• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

À rebours

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 130 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • À rebours 28 mars 2017 22:32

    @foufouille
    Pas obligatoirement. L’argument des parrainages étant imparable il s’ensuit qu’Asselineau est un instrument. Savoir ce qu’on en attend est évident. Savoir qui le commandite pas très important.

    Par exemple :
    http://www.liberation.fr/france/2002/02/06/quand-l-elysee-s-acoquine-avec-les-trotskistes_392857

    Le parti des travailleurs singeait le parti communiste. Qui Asselineau singe t-il ?



  • À rebours 28 mars 2017 15:20

    Les maires sont concrètement menacés quand ils veulent donner leur parrainage à qui il ne faut pas. Un nombre infinitésimal d’élus parrainent . On publie pour la première fois leur liste à titre de chantage. On projette de fusionner les communes pour en finir avec le problème.
    Dans ce contexte, il est évident que des candidats sans parti ne peuvent se présenter que si des banques/officines/services secretsl/lobbies les y ont autorisés. Il est notoire que la CIA a financé les groupuscules troskistes contre les communistes.
    Le jeu consiste donc, en ce qui concerne les petits candidats, à trouver quels banques/officines/services secretsl/lobbies se trouvent derrière. Et ce qu’on en attend d’un pur point de vue de la mécanique électorale. la constante dénonciation de la CIA par Asselineau ressemble plus à un aveu qu’autre chose. Son programme répond à la seconde question.



  • À rebours 19 mars 2017 16:33

    Organiser des débats à plus de 2 candidats fait partie d’une tentative évidente d’uberisation de la classe politique. La télé réalité a été inventée parce que les stars de l’ancien temps avaient trop d’exigences au goût des producteurs. Et ce n’est pas un hasard si Macron avait proposé d’investir pour les législatives sur cv . Les destructions projetées par le libéralisme nécessitent un personnel neuf et obéissant.

    Dans cette optique, anéantir l’image des hommes d’Etat en les ravalant au rang de participant à la roue de la fortune est souhaitable. Onze candidats houspillés par les journalistes, disposant d’un temps de parole étique, voilà qui vous détruit une stature. Juppé, par exemple, s’est prêté à ces simagrées en bon petit soldat. Encore n’étaient-ils que sept à débattre. On connaît la suite.



  • À rebours 18 mars 2017 17:04

    Hamon s’est adjoint Thomas Piketty comme économiste. Piketty est un fédéraliste européen partisan des eurobonds. Rappelons que Hollande avait tenté de tordre le bras de Merkel pour les lui faire accepter. Les eurobonds sont le « wet dream » de la finance qui pourra enfin tondre l’Allemagne en faisant des trous dans n’importe quel autre pays fragile. Evidemment on vend l’idée comme très généreuse à l’égard des pays endettés.

    http://www.liberation.fr/futurs/2012/07/02/quel-federalisme-et-pour-quoi-faire_830642

    C’est bien encore le libéralisme qui s’avance masqué derrière les projets de distribution de cannabis (idée libertaire) et de revenu universel (entériner le chômage de masse). Le cannabis permettant d’ailleurs de traiter chimiquement le chômage de masse.

    Imposture est le mot.



  • À rebours 8 mars 2017 20:05

    Mélenchon : mondialo-socialiste
    Hamon : mondialo-socialiste
    Le Pen : national-socialiste
    Fillon : national-libéral
    Macron : mondialo-libéral

    Voilà ce que donnerait une présentation honnête des choses.
    Les mondialo-socialistes sont des imposteurs par définition car le mondialisme ne permet pas le socialisme comme l’expérience Syriza l’a prouvé. Les électeurs voulant du socialisme n’ont pas le choix, les ouvriers l’ont déjà compris.
    Le libéralisme se décline en deux fragrances. Macron représente une extrême droite très dangereuse qui séduira ceux qui, en plus de détruire l’Etat providence, voudraient détruire l’âme de la France (les contre-pouvoirs communaux). Evidemment il ne faut pas lire les programmes mais regarder l’entourage. Quelle était l’équipe de campagne de François Hollande pendant qu’il déclamait : « mon ennemi c’est la finance » ?

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv