Il est peut-être à l’écoute de l’ensemble des catholiques. Mais il n’agit que pour une petite minorité de catholiques, en l’occurence les traditionnalistes qui, je le rappelle, ne reconnaisse pas la liberté religieuse . Il est là le coeur du problème.
Bonjour Papy
Merci pour vos commentaires
Vous avez raison. Au début de l’article, j’aurais du utiliser non pas le terme "réintégration" mais plutôt les termes "levée d’excommunication" qui sont plus précis et plus justes. Mais enfin, au-delà de cette erreur de profane, il faut quand-même reconnaitre que Benoît XVI va vers les traditionnalistes qui représente une petite minorité de catholiques mais il n’écoute pas la douleur des progressistes qui sont bien plus nombreux.
Sinon, sur un plan plus humoristique, je pense que vous vouliez dire Saint-Nicolas-du-ChardonnET. Le ChardonnAY est un vin !
Des hebdomadaires catholiques progressistes comme "La Vie" ou "Golias" ont très vivement réagi. En ce qui concerne l’Abbé Pierre, je pense qu’il aurait réagi aux propos de Williamson et sur la question de l’accès des femmes à la prêtrise ou du mariage des prêtres, il avait donné un avis favorable en effet.
Merci pour votre commentaire. Je m’attends évidemment à des réactions négatives mais chacun est libre de s’exprimer à sa guise.
En fait, de par le caractère universel de l’Eglise catholique, je trouve légitime qu’une poignée de fidèles puisse célébrer la messe en latin si ça leur permet de mieux exprimer leur Foi.
Ce que je n’accepte pas, c’est le "deux poids, deux mesures". Aujourd’hui, il est clair que l’opinion des catholiques progressistes qui sont pourtant plus nombreux que les traditionnalistes, n’est pas pris en compte. Est-ce qu’ils devront eux aussi, occuper illégalement une église pour se faire entendre ?