L’histoire de la Fête
La fête de l’internet : D’hier à aujourd’hui, 9 ans déjà !
- histoire 99 : Une fédération d’associations : organisation (bénévole) de la première Fête de l’Internet par l’IFI (Initiative Française pour l’Internet), regroupant 11 associations, Admi Net, Admiroutes, ADBS, AFTT, AFUU, AVN, Club de l’Arche, IPF, ISOC France, Mélusine, VECAM
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la version de l’histoire contée par Bruno :
- ’’L’idée de la fête a été émise par une association l’ISOC-France, une des premières créées en France pour accompagner le développement de l’Internet. L’ISOC-France est la branche française de l’association internationale fondée par les pionniers de l’Internet. Elle suit donc avec intérêt ce qui se passe à l’étranger et notamment aux Etats-Unis. Le déroulement en 1996 des premiers "netdays" ne passe pas inaperçu d’autant plus qu’on annonce début 1997 une deuxième édition plus médiatique avec la participation effective du président des Etats-Unis. (...) La fête de l’Internet est simplement une adaptation à notre culture des journées des réseaux américains en reprenant le modèle de la fête de la musique.
- Jean Michel Billaut dans ce vidéoshow conte que le concept remonte à septembre 97, réunion du club de l’arche, recevait Bruno Oudet
qui s’occupait de l’ISOC, et l’idée à été proposée de faire une fête
comme la Fête de la Musique. 5 ou 6 associations se sont mises autour
d’une table... frictions, première fête au printemps 98,
- conférence presse octobre 97 Billaut
- En 1999, elle s’installe progressivement dans le paysage, et elle donne aussi lieu à des prises de positions comme l’appel au boycott :
- Fête de l’internet baillonné / grève des sites
- En 2000,Eve Moreau est mandatée pour réaliser le bilan de l’édition 2000. Au vu des investigations et des auditions, le document qu’elle propose s’architecture autour de deux principales parties. La première concerne avant tout les faits et rapporte les actions effectuées par les différents acteurs de cette édition. La seconde tend à mettre en exergue les facteurs de réussite et les points de vigilance. suite à ce rapport, en octobre 2000, Olivier Itéanu ( président ISOC France, et Co Président AFI) propose à l’association de suivre ces recommandations et de confier la mission à son auteur.
- L’édition 2001 de la Fête a été bridée par les contraintes juridiques de la campagne des élections municipales, ne permettant pas d’engager une politique de communication et l’organisation de manifestations.
- EN 2002, l’Associationdes Maires Francophones (AMF) devient partenaire , et participe au maillage des territoires, pour une fête de plus en plus implantée dans le paysage : mise en place de réseaux locaux constitués notamment par les collectivités locales, leurs établissements et les espace publics multimédias.
- en 2003, l’externalisation de la fête se met en place, principalement dans le réseau francophone, soutenus par OIF ’organisation internationale de la Francophonie, et AIMF Associationdes Maires Francophones en particulier.
- en 2004, la fête de l’internet sollicite Edgar Morin qui accepte chaleureusement d’être le parrain, " J’appuie chaleureusement l’ initiative de Pythagore communication qui vise à donner à la fête de l’Internet une dimension humaniste et planétaire. Que ce soit à travers les multiples expressions artistiques qui témoignent de la diversité créatrice des cultures, de la créativité également de leurs rencontres et métissages, et du caractère transculturel qui vient de la compréhension d’une culture à l’autre, que ce soit à travers l’effort de conscience planétaire à laquelle s’est vouée une telle initiative, je pense que les meilleurs potentialités d’Internet sont appelées à se concrétiser à travers les manifestations et rencontres de cette grande fête d’amitié entre les citoyennes et citoyens de la terre-Patrie Edgar Morin : 10 novembre 2004
- En 2005, la fête compte plus de 20 pays à l’unisson, adopte la charte d’éthique dont voici un extrait :
- d’œuvrer pour que l’Internet ne constitue pas une juxtaposition d’égoïsmes mais au contraire un lieu universel de débat favorisant l’édification d’une véritable société civile internationale,
- d’instaurer un dialogue authentique destiné à l’amélioration de la compréhension mutuelle,
- de contribuer à la constitution d’une œuvre commune par l’apprentissage de la coopération universelle,
- d’aider le plus grand nombre, et en particulier les jeunes, à accéder de façon permanente aux informations nécessaires à leur développement personnel - y compris au moyen de mesures d’ordre économique,
- Et nous voilà en 2006, la fête est exprerimentale, elle invite tout à chacun à s’essayer aux techologies emergeantesrévélatrices du potentiel créatif individuel et/ou collectif.
- Nous remercions tous nos partenaires qui ont généreusement mis à disposition leurs outils,leurs savoirs, leurs enthousiasmes et leurs sourires
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