », « Je m’intéresse à toutes les théories », invitent à la bienveillance du lecteur. C’est pour mieux introduire l’agressivité des « qu’ils aillent au chaud dans les jupons de... la certitude », « certains fous pensent qu’ils savent tout », « je me marre quand ils chialent en comprenant qu’ils se sont trompés »... Pour finir par l’amalgame entre l’astrophysique et... Tchernobyl. Cela ne s’invente pas.
                  Aux lecteurs potentiels, rappelons que, oui, le savoir est possible, certains modèles fonctionnent parfaitement et n’ont pas besoin qu’on les remette en question ; oui le Soleil comme centrale à fusion fait partie de ces modèles ; oui, la certitude est de mise pour ces modèles, cette certitude n’étant jamais absolue (contrairement à celle des théories « alternatives ») ; Non, les scientifiques ne chialent pas quand ils se sont trompés, ils se frottent les mains à l’idée d’un nouveau champ de recherche ; non la science n’est jamais un dogme, contrairement à certaines théories alternatives qui ne supportent aucune contradiction ; non, toutes les théories ne sont pas intéressantes d’où qu’elles viennent, celles que je pourrais produire par exemple, ne présentent aucun intérêt.
                  Un scientifique possède deux caractéristiques principales : il sait qu’il ignore, mais il sait aussi qu’il sait. Cela irrite parfois ceux qui savent moins, ou plutôt cela n’irrite parmi eux que les imbéciles. Les autres apprennent, tout simplement.

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