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Tableau de bord

  • Premier article le 22/03/2006
  • Modérateur depuis le 05/05/2007
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Derniers commentaires



  • Muriel Bastien 26 avril 2007 13:32

    Bien vu Luc, même si trop misérabiliste et fataliste à mon goût. D’autant bien vu que les syndicats semblent définitivement absents de ta vraie-fausse fiction. Y aurait-il un lien de cause à effet, entre la descente aux enfers de ces salariées flouées et l’absence du moindre quidam pour les défendre ? Les grandes centrales syndicales auraient-elles décidé de mettre prochainement la clé sous la porte, sans plus aucune reconnaissance du ventre ? Au fond, ce ne serait pas vraiment un scoop. Désolée.

    Bien vu aussi le laminage du collectif de travail et la fin de ses solidarités. Cette fiction me rappelle la dernière entreprise où j’ai travaillé...

    Bien réelle celle-là et qui n’était pas bien belle à voir. Dans ce lieu de travail non plus, il n’y avait plus aucun syndicat. Quelques syndicalistes y résistaient encore un peu, mais si isolés. Voilà pourquoi ta fiction fait doublement froid dans le dos : un patronat bas de gamme et définitivement débridé, un syndicalisme entièrement démissionné.

    Je ne saurais le croire mais peut-être, es-tu fortuitement mieux informé ?

    M.B

    PS : la fin du « Cahier » ? C’est vraiment une connerie de l’avoir supprimé, qui plus est quelques semaines avant la fin de cette campagne présidentielle. La fin de ce cahier ne semble avoir provoqué qu’une vaguelette. Pas assez de morts (journalistes), sans doute...



  • Muriel Bastien 3 avril 2006 15:57

    Bonjour, Au vu des photos que vous mettez en ligne, vous êtes donc militante CFDT et en tout cas, élue dans le collège salariés sous la bannière de cette même organisation ? A moins que ce ne soit de la publicité gratuite ?! En tout cas, c’est sympa, même si en ce moment, elle a en a moins besoin que d’habitude. Ca fait toujours plaisir de lire de la plume syndicale ailleurs que dans la presse ad-hoc. Pour le reste, je crois que nous sommes encore en démocratie. La preuve et Chérèque le sait bien : parlementaires et partenaires sociaux ne devraient pas tarder à retourner au charbon des discussions et des négociations. Et ça, dans les dictatures, ça n’existe pas. Faudra-t-il cette fois, raser gratis ? J’ai hâte en tout cas, d’entendre les nouvelles propositions. Elles devraient tout au moins, ne pas être pires que celles du dictateur que vous fustigez dans votre post. Bravo pour votre engagement syndical et prud’homal. M.B



  • Muriel Bastien 3 avril 2006 15:30

    Bien sûr qu’il faut conserver comme le bien le plus précieux sa capacité de révolte et d’indignation surtout pour défendre les plus faibles, qui plus est lorsque ces derniers sont attaqués sous nos yeux par des êtres lâches, violents et déshumanisés. J’ai assisté à une scène identique à celle dont Paris Match publie les clichés. Elle se passait mardi dernier, avant- dernière manif en date contre le CPE, alors que je me trouvais sur la ligne 5 du métro parisien. Une femme a été violemment attaquée par trois ou quatre jeunes sur le quai du métro, sous les yeux de dizaines de voyageurs (scène partiellement racontée sur ce même site mais dans la perspective d’un autre éclairage sur ces phénomènes de violence sociale). Bref, les voyageurs les plus proches de la scène ont tout d’abord crié pour tenter de mettre fin à cette agression, puis aussitôt après, deux ou trois personnes ( dont j’étais, armée de mon parapluie...) se sont extraites de la rame pour se jeter contre ces agresseurs. L’un d’entre nous, taillé comme une armoire à glace, est parvenu en quelques secondes à séparer les agresseurs de la femme en les faisant littéralement valdinguer contre le mur. Quelques minutes plus tard et devant mon regard admiratif, il me dira qu’il a réagi en tant que simple citoyen mais modeste, expliquera que son efficacité technique est due au fait qu’il travaille dans le service d’ordre du PS... Bon, soit, nous sommes tombés sur le compagnon de voyage idéal, mais M. Bilger, ce jour-là aussi, vous auriez pu être fier et je suis certaine enfin, que vous seriez intervenu, avec les moyens qui sont les vôtres...L’important est d’intervenir et de pouvoir chaque matin, être en capacité de se regarder dans la glace. Pour ma part, je m’y applique et ce n’est pas toujours simple ni gratuit ! Et heureusement, nous sommes encore très nombreux dans ce cas-là. Quant aux chroniques de Dominique Simonnot dans « Libé », il ne vous a sans doute pas échappé qu’elles furent exactement les mêmes au moment des révoltes lycéennes contre la loi Fillon et de celles, plus récentes, dans les banlieues pauvres de la République. Ainsi va Libé tandis que j’achète de plus en plus souvent...le Figaro ! Enfin, « responsabilité diluée » sur des exactions telles que celles que vous racontez, non ! Mais responsabilité partagée sur les transformations de notre société, oui, sans doute. Sinon, pourquoi auriez-vous envie de dialoguer avec nous ? J’ai du temps car plus de travail en ce moment. On en reparle quand vous voulez...En attendant, souriez, votre dignité est filmée. M.B



  • Muriel Bastien 31 mars 2006 11:11

    Merci Enrico ! Vos encouragements me vont droit au coeur. C’est un monsieur de votre âge qui m’a d’ailleurs appris mon métier, l’actuel rédacteur en chef du Canard enchaîné : Claude Angeli. Pour avoir suivi ses précieux conseils sans jamais concéder le moindre pouce de terrain à la démagogie ou au mensonge, j’ai perdu mon dernier poste. Je serais une journaliste « trop militante ». Mais informer n’est-il pas l’un des plus beaux combats ? Bien à vous aussi. Muriel


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