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Abou Antoun

Abou Antoun

Retraité Éducation Nationale, né en 1947.
Ex professeur agrégé (Lycée-Université) en mathématiques et informatique.
Dénataliste convaincu adhérent à l'association
Démographie Responsable
Européen enthousiaste à l'origine, de plus en plus réfractaire à l'idéologie dominante au sein de l'Europe (libéralisme débridé sur le plan économique et adhésion à l'OTAN dont on ne voit plus la nécessité suite à la disparation du Pacte de Varsovie).
Agnostique de type APP (agnosticisme) et laïc intransigeant.
Convaincu de la justesse de l'analyse du rapport Meadows, et de la véracité des pics de Hubbert, je suis politiquement adepte du mouvement décroissant. Ce mouvement est actuellement ultra-minoritaire et mal organisé. J'estime qu'il s'agit d'une cause perdue. Fin de vie donc plutôt contemplative et pessimiste.
Voilà le tableau !
 

Tableau de bord

  • Premier article le 05/03/2012
  • Modérateur depuis le 16/08/2013
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Abou Antoun Abou Antoun 5 octobre 2010 07:53

    L’opinion de Brassens.
    Georges a lu con-sciencieusement cet article et me demande de faire part de sa réaction :

    Ayant avecques lui toujours fait bon ménage
    J’eusse aimé célébrer sans être inconvenant
    Tendre corps féminin ton plus bel apanage
    Que tous ceux qui l’ont vu disent hallucinant.

    Ceût été mon ultime chant mon chant du cygne
    Mon dernier billet doux mon message d’adieu
    Or malheureusement les mots qui le désignent
    Le disputent à l’exécrable à l’odieux.

    C’est la grande pitié de la langue française
    C’est son talon d’Achille et c’est son déshonneur
    De n’offrir que des mots entachés de bassesse
    A cette incomparable instrument de bonheur.

    Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques
    Tendre corps féminin’ c’est fort malencontreux
    Que la fleur la plus douce la plus érotique
    Et la plus enivrante en ait de plus scabreux.

    Mais le pire de tous est un petit vocable
    De trois lettres pas plus familier coutumier
    Il est inexplicable il est irrévocable
    Honte à celui-là qui l’employa le premier

    Honte à celui-là qui par dépit par gageure
    Dota de même terme en son fiel venimeux
    Ce grand ami de l’homme et la cinglante injure
    Celui-là c’est probable en était un fameux.

    Misogyne à coup sûr asexué sans doute
    Au charmes de Vénus absolument rétif
    Etait ce bougre qui toute honte bue toute
    Fit ce rapprochement d’ailleurs intempestif.

    La malpeste soit de cette homonymie
    C’est injuste madame et c’est désobligeant
    Que ce morceau de roi de votre anatomie
    Porte le même nom qu’une foule de gens.

    Fasse le ciel qu’un jour, dans un trait de génie
    Un poète inspiré que Pégase soutient
    Donne en effaçant d’un coup des siècles d’avanie
    A cette vraie merveille un joli nom chrétien

    En attendant madame il semblerait dommage
    Et vos adorateurs en seraient tous peinés
    D’aller perdre de vue que pour lui rendre hommage
    Il est d’autre moyen et que je les connais
    Et que je les connais.



  • Abou Antoun Abou Antoun 3 octobre 2010 12:18

    Soutien total à cet article de Georges.
    Pour ce qui me concerne, j’ai signé à l’âge de 30 ans un contrat d’assurance avec une mutuelle crématiste. Mieux vaut laisser la terre aux vivants, particulièrement en cette période de surpopulation galopante. Je n’ai que f. des chrysanthèmes une petite pensée par ci par là me suffirait amplement et encore. Contrairement à ce que la plupart des religions voudraient vous faire croire quand on est mort on est mort. Et dans le fond ce n’est pas si mal, je trouve l’idée de la vie éternelle beaucoup plus angoissante que celle de la disparition totale et définitive, et vous ?
    Je ne peux résister à l’envie de rappeler un texte de l’autre Georges :

    Dans les comptes d’apothicaire
    Vingt ans, c’est un’ somm’ de bonheur
    Mes vingt ans sont morts à la guerre
    De l’autr’ côté du champ d’honneur
    Si j’connus un temps de chien, certes
    C’est bien le temps de mes vingt ans
    Cependant, je pleure sa perte
    Il est mort, c’était le bon temps

    Il est toujours joli, le temps passé
    Un’ fois qu’ils ont cassé leur pipe
    On pardonne à tous ceux qui nous ont offensés
    Les morts sont tous des braves types

    Dans ta petit’ mémoire de lièvre
    Bécassine, il t’est souvenu
    De notre amour du coin des lèvres
    Amour nul et non avenu
    Amour d’un sou qui n’allait, certes
    Guèr’ plus loin que le bout d’son lit
    Cependant, nous pleurons sa perte
    Il est mort, il est embelli

    Il est toujours joli, le temps passé
    Un’ fois qu’ils ont cassé leur pipe
    On pardonne à tous ceux qui nous ont offensés
    Les morts sont tous des braves types

    J’ai mis ma tenue la plus sombre
    Et mon masque d’enterrement
    Pour conduire au royaum’ des ombres
    Un paquet de vieux ossements
    La terr’ n’a jamais produit, certes
    De canaille plus consommée
    Cependant, nous pleurons sa perte
    Elle est morte, elle est embaumée

    Il est toujours joli, le temps passé
    Un’ fois qu’ils ont cassé leur pipe
    On pardonne à tous ceux qui nous ont offensés
    Les morts sont tous des braves types



  • Abou Antoun Abou Antoun 2 octobre 2010 19:07

    Tiens, c’est drôle, personne n’a ressorti « La Dolto » du placard.
    Pour le reste je suis d’accord avec le contenu de l’article. Tout est une question de mesure.
    De toutes façons le châtiment corporel doit rester exceptionnel, faute de quoi il perd toute valeur pédagogique. Il doit servir à baliser un évènement correspondant à un franchissement de limite. On se souvient d’autant mieux des claques qu’il y en a peu.
    Il se peut aussi que dans des cas extrêmes et quand la tension monte monte, la gifle, si elle ne fait aucun bien au giflé, soulage un peu le gifleur et agisse comme une soupape. Dans ce cas c’est un moindre mal, cela permet de remettre les compteurs à zéro.
    Ce qui me parait malsain c’est la « théâtralisation » de la punition (déculottage, utilisation d’instruments comme martinet, badine , ceinture, etc.).
    L’acte répressif doit être spontané et artisanal, la baffe semble bien correspondre à ces objectifs pour les ados. Pour les petits elle est potentiellement dangereuse, on préfèrera la tape sur les fesses (sans préparation).
    Interdire, par la loi, toute punition corporelle, me parait aussi dangereux pour les parents que pour les enfants.



  • Abou Antoun Abou Antoun 2 octobre 2010 15:11

    Voilà un article bien consensuel.
    Ce n’est pas moi qui apporterai le moindre élément de contradiction.
    C’est très juste, très bien vu.
    J’apporte donc mon soutien à 100% à ce qui vient d’être dit.
    On peut s’étonner du manque de clairvoyance de nos leaders ’écolos’ (ou prétendus tels...). Certains ont apparemment un pied dans le green-business, mais ce n’est pas le cas de tous. En tout cas aucun ne dénonce l’imposture. Il est vrai que certains avant d’être ’verts’ étaient ’rouges’ ou ’noirs’ et qu’ils se sont depuis reconvertis à l’économie de marché encore connue sous le nom de capitalisme. Peut on leur demander de cracher dans la soupe ?
    Au niveau international, Le cas d’Al Gore est intéressant. Le bonhomme n’a pas trop mouillé sa chemise pour le climat alors qu’il était vice-président des Etats-Unis d’Amérique, première puissance mondiale à l’époque. Ce n’est que depuis sa défaite face à G.W. Bush qu’il s’est reconverti dans l’écologiquement correct. Que penser d’une telle vocation ?
    Extrait de Wikipedia :

    Al Gore est le co-fondateur et chairman de Generation Investment Management LPP, fond d’investissements à long terme dans l’économie durable, et qui recueille des capitaux très importants d’investisseurs du monde entier et en particulier de nombreux fonds de pension américains À sa création en 2004, Generation Investment a drainé 5 milliards de dollars américains.

    Al Gore s’est lancé également dans le négoce de certificats d’émissions de CO2, ce qui expliquerait sa vigueur à alarmer l’opinion publique sur le changement climatique.



  • Abou Antoun Abou Antoun 2 octobre 2010 14:34

    Cette discussion est déjà ancienne, et je ne sais pas si on peut encore y contribuer.
    Quoi qu’il en soit je veux dire que j’approuve sans réserve l’article de Georges Yang.
    Il faut dire que j’appartiens à une association :
    http://www.demographie-responsable.org/
    Et j’invite chacun de vous à faire un tour sur notre site et nos forums.

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