Vous mélangez tour @l’auteur, votre lecture est univoque.
Entre le romantisme des frontières et l’utopie d’une mondialisation inélectable, les frontières réelles permettent un contre-pouvoir au néo-libéralisme.
Avec une autre idéologie aux manettes, alors peut-être le mythe européen de Bruxelles pourrait-il redevenir un projet réaliste.
Mais à vous lire, hors la fuite en avant point de salut. Salut donc l’auteur !
Tenter en pleine crise de libéraliser davantage les économies nationales peut vite virer au cauchemard pour les apprentis sorciers de la haute finance... un genre de pari risqué. Il faut toujours passé du stade de la réunion complotiste à celui du passage à l’acte. pour peu que suffisament de personnes se rendent compte de l’esbrouffe, et décident comme les grecs et les anglais actuellement de tout casser.