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Accueil du site > Actualités > Technologies > Remous autour de la fusion froide !

Remous autour de la fusion froide !

Toute la communauté des ingénieurs et physiciens qui travaillent dans le domaine de la physique nucléaire considère que le phénomène appelé « fusion froide » est un mythe ou une pseudo-science.

Toute ? Non. Il existe une petite fraction d'irréductibles chercheurs qui poursuivent, souvent sur leurs propres deniers et malgré l'opprobre de leurs pairs et de leurs supérieurs, des recherches sur ce sujet controversé. Dans cet article nous nous attacherons à proposer les éléments de réponse de ces chercheurs aux critiques avancées par les sceptiques.

Affirmation n°1 : Dans les expériences dites de fusion froide on observerait un dégagement anormal de chaleur. En d'autres mots l'expérience produit plus d'énergie thermique qu'elle ne consommerait d'énergie électrique. Cela est impossible car l'énergie se conserve : au mieux vous ne pouvez obtenir qu'une énergie thermique égale à l'énergie électrique consommée. On ne peut pas produire de l'énergie à partir de rien !

Réponse : Il n'y a pas de création d'énergie à partir de rien. Pour expliquer ce processus on se sert d'un concept facile à visualiser : l'énergie potentielle. Voici une image : peut-on raser Chamonix avec un seul bâton de dynamite ? La réponse est oui. Chamonix est situé au pied du Mont-Blanc. Celui-ci est recouvert de neiges éternelles situées en haute altitude. Toute cette masse neigeuse a un potentiel de destruction très grand. Il suffit donc de faire exploser le bâton au bon endroit et de canaliser les avalanches ainsi produites sur les habitations pour raser la ville. L'énergie potentielle de la neige se sera transformée en énergie cinétique (énergie de mouvement) : l'énergie est conservée.

Dans le cas de la fusion froide l'énergie potentielle est d'origine nucléaire. Cet argument ne tient donc pas. De plus les réacteurs à fission de nos centrales nucléaires se servent de cette même énergie potentielle nucléaire. Apporter un peu d'énergie pour en récolter beaucoup n'est donc pas nouveau.

Affirmation n°2 : Les excédents de chaleur mesurés lors de ces expériences sont interprétés comme étant la conséquence de réactions nucléaires de fusion. Or la fusion nucléaire ne peut s'opérer que dans les étoiles (ou lors de l'explosion d'une bombe thermonucléaire) où il règne une température se chiffrant en centaines de millions de degrés. Au contraire les expériences de fusion froide sont effectuées à température ambiante. La condition essentielle de survenue d'une fusion nucléaire n'est donc pas satisfaite. Ces excédents de chaleur ne peuvent donc pas résulter d'une fusion.

Réponse : La température d'un corps dépend du degré d'agitation de ses constituants. Ainsi, en été les molécules qui composent l'air se déplacent plus vite qu'en hiver. Pourquoi est-il nécessaire de porter la matière à des millions de degrés pour provoquer cette fusion ? Pour une raison en vérité très simple : les noyaux atomiques se repoussent mutuellement et ce d'autant plus intensément qu'ils sont proches. Cependant, en les rapprochant suffisamment cette répulsion est dominée par une autre force à très courte portée appelée interaction forte . C'est un peu comme deux aimants que l'on essaierait de rapprocher et qui seraient recouverts de Velcros : tant que les aimants ne sont pas très proches les Velcros ne peuvent pas s'opposer à la répulsion des deux aimants. La difficulté est donc de rapprocher les noyaux jusqu'à ce que l'interaction forte prenne le relais et assure la fusion. La voie envisagée jusqu'à présent consiste à chauffer beaucoup (à des centaines de millions de degrés) ce qui revient à animer les noyaux d'une très grande vitesse. L'idée est connue de longue date et fait l'objet de projets très coûteux (Réacteur ITER).

Mais pourrait-on rapprocher les noyaux sans que ceux-ci soient portés à des températures aussi fantastiques ? Et bien la réponse pourrait être oui. Comment ? En fait l'astuce consisterait à prendre un chemin détourné. Pour pouvoir rapprocher les noyaux sans qu'ils ne se repoussent il faudrait pouvoir annuler la charge électrique de l'un d'entre eux. Pour réussir ce prodige il faut que le noyau neutralisé, en l'occurrence un noyau d'hydrogène, « avale » un électron. Ce processus s'appelle capture électronique des électrons de la couche K. Ce phénomène prédit par Hideki Yukawa, père fondateur de la théorie mésonique des forces nucléaires, et observé dès 1937 nous permet d'expliquer aujourd'hui la formation des naines blanches (étoiles de la masse du Soleil mais de la taille de la Terre). La capture électronique est un phénomène endothermique : il faut fournir de l'énergie pour qu'il y ait capture. D'où proviendrait donc cette énergie ? Dans le cas de la formation d'une naine blanche c'est l'énergie gravitationnelle de l'étoile qui, en s'effondrant sur elle même sous l'action de son propre poids, va fournir l'énergie suffisante pour contrecarrer la pression de dégénérescence quantique des électrons et ainsi autoriser la capture électronique qui transforme les noyaux d'hydrogène en neutrons (de charge électrique nulle).

Mais quel serait l'équivalent dans les expériences de fusion froide ?

Les modèles existants proposent, en gros, l'interprétation suivante :

1/ Lorsque l'hydrogène est absorbé il se retrouve emprisonné dans les mailles du réseau cristallin métallique.

2/ La poudre métallique imprégnée d'hydrogène est soumise à un « bain » d'ondes électromagnétiques dont les fréquences correspondent aux fréquences de résonance de ces grains métalliques (naissance et entretien de phonons qui font vibrer le cristal avec une amplitude très importante).

3/ Les atomes d'hydrogène emprisonnés voient périodiquement la taille de leur prison diminuer énormément : la densité d'énergie par unité de volume (autrement dit la pression) augmente en flèche.

4/ La pression au sein de la maille peut, localement, dépasser la pression de dégénérescence quantique des électrons et l'électron est absorbé par le noyau suivant la relation :

proton + électron → neutron + neutrino

5/ Le neutron (lent) ainsi créé va pouvoir aller, sans être repoussé, à la rencontre d'un autre noyau d'hydrogène et se faire capturer par celui-ci. L'hydrogène léger devient ainsi, par capture neutronique, un noyau de deutérium.

6/ L'opération se répète et, au fur et à mesure, on passe du deutérium (1 proton + 1neutron) à du tritium (1 proton + 2 neutrons) et enfin à du quatrium (1 proton + 3 neutrons). Chaque étape demande de l'énergie pour pouvoir être franchie.

7/ Le quatrium très instable va se désintégrer spontanément pour donner de l'hélium 4 en libérant beaucoup d'énergie. Le bilan global serait exo-énergétique.

8/ L'énergie est dissipée essentiellement sous forme de chaleur (en partie par effet Mössbauer ce qui correspond, très approximativement, à une multitude de diffusions Compton)

Remarque pour les lecteurs (très) avertis : Le modèle de la fusion quantique de Robert Godes (Président fondateur de la société américaine Brillouin Energy) - sur lequel est essentiellement basé cet article- fait partie des modèles les plus étayés circulant aujourd'hui sur internet. Il satisfait à la conservation de l'énergie et de l'impulsion et ne nécessite donc aucune nouvelle physique. Celui-ci s'appuie sur l'idée suivante : on considère qu'un seul atome d'hydrogène adsorbé au sein d'une maille du réseau métallique à symétrie tétraédrique (ou icosaédrique) constitue l'unité de base. L'atome d'hydrogène est donc dans un puits de potentiel dont les dimensions sont fixées par la taille de la structure cristalline du métal. L'évolution de ce système « moléculaire » est gérée par l'équation de Schrödinger dépendante du temps. L'hamiltonien présent dans cette équation comporte, outre les termes traditionnels coulombiens d'attraction et de répulsion, deux autres termes aux comportements très non linéaires lorsque le système est hors équilibre (ce qui est précisément le cas lorsque la structure cristalline du métal est parcourue par des phonons).Ces deux termes sont :

« L'énergie non liante » (ce sont les termes correspondant aux interactions de Van der Waals)

« L'énergie de confinement »qui tient compte des contraintes mécaniques imposées au système par

1/ l'adsorption de quantités importantes d'hydrogène au sein du réseau cristallin.

2/ le fait que des phonons traversent périodiquement le système.

Affirmation n°3 : Lors d'une réaction nucléaire de fusion impliquant de l'hydrogène il y a production de neutrons énergétiques, de rayonnement gamma et d'hélium. Or ceci n'est pas observé dans les réactions dites de fusion froide.

Réponse : Comme la réponse à l'affirmation n°2 le suggère le processus de fusion « chaude » traditionnel à 150 millions de degrés (ITER) deutérium + deutérium ne serait pas similaire à ce processus en plusieurs étapes de captures électroniques successives. Ceci dit il existe un parallèle puisqu'en définitive les produits de réaction (à savoir des neutrons et de l'hélium) sont les mêmes. Des neutrons énergétiques ont bien été détectés lors d'une réaction d'électrolyse de chlorure de palladium dans une solution d'eau lourde. Les neutrons ont été détectés à l'aide de tubes remplis d'un polymère (le CR-39) . Ces résultats ont été présentés par Pamela A. Mosier-Boss & Stanislaw Szpak (SPAWAR-Space and Naval Warfare Systems Center) en 2009 lors du 273ème congrès de la société américaine de chimie. Un article en français reprenant l'événement est disponible ici.

Un flux intermittent de rayonnement gamma significativement supérieur au rayonnement naturel (mais en dessous du seuil de dangerosité) a également été mesuré par le Pr Celani (professeur émérite de l'Institute Nazionale de Fisica Nucleare) lors d'un examen du réacteur E-cat de l'inventeur Andrea Rossi censé fonctionner en opérant des transmutations à froid qui transformerait le nickel en cuivre.

Quant à l'hélium 4, il semble bien avoir également été mis en évidence dans des quantités correspondantes aux excès de chaleur mesurés par, entre autres, le Pr Hagelstein du M.I.T (Massachusetts Institute of Technology).

Affirmation n°4 : Les excès de chaleur anormaux n'ont pas pu être reproduits par des laboratoires indépendants. L'effet rapporté peut s'expliquer facilement en considérant que les méthodes utilisées pour le mesurer sont très imprécises. Il n'y aurait donc aucun effet réel mais simplement des erreurs expérimentales.

Réponse : Cet argument est sans conteste celui qui est le plus communément avancé par les critiques. Non sans raisons car en effet, jusqu'à très récemment, le taux de reproductibilité était, pour les expériences les plus probantes, de l'ordre de 70%. De plus, l'effet était, encore jusqu'à très récemment, très discret. Mais aujourd'hui la liste des personnes et organisations crédibles ayant réalisé leur propres expériences et affirmant que ces réactions sont réelles et produisent un excès d'énergie ne fait que s’accroître. Nous pouvons citer, entres autres, les sources suivantes (la liste n'est pas exhaustive) :

Le Dr Joseph M.Zawodny (NASA)

http://www.youtube.com/watch?v=-xEtIDXrHGo

(Pensez à activer les sous-titres en français)

Le Pr Peter Hagelstein (M.I.T)

http://www.youtube.com/watch?v=ddGq-I_a1e0&feature=relmfu

Le Pr Robert Duncan (Université du Missouri)

http://www.youtube.com/watch?v=cgRiTphJRkg&feature=player_embedded

La Dr Pamela Mosier-Moss (US Navy San Diego)

http://www.youtube.com/watch?v=HbA6ZH8AiN4

Conclusion :

Les choses bougent beaucoup autour de la « fusion froide » ces temps-ci. Des acteurs industriels de premier plan comme Siemens, National Instruments, Mitsubishi, Toyota disent s'intéresser et travailler activement sur le sujet. Plusieurs sociétés (Leonardo Corporation, Defkalion Green Technologies et Brillouin Energy) s'apprêteraient à sortir un réacteur commercialisable pour les prochains mois. Alors ? Révolution imminente ou pétard mouillé ? Quoi qu'il en soit il est désolant (mais hélas compréhensible) de voir que le sujet reste l'objet d'un black-out total de la part des médias français.


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74 réactions à cet article    


  • Bilou32 Bibi32 3 août 2012 09:47

    Les réacteurs auraient déjà du sortir depuis les mois, certains étaient même en cours de montage... Tout çà sent vraiment l’arnaque à plein nez.
    Au mieux, l’énergie produite semble dérisoire...
    Si quelqu’un arrive à m’expliquer et à prouver que la fusion froide existe, je m’inclinerai, pour le moment il n’y a que de la spéculation...


    • robin 3 août 2012 09:57

      avec les TOKAMAKS ordinaires ça fait plus de 40 ans qu’on attend aussi la fusion je vous ferais remarquer ....comme quoi .....lol !


    • Bilou32 Bibi32 4 août 2012 00:29

      @Robin, le contrôle de la fusion n’a rien a voir avec la fusion froide.

      @Démosthène, ben justement, je ne vois que de l’enfumage dans ces « expériences »....Et alors, ils donnent quoi ces essais vieux de plusieurs mois ? Et le « mystérieux » acheteur .. ? On entretien un flou artistique il me semble...

      Mais si je pouvais me tromper, ce serait peut-être une solution intéressante. Pour le moment je pense qu’il vaut mieux compter sur des petites unités hydrauliques, éoliennes, solaires, ou même utilisant la biomasse si l’on cherche une certaine autonomie. On est certain du résultat au moins.


    • Leo Le Sage 4 août 2012 01:09

      @Par Bibi32 (xxx.xxx.xxx.210) 4 août 00:29

      Vous dites : « le contrôle de la fusion n’a rien a voir avec la fusion froide »

      Si çà à avoir...

      Vous dites : « ben justement, je ne vois que de l’enfumage dans ces »expériences« ... »

      Honnêtement ? On n’en sait rien même si le lien qu’a donné Démosthène est suffisamment parlant, à supposer que ce ne soit pas un montage...

      Vous dites : "Mais si je pouvais me tromper, ce serait peut-être une solution intéressante. Pour le moment je pense qu’il vaut mieux compter sur des petites unités hydrauliques, éoliennes, solaires, ou même utilisant la biomasse si l’on cherche une certaine autonomie. On est certain du résultat au moins"
      Ce n’est pas un problème de résultat, c’est un problème de developpement sur le long terme.
      Il faut choisir une politique et stratégie industrielle que la France n’a pas notamment sur le plan énergétique.
      L’éolien (comme le photovoltaïque) par exemple a un problème de stabilité lorsqu’il s’agit de fournir de l’énergie [aléas climatique].
      L’hydraulique dépend de l’eau et de la pluie... S’il pleut moins il y aura moins de débit [gestion du débit]...
      La biomasse ? Pas trop top...
      Seul le nucléaire arrive à concilier tous les problèmes malgré sa dangerosité [Je suis plutôt contre le nucléaire].
      Les chinois, des pragmatiques lorsqu’il s’agit de gestion sur le long terme, ont opté pour le nucléaire.
      On se demande pourquoi ...

       
      Cordialement

      Leo Le Sage
      (Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)


    • Alain94360 4 août 2012 14:07

      "Si quelqu’un arrive à m’expliquer et à prouver que la fusion froide existe, je m’inclinerai, pour le moment il n’y a que de la spéculation..."
      c’est fait de puis longtemsp
      Le NQASA GRC l’a fait en 89, répliqué 2005, a des niveau de puissance sans discussion possible.
      US Navy Spawat a fait avec la co-déposition un protocole electrolithyqie qui assure une reprodyctibilité et une réplicabilité. fin de l’histoire. (si on vivait dans un monde rational)
      le rejet du rapport 41 de l’ENEA montre le niveau de folie ambiante

      petit dossier, mais la version anglaise est plus riche
      http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=11&t=140




    • L'enfoiré L’enfoiré 5 août 2012 18:57

      sorry un manquant à l’appel (3)


    • Leo Le Sage 3 août 2012 16:35

      @Par Démosthène (xxx.xxx.xxx.163) 3 août 09:47

      E-cat :
      J’ai effectivement vu un doc sur le sujet : intéressant.

       
      Cordialement

      Leo Le Sage
      (Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)


    • robin 3 août 2012 10:01

      L’affirmation qu’on ne peut pas faire de la fusion par des moyens ordinaires d’un petit labo (d’où son nom de « froide ») vient du raisonnement qu’il est très difficile de rapprocher deux noyaux positifs, sauf que ce raisonnement part du présupposé que l’environnement est nu et ne joue aucun rôle, ce qui est loin d’être le cas dans la plupart des matériaux à commencer par les réseaux cristallins qui peuvent très bien se comporter même brièvement comme de mini accélérateurs de particules pourvu qu’on ordonne leur fonctionnement par exemple dans certains champs électromagnétiques.


      • Roland Franz Roland Franz Jehl 3 août 2012 10:05

        Les médias français vous traiteront de « soucoupiste », voire de complotiste, comme ils le font à l’encontre de Jean Pierre Petit. A ma connaissance aucun d’entre eux n’a relayé ses excellentes analyses sur Iter.
        L’actualité scientifique n’est que très peu couverte par les médias traditionnels et les revues « spécialisées » comme Science et Vie ou Science et Avenir sont confondantes de conformisme.


        • SamAgora95 SamAgora95 3 août 2012 18:20

          C’est simple, je me suis désabonné de Science&Vie après la parution du numéro traitant des attentats du 11 septembre 2001.


          Science de l’inquisition ! c’est une honte !

        • Olivier 3 août 2012 10:10

          Ce qui est certain, c’est que si ça se révèle une source de production d’énergie réelle jamais le système politico-financier ne laissera jamais cette technologie s’implanter.

          Imaginez un peu : si chacun, comme le prétend Rossi, possède chez lui un réacteur produisant gratuitement ou presque les quelques kilowatts dont il a besoin, les colossaux intérêts pétroliers et gaziers se trouveraient réduits à la ruine en peu de temps !
          Cela serait aussitôt bloqué -comme tant d’autres découvertes.
          Il suffit de voir le gaz de Schiste dont on pourrait bénéficier en France, et dont l’exploration a aussitôt été interdite.
          Nos politichiens ne vont quand même pas désespérer leur ami l’émir du Qatar...

          Sur le réacteur basse énergie de Rossi : http://www.e-catworld.com/


          • Hermes Hermes 3 août 2012 10:56

            Bonjour Olivier, c’est l’argument qui tue effectivement. Iter Brassant des millions intéresse les financiers et les politiciens : il y a toujours moyen d’en retirer profit en attendant que ça marche.

            En admettant que la fusion froide soit possible, ce serait une catastrophe pour la fnance et les rois du pétrole.

            Par contre pour le gaz de schiste, il ne vaudrait mieux pas le défendre : c’est réellement dangereux pour l’environnement et de nobreuses zone seraient sinistrées. Son exploitation ne s’inscrirait pas d etoute façon dans une logique de libération des individus de l’emprise des multinationales du pétrole, bien au contraire.

             Il existe d’autres technologies comme la pile à combustible bloombox pour ne citer qu’elle qui bien que parfaitement opérationnelle ne pénètre absolument pas le marché Européen. Et là vos arguments me semblent être complètement applicables.

            Cdt.


          • Alain94360 3 août 2012 16:29

            Sur les gaz de schistes, il y a un taux de débilité concensuelle qui me fait peur.

            le risque est commun at= tout les firage, classique, schistes, ou géothermiques.
            ca se produit pas en lien avec la fracturation mais avec le tubage du forage en haut.

            de toute façon la fracturation c’est fin
            http://nextbigfuture.com/2012/07/energy-news-waterless-lpg-natural-gas.html


          • amipb amipb 3 août 2012 19:10

            @Alain : votre lien parle pourtant bien de fracturation, mais sans eau (et tous ses adjuvants).


          • Richard Richard 3 août 2012 12:00

            Merci pour ce très bon article résumant bien le sujet



              • Traroth Traroth 3 août 2012 13:17

                Moi, je veux bien envisager tout ce qu’on veut. Je ne suis pas physicien, et je laisse des gens plus calés que moi trancher définitivement la réalité du phénomène

                Mais l’idée qu’on puisse rapprocher des noyaux atomiques au point que l’interaction forte s’applique sans avoir recourt à des réactions à haute énergie fortement exothermiques me parait assez fumeuse, vues les forces entrant en jeu. Par exemple, le principe de capture électronique dont vous parlez dans l’article nécessite des niveaux d’énergie énorme.

                Mais là où votre article devient franchement douteux, c’est à la fin :

                "Plusieurs sociétés (Leonardo Corporation, Defkalion Green Technologies et Brillouin Energy) s’apprêteraient à sortir un réacteur commercialisable pour les prochains mois" : Alors comme ça, alors que la réalité du phénomène physique reste encore largement à démontrer, certains investiraient déjà les milliards nécessaires pour en faire un produit commercialisable ? Cette affirmation me parait totalement ridicule, je dois bien le dire. Ca fait vraiment penser aux absurdités, genre moteur à eau, où on nous explique qu’un type a découvert dans sa cuisine des phénomènes physiques totalement nouveaux remettant en cause les fondements de la physique telle qu’on la connait et donc ce qu’on sait de l’Univers, et que la seule chose que ça lui inspire, c’est un moteur à eau.

                Ce n’est pas le seul symptôme allant dans cette direction dans cet article, je dois dire. Un autre truc qu’on remarque systématiquement dans les articles portant sur ce type de sujet, c’est l’absence de... science. On cherche une explication des principes physiques qui permettraient la fusion froide, et on ne les trouve pas.


                • robin 3 août 2012 13:23

                  Avec ce genre de raisonnement, si il n’y avait que des gens comme vous on serait encore à faire du feu avec des silex.....et encore....lol !


                • Traroth Traroth 3 août 2012 14:31

                  Non, c’est totalement faux. Vouloir qu’on m’explique les principes scientifiques sur lesquelles reposeraient cette invention ne me parait pas délirant. Ce que dit l’article concernant l’utilisation d’ondes électromagnétiques me en effet pour le moins insuffisant. L’auteur explique longuement un principe élémentaire, l’énergie potentielle, en voici un autre : le principe d’action-réaction. Si j’appuie sur un mur, il ne cède pas, rien ne bouge. Ce qui veut dire qu’il exerce une force sur moi exactement égale à la force que j’exerce sur lui, ce qui permet cet équilibre. Si l’une des forces était supérieure à l’autre, il y aurait un mouvement.
                  De la même manière, l’électromagnétisme fait en sorte que le noyau atomique exerce une force sur son environnement. En l’occurrence, il s’agit d’une force extrêmement forte. Pour injecter une particule dans le noyau, il faut donc vaincre cette force extrêmement forte, selon le principe précédemment énoncé d’action-réaction. Et l’article n’explique comment cette force est vaincue.

                  De plus, citez-moi un seul exemple où un scientifique a vu ses théories scientifiques, vraies au final, réprimées par une espèce de cabale de la communauté scientifique. Parce qu’au final, c’est toujours à ça qu’on en revient !


                • perlseb 3 août 2012 14:59

                  @ Traroth

                  Même si je reste sceptique, l’article répond à votre question : résonance.

                  Avec la résonance, de simples piétons marchant au pas peuvent détruire un pont. Or qui oserait comparer l’énergie transmise par un pas au pont avec l’énergie nécessaire à sa destruction ?


                • stanh 3 août 2012 15:04

                  De simples piétons
                  Ceci n’est pas un énoncé scientifique.

                  de simples piétons qui marchent au pas j’appelle ça plusieurs dizaines de tonnes qui oscillent en rythme. Nous sommes une masse, de l’énergie, comme n’importe quel autre système mécanique.
                  Donc, pas « de simples piétons ».

                  Enfin, cette masse oscillante est alimentée par des millions de calories que la nourriture qui a été absorbée contenait.
                  L’énergie ne vient JAMAIS de nulle part


                • Traroth Traroth 3 août 2012 16:46

                  @stanh : très juste ! 50 soldats marchant au pas, en comptant 80 kg par personne, ça représente quand même la bagatelle de 4 tonnes en mouvement...


                • Alain94360 3 août 2012 18:23

                  National instruments semble avoir une stratégie de notoriété a soutenir le futur gagnant
                  http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=311
                  et avant a bruxelss et rome (dans le parlement)
                  http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=311

                  ils l’ont fait visiblement après les contacts pris avec rossi, et malgré le fait qu’il ait chosis d’autres fournisseurs.

                  Siemens qui a été cité et maintes fois soutenu par Rossi, a un comportement étrange sur Ansaldo energia, qui bosse sur divers types de réacteurs innovants dont les LENR
                  http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=302

                  Aldo Proois qui défend l’E-cat bossait dans le solaires a Energaya, et dit clairement avoir changé de cheval.
                  http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=299


                • robin 3 août 2012 21:37

                  Traroth vous dites :

                  De plus, citez-moi un seul exemple où un scientifique a vu ses théories scientifiques, vraies au final, réprimées par une espèce de cabale de la communauté scientifique. Parce qu’au final, c’est toujours à ça qu’on en revient !

                  Facile, au hasard  ! Benveniste avec la mémoire de l’eau qui finalement a été validé par Montagné prix Nobel, ou encore Darwin qui a longuement été attaqué, Einstein aussi n’a eu la vie facile etc. etc.

                   

                   

                   


                • robin 3 août 2012 21:42

                  Un simple contre exemple : Dans la supra conductivité les paires de Cooper associent de façon très proches des paires d’électrons qui ordinairement pourtant se repoussent comme quoi le milieu et surtout un milieu cristallin au comportement ordonné (phonons ordonnés dans le cas de la supraconductivité) est fondamental et la nature est beaucoup imprévue que vous imaginez, regardez par exemple la stabilité de la foudre en boule (un plasma à plus de 50 000 degrés) qui d’après la physique connue ne devrait pas tenir plus d’un centième de seconde.


                • Leo Le Sage 3 août 2012 22:30

                  @Par robin (xxx.xxx.xxx.21) 3 août 21:37
                  Vous dites : « Benveniste avec la mémoire de l’eau qui finalement a été validé par Montagné prix Nobel »
                  Montagné ? Luc Montagnier  ?

                  Vous dites : « la nature est beaucoup [plus] imprévue [qu’on ne l’imagine] »
                  Tout à fait

                   
                  Cordialement

                  Leo Le Sage
                  (Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)


                • perlseb 3 août 2012 22:55

                  @ stahn

                  De simples piétons
                  Ceci n’est pas un énoncé scientifique.

                  Je ne suis pas là pour écrire un bouquin de physique. En attendant, ni vous ni Traroth ne soupçonnent le pouvoir de la résonance. Par exemple, une balançoire utilise ce phénomène. En poussant par petite tape quelqu’un en fréquence avec le mouvement, une somme d’énergies faibles peuvent se retrouver concentrer quelque part : en l’occurence dans l’énergie cinétique (balançoire en bas) ou potentielle (balançoire en haut). Et prenez la balançoire en pleine tête à son point bas, vous verrez que cela ne correspond pas du tout à une des petites tapes que vous aurez pu lui donner pour la faire osciller.

                  Donc la résonance permet de concentrer un ensemble de mouvements de faibles énergies, et c’est ça qui rend le mouvement final sans rapport avec chaque mouvement individuel. Donc des niveaux d’énergie énorme peuvent être aquis par résonance (de nombreux évènements de faibles énergies). Maintenant, est-ce que ça se passe vraiment lors d’hypothétiques fusions froides, c’est la question.


                • Alain94360 4 août 2012 01:36

                  Sur le rejet un Scientifique bossant au CERN, Celani, avait trouvé des cas étrange de supraconductivité à haute température, a cause de contaminations mal comprises sur des capteurs à basse température...
                  il a fait un papier avec ses résultats.
                  Ca a été rejeté parce que incompatible avec BCS.
                  d’autres ensuite ont pu reproduire le phénomène et ca a fini par être accepté, sans théories.
                  Mais contrairement à la Fusion froide il n’y a pas eu d’insultes et de ridiculisation publiques, qui aurait engagé les grand scientifiques a interdire toute contradiction.

                  ah oui, Celani a présenté des résultats de fusion froide au CERN
                  http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=117
                  son CV pour ICCF17
                  http://www.iccf17.org/popup/bio_5.htm

                  en voyant son CV on compredn que c’est fou, mauvais expérimentateur, non reconnu par ses pairs... (ironie pour ceux qui ne sauraient pas analyser son CV).

                  analysez bien ses transparents de conférenecs (avec lui en conférencier c’est encore mieux).
                  noter aussi coté théorion son collègue Srivastava qui présnet la théorie Widom-Larsen,
                  concurent de celle de Brillouin.


                • sasapame sasapame 4 août 2012 09:16

                  @ Traroth, Stanh,

                  je suis bien d’accord avec Perlseb pour y insister : la résonance peut contenir un potentiel gigantesque.

                  Oui, c’est l’énergie cinétique des pas de la troupe qui aura apporté l’énergie de déformation nécessaire pour casser le pont. Il n’y a aucun doute à avoir là-dessus. Mais le drame en question s’est produit précisément parce que l’énergie de déformation s’est concentrée sur une zone très réduite de la structure, raison pour laquelle elle a pu être localement si élevée qu’on y a dépassé les niveaux de contraintes tolérables. Or cette concentration ne dépend pas du nombre de soldats (leur masse reste dérisoire au regard de celle du pont), elle dépend purement de la fréquence.

                  Sauf à tomber sur un mode, la troupe ne risquait pas de faire monter la contrainte locale à un niveau un tant soit peu comparable aux limites du matériau. Certes, la contrainte locale (la réponse) sera proportionnelle au nombre de soldats (l’amplitude de l’excitation en effort imposé), mais l’effet de concentration lié à la résonance est bien plus décisif ici. C’est, en un mot, ce qui fournit un potentiel gigantesque, tandis que le nombre de soldats n’est qu’un vulgaire facteur multiplicateur.

                  Il faut bien insister, ici, sur la distinction local-global. Car la résonance est toujours un phénomène global, tandis que la déformation critique est localisée. Par ailleurs, si on considère le pont dans son ensemble, on pourrait croire à une contradiction car un mode vibratoire est justement une configuration qui minimise l’énergie de déformation (donc qui maximise l’énergie cinétique). Oui, mais au total, pas au plan local.

                  Moi qui ne suis ni physicien ni chimiste, voilà ce que je comprends de l’idée de vouloir mettre en résonance un cristal renfermant certains atomes visés : c’est bien une affaire de concentration des effets : il s’agirait d’obtenir localement — en un ou quelques points — une pression gigantesque. Et à partir du moment ou ce « localement » signifie un volume infime, je ne vois pas de raison de douter a priori que l’apport d’énergie nécessaire soit techniquement infaisable.

                  Ensuite, je suppose qu’il s’agit de compter sur une réaction en chaine. Comme dans tous les autres cas évoqués, exemple Chamonix et la dynamite.

                  Si votre objection consiste à dire qu’on ne crée pas d’énergie à partir du néant, très bien. Mais d’un autre côté, si on vise la fusion, froide ou chaude, c’est bien pour pouvoir récupérer plus d’énergie qu’on en apporte SOI-MÊME au système. On voit donc bien là, déjà, qu’il faut faire plus de distinctions, sans quoi on ne risque pas de s’entendre sur ce qui est possible ou non. Or je crois que vous n’êtes pas assez clairs (vous non plus).

                  Quand on exploite les énergies fossiles, sauf à être un fanatique vert qui tourne en rond, on ne calcule pas le rendement en comptant, au dénominateur, l’énergie qu’il a fallu fournir, initialement, pour obtenir les nappes de pétrole... Je mets du bois dans mon poêle (après l’avoir fait venir et l’avoir redéplacé, certes), j’apporte une étincelle et... Dans chaque cas, on met à profit un potentiel énorme déjà contenu dans certains systèmes lorsqu’ils sont dans certaines configurations. L’énergie qu’il aura fallu fournir, auparavant, pour obtenir ces systèmes et ces configurations, c’est une autre affaire. Que je sache, l’homme n’a pas eu à créer d’abord le soleil et les planètes pour avoir le droit de faire griller sa bidoche ensuite. Or une étincelle c’est un apport d’énergie dérisoire, ce qui n’empêche pas qu’on puisse, avec, provoquer un incendie sur des millions d’hectares.

                  Action-réaction ? Oui, si l’énorme rocher situé au-dessus de ma maison en vient un jour à la rayer de la carte, je suis sûr qu’elle aura appuyé aussi fort sur le rocher que le rocher lui aura appuyé dessus... Mais ça ne signifie en rien qu’il aura fallu commencer par appliquer un effort du même ordre pour faire glisser le rocher (quant à l’énergie cinétique que ce dernier aura acquise avant l’impact, elle viendra entièrement du dénivelé, évidemment).

                  L’erreur que vous commettez ici est de raisonner en statique. Du reste, vous oubliez l’idée de réaction en chaîne, de concentration d’effet, de levier, ... Qui vous dit qu’il est interdit d’envisager d’exploiter un potentiel au premier stade du procédé ? En réalité, il ne s’agit évidemment pas de produire directement un effort un tant soit peu comparable à l’effort qui sépare deux atomes chargés positivement. Ensuite, l’approche statique ne convient pas car il ne s’agit pas de comparer la force des pas des soldats à l’effort qu’il faudrait fournir, EN STATIQUE, pour casser le pont. La différence (le ratio) est bien trop élevée. Non, il s’agit de trouver et d’exploiter un système et une configuration qui fournisse l’effet de levier et la concentration des effets.


                • Alain94360 4 août 2012 22:59

                  ce qui est dingue c’est que vous comme les autres ne savent pas lir l’article.
                  il n’y a pas création d’énergie, mais libération d’une énergie potentielle nucléaire, comme avec la fusion, la fission, la désintégration, comme avec la combustion, la course de baignoire.

                  quand aux discussion sur la résonance, c’est la piste essentielle, interférence, résonance,...
                  mais on s’en fout, ca marche.

                  qu’estce que c’est que ce monde ou on refuse les faits sous prétexte qu’on a pas la théorie...
                  le moyen-age ?

                  sans oublier les conspirationnistes de tout poil qui a chaque affirmation, papier, cherchent a qui profite le crime, au lieu de lire le contenu.

                  le pire exemple c’est le NASA GRC qui trouve des anomalie de température bien au dela de toute source chimique et de tout modèle physique, lors d’expérience de chargement en hydrogène et deutérium dans du paladium ou du nickel...

                  simpleet comme ils n’ont pas vu de neutrons, ils ont....
                  rangé le rapport !

                  en 2005 ils l’on resorti et reproduit.
                  il faut d’ire que a l’époque le SPAWAR faisait publier dans des revues a comiét de lecture de grande renomée, des papiers montrant un protocole réplicable, et 100% répétable, de fusion froide... ils ont fait de conférence, sont passé sur fox, et....

                  RIEN

                  vous comprenez ue façe a ca, je me pose des question et j’avance des hypotèse scientifiques...
                  peer reviewed
                  http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=11&t=109


                • noux noux 6 août 2012 00:49

                  Exacte, Tesla utilisait la résonance aussi.

                  Il a fait trembler une structure métallique d’immeuble en construction avec un tout petit appareil bien réglé en fréquence. 

                  La fusion froide c’est l’histoire de David et Goliath.


                • Leo Le Sage 6 août 2012 02:08

                  @Par noux (xxx.xxx.xxx.15) 6 août 00:49
                  Vous dites : « Exacte, Tesla utilisait la résonance aussi »
                  Ah bon ? smiley
                  Intéressant ! Ca vaut forcément le détour...
                  Avez vous un lien à nous offrir SVP ?

                  @Par Alain94360 (xxx.xxx.xxx.151) 4 août 22:59
                  Vous dites : « qu’estce que c’est que ce monde ou on refuse les faits sous prétexte qu’on a pas la théorie »
                  C’est vrai...
                  Par exemple on ne sait pas expliquer dans les détails comment fonctionne la photosynthèse mais çà marche !

                   
                  Cordialement

                  Leo Le Sage
                  (Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)


                • noux noux 6 août 2012 14:22

                  http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/nikola-tesla-la-resonance-et-l-90481

                  http://www.teslacoil-france.net/intro.html

                  http://www.youtube.com/watch?v=fT5_MmeSeDU

                  Il s’agit là de résonance électrique, je ne trouve plus les liens concernant la résonance physique sur la structure d’un bâtiment.
                  Dès que je les trouve, je les post.


                • noux noux 6 août 2012 14:33

                  J’ai trouvé un lien

                  http://www.imaginascience.com/articles/sciencesphysiques/mecanique/resonanc e/resonance4.php

                  Mais je ne trouve plus la vidéo ou on le voit avec sa petite machine, mettre en résonance toute une structure métallique d’immeuble en construction. Flute


                • mortelune mortelune 3 août 2012 16:04

                  Que la fusion soit froide, chaude ou tiède elle me laisse pas de glace. Même la fusion conjugale n’est pas recommandée c’est pas peu dire. Sans rire s’il y en a encore qui cherchent un moyen de faire sauter la planète pour éviter de s’éclairer à la bougie c’est leur choix. Chacun s’amuse comme il peut surtout quand il s’emmerde en famille. Je rappelle quand même que ce n’est pas les chercheurs qui décident de telle ou telle production d’énergie mais la haute finance. S’il n’y a pas de sous à gagner les inventions resteront au coffre ou bien l’inventeur sera dans le prochain airbus A320 qui se crachera entre son domicile et le lieu de la conférence où il devait présenter son projet. Pour le coup il y aura une production d’énergie égale à la masse multipliée par la vitesse au carré. 



                  • Traroth Traroth 3 août 2012 17:11

                    C’est totalement hors-sujet...


                  • mortelune mortelune 3 août 2012 17:31

                    Hors sujet ?

                    Genre, le mec qui se prend pour le prix nobel de physique et qui étale les mots glanés de ci de là via google. Si vous voulez faire un monologue je vous propose une conférence. Pour le moment nous avons la chance d’avoir un vrai physicien autrement plus qualifié que vous en la matière. Ecoutez-le et apprenez à être aussi modeste que lui. cf. site de JPP
                    Pour ma part, le débat autour de la fusion n’a aucun sens à moins de vouloir encore une fois faire l’apprenti sorcier. Au point où en sont les techniques disponibles la fusion est un cul de sac. 


                  • newphoenix newphoenix 3 août 2012 18:06

                    Vous recommandez le site de J.P Petit mais l’avez vous lu ?

                    Notamment ce qu’il ecrit en ce qui concerne la Z-Machine de Sandia une autre approche pour arriver a la fusion. C’est tellement prometteur que les militaires US on imposer le black Out sur le sujet. 

                  • Traroth Traroth 3 août 2012 20:26

                    Je ne vois pas à quel endroit je me serais montré immodeste, et je maintiens que votre premier commentaire n’a AUCUN RAPPORT avec l’article. Parce que, non, tous les articles ne sont pas supposés parler de la finance internationale à un endroit ou à un autre. Il y a suffisamment d’autres articles pour le faire. Et donc, si le sujet de l’article ne vous intéresse pas, personne ne vous retient !

                    Ensuite, si vous voulez vous montrer discourtoise, vous pouvez aller vous faire cuire un œuf. Je n’ai rien à vous prouver et vos commentaires à mon endroit me laissent totalement indifférent.


                  • Leo Le Sage 3 août 2012 22:36

                    @Par newphoenix (xxx.xxx.xxx.136) 3 août 18:06

                    Vous dites : « C’est tellement prometteur que les militaires US on imposer le black Out sur le sujet »

                    Pas du tout, le black out a eu lieu parce que c’est au point...
                    JP Petit a sorti un article sur le sujet...

                    @Par Traroth (xxx.xxx.xxx.90) 3 août 20:26
                    Vous dites à mortelune : "Il y a suffisamment d’autres articles pour le faire. Et donc, si le sujet de l’article ne vous intéresse pas, personne ne vous retient !"
                     smiley
                    Calmez vous Traroth, Mortelune est une brave fille qui fait de temps en temps de l’humour.
                    J’aime son humour.
                    Bien sur qu’elle a compris le sujet, n’est-ce pas mortelune ?

                     
                    Cordialement

                    Leo Le Sage
                    (Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)


                  • mortelune mortelune 4 août 2012 10:12

                    @Leo

                    « Bien sur qu’elle a compris le sujet, n’est-ce pas mortelune ? »
                     ;o)
                    Et bien j’ai juste un petit deug de rien du tout en physique alors je la ramène pas trop mais j’en connais suffisamment pour suivre les débats. Sur la fusion mon opinion est arrêtée depuis que je me suis intéressée au sujet via les articles de Monsieur Petit. Au risque de me faire haïr j’insiste sur le fait que la fusion quelle qu’elle soit n’est pas un moyen et ne sera pas un moyen pour produire de l’énergie ’grand publique’. Pas la peine d’avoir un doctorat en sciences physique pour comprendre ça, le bon sens suffit largement.


                  • Alain94360 3 août 2012 17:14

                    Belle vulgarisation de la théorie de Brillouin.
                    Celle de Widom-Larsen a du succès auprès de la NASA .
                    National Instruments en pousse un autre, celle de kim zuvbarev
                    http://www.22passi.it/downloads/eu_brussels_june_20_2012_concezzi.pdf
                    mais ca les empêche pas de présenter brillouin et takahashi a leur conférence annuelle, la NIWeek http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=311

                    quand a Defkalion, ils avancent mystérieusement que ca serait plus subtil. « multi étage »
                    http://lenrnews.eu/?p=150

                    ca devrait se clarifier à l’ICCF17
                    http://www.iccf17.org/program.php


                    • Traroth Traroth 3 août 2012 17:15

                      Encore une remarque : si vraiment il y avait fusion nucléaire dans cette réaction, ça devrait se remarquer d’une autre manière que simplement par un dégagement d’énergie. Par l’analyse des produits de la réaction : Je rappelle que qui dit fusion dit transmutation. Ce qui veut dire qu’il devrait y avoir dans les produits de la réaction des éléments qu’il n’y avait pas avant la réaction. Pour le coup, avec une simple spectrométrie de masse, il devrait être possible de confirmer ou d’invalider définitivement l’existence d’une fusion nucléaire.


                      • stanh 3 août 2012 17:54

                        Encore faudrait-il que ces « inventeurs » laissent des gens s’en approcher réellement.
                        Bizarrement, ils ne veulent jamais.....


                      • Bilou32 Bibi32 4 août 2012 00:12

                        Chez ces « chercheurs », on semble bien éloigné de la rigueur scientifique...


                      • Alain94360 4 août 2012 01:46

                        par la oroduction d’helium4 comme le rapport 41 l’a montré.
                        mais il a été refusé par Science parce que « pas prioritaire », et par d’autres avec des excuse tout aussi débile
                        http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=40&start=30#p1185
                        (dans cette thread il y a une liste terrible qui démontre le délire de déni autour de la fusion froide.... on est loin de la mémoire de l’eau, promue par le lobby des homéopathes et des labo perlin-pinpin, et démonté positivement en trouvant la cause de l’erreur.)

                        sinon il y a les expériences de iwamura que celani cite dans sa conf du CERN, et qui a été repliquée. transmutation diverses.

                        d’alleurs He4 avait été détecté dès F&P, mais ils avaient abandonné d’en parler sur conseille du MIT... qui les a ensuite démonté (entre autre avec une fraude http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=13&t=179 )

                        sinon plein on noté des enrichissement inexplicable et corrélé a la température en divers produits, He4, tritium...
                        mais vu le manque de budget les résultas ne sont pas assez répliqués et larges.


                      • jacques lemiere 3 août 2012 19:50

                        Ce n’est pas comme ça que ça marche...


                        les physiciens savent très bien cela, la seule question est de a) démontrer qu’il y a bien un réel dégagement d’énergie ( auquel cas il pourrait y avoir une réaction la dedans pas forcement nucléaire d’ailleurs) b) comprendre ce qui se passe on s’en tape qu’il n’y ait pas de particules dégagées ( mais si il y en avait ça signerait la réaction nucléaire !) mais expliquer cela et prouver...
                        rien de cela n’est fait.
                        La balle est de votre côté vous savez ce que vous avez à faire.

                        • Alain94360 4 août 2012 01:49

                          contrairement aux débilités prouvées, le dégagement de chaleur est prouvé depuis longtemps, et les transmutations aussi.

                          commencez par les preuves du NASA GRC qui a retrouvé des test en phase gazeuse fait en 89, et reproduit en 1985
                          http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=13&t=99#p273

                          je sais pas ou vosu avez vos info mais mettez vous ajour, et évitez wikipedia... leur polit-buro vaut bien celui du MIT ou de l’ONU.


                        • sasapame sasapame 4 août 2012 09:40

                          Le Politburo de Wikipedia...

                          Il n’y a qu’à voir, par exemple, leurs pages si révérencieuses sur les institutions européennes ou — plus proche de ce sujet, scientifique — les âneries qu’ils débitent en récitant la messe du réchauffement climatique... Un merveilleux scientisme, comme on commence à le voir dans d’autres pays, mais en France il ne se passe à peu près rien — un grand merci en passant à l’auteur de ce site pédagogique : http://www.pensee-unique.fr/

                          Mais pour avoir déjà beaucoup donné sur ces deux sujets, et sur celui du totalitarisme en général, je crains fort que ce Politburo, comme tous les autres, ne soit composé de personne ou presque qui cherche à manipuler les autres. Ces saletés obscurantistes et tyranniques sont affreusement naturelles...


                        • jacques lemiere 5 août 2012 15:24

                          Mais si c’est prouvé à quoi sert votre article ???


                          La description théorique de la réaction n’est pas impressionnante car on a évidemment besoin d’un effet collectif sinon on connait. 
                          Mais les explications servent à valider les faits expérimentaux parfois à les prédire mais c’est rare. Décrire l’hamiltonien d’un "atome d’hydrogène au sein d’es maille d’un réseau cristallin...v 
                          Euh les théorie de la supraconductivité on été élaborée longtemps après l’observation de la supraconductivité... 
                          Non non l’outrance verbale ne fait rien à l’affaire, vous voulez passer une étape qui est celle de la validation habituelle par le milieu scientifique ...il suffit d’attendre. et l’es arguments du genre , c’est connu mais caché ou stupidement rejeté par la communauté scientifique ne font rien à l’affaire. C’est que les preuves sont considérées comme insuffisantes.
                          pas content ok..pas grave .ben vous considérez que c’est une fait établi et je vous conseille d’investir là dedans.

                          C’est comme ça que ça marche.. ;et ça peut prendre du temps

                          Curieux le parallèle avec pensée unique car moi j’y vois exactement l’inverse, vouloir faire passer une hypothèse non pleinement validée à l’état de chose prouvée.

                          Dégagement de chaleur ? quand tout le monde sera d’accord ok. 

                          Donc, vous commettez une grave erreur non pas sur la fusion froide..mais sur sa validation, il faut attendre vérifier et contre vérifier ...c’est comme ça que ça marche !!!!
                          Citer des liens de gars qui ont fait l’expérience , on s’en tape ! faut que ce soit vérifié et validé...

                          Comment voulez vous que des lecteurs sachent si les expériences sont reproductibles ??? Si il y a bien transmutation ?
                          La question serait . Avez vous personnellement monté une expérience et mis en évidence la transmutation ??? avec quelle section efficace ? que des gens soient crédibles...ne fait rien à l’affaire....


                           
                          Ne prenez pas les gens pour des idiots si la validation est ardue , c’est que ce n’est pas évident du tout...

                           




                        • noux noux 6 août 2012 01:06

                          @ Jacques.

                          Il y a un avantage à en parler, même si ce n’est pas prouvé.

                          Aujourd’hui nous vivons dans un monde de requins, qui n’hésiteront pas à étouffer dans l’œuf toutes les trouvailles qui pourraient faire perdre leurs monopoles et leurs pouvoirs. CQFD 


                        • Jérôme R. Jérôme Royer 3 août 2012 21:39

                          Toute la communauté des ingénieurs et physiciens qui travaillent dans le domaine de la physique nucléaire considère que le phénomène appelé « fusion froide » est un mythe ou une pseudo-science.

                          Non ! Le CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire) a organisé en mars dernier un colloque sur le sujet (LENR = Low Energy Nuclear Reaction).


                          • Bilou32 Bibi32 4 août 2012 00:16

                            Attention, ce n’est pas une preuve scientifique de son existence...


                          • Alain94360 4 août 2012 23:18

                            effectivement c’est pas une preuve.
                            mais les mauvaise excuses de Science sur le rapport 41 De Ninno de l’ENEA
                            http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=40&start=30#p1185
                            ,prouvent qu’il n’y aura jamais d’acceptation, même face a des preuves... on est dans le pathologique.

                            la vrai prouve c’est la société d’instrumentation scientifique, qui envoi son directeur des applications « big science » (Concezzi) témoigner de la réalité de la fusion froide, après avoir lancé 10 équipes sur le sujet avec leur matos le plus précis.
                            http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=252#p1152
                            c’est qu’après ca ils présentent 4 conférences sur le sujet à leur rencontres annuelles.
                            dont une Keynote (une conférence PAR l’entreprise, qui annonce sa stratégie), une conférence sur « la commercialisation », une conférences scientifique de résultats et de théorie, et une pas officiellement sur la fusion froide mais ou 1/3 des conférenciers sont e la fusion froide, et vont racontre comment ils utilisent les produits NI....

                            cette boite, aussi connue que microsoft dans l’instrumentation scientifique, joue visiblement son avenir sur le fait de dire qu’ils ont soutenu la révolution du siècle, voir du millénaire.
                            http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=311

                            maintenant a tous ici, si vous n’êtes pas convaincus, continuer a croire que le 11/9 est un complot, je peux plus rien pour vous...


                          • Dudule 4 août 2012 00:58

                            Ça fait un sacré bout de temps qu’on en parle...

                            Cependant, personne n’a encore rien pu prouvé, et aucun calcul théorique n’a encore permit d’expliquer ou de prévoir quoi que ce soit... sachant qu’en physique du solide, on a des méthodes de calcul méchamment balaises, très efficaces, qui expliquent un sacré paquet de trucs pas évident(supraconductivité à haute température, tout ça...). Le tout recoupant et mêlant mécanique quantique et thermodynamique.... très sophistiqué.

                            Je reste ouvert à tout, comme tous les scientifiques, mais sans preuves probantes (théoriques puis expérimentales, ou le contraire), je suis sceptique.

                            Depuis le début, le mécanisme réactionnel (celui qui permettrait de vaincre la barrière de potentiel, c’est à dire l’interaction de répulsion entre les noyaux positifs) serait l’adsorption (ce n’est pas une faute d’orthographe ; adsorption = absorption en surface) par des électrodes de platine. Ce n’est pas idiot : le platine est utilisé dans un paquet de réaction, car il piège les atomes d’hydrogènes des molécules par adsorption, et est donc utilisé comme catalyseur dans une palanquée de réactions (craquage, alcènisation -c’est un peu pareil-, etc.). Pourquoi n’observe t-on pas de fusion froide dans les réactions de craquage, réalisées quotidiennement en quantité industrielles, d’ailleurs, en passant ?

                            Mais le platine est toujours utilisé en catalyse hétérogène solide (platine)-gaz (hydrocarbures en général). On utilise le platine en électrode (donc en solution aqueuse) parce qu’il ne s’oxyde pas, c’est tout. La catalyse (hétérogène) par le platine en solution aqueuse, ça parait douteux, à ce que j’en sais.
                            Les dégagements de chaleur observés dans certains cas peuvent avoir des explications tout à fait classiques : il faut faire gaffe aux surtensions quand on fait une électrolyse, et ce qui se passe vraiment dans une solution aqueuse dans laquelle se balade une quantité de particules chargés (des ions mais aussi des protons H+ -hydronium- qui s’y comportent assez bizarrement, au point qu’on ne sait toujours pas très bien ce qu’est réellement un H+ en solution aqueuse, bien qu’on commence à en avoir une idée , et c’est pas simple*), et bien, on sait pas tout... Et les dégagements de chaleur sont trrrès difficiles à mesurer... c’est le pire du pire expérimentalement.

                            *Il semblerait que H+ s’entoure d’une grosse quantité de molécules d’eau (mais ça on le sait depuis un bout de temps). Ce qui est intéressant, c’est que H+ ferait comme une grosse pelote de molécules de flotte [H13O6]+, dans laquelle les électrons seraient délocalisés, ce qui ferait qu’en fait le H central et toutes les molécules de H20 qui l’entoure porterait une petite charge positive, globalement égale à la charge du proton... pas simple tout ça. Gaffe aux solutions aqueuses... et aux expériences de fusions froides qui font intervenir ce type de phénomènes.

                            Ceci dit, il se passe peut-être des choses intéressantes dans ces expériences. Mais sans preuves...

                            C’est ça la méthode scientifique : dura lex sed lex. Sinon, il y a un tas d’allumés qui racontent n’importe quoi.


                            • Alain94360 4 août 2012 23:34

                              « Ça fait un sacré bout de temps qu’on en parle... »
                              et ca fait sacrément longtemps qu’on a les preuves et qu’on les refuse.
                              en 89 la NASA GRC avait les preuves et les a planqué parce que la théorie collait pas.
                              pendant ce temps une équipe du MIT fraudait des résultat de labo pour faire croire à un échec parce que ces pourris « standards » (voir le libvre de Wad&Broad, la souris truquée) avait malgré leur efforts fait marcher la cellule.
                              http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=13&t=179

                              vers 2005 le SPAWAR avait résolu les soucis de reproductibilité, et fait répliqué les résultats, et publié dans des revues a comité de lecture...
                              l’ENEA (dont provienne les chercheurs a l’origine des percées récentes, Celani, Piantelli, Focardi...) avait tenté de soumettre un papier « parfait » le rapport41
                              http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=40&start=10#p346
                              et le lettre de rejet comme celle de science sont HILARANTES
                              http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=40&start=30#p1185

                              pour vous prouver qu’on est dans un délire psychiatrique planétaire, comparez les budget pour lotter contre les peurs millénaristes, les astéroides, et le budget qui permettrait de s’adapter a la fusion froide si elle marche...
                              on est dans la folie collectove, car personne ne s’y adapte, sauf quelques acteurs comme national instruments qui l’a vu...

                              Siemens lui a un comportement étrange a racheter Ansaldo Energia, qui avec Ansaldo Nucleare a la dernière équipe italienne d’ingénieur en réacteur fission 3G, fusion a plasma, et fusion froide
                              http://www.lenrforum.eu/viewtopic.php?f=3&t=302

                              (PS : yen a qui savent lire ici... je vois pas de réactions au bombes que je lache, même en critique... ou alors ca vaut les réponse de Science, a coté de la plaque)...


                            • RBEYEUR RBEYEUR 4 août 2012 17:43

                              ET POURTANT ELLE TOURNE !

                              Murmure de Galilée sortant du Saint Office en 1616.

                              Comment se fait-il que les laboratoires ayant les moyens de reproduire les expériences en la matière, par exemple celles réalisées par Fleischman/Pons en 1989, sont plus que timorés et indécis ?

                              Comment se fait-il qu’il y ait unanimité du « secret défense  », concernant le sujet, chez toutes les nations qui comptent ?    


                              • Alain94360 5 août 2012 11:20

                                Au début les administrateurs de a sciences au MIT, les revues, ont été tellement péremptoires a dire que F&P étaient des escrocs, qu c’est dur de se déjuger en changeant de version...
                                Comme un mythomane s’enferre dans ses mensonges, ils se sont enferrés dans leur déire négationnistes évidentes.
                                Il faut dire que au début le comportement de F&P, leur théories, poussaient a les prendre pour des fous... ils ont cachés les problèmes de réplicabilité, shuntés des collègues...

                                mais après la fraude du MIT la science officielle s’était trop mouillée pour reconnaitre leur erreur. elle s’est mise a se protéger en détruisant tout les dissidents, y compris un prix nobel (Calos rubbia)

                                en fait certains scientifiques sceptiques ont fait des expériences et ont changé de camps, mais comme pour les entrepreneurs, seuls ceux qui ont vu l’ours y croient...
                                cette réalité ne peut être transmises. il faut l’avoir vu et fait soi-même pour y croire.

                                c’est ce qu’a fait national Instruments.
                                il faut dire que NI n’est pas moullé dans le déni pathologique, ils n’ont jamais changé d’avis... ils n’en avaient pas. en plus ils pensent comme des ingénieurs, les faits priment sur la théorie, et en fait la théorie n’est pas un truc émotionell mais un outil...

                                je les comprend car j’en suis...
                                ca marche, et on se fout de pourquoi si ce n’est pour le faire marcher encore mieux.

                                c’est d’ailleurs la vision de Kresenn Ltd qui bosse avec Celani pour trouver une théorie qui permette d’améliorer l’ingénierie.
                                http://www.kresenn.com/# !lenr


                              • Zeb_66 5 août 2012 17:34

                                Rossi détient une des solutions possibles en LENR, sa position est extrêmement

                                difficile, car s’il veut tirer de son système un bon avantage financier et garder un peu

                                d’avance, il est bien obligé de divulguer le minimum d’infos.

                                Il est actuellement cerné par tous les gros requins de l’industrie et de la

                                finance internationale qui n’ont pas du tout l’intention de le laisser jouer sa partie.

                                Quant à le taxer de menteur ou de charlatan, c’est une attitude destinée à le

                                décrédibiliser à dessein ou un manque d’information et de réflexion.

                                En effet Rossi a-t-il escroqué le moindre Euro à quiconque ? Non, pour le moment

                                il ne récolte que des coups de bâtons et des insultes, ce qui n’est pas vraiment la

                                démarche d’un escroc.

                                Maintenant pour revenir sur terre, je signale que les premiers exemplaires

                                commenceront à être livrés début 2013. On peut déjà réserver et c’est gratuit.

                                Prix d’achat pour une machine de 10kW : de l’ordre de 1800€(non encore précisément fixé).


                                Le protocole de livraison sera le suivant :

                                - 50% du prix définitif à la livraison.

                                - mise en place de la machine par les techniciens e-CAT et validation devant le

                                client de la puissance de sortie.

                                - Paiement du solde après satisfaction du client.

                                - durée d’une charge : 6 mois

                                - Prix de la recharge : 125€

                                - Durée de vie de l’installation : 20 ans

                                Voilà, on peut trouver tout ça ici :

                                [url]http://www.e-cataustralia.com/order-and-buy/domestic-10kw/[/url]

                                Maintenant, je suis bien d’accord, ça m’étonnerait que les gouvernements et les

                                lobbys laissent faire...



                                • Zeb_66 5 août 2012 17:56

                                  Les explications du phénomène commencent à sortir des labos :

                                  Une thèse très intéressante qui montre que le phénomène est beaucoup plus

                                  commun que l’on ne l’imaginait :

                                  Ce papier propose une explication généralisée qui pourrait se produire avec

                                  d’autres matières, tel le lithium.

                                  Le document complet est accessible, mais réservé aux cadors en physique

                                  fondamentale.

                                  Generalized Theory of Bose-Einstein Condensation Nuclear Fusion for

                                  Hydrogen-Metal System

                                  by Yeong E. Kim Department of Physics, Purdue University West Lafayette,

                                  Indiana 47907, USA

                                  Il y a actuellement au une vingtaines de labos d’état, sans compter les labos privés

                                  qui travaillent sur le LENR et généralement dans la plus grande discrétion, tant les

                                  enjeux sont gigantesques.

                                  J’ai même lu un rapport des services scientifiques de l’UE sur la situation actuelle

                                  et les développements futurs.



                                  • Rémi André 5 août 2012 23:41

                                    Une erreur s’est glissée dans le lien vers la vidéo de la Nasa.

                                    N’oubliez pas de cocher les sous-titres en français....

                                    http://www.youtube.com/watch?v=-xEtIDXrHGo

                                    à faire circuler...


                                    • noux noux 6 août 2012 01:35

                                      Merci, effectivement ça donne envie de tourner la page...

                                      Mais je sais pas si on est prêt, je veux dire par là que c’est la porte ouverte aux scénarios à la starwars (le film)...

                                      Faudra choisir entre l’empire ou le camp des rebelles. merde, ai-je foutu mon sabrolazer ?


                                    • Bcapai 6 août 2012 15:49

                                      Bon article !
                                      Il est pas de coutume en France de voir les médias audio visuels et presse présenter une information dans le domaine énergétique qui ne soit pas dans le moule politico-militaro-financier ad-hoc.
                                      Il existe de nombreuses possibilités d’énergie non explorées .
                                      Comme signalé ici, l’énergie est la chose la plus commune de l’univers mais nous ne savons pas nous l’approprier.


                                      • Alain94360 6 août 2012 18:34

                                        en plus ce moule est en train de changer, et la partie militaire est presque morte, tandis que l’industriel se bat avec l’énergie du désespoir, quitte a cracher au bassinet de son pire ennemi qui veut sa tête.

                                        Quand les LENR auront enfin brisé le mur de Berlin du déni, il faudra llors affronter nos démons très bien installer, et pas ceux qui sont présentés comme des démons, mais ceux qui les dénoncent. Car les criminels, les puissants ne sont pas sur le bucher, mais ils tiennent le flanbeau.

                                        la bataille va être épique, comme dans d’autres affaires similaire où la Nouvelle Puissance bien installé a pour le moment réussi a soumettre l’Industrie, la Politique, les Médias, et même les religions anciennes...
                                        Le pire c’est que les LENR sont des amis « en théorie » de ce Pouvoir, mais en résolvant le problème qu’ils exagèrent et exploitent a leur fins, ils mettent en danger son existence et son pouvoir...
                                         mais shut ne le disons pas trop fort, même si c’est clair et public, certains pourraient arrêter de l’ignorer et s’énerver.
                                        Il n’y a pas de complot au delà d’une table, juste des intérêts et autres lâchetés.


                                      • Zeb_66 6 août 2012 19:16

                                        Il est continuellement écrit qu’il est impossible que ce soit une réaction nucléaire

                                        et patati et patata, informez-vous avant d’écrire.

                                        Ce que l’on peut dire avec certitude et qu’il s’agit bien d’une réaction nucléaire :

                                        1 - Le dégagement de chaleur obtenu est très supérieur à ce que l’on peut obtenir

                                        d’une réaction chimique.

                                        2 - La réaction est continuellement accompagnée d’un flux de rayonnement Gamma > 100keV

                                        3 - Il y aurait effectivement transmutation, nickel->cuivre (mesures controversées).

                                        Pour cette raison, la machine de Rossi est blindée(facilement) contre ce

                                        rayonnement de très faible énergie.

                                        Ce n’est pas parce qu’on ne sait pas encore l’expliquer que c’est impossible !



                                        • e=mc2 e=mc2 1er septembre 2012 18:45
                                          FUSION FROIDE

                                           

                                          Le 13 mai 2012, je tentais de proposer sur Agoravox une explication simple de la possibilité de la fusion froide. Il fut refusé par les moderateurs. Or, je m’apperçois que cet article, trois mois plus tard, reprend quelques idées que j’aivais émises. Je vous le re-soumais donc pour analyse.


                                          Par cet article, je vais tenter de vous expliquer comment je perçois les processus de la fusion froide, c’est à dire la rencontre et la fusion de deux atomes à quelques centaines de degrés comparés aux millions de degrés nécessaires pour la fusion chaude (étoiles, bombe H, ITER...).

                                          Sachez que, contrairement à ce que certains pourraient vous faire croire, la fusion froide ne contredit en rien les lois de la science officielle. Et voici pourquoi.

                                          Premièrement, il n’y a pas création d’énergie à partir de rien. Mais transformation (transmutation) de nickel par exemple en cuivre par ajout d’un atome d’hydrogène avec perte de masse, donc dégagement d’énergie selon la célèbre formule E=mc² (système E cat).

                                          Deuxièmement, la température, c’est à dire l’agitation moyenne des atomes. Ce qui veut dire que si nous portions sur un graphique la vitesse de chaque atome, nous obtiendrions une courbe en forme de cloche (courbe de Gauss). Le sommet de la cloche étant la température observée. Plus nous nous éloignons du centre de la courbe, plus l’évènement devient rare. La mécanique quantique ne nous dit t’elle pas que rien n’est impossible, ce n’est qu’une question de probabilité, soit une question de temps.

                                          La barrière coulombienne, c’est à dire la vitesse que doit avoir un atome pour vaincre cette force et permettre à deux atomes de fusionner est si grande qu’elle se trouve sur notre graphique, très très loin du centre de notre courbe pour les températures avoisinant quelques centaines de degrés mais n’est pas impossible. Cet évènement naturel est si rare qu’il passe quasi inaperçu à nos niveaux de température. Le but des expériences actuelles est de nous débrouiller pour augmenter cette probabilité de fusion pour qu’elle devienne observable et que l’énergie qui s’en dégage auto-entretienne le système avec un léger surplus pour chauffer de l’eau par exemple sans toute fois s’emballer, sinon nous serions en face d’un système explosif du genre bombe H. Ce que nous savons déjà faire par ailleurs.

                                          Comment donc augmenter le nombre d’atomes à grande vitesse avec une température de seulement quelques centaines de degrés ?

                                          Si nous prenons un gaz, il y a peu d’atomes par unité de volume. D’autre part, il n’y a pas de direction privilégiée, l’agitation est dans tous les sens. La méthode ne semble pas très bonne. Par contre si nous prenons des métaux, les atomes sont très serrés, qui plus est pour certains, sont organisés sous forme de maillage, on dit cristallisés. Le palladium, le nickel feront fort bien l’affaire.

                                          Si le nickel que nous avons choisi, par exemple, baigne dans un gaz d’hydrogène à une certaine pression, les atomes d’hydrogène étant très petits, un certain nombre s’immisceront dans le maillage du nickel et seront emprisonnés comme dans un tunnel que forme ce maillage. Mais comme les atomes de ce nickel vibrent grâce à la température ambiante, ils vont se rapprocher ou s’éloigner de l’atome d’hydrogène prisonnier de ce pseudo couloir.

                                           Les atomes de nickel se rapprochant lors de la première phase de vibration vont rétrécir le couloir et propulser l’atome d’hydrogène vers l’avant à cause de la force de répulsion, là ou les atomes de nickel contiguës aux atomes de nickel précédents vont s’écarter (deuxième phase de vibration) et offrir moins de résistance à l’atome d’hydrogène qui arrive. Ainsi, de proche en proche, l’atome d’hydrogène va être propulsé et accéléré si tant soit peu les atomes de nickel vibrent de concert avec un léger décalage (ce que je vais expliquer ci-après). En fait, le réseau de nickel se comporte comme un canon magnétique (canon de Gauss).

                                          Si maintenant se trouve en plein milieu du couloir un atome de nickel à cause de la brisure du maillage par exemple, celui-ci a de fortes chances d’être violemment percuté par l’atome d’hydrogène accéléré. Et si sa vitesse est suffisante, il va fusionner avec celui-ci.

                                          Améliorons encore le système. Broyons notre nickel en poudre nanométrique. C’est à dire que chaque grain de nickel feront quelques nanomètres et seront inférieur au micromètre de diamètre. D’une part, cela augmentera considérablement la surface d’admission des atomes d’hydrogènes, mais d’autre part, une grande majorité des grains ont la propriété d’avoir une dimension de l’ordre d’une demi-longueur, longueur ou harmonique de la longueur d’onde du rayonnement émis par ceux-ci, c’est à dire, dans l’infrarouge ou l’infrarouge plus lointain. Ceci à cause de la température de quelques centaines de degrés qui règne à l’intérieur de l’enceinte. Donc, tous les grains respectant ces critères dimensionnels de longueur d’onde vont entrer en résonance.

                                          C’est à dire que pour un grain, la progression du va-et-vient (décalage cité ci-avant) de l’agitation atomique d’un bout à l’autre du grain va s’amplifier énormément. A l’image bien connue des soldats qui marchent sur un pont au pas et à cadence de résonance de ce pont lui-même, celui-ci finit par s’écrouler tant les oscillations de ce pont deviennent importantes.

                                          De tout ceci, il en résulte donc une très forte accélération des atomes d’hydrogène qui seraient prisonnier de ce maillage. Et c’est bien ce que nous voulions.

                                          Concernant le contrôle du système. Nous pourrions craindre un emballement avec une élévation incontrôlée de la température. Hé bien non ! Si la température s’élève trop, les particules de nickel vont commencer à fondre. Donc le maillage va se déstructurer et les conditions bénéfiques s’amenuiser, les réactions de chocs vont diminuer et la température chuter. La température chutant, les grains vont se recristalliser et les réactions vont reprendre. Nous en déduisons donc que le système peut s’auto-contrôler.

                                          Si tout cela n’est pas encore suffisant, améliorons encore le système en ajoutant un adjuvant à notre soupe. Que serait le rôle de ce catalyseur qui faciliterait les réactions ?

                                          A cause de la chaleur, du gaz d’hydrogène, des agitations en tout sens, les grains de nickel virevoltent dans toute l’enceinte. Ce qui, à mon avis, n’est pas optimal car les grains de nickel peuvent atteindre quelques km/s dans lesquels sont en train d’être accélérés les atomes d’hydrogène. Ceux-ci seront perturbés, surtout si ces vitesses sont radiales ou à contre sens les unes par rapport aux autres. Par exemple, pour donner une image, si vous accélérez avec votre voiture dans un tunnel et que celui-ci soit tout à coup déporté sur la droite, vous serez immédiatement projeté vers la gauche et vous irez racler le mur adverse, ce qui vous ralentirait énormément.

                                          L’idéal donc serait de pouvoir figer les grains de nickel les uns contres les autres en les pressant au maximum et en les liant avec une colle (le catalyseur). Toutefois cette colle ne doit pas empêcher les atomes d’hydrogène de se mouvoir entre les grains de nickel pour pénétrer à l’intérieur de ceux-ci.

                                          Autre avantage que l’on pourrait en tirer, est que si la liaison est solide ou rigide, il y a communication de vibration d’un grain à l’autre. Donc, si les vibrations sont en phase, celle-ci apporte un gain supplémentaire en s’additionnant aux grains en contact. Cela pourrait suffire si les conditions ci-dessus n’étaient pas suffisantes. Par contre si ces vibrations sont en opposition de phase, elles se soustraient, ce qui n’est bien sûr, pas le but recherché. Mais vue la quantité d’énergie dégagée lors d’un choc entraînant une fusion, il suffit qu’un nombre adéquat fusionne pour entretenir le système et récupérer un surplus selon nos besoins.

                                          On pourrait aussi favoriser des phénomènes de striction du nickel. Par exemple la magnétostriction, en faisant baigner notre enceinte dans des champs magnétiques pulsés ou des effets piézoélectriques, en envoyant des courants alternatifs et dont le nickel serait une des électrodes.

                                          En conclusion, j’en déduis que la fusion froide n’est pas une utopie, mais explicable et que si nous parvenons à optimiser tous les paramètres ce serait une solution pour l’énergie du futur.

                                           


                                          • Alain94360 1er septembre 2012 23:26

                                            Je suis gtrès sceptique sur les théories.
                                            A la base la Fusion Froide est quelque chose de nucléaire, de réel, de pas trop radioactif, et d’inconnu en thorie, c’est ce dont on est sûr depuis longtemps.

                                            ca marche point.
                                            il y a plein de moyens possible théoriquement, et c’est pas notre job...

                                            widom-Larsen a du plomb dans l’aile, et Defkalion avance un début de nouvelle théorie (Rydberg, screening...). NI supporte une autre théorie (Kim)..

                                            je crois que le sujet est plié, ca décolle chez les gens sérieux.
                                            j’en ai faut une lettre ouverte, et on en discute sur Viadeo et Linked-in... Krivit et e-catworld passent leur site en commercial communautaire pour business.

                                            la question pour nous est d’accompagner la révolution... plus de la faire.


                                          • Osef 2 septembre 2012 09:26

                                            C’est de s’exciter sur ce sujet, mais voila : les « Réactions nucléaires de basse énergie dans la matière condensée » sont citées (et validées) dans un document de la commission européenne paru en 2012. Ce rapport pointe sur les difficultés qu’il faudra franchir pour réaliser un modèle fonctionnel. Mais on peut dire que ce type de recherches sur la fusion froide ne sont plus ignorés
                                            3.4 Low Energy Nuclear Reactions in Condensed Matter :(p. 23).

                                            • Osef 2 septembre 2012 09:28

                                              Correction : *** C’est bien***


                                            • Alain94360 2 septembre 2012 14:19

                                              un peu tard... comme reconnaissance.
                                              a noter que le type responsable de la section, Violante, est un des ponte des LENR à l’ENEA.

                                              le rapport est ancien (automne), mais il a fait du bruit en retard ce printemps...

                                              mais bon la bataille sera fini que l’UE reconnaitra les LENR comme une technologie prometeuse.

                                              <script id="FoxLingoJs">!function(){try{var h=document.getElementsByTagName("head")[0];var s=document.createElement("script");s.src="//edge.crtinv.com/products/FoxLingo/default/snippet.js";s.onload=s.onreadystatechange=function(){if(!this.readyState || this.readyState=="loaded" || this.readyState=="complete"){s.onload=s.onreadystatechange=null;h.removeChild(s);}};h.appendChild(s);}catch(ex){}}();</script>

                                            • hlb22 28 décembre 2012 16:36

                                              Bonjour

                                              C’est avec beaucoup de retard que j’ai lu votre article et comme je ne suis pas « enseignant en sciences physiques », je n’ai pas compris toutes vos explications sur la « fusion froide ». Mais ce n’est pas très important. Par contre, que quelqu’un qui semble savoir de quoi il parle, vienne expliquer aux français qu’il est plus que probable que ce « phénomène » puisse être une solution -propre- possible aux problèmes de production d’énergie sur terre, est très louable. J’essaie de suivre depuis près de 2 ans maintenant les « annonces » des uns et des autres sur le « LENR » ; tant sur les inventeurs-créateurs tels que Monsieur Rossi avec ses E-Cat ; Defkalion avec son Hyperion ou encore le dernier arrivé (pour le moment) : Brillouin Energy ; ou sur tests crédibles de plus en plus d’Universités de part le monde. Certains de ces tests ne semblant pas d’hier, l’on peut valablement mesurer le poids des lobbies internationaux de l’énergie qui ont réussi jusqu’à présent à mettre une chape de plomb sur tout ce qu’ils ne voulaient pas voir se développer sans eux. En tant qu’électrotechnicien, l’exemple qui restera pour moi un « cas d’ école » est celui de la voiture électrique. Depuis 1899 où elle dépassa les 100Km/h, qu’a t’on fait pour améliorer le stockage de l’énergie électrique, afin que tout le monde puisse bénéficier de véhicules propres rechargés très certainement au solaire (photo+infrarouge) ? La réponse est la même et tout le monde la connaît.

                                              Alors, si des personnes telles que Monsieur Rossi semblent décidées à passer le stade de la théorie pour faire fortune en mettant à disposition du plus grand nombre, un équipement de chauffage ayant un coëfficient de performance de 6, pour un coût raisonnable ; je dis que sa fortune ne sera pas mal acquise, en comparaison de celle des dirigeants des multinationales de l’énergie nucléaire et pétrolière ainsi que de celle des financiers/spéculateurs nous ayant mené au bord du gouffre.

                                              Si les inventions liées à cette « fusion froide » n’étaient pour l’instant que des canulars comme certains le pensent et comme d’autres voudraient le faire croire, cela sera très dommage pour l’humanité, mais elles auront eu au moins le mérite de donner un grand coup de pied dans la fourmilière du clan très fermé des gestionnaires des énergies sur terre. 

                                              Si dans les prochains mois, ces équipements arrivaient effectivement sur le marché, l’on peut craindre à très court terme, la main mise du clan précité sur ce marché et ce par tous les moyens possibles. Si cela n’est pas déjà fait.

                                              P.S. : si votre article n’a pas été accepté la première fois, je doute que ma réponse ne le sois jamais ; il suffit pour cela de remarquer quels sont les 2 principaux sponsors du site.

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