La guerre du langage, en effet.
Personne ne pense par exemple à appeler un héritier un assisté, alors que l’héritage fait de l’héritier un assisté permanent, jusqu’à sa mort. Et vu le tabac de la proposition de notre "leader minissimo" l’an dernier lors l’élection présidentielle sur la suppression des droits d’héritage, il y a du chemin avant que les gens n’intègrent cette perception.