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jo

27 ans, étudiant en plein de chose, génie civil, mécanique, géographie, tourisme, écotourisme, catastrophes naturelles, tout ça dans l’ordre mais sans les titres qui ne servent qu’à homogénéifier et classifier les relations sociales. Actuellement scénariste et réalisateur en devenir. Pour le reste mes réactions parleront d’elles mêmes, alors que dire de plus sinon quand les nains sont maîtres du château, tétonnes pas s’il pleut de la merde. Ou bien sucer de l’andouille c’est pas comme les couilles, le reviens-y c’est malpoli. Prends ta bite à deux mains, si tu le peux, ça ne te fera que du bien, en te branlant un peu. Fin des conneries, tchuss et bonne bourre.

 

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Derniers commentaires



  • jo 27 décembre 2007 12:57

    au nom de la tolérance, de la liberté de pensée de chacun, de la liberté de culte, il ne faudrait dire aucun mal des religions, ne pas les attaquer ! Drôle de conception. Les religions et sectes de tous poils, la difference est minime entre les deux, une capacité à racketter ses fidèles plus ou moins grande, ont été, sont et seront de grandes usines à décérébrer les gens.

    Les religions imposent une vision de la société à ses croyants, tel acte est bien , tel autre c’est mal, le monde est comme-ci ou comme-ça parce qu’un illuminé a dit un jour que c’était comme ça. La terre était plate pour la plupart des gens en Europe au moyen-âge, quiconque remettait en cause ce dogme risquait la peine de mort. Pourtant des scientifiques grecs avait calculé la circonférence de la terre, l’avait écrit dans des livres que les religieux possédaient, mais personne n’avait droit de les lire, car blasphème.

    Les religions ne servent à la société qu’au contrôle des individus. Des gens qui croient à un dieu, ou à un dogme quelqu’il soit, les croyants purs et durs des systèmes capitalisme, communisme, totalitarisme et bien d’autres, sont les mêmes que les religieux,et sont très facilement manipulable. En croyant sans jamais réellement remettre en cause un système, les gens peuvent gober n’importe quoi et foncer tête baisser pour défendre une cause, ils sont sûr de la justesse de celle-ci.

    L’exemple de la seconde guerre irakienne le montre bien, Un président habité par dieu, déclare à une population à plus de 90% croyante, le diable c’est Saddam, il a des armes pour faire régner l’enfer sur terre, on ne peut tolérer ça nous peuple élue de dieu, allons combattre et rétablir la nouvelle Babylone là bas. Plus de 70 % était persuadé de la justesse de leur cause, les soldats surmotivés et heureux. Et puis quelques années plus tard la population commence à comprendre que c’était un vaste canular, il n’y a plus rien de divin dans tout ça, juste une bête guerre, ou des gars meurent violemment pour le compte d’autre qui mourront tranquillement dans leur lit.

    La religion reste une forme de croyance des plus absolu, elle ne repose sur rien, croire en un ou plusieurs dieux, on parle toujours du monothéisme, mais le polythéisme c’est la même chose, sauf que c’est plus complexe, rites plus nombreux et diversifié, d’où le succès du monothéisme de part le monde, donc croire en quelque chose qui n’a aucun fondement, que personne n’a pu, ne peut et ne pourra prouver, la foi, est un spectaculaire abandon de la capacité humaine à raisonner.

    Bien entendu tous le monde est libre de penser ou de ne pas penser en s’en remettant à une entité supérieur qui décide pour vous, interdire les religions ne feraient que les renforcer, comme en Russie où la religion orthodoxe est en train actuellement de s’insinuer dans tous les rouages de la vie quotidienne et plus grave dans la vie politique. Mais les remettre au goût du jour pour des raisons électorales et comme unique réponses à des problèmes sociaux relèvent de la médiocrité intellectuelle de nos dirigeants.

    Toutes ces idéologies, religieuses en particulier sont voués à disparaître car sclérosé sur des dogmes en désaccord avec une société en perpétuelle évolution. Elles sont beaucoup trop simpliste pour expliquer et contrôler une société de plus en plus complexe. Mais pour l’instant elle occupe le devant de la scène et on doit subir ce matraquage permanent. Peut-être ne sont-ce que les derniers soubresauts, les dernières véléités d’un mourant en phase terminal. Peut-être... Espoir !



  • jo 22 décembre 2007 03:47

    Bigard sert la main du pape, eh alors, il peut bien lui pomper le noeud, je m’en cogne. Mais qu’un président d’un pays laïc s’affiche aussi ouvertement catho, ça me troue le cul. enfin de la part de sarko, pas tant que ça, mais lui qui aime à répéter qu’il est le président de tous les français, il va falloir en rencontrer des croyants à la gomme pour représenter tout le monde.



  • jo 22 décembre 2007 03:22

    Je vais commencer par la subvention de la scène française. Comme il est noté plus haut le budget alloué à la culture est tristement ridicule.Les théatres subventionnés monteraient, joueraient des pièces que peu de gens vont voir, donc c’est une perte de fric. Mais c’est exactement ça la culture, produire des oeuvres qui ne sont pas forcéments faciles d’accès, pas grand public à première vue, parfois chiantes. Et il faut subventionner ces artistes car si on ne le fait pas, alors il ne pourra sortir que des oeuvres mainstream, calibrés sans goût et saveur mais qui feront recette.

    La culture n’a aucun but à plaire, si c’est le cas tant mieux, mais elle est là pour réfléchir et interroger le monde. Combien d’auteurs populaires à leur époque, remplissant théâtre, opéra, salon de lecture, galerie d’exposition, même cinéma pour ce qui est du plus récent sont aujourd’hui tombés dans l’oubli car leur oeuvre populaire n’était que le reflet d’une mode et non un travail doué de sens.

    La seul éthique sur le travil subventionné à poser est que le financier de l’auteur n’est pas son mot à dire sur le contenu, pour que celui-ci n’est pas de contraintes de ce plan là. Il en aura bien assez pour produire son travail.

    Parler de rapport qualité-prix pour la culture est une véritable insulte à la culture en elle même. Une oeuvre n’est pas là pour rapporter, mais pour créer un sentiment quel qu’il soit chez celui qui la vit. Officialiser le mercantilisme dans la culture est la dernière chose à faire, il n’est que trop présent. Cela ne signifie pas que les artistes ne doivent pas pouvoir vivre de leur création, au contraire, mais que les oeuvres ne soient pas un simple placements financiers comme un autre, choses que l’on retrouve régulièrement dans l’art contemporain.

    Je vais pas m’apesantir sur le cirage de pompes de la ministre, qui est comme d’habitude assez peu en prise avec la réalité de la culture, on pourrait disserter des heures sur sa vision du net avec sa commission Olivennes, mais ce n’est pas mon propos.

    Je reviens sur l’émission de france 3, avec les philosophes, que j’ai pris en cours de route, donc je n’ai pas vu la partie sur le traité européen, juste un peu la fin, mais je les ai vu intervenir sur la politique intérieur française. Quel effort du présentateur, nous n’avons pas eu droit à l’omniprésent bhl dans le camps des philosophes. Mais bon, nous avions quatre philosophes, on pourrait se poser la question sur ce qu’est un philosophe, quelqu’un qui réfléchit au monde, ça risque de faire du monde au portillon. Mais les quatres sont tout de mêmes des habitués des plateaux grands publics, que dire de finkielkraut, sorte de fantôme hantant tout un tas de plateaux télé, si peu que l’on se fase passer pour une émission avec du sens. Le débat n’apportait rien de nouveau sous le soleil des idées, du marxisme, il vendait son livre, il faut comprendre, même si l’analyse marxiste n’est pas fausse, elle est quand même un peu suranné. M bensaïd nous faisait son cours, intéressant, mais souvent interrompu par Finkielkraut, mais encore une fois que des choses qui ont été déjà analysés et sans une lecture vraiment nouvelles de la société. Disons que pour ma part, d’un point de vue philosophique, analyse,concept rien ne m’a surpris, je n’ai rien découvert. Mais cela ne signifie pas que ces débats était de mauvaises qualités, s’ils ont appris des choses à des personnes qui ne s’intéressaient pas à ces sujets tant mieux.

    Non le vrai problème du débat, c’était Finkielkraut. Ce n’est pas la première fois que je vois ce personnage faire son numéro télévisuel, et c’est à vomir. Tant de haine, d’incompréhension, de rejet, de snobisme, c’est proprement hallucinant. Sa vision de la banlieue et des problèmes qui s’y déroule est affreuse, pour résumer s’il y a des problèmes c’est à cause des jeunes étrangers pas catholiques qui ne veulent pas s’intégrer, ce n’est malheureusement pas une caricature. Ces propos ils les tiens régulièrement, bien entendu il enrobe son discours, dans un pseudo-académisme histoire de camoufler sa haine, mais c’est toujours les mêmes propos conservateurs avec aucune vue de l’esprit. Je ne parle même pas de ses arguments, raccourcis éhontés de ce que peut être une pensée. Une telle haine envers des personnes, toute sa diatribe sur les révoltes de 2005, si je me rappelle il était révolté en 68. Ah oui, ma bonne dame mais c’était pour une bonne cause, et il ne faisait que lancer des pavées, c’est vrai que ce n’est pas dangeureux un pavé dans la gueule. Je ne parle pas de sa poussée d’urticaire quand les autres philosophes ont commencés à tailler la religion.

    L’émission est une façade pour argumenter que la télévision publique fait dans le culturel, mais elle, l’émission est plus souvent l’espace de lieux communs, où les plus grande gueule ont le dernier mot.

    Alors la culture à la télé, il y a encore du chemin à faire, ça semble moins vendeur et c’est plus prise de tête que l’élection du plus gros mangeur de ratatouille avec en exclusivité la photo des chiottes après son passage.



  • jo 22 décembre 2007 01:46

    Je viens d’apprendre en lisant cette article que les chercheurs du CNRS coûtent trop cher à l’état. Ils doivent être trop payer.C’est donc pour ça que tous les chercheurs du monde préfère venir travailler en France plutôt qu’ailleurs dans le monde, comme au états unis où les chercheurs sont payés au lance pierre et n’ont aucun matériel moderne. Je comprends mieux. Donc il faudrait réduire les coûts de cette institution ou les payer au rendement, pour qu’il soit efficace. Et puis pourquoi pas privatisé toute la recherche, c’est bien connu que les chercheurs du public ne travaillent que sur des sujets qui leur apportera brevet et royalties et ne font pas avancée la connaissance alors que les labos privés ne se préocupent que du bien de tous. Vive le libéralisme, seul le profit peut sauver la planète !!!



  • jo 17 décembre 2007 16:57

    C’est beau comme de l’antique cette phrase : une approche des nouveaux médias pragmatiques. Donc un journaliste doit savoir tout faire, écrire, faire les photos, travailler sur le net, filmer, prendre le son, interviewer honnêtement mais avec conviction, mettre en page, décider des limites à ne pas dépasser, faire tourner l’imprimerie, gérer l’internet et distribuer le journal, tout en surveillant les droits de copyright. Mais aussi démarcher une nouvelle clientèle, convaincre les actionnaires, gérer la publicité, nettoyer les locaux du sol au plafond...

    Quel talents ces nouveaux journalistes, quels bosseurs, mais avec de tels personnes ça ne laisse que peu de place aux autres, ou est-ce une manière déguisé de supprimer des postes et de faire des économies ?


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