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Je suis bien conscient que l’on vit dans une économie mondialisée pour reprendre le même terme, et je suis malheureusement bien conscient qu’il faudrait ou qu’il faudra une sacré dose de culot ou d’inconscience pour s’opposer au capitalisme ambiant, mais cela n’explique pas ou n’excuse pas la pauvreté dont certains sont victimes.
Il serait aujourd’hui plus que souhaitable que chaque individu puisse vivre de façon décente.
Rien que ça, ce serait bien.

Analyser ? Mais analyser quoi ?
La loi de 73 ? le TCE ?, Le MES ?, le TSCG ?
Tout le monde politique sait ce qui devrait être fait pour rendre la vie des peuples plus facile et ce depuis 50 ans.
Ce qu’il faut c’est un président qui ait la force de s’opposer à la loi de la finance, qui ait la force de dire non à l’euro et à cette Europe des nantis que l’on nous fait accepter petit à petit au détriment des plus faibles.
Ce qu’il faut c’est une vrai révolution, quelle qu’elle soit et pas cette espèce de vendus qui nous gouverne et qui ne veulent pas ouvrir les yeux sur les réalités quotidiennes de plus de 10 millions de gens qui peinent chaque jour un peu plus. 
Analyser ? Le temps n’est plus à l’analyse mais bien au changement.

100 % d’accord Chalot, mais qui va nous faire changer de cap ? on avait l’occasion de changer les choses l’année dernière avec le FDG et JLM qui voulait faire des réformes allant dans le sens du peuple et c’est faux que le seul choix qui s’offrait aux électeurs était PS/UMP.
Cette année va être dure sans aucun doute et toujours pour les mêmes et toujours pour les mêmes raisons, mais quelle conscience sociale ont nos contemporains ?
Beaucoup d’entre nous voudrait que les choses changent mais comment ? Rien ne changera à l’initiative seule de nos politicards, trop nantis pour se soucier de ceux qui souffrent.
Alors comment changer les choses ? et avec qui ?

Certains commentaires m’écœurent...
Je souhaiterais des milliers d’ Ariane, des milliers de Mélenchons.
Ce sont eux les porteurs d’espoir, pas ces pantins qui nous endorment un peu plus chaque jour comme ce HD à la triste figure...

« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur »