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Abraracoutrix

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  • Premier article le 02/04/2012
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Derniers commentaires



  • Abraracoutrix 26 octobre 2008 16:31

    Les banques dites d’affaires n’ont pas un sou dans leurs coffres. Elles creent de toute pièce des lignes comptables basées sur les prêts qu’elles font aux péquins qui en font la demande. Ces prêts engendrent en principe des intêrets, lesquels permettent le remboursement inter-bancaire, sauf que lorsque le péquin débiteur ne peut plus payer, il n’y a plus ni capital, ni intêrets et tout s’effondre. Et, comme les banques préteuses se sont assurées, les assureurs prennent le choc pleine poire... Vous me direz que les banques comme les assureurs pourraient vendre leurs beaux immeubles et autres sièges sociaux et que les PDG aux bureaux aussi vaste que des terrains de golf pourraient mettre la main à la poche, mais ça c’est une autre affaire !
    Des affaires, non des magouilles !



  • Abraracoutrix 26 octobre 2008 12:51

    Youpi ! Voilà un sacré pied de nez aux Yankees. Les Cubains sont pauvres, mais ils sont fiers d’être cubains. Ils sont pauvres mais à qui donc la faute, si ce n’est à l’embargo decreté et appliqué contre toute règle par ces mêmes Yankees qui n’ont toujours pas digéré d’avoir reçu un magistral coup de pied au derrière par Fidel Castro, Che Guevara, une poignée de guerilleros, et finalement tout un peuple. Si l’information se confirmait (du pétrole, il y en a c’est sur, mais combien) alors la donne serait changée.



  • Abraracoutrix 26 octobre 2008 12:37

    Mr. Mimose, quel optimisme ! Alors vous croyez que les Français descendront dans la rue ? Quand, vous avez une date ? On vous la dit ? Vous avez des infos des RG ?
    Non, ils ne descendront pas, nous ne descendrons pas dans la rue parce que nous sommes complétement anésthesiés. Quelles sont aujourd’hui nos valeurs, nos priorités : du fric, un job même mal payé, voir le RMI, une voiture (achetée à crédit) mais toute neuve pour faire palir d’envie les voisins (qui vont eux aussi prendre un crédit et nous faire palir de jalousie...) une télé toute neuve, pardon un écran plat, un téléphone portable dernier cri pour moi, madame, la grande fille, le garçon et le petit dernier qui le montrera à ses copines de la ...maternelle etc... Nous sommes gavés d’individualisme et de "confort" materiel, nous consommons, nous pleurnichons... devant la télé et c’est tout !



  • Abraracoutrix 25 octobre 2008 16:46
    Réfléchissons, si nous le pouvons encore…
    C’est donc la crise. Quelle crise ?
    Crise financière. Elle a débuté parait-il avec cette affaire de subprimes, mais peut être bien avant quand a commencé la course à la consommation tous azimuts avec son cortège de prêts et autres crédits revolving, vous savez, ces crédits que l’on vous accorde en deux clics de souris et dont vous reconstituez soi-disant le capital par mensualités à votre rythme et au taux…de 20.50% -à ce jour pour 6500 euros empruntés ! J’en connais autour de moi qui ont plusieurs de ces crédits… en portefeuille, en lieu et place d’argent sonnant et trébuchant, et qui sont littéralement étranglés.
    Les subprimes sont de la même espèce, sauf que là les banques ont joué avec le feu.
    Panique sur le Titanic de la finance (virtuelle) internationale.
    Elles ont joué, elles ont perdu, et avec elle les spéculateurs (immobiliers) et les assurances.
    Je ne verserai pas une larme… On nous avait dit que le « marché » réglerait tous les problèmes et que demain serait mieux qu’hier, alors laissons le marché à ses affaires de mauvais maquignons, et récoltons la mise (nous, c’est-à-dire la Nation) en rachetant pour quelques euros symboliques ces soi-disant piliers de la finance et de l’économie, pour en refaire ce qu’elles n’auraient jamais du cessé d’être (les banques), des gestionnaires avisés faisant fructifier les dépôts des épargnants (en soutenant véritablement les entreprises et pas en spéculant en Bourse) et rémunérant cette épargne convenablement.
    Point besoin de centaines de millions d’euros, de dollars, de yens, nationalisations immédiates et définitives, avec sièges éjectables sans parachutes pour tous ces cols blancs sans scrupules.
    Crise économique. Oui bien sur, si on reste dans la logique de ce marché pourri, si l’on continu dans la voie de la surconsommation et des dépenses hors budgets (vous, moi, tout un chacun). Dans cette logique, il faut sans cesse produire plus (c’est ce que l’on nous dit) pour que les usines fonctionnent et que les travailleurs…travaillent ! Sauf que, en période dite de croissance, les usines délocalisent et les travailleurs sont au chomdu, et que la crise financière entrainant une baisse d’activité, les usines (ce qu’il en reste) ferment, et les travailleurs restant rejoignent leurs copains au chomdu…
    Sauf que, si l’on sort de la logique du marché et du sauvetage des banques (ne pas le faire, est ce passible d’une procédure judiciaire pour non assistance à personne en danger ?), point d’aide financière, donc plusieurs millions ou milliards d’euros, dollars, yen, roubles etc… à disposition des Nations –et pour partie de ce Trésor, la Nation Française) pour « nos » vieux, « nos » retraités, « nos » ouvriers, « notre » pouvoir d’achat, « nos » écoles, « nos » hôpitaux, « nos » pêcheurs, « nos » chercheurs (et même déclinaison pour les Allemands, les Anglais, les Américains etc , etc…


  • Abraracoutrix 25 octobre 2008 16:20
    Réfléchissons, si nous le pouvons encore…
    C’est donc la crise. Quelle crise ?
    Crise financière. Elle a débuté parait-il avec cette affaire de subprimes, mais peut être bien avant quand a commencé la course à la consommation tous azimuts avec son cortège de prêts et autres crédits revolving, vous savez, ces crédits que l’on vous accorde en deux clics de souris et dont vous reconstituez soi-disant le capital par mensualités à votre rythme et au taux…de 20.50% -à ce jour pour 6500 euros empruntés ! J’en connais autour de moi qui ont plusieurs de ces crédits… en portefeuille, en lieu et place d’argent sonnant et trébuchant, et qui sont littéralement étranglés.
    Les subprimes sont de la même espèce, sauf que là les banques ont joué avec le feu.
    Panique sur le Titanic de la finance (virtuelle) internationale.
    Elles ont joué, elles ont perdu, et avec elle les péculateurs (immobiliers) et les assurances.
    Je ne verserai pas une larme… On nous avait dit que le « marché » réglerait tous les problèmes et que demain serait mieux qu’hier, alors laissons le marché à ses affaires de mauvais maquignons, et récoltons la mise (nous, c’est-à-dire la Nation) en rachetant pour quelques euros symboliques ces soi-disant piliers de la finance et de l’économie, pour en refaire ce qu’elles n’auraient jamais du cessé d’être (les banques), des gestionnaires avisés faisant fructifier les dépôts des épargnants (en soutenant véritablement les entreprises) et rémunérant cette épargne convenablement.
    Point besoin de centaines de millions d’euros, de dollars, de yens, nationalisations immédiates et définitives, avec sièges éjectables sans parachutes pour tous ces cols blancs sans scrupules.
    Crise économique. Oui bien sur, si on reste dans la logique de ce marché pourri, si l’on continu dans la voie de la surconsommation et des dépenses hors budgets (vous, moi, tout un chacun). Dans cette logique, il faut sans cesse produire plus (c’est ce que l’on nous dit) pour que les usines fonctionnent et que les travailleurs…travaillent ! Sauf que, en période dite de croissance, les usines délocalisent et les travailleurs sont au chomdu, et que la crise financière entrainant une baisse d’activité, les usines (ce qu’il en reste) ferment, et les travailleurs restant rejoignent leurs copains au chomdu…
    Sauf que, si l’on sort de la logique du marché et du sauvetage des banques (ne pas le faire, est ce passible d’une procédure judiciaire pour non assistance à personne en danger ?), point d’aide financière, donc plusieurs millions ou milliards d’euros, dollars, yen, roubles etc… à disposition des Nations –et pour partie de ce Trésor, la Nation Française) pour « nos » vieux, « nos » retraités, « nos » ouvriers, « notre » pouvoir d’achat, « nos » écoles, « nos » hôpitaux, « nos » pêcheurs, « nos » chercheurs (et même déclinaison pour les Allemands, les Anglais, les Américains etc , etc…
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