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MICHEL GERMAIN

MICHEL GERMAIN

Vaincre les autorités c’est en même temps vaincre le besoin d’autorité, la propriété et le  goût de s’approprier, l’hégémonie et le désir d’hégémonie....Vaincre soi même ? 

Tableau de bord

  • Premier article le 26/01/2009
  • Modérateur depuis le 20/10/2009
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Derniers commentaires



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 30 août 2009 08:16

    Bien évidemment le Flamenco n’est pas Catalan, justement, et c’est bien parceque l’on généralise que certains au premier pied qu’ils mettent de l’autre côté des Pyrenées s’imaginent être au pays du Flamenco alors qu’ils sont encore très loin de l’Andalousie...il fallait le lire comme cela.

    Cordialement.



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 28 août 2009 15:04

    bonjour,

    L’on pourrait approcher cet article de plusieurs façons mais la première, celle qui saute aux yeux de celui qui commence à regarder le Rap autrement parceque ses enfants le lui font connaître, la première, donc, voit dans ces écrits les mots de quelqu’un qui ne connaît pas le « Rap » justement.

    S’appuyer sur Bouba, Iam et quelques autres c’est juger l’écriture du XIX ème sur A.France, Mistral ou Stendhal. C’est cerner la pensée philosophique française par BHL, Glucksmann et Ph.Val. Ce n’est pas que du nul total mais il y a tout de même autre chose.

    C’est à la limite de dire que les Américains sont des impérialistes, les Français Sarkosystes, les Catalans joueurs de Flamenco...c’est généraliser.
     
    C’est généraliser avec comme étalon de jugement ce qui est visible. Et ce qui est visible, ne l’est que parce que ce qu’on appelle « Le Système » le permet. Et non seulement le permet mais le « rend » volontairement visible en lui otant sa substance en échange d’un peu des ors médiatiques.

    Quelques clés autorisent à franchir le miroir et découvrir d’autres mondes qui disent autrement. Kény Arkana pourrait être l’un de ces passes qui ouvrent à d’autres espaces de pensée, d’écriture. Jusqu’à ce qu’elle sombre, peut être un jour, dans la fausse lumière d’un jour qui tue les bons vampires.

    Le Rock, dont je suis par ma génération, a et a eu, évidemment lui aussi , ses dizaines de forces neutralisées par les lumières qui éteignent la rage. Mais certains restent hors les circuits et font des concerts plus petits, sans pub dans les médias, mais remplis par le bouche à oreilles. 

    Oreilles que l’on ne peut ouvrir qu’en éteignant définitivement sa TV, en fermant les journaux, en laissant les hebdos dans leur pile.

    Brassens était aussi « bien vu », à ses débuts dans les années cinquante, que certains de nos Rapeurs d’aujourdhui. Bien vu ? ce que je veux dire en fait pourrait se retrouver dans ce proverbe retouché : « Au Pays des Aveugles, les Borgnes sont Mal vus ». 

    Combien de fois ai-je entendu de lui et de Ferré qu’ils étaient « grossiers » et provocateurs ?


    A bientôt.



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 27 août 2009 09:17

    Bonjour,

    Pour la survie : se nourrir correctement, se loger, se soigner (si besoin est).
    Pour l’humain : échanger des mots, des idées, des amours.

    Or, je ne sais quel pourcentage mais il doit être largement majoritaire en Occident, la majorité de ce qui travaillent le font à produire des objets parfaitement inutiles à la survie et à l’Humain.

    4 heures par semaine, oui, mais s’il vous plait pas pour fabriquer des portables, des alarmes, des armes, des stylos, des montres, des résidences secondaires, des 4X4, des Disneyland, des costards, des wonderbras, des machines à café...Prévert au secours ! et toutes les infrasructures qui les encadres (transports, finances, administrations, juridique, bureaux, incinérateurs ...). Que des gens libérés qui font pousser leurs tomates à la place du goudron, qui échangent leurs connaissances acquises grace au temps alloué, qui regardent leurs voisins plutôt que leur billet d’avion en Low cost...

    Travailler moins pour consommer autant de conneries, sinon plus, pour inventer des objets que personne ne réclame mais qui seront rendus incontournables demain, non merci.

    Quant aux réponses de style « tu veux retourner à la bougie et aux cavernes » je leur réponds d’avance que la bougie il l’ont dans la tête et elle s’éteindra au moindre souffle. les cavernes ? comment appelez vous donc vos résidences sous vidéo surveillance, vos appartements aux portes blindées, lunettes noires et vitres fumées, cages de fer sur 4 roues ?

    j’ai dit. 
     

     



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 26 août 2009 17:57
    • Bonjour Bernard,

      Belle écriture comme à votre habitude.

      Il me semble que, à le vouloir ou pas, l’on reste influencé par l’information (ce mot est très mal adapté) médiatique. Pas de TV, de quotidien ni d’Hébdos, pas de parcours sur les sites qui adhèrent au principe de J.T. et l’on gagne un brin en capacité de recul, en pouvoir de compréhension, en espace de liberté propre. Oh, l’on ne comprends pas tout pour autant aussi soudainement, je n’ai pas cette prétention. Mais l’on risque d’apercevoir, la vue dégagée de ces lumières de la ville qui éteignent la vie, d’autres personnes, d’autres actes, d’autres attitudes de plus en plus nombreux et qui agissent et participent à la chute de l’Empire Romain, comme le signifie l’un de vos interlocuteurs, sans même le savoir.

      Des ouvriers occupent leurs usines, des gens brulent des voitures (et non ils ne viennent pas tous, loin de la, des banlieues ou règnent les gangs de dealers islamistes), des Grèce s’enflamment fin 2008, des Louisiane s’organisent sans les pouvoirs publics inexistants de toutes façons, d’autres se regroupent pour vivrent mieux, d’autres encore écrivent aussi des choses fortes dans « Agora » ou sur les murs...

      Cest la société qui s’écroule pas le système. Ceux qui souhaiteraient trouver des solutions morales à l’économie font fausse route. ils finiront bien par faire demi-tour et rejoindront les autres, ceux de tous les « Comités Invisibles » .

      Continuez malgré tout, si vous faites un pas de côté, votre écriture servira à la découverte de l’humain qui ne demande qu’à jaillir de nous.

      Bon vent.


  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 19 août 2009 18:07

     « L’Insurrection qui vient » Auteur : Comité Invisible, Editeur : La Fabrique, coût 7€ en librairie mais visible gratuitement, format, PDF, sur internet. 

    Avant, juste avant, Mai 68, 200 000 chômeurs, pas de délocalisations, de parachutes dorés, pas d’endettement , tout allait du mieux possible. Sortie de la crise colonialiste.

    Les systémes trompeurs sont tombés ( capitalisme d’état), il n’en reste plus qu’un. 
     
    Merci pour cet article Marc.

    Jacques Roux et Gracchus Babeuf.

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